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Communiqué d'Universal Music |

Pour la 1ère fois, un département de développement d’artistes locaux s’ouvre hors des Etats-Unis, sous la marque du label mythique : MOTOWN.
Pour rappel MOTOWN, label créé à Détroit en 1957 par Berry Gordy, a vu émerger des monuments de la « black music » tels que : MARVIN GAYE, STEVIE WONDER, DIANA ROSS, THE JACKSON FIVE, LIONEL RICHIE, THE TEMPTATIONS et bien d’autres …
Pour donner une réelle identité au futur catalogue de MOTOWN FRANCE, de façon totalement inédite, le poste de Directrice Artistique est confié à Mélanie Georgiades, plus connue sous le nom de DIAM’S.
Elle aura la charge de proposer la signature de nouveaux Artistes sous le label MOTOWN FRANCE.
Le label MOTOWN FRANCE aura pour vocation de faire émerger les Artistes de demain.
Sébastien Catillon assurera le poste de Label Manager avec pour principales activités, la co-signature et le suivi de production des Artistes ainsi que le contrôle de leur image.
En tant que Directeur Artistique, Sébastien Catillon a été à l’origine des signatures d’artistes tels que DIAM’S chez EMI, SINIK chez Warner et WALLEN sur le Label Atmosphériques.
Il reportera à Olivier Nusse actuel Directeur Général d’ULM (un label d’Universal Music France).
- Pascal Nègre (Président Directeur Général d’Universal Music France, et Vice Président de UMG International en charge de la région Méditerranée et Amérique du Sud) a déclaré…
« MOTOWN FRANCE va prouver une fois de plus que les talents appellent les talents !! Je remercie DIAM’S et Sébastien de se lancer dans cette aventure »
- DIAM’S et Sébastien Catillon ont déclaré…
« Nous sommes très heureux de commencer cette aventure et impatients de voir les artistes qui vont nous rejoindre sur MOTOWN FRANCE dévoiler leurs talents. »
- Olivier Nusse a déclaré …
« L’ouverture d’un nouveau Label et la création d’un nouveau catalogue est toujours une expérience passionnante. Pouvoir le faire sous une marque aussi prestigieuse que celle de MOTOWN, en ayant pour Directrice Artistique une Artiste aussi talentueuse que DIAM’S, est une chance unique et prometteuse. Je souhaite à DIAM’S et à Sébastien beaucoup de succès dans leurs nouvelles fonctions. » |
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L'insulte suprême par Les Motowniens |

Une dernière plaisanterie de taille illustre les errements de l’industrie du disque. « L’ouverture d’un nouveau Label et la création d’un nouveau catalogue est toujours une expérience passionnante. Pouvoir le faire sous une marque aussi prestigieuse que celle de MOTOWN» souligne avec force le communiqué de presse d’Olivier Nusse Directeur Général d’ULM, pour poursuivre avec la nomination de l’artiste Diams, artiste populaire, séduisante et rentable s’il en est, au poste de directrice artistique (et de son poulain Sinik) à celui de label-manager d’un label à l’Histoire si riche. Quel choc d’apprendre que Motown France puisse naître dans de telles conditions ! Comment l’industrie peut-elle nous faire croire qu’il ne lui a pas été possible de trouver dans ses rangs d’authentiques directeurs artistiques ? N’y a-t-il pas conflit d’intérêts caractérisé ? Ainsi, tout en poursuivant son subtil communautarisme élitiste, l’industrie du disque française actuelle fait montre de son inaptitude à penser, réfléchir, concevoir à long terme. La caste contre le mérite, les petits arrangements entre amis, la révolution française n’a toujours pas foulé de ses pieds la moquette profonde des couloirs des maisons de disques hexagonales. On savait déjà que les nominations étaient souvent dépourvues de sens, on n’en connaissait pas forcément la magnitude.
Pourquoi un tel bradage/liquidation des bijoux de famille ? Certes le label Motown n’est plus ce qu’il était, mais cela justifie-t-il de l’accompagner dans son coma plutôt que de chercher à l’en sortir ? Si votre acquisition du label vous confère tout pouvoir et toute latitude d’actionnaire majeur, vous êtes cependant hors-la-loi moral et professionnel (si cela veut encore dire quelque chose) vis-à-vis d’une telle entité.
Quelle incohérence, mais surtout quel mépris pour le public, vos clients, vos pros, la fonction, les artistes, les passionnés,... N’importe quel sondage auprès d’un quidam français ou étranger sur ce que représente Motown vous prouvera sans difficulté que vous frisez le ridicule. Motown N’EST PAS n’importe quel label, mais LE label qui a transformé les goûts musicaux populaires de l’Amérique, et donc d’une partie de la planète. Ces 20 années de prestige marquent simultanément le genre musical, l’industrie, ses techniques, le public, les artistes. Motown EST avant tout un patrimoine culturel, un héritage, une fortune collective dans l’esprit de tous, chacun à sa façon. Motown DEMEURE incontestablement une référence et NE PEUT PAS ETRE un fourre-tout comme vous semblez l’envisager.
C’est en partie à cause de ses fautes de goûts – albums inconsistants, développement inexistant, découvertes reléguées au panier, tarif de cd abusifs, compilations au kilomètre, stratégies à tâtons, …ou cette incapacité à écouter l’autre qu’avec un tel grand écart l’industrie ouvre la porte grande aux Napster et autres rebelles de ses circonvolutions. Une telle association entre les noms de Motown et des personnes pressenties fait étouffer et est incompatible en l’état. Ou alors changer de nom de label.
Monsieur Nègre, vous êtes assez intelligent pour ne pas imposer un tel irrespect. Stoppez l’indécence qui consisterait à poursuivre dans cette voie, vous expert marketing par excellence. Berry Gordy Jr est allé jusqu’au bout de son rêve. Quel est réellement le vôtre pour Motown France ? (La question demeure quant à l’existence même d’une telle option compte tenu de l’insultante stratégie retenue). Repensez à l’essence d’une maison de disques moderne et pas arriviste et vulgaire. Merci de réagir.
Nous invitons le grand public, les particuliers, les fans, les amoureux, les professionnels (y compris et surtout des médias) à interroger les auteurs d’une telle entreprise de manipulation.
Préparez-vous aux actions!
Les Motowniens
Contact/commentaires : respectpourmotown@yahoo.fr |
THE SUPREME INSULT |

A last joke of a matter illustrates the mistakes of the music industry. “The opening of a new label and the creation of a new catalogue are always an enthralling experiment. To be able to do it under a mark as prestigious as that of MOTOWN” underlines with force the press release of Olivier Nusse Directeur General of ULM, to continue with the appointment of Diams, artist, popular, tempting and profitable artist if it is, at the A&R director (and her friend Sinik) to that of label-manager of one label to such a rich History. What a shock to learn that Motown France can be born under such conditions! How can the industry make us believe that it was not possible to find in its ranks authentic artistic directors? Plus it seems that we are in front of a conflict interests… Thus, while continuing its subtle elitiste communautarism, the current french music industry fact shows us its inaptitude to think, reflect, conceive on a long term. The caste against the merit, small arrangements between friends, the French revolution still did not hit the deep fitted carpet of the corridors of the hexagonal labels. One knew already that the nominations were often deprived of direction, one did not know inevitably the magnitude of it.
Why such a cut-price selling of the jewels of the family? Admittedly the Motown label is not any more what it was, but does that justify to completely kill it rather than looking for saving it from its coma ? If your acquisition of the label confers any capacity and any latitude of major shareholder to you, you are however a moral outlaw and professional (if it still means something to you) in regard of such an entity).
What an inconsistency, but especially which contempt for the public, your customers, your pros, the function, the artists, the passionate people,… Any survey near a french or foreign quidam on what Motown represents will prove you without difficulty that your move is ridiculous. Motown IS NOT any label, but the label which transformed the popular musical tastes of America, and thus of part of planet. These 20 years of prestige mark simultaneously the musical kind, industry, its techniques, the public, the artists. Before anything else, Motown IS a whole cultural inheritance, a heritage, a collective fortune in the spirit of all, each one with its way. Motown REMAINS incontestably a reference and CANNOT BE a hold-all as you seem to consider it. It is partly because of this kind of errors “soft albums, non-existent development, abusive price of Cd, never-ending compilations, no strategies for the artist, or this incapacity to listen to the other that the industry opens the large doors for people like Napster and others rebel of these convolutions. Such an association between the names of Motown and the one of Diams and Sinik are simply incompatible. Or then change the name of label.
Mr. Nègre, you are intelligent enough not to impose such a disrespect. Stop the indecency which would consist in proceeding in this way, you expert marketing par excellence. Berry Gordy Jr went after his dream until the end. Which one is really yours for Motown France? (The question remains as for the existence even of such an option taking into account insulting the strategy selected). Reconsider what a label in this modern age is really all about. Don’t fall for vulgarity. Thanks you for reacting.
We invite the general public, the private individuals, the fans, the one in love with Motown, the professionals (including and especially people from the media world) to question the authors of such a fraud.
The Motowniens
Contact/comments: respectpourmotown@yahoo.fr |
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