Le diable est parfois dans les détails. Et ce qui était apparu comme une offre généreuse des pays riches envers quelques pays pauvres triés sur le volet est vite devenu une pingrerie du G7. On se souvient alors que les ministres des Finances du G7 qui avaient décidé, le 11 juin à Londres, d'annuler la totalité de la dette due par certains pays pauvres au FMI, à la Banque mondiale et à la Banque africaine de développement

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