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Le FMI s'engage à recruter plus de cadres africains |
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Jean-Felix Mamalepot
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izf.net |
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Le directeur général du Fonds monétaire international (FMI)Rodrigo de Rato s'est engagé à recruter plus de cadres africains, souhaitant faire passer leur nombre dans les effectifs de son institution de 6% actuellementà 8%, a révélé à Paris un haut responsable bancaire africain, Jean-Félix Mamalepot.
"Les réalités économiques ont changé ces dernières années. Et la gouvernance économique mondiale ne peut plus se faire comme avant. Le directeur général du FMI a décidé de prendre en compte cette donne en recrutant plus de cadres africains",a affirmé M. Mamalepot qui est gouverneur de la Banque centrale des Etats d'Afrique centrale (BCEAC).
S'exprimant lors d'une rencontre avec la presse, il a exhorté les Etats africains à poursuivre le combat pour obtenir davantage de voix dans les instances de décision du FMI.
"Le groupe africain est le second en importance au sein du FMI avec 24 administrateurs. Il nous faut maintenant obtenir des avancées sur le plan du vote dans les instances de décision. Ce combat là n'est pas gagné d'avance même si des progrès sont possibles", a estimé le gouverneur de la BECAC.
La France a apporté, par la voix du gouverneur de la Banque de France, son soutien aux revendications d'une meilleure représentation de l'Afrique dans les instances de décision du FMI.
"Paris considère comme légitime la volonté des Etats africains de mieux participer aux prises de décisions au sein du FMI. Nous espérons que nos autres partenaires le comprendront", a déclaré Christian Noyer, gouverneur de la Banque de France.
La réforme du droit de vote et la répartition des voix au sein du Conseil d'administration du FMI sont deux des points les plus attendus des prochaines assemblées annuelles des institutions financières internationales prévues du 16 au 17 septembre à Singapour. |
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Des proches du président Gbagbo menacés de sanction par l'ONU |

L'ancien Premier ministre ivoirien, Pascal Affi N'Guessan et le président de l'Assemblée nationale, Mamadou Koulibaly, deux proches du président ivoirien Laurent Gbagbo, pourraient être sanctionnés dans les prochains jours par les Nations unies, rapporte jeudi la presse française.
Un projet de résolution prévoyant une interdiction de voyager et le gel des avoirs à l'étranger de MM. Affi N'Guessan et Mamadou Koulibaly est actuellement soumis pour avis aux quinze membres du Conseil de sécurité, selon la même source qui précise que le texte est parrainé notamment par la France.
Les deux responsables ivoiriens, qui pourraient se voir appliquer les sanctions onusiennes dès lundi prochain, sont accusés par les promoteurs du projet de résolution d'avoir "fait obstacle à l'action du Groupe de travail international et à la mise en oeuvre du processus de paix".
Les Nations unies avaient déjà sanctionné, en février dernier, Charles Blé Goudé et Eugène Djué, deux autres proches du président Gbagbo, ainsi que Martin Kouakou Fofié, un commandant des Forces nouvelles, l'ex-rébellion ivoirienne.
Les nouvelles menaces de sanctions onusiennes sont brandies à quelques semaines de l'échéance du 31 octobre qui marque la fin de la transition ivoirienne, sans que les élections générales, prévues à cette échéance, aient pu être organisées. |
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