|
 |
  |
Dimeji Bankole, nouveau président du Parlement nigérian |
 |
|
 |
|
 |
 |
 |
 |
 |
|
 |
 |
Dimeji Bankole
©
channelstv.com |
 |
 |
|
 |
|
 |
|
 |
 |
|
|

La Chambre des représentants (Parlement) du Nigeria a élu jeudi Dimeji Bankole, membre du Parti populaire démocratique (PDP, au pouvoir), président de la chambre, deux jours après la démission de l'ancienne présidente, Patricia Etteh et du premier vice-président suite à une affaire de corruption.
M. Bankole, qui représente au Parlement l'Etat d'Ogun, dans le sud- est du Nigeria, a obtenu 304 voix contre 20 pour son seul adversaire, George Ljolavemi. M. Bankole, âgé de 38 ans, en est à son deuxième mandat à la Chambre basse. Il a été élu pour la première fois au Parlement en 2003, puis en 2007.
Diplômé de l'université de Reading puis d'Oxford en Angleterre, il est titulaire d'une licence en Economie avec une spécialisation en Techniques militaires. Usman Bayero, de l'Etat de Gombe, au Nord, a été également élu sans opposition vice-président.
Les observateurs politiques estiment que l'élection d'une nouvelle direction au Parlement pourrait mettre fin à la longue crise qui a éclaté suite au scandale sur les 628 millions de nairas (5 millions de dollars) dépensés dans l'acquisition d'un parc automobile et la rénovation des maisons de fonction de la présidente et du premier vice-président.
Une commission mise sur pied par le Parlement, pour faire enquêter sur les contrats, avait inculpé la direction du Parlement pour n'avoir pas respecté les règles de procédure légale dans l'attribution des contrats, déclenchant ainsi des appels à la démission de Mme Etteh, une esthéticienne âgée de 54 ans.
Lors d'une des nombreuses querelles opposant les partisans et les opposants de l'ex-présidente, un député, Aminu Safana, s'était écroulé et est décédé par la suite. |
|
Obiang N'Guéma sollicite Sarkozy sur l'affaire de l'île de Mbanié |

Le président équato-guinéen, Théodoro Obiang N'Guéma MBasogo, a estimé mardi à Paris que son homologue français Nicolas Sarkozy qu'il venait de rencontrer, pouvait l'aider au règlement du différend frontalier entre son pays et le Gabon sur l'île de Mbanié.
"J'ai abordé avec le président Sarkozy les questions de coopération bilatérale entre la France et mon pays. S'agissant de notre différend frontalier avec le Gabon, je pense que la France peut aider à son règlement", a-t-il confié à la presse sur le perron de l'Elysée.
Arrivé lundi à Paris, le président équato-guinéen effectuait une visite de travail de 48 heures en France, au cours de laquelle il s'est adressé mardi à la 34ème Conférence générale de l'UNESCO.
L'île de Mbanié, qui s'étend sur 30 hectares environ, à une trentaine de kilomètres des côtes gabonaises, oppose depuis plusieurs années le Gabon et la Guinée Equatoriale, les eaux autour de l'île étant susceptibles de renfermer des gisements pétroliers.
Les deux Etats avaient été sur le pied de guerre en 1972, lorsque le président gabonais Omar Bongo s'était rendu sur l'île pour y planter le drapeau de son pays.
Une autre visite le 26 février 2004, sur ces portions de terre perdues dans l'Océan Atlantiques, par le fils du chef de l'Etat gabonais, Ali Bongo, ministre de la Défense, a fini de raviver une vieille querelle de plus de 30 ans, rappelle-t-on. |
Le Mali se soumet au Mécanisme africain d'évaluation par les pairs |

Le gouvernement malien a soumis sa gouvernance démocratique, politique, économique et son développement socio- économique au Mécanisme africain d'évaluation par les pairs (MAEP), a annoncé, jeudi à Bamako, le Premier ministre Modibo Sidibé.
Selon le chef du gouvernement malien, il s'agit d'identifier les lacunes et les insuffisances du système de gouvernance dans le pays et apporter des correctifs pour la réalisation des objectifs du millénaire pour le développement (OMD)
Le MAEP est une initiative des Chefs d'Etat et de Gouvernement de l'Union africaine (UA), adoptée lors d'un sommet de l'UA en 2002.
Il vise à promouvoir une culture de dialogue politique entre les différents acteurs nationaux à favoriser les échanges d'expérience entre États participants afin de conduire les pays africains individuellement et collectivement à la stabilité politique, à une croissance économique accrue, au développement durable et à une intégration économique régionale et continentale accélérée.
L'UA a lancé le MAEP sur la base du volontariat. A ce jour, certains pays comme l'Afrique du Sud, le Bénin, le Ghana et l'Ouganda se sont soumis à l'évaluation des pairs. |
Un opposant réclame le partage du pouvoir en Mauritanie |

Un des vice-présidents de l'Alliance pour la justice et la démocratie/Mouvement pour la rénovation (AJD/MR, opposition), Mamadou Bocar Bâ, a estimé jeudi à Paris que le partage du pouvoir est le seul moyen d'assurer la cohésion nationale et de relever le défi du développement en Mauritanie.
"Des avancées significatives ont été enregistrées sur le plan des libertés individuelles et collectives, les tensions sociales se sont apaisées. Mais rien n'a changé dans les conditions de vie des Mauritaniens", a-t-il déclaré lors d'un entretien accordé à la PANA.
Défendant sa vision d'une Mauritanie "nouvelle", le vice-président de l'AJD/MR a assuré que le partage du pouvoir entre les différentes composantes de la société mauritanienne conduira à une meilleure répartition des richesses nationales dont les revenus pétroliers.
"Il faut prendre garde à ne pas être abusé par le discours répandu pendant la visite du président Abdallahi en France et qui veut faire croire que tout est réglé en Mauritanie. Cette présentation est sans commune mesure avec la réalité de terrain", a martelé le vice- président de l'AJD/MR, de passage à Paris.
Selon lui, les changements socio-politiques en Mauritanie ne deviendront significatifs que "lorsqu'on reconnaîtra chaque Mauritanien avec sa culture, sa langue, son identité et sa différence". "Prenez l'exemple de notre parti politique, il est composé d'arabes et de negro-mauritaniens qui travaillent ensemble et se respectent. C'est à cela que nous voulons au plan national. Que chacun soit reconnu et respecté dans sa différence", a insisté M. Bocar Bâ.
Soulignant les disparités "criardes" dans la répartition de la richesse nationale, il a affirmé que le partage du pouvoir va permettre d'y mettre fin. "Aujourd'hui la Mauritanie, c'est un îlot d'opulence face à un océan de misère. Les richesses appartiennent à une catégorie sociale, la misère à l'autre. Nous devons en sortir par le partage du pouvoir politique et économique. La cohésion nationale en dépens", a encore dit l'opposant mauritanien. |
 |
|
 |
 |
 |
 |
|
|
|
|
Donnez
votre opinion ou lisez les 0 réaction(s) déjà écrites
Version
imprimable de l'article
Envoyer
l'article par mail à une connaissance
Partager sur:
Facebook
Google
Yahoo
Digg
Delicious
|
|
|
Les dernières photos publiées sur Grioo Village |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Top |
|
|
|
|
|
|
  |
 |
|
|