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MUSÉE DAPPER
Le premier espace, en France, consacré aux arts anciens et contemporains de
l¹Afrique,
des Caraïbes et de leurs diasporas
Parmi les pays d¹Afrique équatoriale, le Gabon constitue l¹un des centres
les plus importants où s¹est développé l¹art de la sculpture. En effet, la
plupart des peuples du bassin de l¹Ogooué ont transmis à travers les objets
leurs croyances et leurs préoccupations.
Le culte des ancêtres, qui requiert la conservation de crânes et d¹ossements
ayant appartenu aux grands défunts du lignage - fondateur, chef, guerrier ou
chasseur émérite, grand officiant -, a suscité la création de figures de
reliquaire, dont les plus remarquables sont celles des Fang et des Kota.
Les masques aux styles foisonnants jouaient autrefois un rôle essentiel dans
les cérémonies de commémoration et dans les réjouissances populaires.
Les mêmes codes, traitement naturaliste ou stylisation des formes, sont
suivis par les sculpteurs pour réaliser des accessoires cultuels, dont les
harpes et les cloches, dotés d¹un visage humain, et des objets tels les
cuillers.
À travers une centaine de sculptures exceptionnelles, dont certaines
constituent des ¦uvres uniques, cette exposition présentera les styles les
plus importants des arts du Gabon.
Un espace réservé à l¹art contemporain fera découvrir le travail de Myriam
Mihindou. D¹origine gabonaise, parcourant le monde, cette plasticienne
construit grâce à ses créations photographiques et ses sculptures en savon,
une esthétique libre.
Tél. : 01 45 00 91 75
Tous les jours de 11 h à 19 h, sauf le mardi
Entrée : 6 euros
Demi-tarif : seniors, étudiants, demandeurs d¹emploi
Entrée libre : Les Amis du musée Dapper, les moins de 18 ans et le dernier
mercredi du mois.
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La Région Martinique,
le Tam Théâtre
et le Cmac scène nationale de martinique
présentent
Du 12 Septembre au 8 Octobre 2006
au théâtre de <>
à la Cartoucherie de Vincennes
<>
de Racine
dans une mise en scène de
Philippe Adrien,
l'un des plus grands metteurs en scène français
Comme toujours avec Philippe Adrien, c'est d'abord l'interprétation des comédiens qui est en charge de l'histoire. Le décor, les costumes et la mise en scène viennent soutenir, les épauler pour transporter l'imaginaire du spectateur. Nul besoin ici de figurer un palais antique, ces colonnades et ses statues grecques, les protagonistes sont les colonnes du royaume, les cariatides du palais.
Dans cette Phèdre, la langue classique loin d'être figée et hiératique, telle que l'on a souvent eu coutume de la voir interprétée, est au contraire une langue vivante. Les comédiens y insufflent les passions, les émotions, la fièvre, les doutes des personnages. L'alexandrin, ver de douze pieds, n'est pas un handicap, il permet de décoller du réalisme et d'entrer dans l'histoire comme dans un conte fantastique.
Un conte qui met en scène des hommes et des Dieux, des héros et des victimes. Certains sont les spectateurs impuissants de la tragédie, d'autres sont au cour du cauchemar.
« Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue, un trouble s'éleva dans mon âme éperdue, mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler, je sentis tout mon corps et transir et brûler » Phèdre - Acte I, scène 3
Art & Son Communication
Tél/Fax : 01 48 32 63 77
Evelyne Marlin : 06 12 67 83 63
Karine Lagrenade : 06 09 08 95 89
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