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L'opposant Ni John Fru Ndi entendu par la justice camerounaise |
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John Fru Ndi
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infostogo.de |
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Le leader du Front social démocrate (SDF), principal parti d'opposition au Cameroun, Ni Jonh Fru Ndi, a été entendu mardi par le Tribunal de grande instance du Mfoundi, à Yaoundé, sur l'affaire Grégoire Diboulé, du nom d'un militant de cette formation, assassiné par ses camarades, le 26 mai dernier, dans la capitale camerounaise.
A la sortie de cette audition, Ni Jonh Fru Ndi a déclaré à la presse qu'il n'a pas été inculpé et qu'il a été entendu sur la crise qui secoue son parti depuis le début de cette année.
Une vingtaine de personnes ont déjà été entendues sur cette affaire et certaines, dont un colonel à la retraite, ont été déférées à la prison centrale de Yaoundé en juillet dernier.
On rappelle que la crise qui secoue le SDF a abouti à la scission de ce parti en deux ailes, l'une dirigée Ni Jonh Fru Ndi et l'autre par Bernard Acho Muna, élus lors de deux congrès ordinaires parallèles tenus, respectivement, à Bamenda et à Yaoundé, le 26 mai dernier. |
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Fru Ndi offre de vacciner les prisonniers contre la méningite |

Le président du Social democratic Front (SDF, opposition) Ni John Fru Ndi, proposé, mercredi, les services de la Fondation Rose Fru Ndide (du nom de sa défunte épouse), pour faire vacciner tous les pensionnaires des prisons de Douala et Yaoundé, où sévit une épidémie de méningite.
L'opposant camerounais a fait cette proposition quelques jours après le décès, le week-end dernier, des suites d'une méningite aiguë, d'un des militants du SDF incarcérés à la prison centrale de Yaoundé, tandis que cinq autres auraient contracté la maladie et manqueraient de soins dans ce pénitencier.
John Fru Ndi, qui s'adressait à la presse, après avoir été entendu, mardi, par le Tribunal de grande instance de Yaoundé et inculpé pour complicité de meurtre, a déploré la détention illégale et sans jugement de ces militants de son parti, présumés coupables de l'assassinat, le 26 mai dernier, de Grégroire Diboulé.
Ce dernier, rappelle-t-on, avait été tué dans des échauffourés entre partisans des deux factions qui se disputaient alors le contrôle du SDF.
Le président du SDF reproche au gouvernement, notamment au ministère de l'Administration territoriale, d'être à l'origine de la crise qui secoue le SDF et qui avait conduit à l'assassinat de Grégroire Diboulé, pour avoir toléré l'existence de la faction dirigée par Bernard Muna, malgré sa dissolution par le Comité exécutif du parti.
C'est encouragée par les actes du gouvernement qui continue de travailler avec elle que la faction Muna a engagé cette dissidence qui a conduit aux évènements malheureux du 26 mai dernier et met aujourd'hui à mal le parti, a expliqué le leader du SDF. |
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