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Maintenant que je suis là voici mon avis.
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L'opposant ivoirien Henri Konan Bédié, de retour dimanche à Abidjan, a préconisé une " solution politique de bonne foi" pour régler le "vide constitutionnel" qui pourrait intervenir en Côte d'Ivoire.
"Il faut procéder par concertation, autrement dit par une recherche de solution politique, mais cette fois-ci dans la bonne foi. Tout doit se faire dans le cadre d'une recherche collective", a déclaré M. Bédié, président du Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PCDI, opposition), peu après son retour à Abidjan.
"Toute vie politique se déroule dans le cadre de la loi fondamentale. La Constitution est formelle", a indiqué M. Bédié, ajoutant qu'"il n'est pas question pour les gouvernants actuels qu'on leur donne au-delà de 5 ans".
"Je suis de retour pour être disponible, disponible pour participer à l'effort national qui tend à rechercher les solutions de paix pour notre pays", a dit M. Bédié, qui a regagné son pays natal après un an d'exil à Paris en France.
Lors d'une conférence de presse tenue à Abidjan, M. Bédié s'est par ailleurs prononcé en faveur de la prise par l'Onu des sanctions contre ceux qui sont responsables du blocage du processus de paix en Côte d'Ivoire.
"Il y a lieu de déterminer les responsabilités de ceux qui bloquent ou ont bloqué le processus de paix depuis Marcoussis, Accra et Pretoria. Je pense personnellement que quelques redressements sous forme de sanctions devraient s'opérer", a-t-il dit.
Cependant, il a avoué que l'Onu recherche avec les Ivoiriens les solutions aux problèmes, mais qu'"elle ne peut pas dicter des solutions".
XINHUA
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