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Le haoussa et du swahili introduits dans l'enseignement en Libye |
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Mouhammar Kadhafi
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esmas.com |
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Les écoliers libyens auront, à compter de la rentrée prochaine qui débutera à la mi-septembre, le choix de l'apprentissage du français, de l'allemand ou de deux langues africaines, le swahili et le haoussa, comme troisième langue, après l'arabe et l'anglais, selon un mémorandum relatif aux modifications introduites dans l'enseignement au niveau des cycles primaire et secondaire au titre de l'année académique 2006-2007.
Ce document, présenté par le secrétariat du comité populaire général (ministère) libyen de l'Enseignement au cours d'une réunion extraordinaire tenue mardi à l'Université Omar Mokhtar à Beidha, dans le nord-est de la Libye, fait également l'état des lieux en ce qui concerne les moyens relatifs aux programmes et manuels scolaires, aux instituteurs, au matériel didactique et aux bâtiments scolaires.
Il fait ainsi apparaître que le nombre total d'enseignants dans les cycles d'enseignement de base et moyen a atteint 303.146 dont 62.528 instituteurs et 240.618 institutrices.
Le document mentionne aussi plusieurs retouches dont, notamment, la réduction des heures de cours dans le cycle secondaire de 40 à 35 heures, la réduction du temps consacré à certaines matières au même cycle ainsi que l'allègement de certaines matières de manière à accompagner les changements intervenus dans la structure de l'organisation de l'enseignement secondaire.
Les nouveautés concernent également les études juridiques, les sciences politiques et la culture artistique dans la filière des sciences sociales.
Le plan a adopté le vendredi et le samedi comme journées du repos hebdomadaire consacrant les 5 jours restant de la semaine aux études avec une augmentation du nombre des jours d'études au cours de l'année scolaire pour atteindre 200 jours. |
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Le Gabon à l'école du Maroc en matière de privatisation |
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Alexandre Barro Chambrier
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Le ministre gabonais chargé de l'Economie, des Finances, du Budget et de la Privatisation, Alexandre Barro Chambrier, a exprimé vendredi à Rabat, la volonté de son pays de bénéficier de l'expérience du Maroc en matière de privatisation, notamment dans le secteur des télécommunications.
Le processus de privatisation de Gabon Télécom fait suite à la décision de l'Etat prise depuis 1997, de se désengager progressivement des secteurs productifs.
En 2002, l'ancien Office des Postes et Télécommunications (OPT) avait été scindé en deux entités, Gabon Poste et Gabon Télécom.
Dans une déclaration à la presse, à l'issue des entretiens avec le ministre marocain chargé des Affaires économiques et générales, Rachid Talbi Alami, le responsable gabonais a souligné l'intérêt qu'accorde son pays à l'expérience accumulée par le royaume alaouite dans le domaine des privatisations.
Il a indiqué que sa visite à Rabat s'inscrit dans le cadre des relations traditionnelles entre le Maroc le Gabon et auxquelles veillent les dirigeants des deux pays, le roi Mohammed VI et le président Omar Bongo Ondimba.
Le responsable gabonais a affirmé avoir également évoqué avec le ministre marocain des questions d'intérêt commun s'inscrivant dans le cadre du renforcement des relations économiques bilatérales, notamment dans le domaine de l'aviation.
Parmi les grands projets de coopération entre le Maroc et le Gabon figure la création d'Air Gabon international, fruit d'un partenariat entre Air Gabon et Royal Air Maroc (RAM).
La RAM détient 51% du capital de la compagnie aérienne contre 49% pour l'Etat gabonais. |
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