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le FDD rejoint le gouvernement
La plus grande faction rebelle Hutu (le FDD) met un terme au boycott du gouvernement
La plus importante faction rebelle hutue du Burundi a mis fin mardi à une période de près de trois mois de boycott du gouvernement d'union nationale en expliquant que nombre de ses exigences avaient été honorées.
Les Forces de la défense de la démocratie (FDD) avaient suspendu leur participation au gouvernement le 3 mai, infligeant un revers au processus de paix visant à mettre un terme à une guerre civile qui a fait environ 300.000 morts. Les FDD demandaient au gouvernement la mise en oeuvre de la trêve signée en novembre, la libération des prisonniers politiques et l'accélération de la nomination de responsables rebelles aux postes administratifs. Hussein Radjabu, secrétaire général des FDD, a déclaré lors d'une conférence de presse que la plupart des nominations demandées avaient eu lieu. En outre, un demi-millier de rebelles retenus prisonniers ont été libérés.
"Nous ne pouvons que nous satisfaire de cette décision car le gouvernement a besoin de partenaires pour ramener la paix au Burundi", a dit Pancrace Cimpaye, porte-parole de la présidence burundaise.
Premières condamnations des 70 mercenaires à Harare
La plupart des 70 mercenaires arrêtés au Zimbabwe et accusés d'avoir préparer un coup d'Etat contre la Guinée Equatoriale ont plaidé coupable mardi pour les charges les moins importantes retenues contre eux, à savoir la violation de la législation sur l'immigration et de l'espace aérien, et ont été condamnés dans la foulée.
Jonathan Samkange, l'avocat zimbabwéen de la défense, a toutefois précisé qu'ils plaideraient non-coupables mercredi quand la cour étudiera les charges les plus lourdes.
Il a indiqué que 67 de ses clients avaient été condamnés pour avoir posé leur avion à Harare en mars sans autorisation. Ils encourent pour cette condamnation jusqu'à plusieurs années de prison.
Les trois autres accusés n'étaient pas inculpés de ces charges puisqu'ils se trouvaient déjà sur le sol zimbabwéen.
Les mercenaires sont également accusé de détention illégale d'armes et risquent pour cela quinze ans de prison.
Le groupe présenté comme étant composé de Sud-Africains, d'Angolais, et de Namibiens - tous possédaient des passeports sud-africains - a été arrêté en mars après que leur avion se soit posé à Harare.
Selon les autorités zimbabwéennes, ces hommes s'apprêtaient à renverser le président de la Guinée Équatoriale, Teodoro Obiang Nguema Mbasogo.
Les accusés se sont défendus d'être des mercenaires, affirmant qu'ils se rendaient en République démocratique du Congo pour assurer la protection d'exploitations minières
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