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Laurent et Simone Gbagbo
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reuters |
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Selon William Fitzgerald, un officiel américain en charge des affaires ouest-africaines, Hillary Clinton a autorisé des premières sanctions contre une trentaine de personnes proches de Laurent Gbagbo ce mardi.
Ces premières sanctions consistent en une interdiction de voyage sur le territoire américain et en une interdiction de visas. Les noms des concernés ne peut être dévoilé selon la loi américaine. Il n'est donc pas possible de savoir pour l'instant si Laurent Gbagbo lui même est concerné ou non.
D'autres sanctions "ciblées" comme des gels d'avoir pourraient suivre avait précisé lundi Williams Fitzgerald. Il a aussi fait savoir que des membres des familles des personnes visées par les sanctions pourraient également être concernés.
Lundi, c'est l'Union Européenne qui avait annoncé une interdiction de visa et de séjour touchant Laurent Gbagbo, ses deux épouses, et seize autres personnes.
La pression internationale s'accentue toujours sur Laurent Gbagbo, suite au second tour de l'élection du 28 novembre dernier à la suite duquel la CEDEAO, l'Union Africaine, le conseil de sécurité de l'ONU se sont prononcés contre lui. Toutes les médiations africaines entreprises pour l'instant n'ont donné aucun résultat. |