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Libération de l'ancien ministre béninois des Finances et de l'Economie |

L'ancien ministre béninois des Finances et de l'Economie, Cosme Sehlin, a été libéré vendredi soir après avoir versé une caution de 10 millions de FCFA, a-t-on appris à Cotonou de source judiciaire.
Il avait été arrêté et placé en détention provisoire en juillet pour son implication présumée dans une affaire de "détention de devises et de tentative de trafic de stupéfiant".
"L'instruction suit son cours et toute la vérité sera révélée au moment opportun", a déclaré à la PANA son avocat, Me Prosper Hounnou.
Lors de l'interpellation de l'ancien ministre, la brigade économique et financière avait saisi à son domicile plus de 200.000.000 FCFA en devises, deux bidons contenant une substance assimilée à de la drogue et des documents compromettants.
M. Sehlin a été ministre des Finances et de l'Economie du Bénin de février 2005 à avril 2006. |
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Le directeur de cabinet de Kabila dénonce son agression à Londres |
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Joseph Kabila
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http://www.un.int/ |
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Le directeur de cabinet du président de la RD Congo, Leonard She Otitundu, a fermement dénoncé vendredi à Bruxelles, en Belgique, l'agression dont il a été victime mercredi à Londres, en Angleterre.
S'exprimant au cours d'une conférence de presse, il a fait le récit de cette agression commise par "au moins 20 jeunes congolais" qui portaient des pancartes à l'effigie de Jean-Pierre Bemba, vice-président de la RD Congo et candidat au second tour de la présidentielle contre le président sortant, Joseph Kabila.
Il a déclaré qu'après l'avoir battu à coups de barre de fer, ses agresseurs l'ont mis complètement nu avant de l'abandonner sur le trottoir devant le studio d'une radio locale animée par des Congolais.
La police anglaise est intervenue près d'une heure après les faits alors que les agresseurs s'étaient éparpillés.
M. Okitundi a affirmé avoir engagé, avec le concours des responsables du ministère britannique des Affaires étrangères, une procédure pour déposer une plainte contre ses agresseurs.
"Il ne s'agit plus d'un terrorisme rampant, mais de véritables actes de terrorisme perpétrés par des individus commandités de Kinshasa (la capitale de la RD Congo)", a-t-il dit. |
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