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Arche de Zoé : Les pilotes d'Air France menacent le Tchad |
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http://digilander.libero.it |
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Le syndicat de pilotes SNLP Air France menacent de boycotter le Tchad dans huit jours si on ne libère pas leurs collègues arrêtés dans l'affaire de l'"Arche de Zoé" dont les organisateurs ont tenté d'emmener en France 103 enfants âgés d'un à huit ans.
"Le syndicat des pilotes SNLP Air France menace de demander "à tous les équipages" de la compagnie aérienne de boycotter les aéroports tchadiens "si leurs collègues espagnols n'étaient pas rapatriés dans les huit jours", dans l'affaire de l'Arche de Zoé", dans un communiqué rendu public mardi.
Le 25 octobre dernier, 16 Français et Espagnols et des membres de l'association "Arche de Zoé" représentée au Tchad par l'ONG "Children Rescue" ont été arrêtés par les autorités tchadiennes à Abéché à l'est du Tchad puis transférés dans la capitale N'Djaména.
Les détenus s'apprêtaient à affréter un avion pour transporter en France, 103 enfants présentés comme des orphelins du Darfour.
Après la libération lundi des trois journalistes français et des quatre hôtesses de l'air espagnoles rentrés en France et en Espagne, il reste six membres de l'association "Arche de Zoé", deux pilotes et un steward de l'avion espagnol, un ex-pilote de ligne belge et quatre Tchadiens.
Pour le syndicat, "le gouvernement tchadien a décidé d'emprisonner des pilotes de ligne au seul motif que les passagers qu'ils devaient convoyer auraient été enlevés illégalement". "Les pilotes de ligne français sont inquiets pour la sécurité des équipages reliant le Tchad. Force est de constater que tout équipage peut donc être arrêté en territoire tchadien sous un motif qui n'est pas de sa compétence", a déploré le syndicat. |
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L'élection du lauréat du prix Houphouët-Boigny reportée à mars 2008 |
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Henry Kissinger
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harrywalker.com |
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L'élection du lauréat du Prix Houphouët-Boigny pour la paix, initialement prévue ce mardi à Paris, a été reportée en mars 2008, a annoncé à Paris le président du jury, l'ancien secrétaire d'Etat américain, Henri Kissinger.
«Nous avons convenu de nous retrouver en mars prochain pour poursuivre notre travail. La proclamation du nom du lauréat n'aura pas lieu aujourd'hui», a-t-il dit dans une brève déclaration à la presse. Réunis toute la matinée de ce mardi au siège de l'UNESCO, les membres du jury n'ont pas réussi à désigner un lauréat, indique une source digne de foi.
«Ce n'est pas une surprise. C'est même la preuve que notre jury prend le temps d'examiner toutes les candidatures. Vous comprenez que des personnalités de la stature de M. Kissinger refusent de prendre une décision dans la précipitation», a déclaré à la PANA, le secrétaire exécutif du prix, Alioune Traoré.
Il a affirmé que ce report n'aura aucune incidence sur la crédibilité du prix qui porte le nom du premier président de la Côte d'Ivoire.
«C'est la troisième fois que nous nous trouvons dans un tel cas de figure. Ce délai supplémentaire que s'est donné le jury conforte la stature du futur lauréat. Ce sera la preuve de la justesse du choix qui sera porté sur sa personne», a estimé M. Traoré.
Doté d'une enveloppe de 122.000 euros, d'une médaille d'or et d'un diplôme de l'UNESCO, le prix Houphouët-Boigny a été institué en 1991 pour «honorer les personnes et les organisations qui oeuvrent pour préserver, renforcer et sauvegarder la paix dans le monde».
Le dernier prix a été attribué en 2005 au président sénégalais, Abdoulaye Wade. |
Jean-Pierre Bemba en "visite privée" en Belgique |

Le sénateur congolais Jean-Pierre Bemba, leader du Mouvement de libération du Congo (MLC, opposition) et candidat malheureux à l'élection présidentielle congolaise de 2006, effectue un séjour "à titre privé" en Belgique, a annoncé l'agence de presse officielle belge, Belga.
M. Bemba, arrivé au Portugal depuis le mois d'avril pour "des raisons médicales", a sollicité une rencontre avec le ministre belge des Affaires étrangères, Karel de Gucht. Le leader du MLC a également demandé des audiences à des responsables européens.
Selon Belga, l'opposant congolais va demander aux autorités belges de faire pression sur le président Joseph Kabila afin qu'il autorise son retour à Kinshasa.
Le leader de l'opposition parlementaire congolaise, avait quitté son pays, en avril dernier au lendemain des affrontements, à l'arme lourde, qui avaient opposés sa garde rapprochée à celle du président Joseph Kabila, faisant quelques 600 morts, selon les chancelleries occidentales en RD Congo.
Officiellement, M. Bemba était autorisé à sortir du pays pour suivre des soins au Portugal.
Bien qu'il ait sollicité, à plusieurs reprises, de rentrer en République Démocratique du Congo, le président Kabila n'a pas encore donné son accord pour son retour.
Après les violents affrontement de Kinshasa les 21 et 22 mars dernier, M. Bemba avait été accusé de haute trahison, et la justice congolaise a lancé un mandat d'arrêt à son encontre. |
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