Selon les données du ministère de la Santé rapportée par Libération, si «les rapports hétérosexuels représentent en 2003-2004 le principal mode de contamination parmi les découvertes de séropositivité VIH (56 %)», les personnes d'Afrique subsaharienne représentent à elles seules la moitié des découvertes de séropositivité. Un taux impressionnant qui confirme une épidémie chez les migrants, réelle, solide. Et surtout qui prend de l'ampleur, en particulier chez les femmes.
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