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Revalorisation des pensions de retraite au Mali |

Bamako, Mali PANA) - Les pensions de retraite et des rentes d'accident du travail servies par l'Institut national de prévoyance sociale (INPS), viennent d'être revalorisées au Mali, a appris la PANA vendredi de source officielle.
Selon l'INPS, les pensions de retraite ont été revalisées dans une proportion variant de 15 pour cent à 2,15 pour cent selon les montants des pensions, étant entendu que les plus fortes augmentations s'appliquent aux pensions les plus faibles.
Pour la rente d'accident du travail, le taux de revalorisation est de 10 pour cent pour les rentes liquidées avant le 1er janvier 1996 et de 5 pour cent pour les rentes liquidées après cette date.
Ces mesures, qui prennent effet à compter du 1er octobre 2006, engendrent pour l'INPS une incidence financière de 1,388 milliard de FCFA.
Dans le cadre de la mise en oeuvre de la politique de solidarité et de lutte contre la pauvreté, le gouvernement et les organes d'administration et de gestion de l'INPS ont accordé une attention particulière à la situation des retraités et des personnes victimes d'accidents du travail.
C'est ainsi que les pensions de retraite servies par l'INPS avaient été revalorisées en 2001 avec des taux de majorations compris entre 0,5 pour cent et 7 pour cent. En 2004, l'institut avait procédé à une nouvelle augmentation des pensions minimales qui sont passées de 16.158 FCFA à 44.397 FCFA par trimestre.
Cependant, malgré ces revalorisations, la majeure partie des retraités de l'INPS touche encore des pensions en dessous du seuil de pauvreté. Cela explique la décision de procéder à un relèvement du niveau des pensions et de la rente d'a ccident du travail. |
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Levée de l'immunité de deux députés camerounais |

Le Parlement du Cameroun a levé jeudi l'immunité de deux députés du Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC, au pouvoir), Edouard Etonde Ekoto et André Booto à Ngon, suite à une requête du ministre de la Justice, Amadou Ali, pour qu'ils soient entendus par la justice dans une affaire de corruption et de détournement de deniers publics.
Colonel à la retraite, Edouard Etonde Ekoto, aura à justifier une dépense estimée à plus d'un milliard de francs CFA alors qu'il dirigeait le Conseil d'administration du Port autonome de Douala (PAD).
Il a été limogé, par le président Paul Biya, de son poste de délégué du gouvernement auprès de la communauté urbaine de Douala après avoir perdu la présidence des conseils d'administration du PAD et de la Société immobilière du Cameroun (SIC).
Pour sa part, André Booto à Ngon, ancien ministre des Finances et directeur général des Impôts, s'expliquera sur une dépense de plus de sept milliards de francs CFA effectuée au Crédit foncier du Cameroun (CFC).
Il y a quelques semaines, le Parlement camerounais avait levé l'immunité parlementaire d'un député de la province du Nord-Ouest, Doh Ngwayim III, impliqué dans l'assassinat d'un militant du Front social démocrate (SDF), le principal parti de l'opposition. |
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