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Une nouvelle vague d'expulsés d'Angola signalés au Kasaï occidental |

Une nouvelle vague d'expulsés congolais qui résidaient en Angola a été signalée dans le territoire de Tshikapa, au Kasaï occidental, rapporte mercredi la radio onusienne Okapi, faisant état d'une moyenne journalière d'environ cent personnes.
D'après l'ONG Protection de l'enfance et de la jeunesse par les droits de l'Homme, citée par la radio, le plus grand mouvement de la vague d'expulsés a été observé le 27 septembre dernier à la frontière entre l'Angola et la cité de Kamako, située près de Tshikapa.
Les expulsés viendraient principalement des provinces de Malanje (nord), Lunda-Norte (nord-est), indique la même source, précisant qu'à Kamako, l'ONG encadre déjà quelque 280 parmi les personnes expulsées.
Selon le coordonnateur de cette organisation à Kamako, les expulsés vivent de collecte et de contributions de quelques personnes de bonne volonté. "La fréquence des mouvements de déplacement ainsi que la multiplicité des voies de sortie ne permettent cependant pas de donner des statistiques réelles pour déterminer leur nombre exact", a-t-il dit.
Une première expulsion de ressortissants congolais avait eu lieu à la fin de l'année dernière, suivie d'une autre, fin août début septembre derniers, qui s'est déroulée dans des conditions jugées atroces par de nombreux observateurs.
Les efforts d'harmonisation entre les gouvernements de Kinshasa et de Luanda ont abouti à faire baisser la tension entre la RD Congo et l'Angola, qui avait commencé à monter à la suite de cette affaire. |
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Le Sénat nigérian convoque l'ambassadeur du Soudan |

Irrité par le meurtre, samedi au Darfour, de sept soldats nigérians de la Mission de l'Union africaine au Soudan (AMIS), le Sénat du Nigeria a convoqué l'ambassadeur du Soudan pour lui demander des explications sur cette tuerie.
Les sénateurs ont également convoqué les ministres nigérians de la Défense et des Affaires étrangères, le chef d'état-major de l'armée et le commandant en chef de la force de paix au Darfour. Les sénateurs en colère ont attribué au Soudan la responsabilité de cette attaque perpétrée par plus de 2.000 rebelles contre 200 soldats de l'AMIS, tuant au moins 10 dont un Sénégalais, un Malien et un Burkinabè.
"Le gouvernement soudanais devrait être tenu pour responsable de la mort de ces soldats", a déclaré le sénateur Joseph Akargergre, un militaire à la retraite. Les autorités militaires nigérianes ont indiqué que sept soldats nigérians ont également été blessés et que trois autres sont portés disparus.
Un autre sénateur, Ayogu Eze, a estimé que le gouvernement soudanais avait fait preuve d'ingratitude envers le Nigeria pour tout ce que ce dernier pays avait fait pour le retour de la paix au Darfour. Le président Umaru Yar'Adua a envoyé au Soudan une délégation militaire conduite par le chef d'état-major des armées, le général de corps d'Armée Owoye Azazi, pour évaluer la situation et organiser le rapatriement des corps des soldats tués.
Le porte-parole de la présidence du Nigeria, Olusegun Adeniyi, a réfuté les spéculations sur un éventuel retrait des troupes nigérianes du Darfour. |
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