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L'ancien président Pascal Lissouba autorisé à rentrer au Congo |
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Pascal Lissouba
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atlaswords.com |
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L'ancien président congolais, Pascal Lissouba, est libre de rentrer à tout moment au Congo, a déclaré lundi soir à Paris l'ambassadeur du Congo en France, Henri Lopès.
"Le président Lissouba est la dernière figure politique importante de l'opposition encore en exil. Je répète ce que le président Dénis Sassou N'Guesso avait dit lors d'un voyage à Paris : il est libre de rentrer au Congo", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse. Selon M. Lopès, plusieurs anciens proches collaborateurs de M. Lissouba sont déjà rentrés à Brazzaville sans être inquiétés.
"J'ai reçu, en son temps, des instructions très claires de mon gouvernement pour permettre à l'ancien Premier ministre Bernard Kolélas de venir en France puis de rentrer à Brazzaville. L'ancien Premier ministre Joachim Yhombi-Opango est également rentré récemment au pays sans problème", a souligné l'ambassadeur du Congo à Paris.
Evincé du pouvoir en 1997 par un coup d'Etat, Pascal Lissouba, âgé de 76 ans, vit depuis 2004 en exil en France. Il avait été condamné par contumace en 2001 à 30 ans de prison officiellement pour "crimes économiques". |
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Menace de grève des fonctionnaires camerounais |

Les travailleurs camerounais de la Fonction publique menacent d'aller en grève générale jeudi prochain à l'appel de la Centrale syndicale du secteur public (CSP), si le gouvernement ne revalorise pas d'ici là leurs salaires qui ont connu des coupes drastiques en 1992, a t-on appris mardi de source syndicale.
Les travailleurs menacent de prendre d'assaut l'Assemblée nationale, mercredi à 11 heures locales (10 heures GMT), pour interpeller les députés actuellement réunis en session budgétaire.
Selon le président de la CSP, Jean-Marc Bikoko, "l'objectif global de la grève est d'amener le gouvernement à améliorer les conditions de vie et de travail des personnels civils de la Fonction publique par la revalorisation de leur pouvoir d'achat par le rétablissement des salaires des catégories respectives à leur niveau de décembre 1992 et leur revalorisation de 30% pour tenir compte du coût actuel de la vie".
Des tracts ont été distribués à travers le pays aux travailleurs pour les sensibiliser. La semaine dernière les députés camerounais avaient remis sur la table cette question, alors que le gouvernement affirme se battre pour le bien-être des populations et contre la pauvreté.
On rappelle qu'en 1992 et 1993, les fonctionnaires camerounais avaient connu deux baisses de salaire consécutives de l'ordre de 70% pour certains. Le bas niveau des revenus a souvent été présenté par les observateurs comme l'un des principaux facteurs de la corruption au Cameroun. La dernière revalorisation des salaires des fonctionnaires estimés à quelque 200.000 personnes pour une masse monétaire d'environ 40 milliards FCFA mensuels, remonte à 1983 au Cameroun. |
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