 |
|
 |
|
 |
 |
 |
 |
 |
|
 |
 |
Des combattants pro-Ouattara, le 28 mars 2011 à l'ouest de la Côte d'Ivoire.
|
 |
 |
|
 |
|
 |
|
 |
 |
|
|

Les soldats de forces nouvelles (Ex-Rébellion), favorables à Alassane Ouattara semblent être proches de la capitale politique ivoirienne Yamoussoukro.
Aux dires de certains habitants, relayés par des médias occidentaux, des tirs à l’arme lourde auraient été entendus par les résidents de la ville de Tiébissou dans la nuit de mardi à mercredi.
Des tirs provenant des affrontements entre les "Forces républicaines de Côte d’Ivoire" (FRCI) et l’armée fidèle à Laurent Gbagbo à quelques encablures de la ville stratégique de Tiébissou, jusque là tenue, par les Forces de défense et de sécurité nationales ivoiriennes et située entre Bouaké et la capitale Yamoussoukro.
La ville de Bouaké est le fief des soldats de l'Ex-rébellion des Forces nouvelles (FN), proche d’Alassane Dramane Ouattara. Les soldats du FNCI composent le principal de son armée. Le camp du président Gbagbo a appelé hier soir à un "cessez-le-feu immédiat".
Mais, confronté à la progression des forces de l’ancienne rébellion, le régime du président Gbagbo va enrôler de nouvelles recrues à partir de ce mercredi, selon un communiqué officiel diffusé sur la télévision d'Etat ivoirienne RTI mardi soir.
Le général Philippe Mangou, chef d'état-major des forces armées nationales, fidèles à Laurent Gbagbo, a affirmé que "Le moment d`enrôlement effectif est arrivé". Il a appelé les milliers de jeunes qui ont répondus à l’appel de Charles Blé Goudé " à "garder leur calme", les assurant qu’ils "seront tous appelés".
|