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Les indices africains |
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indices |
Cotation 05/10/2003 |
Cotation 28/09/2003 |
Cotation au 31/12/2002 |
Performance sur la période |
performance depuis le début de l'année |
| Afrique du Sud |
JSE All share |
9106,8 |
9105,5 |
9277,22 |
0,01% |
-1,84% |
| Bostwana |
ACI All share |
637,25 |
636,75 |
541,28 |
0,08% |
17,73% |
| Cote d'ivoire |
indice BVRM |
67 |
66,9 |
74,24 |
0,15% |
-9,75% |
| Ghana |
GSE All Share |
2646,1 |
2625,8 |
1395,31 |
0,77% |
89,64% |
| Kenya |
NSE 20 |
2398,2 |
2328,1 |
1362,85 |
3,01% |
75,97% |
| malawi |
MSE All Share |
472,48 |
472,51 |
458,77 |
-0,01% |
2,99% |
| Maurice |
SEMDEX |
498,5 |
492,1 |
399,26 |
1,30% |
24,86% |
| namibie |
NSX Overall Index |
312,47 |
310,27 |
305 |
0,71% |
2,45% |
| Nigeria |
All share |
16623,1 |
16116,7 |
12137,72 |
3,14% |
36,95% |
| ouganda |
USE Composite* |
275,44 |
275,44 |
95,69 |
0,00% |
187,85% |
| Swaziland |
Swazi All share |
155,3 |
155,3 |
178,19 |
0,00% |
-12,85% |
| Tanzanie |
Composite* |
152 |
150,6 |
151,85 |
0,93% |
0,10% |
| Zambie |
LUSE Index |
378,3 |
380,9 |
334,75 |
-0,68% |
13,01% |
| Zimbabwe |
ZSE Industrial |
625009,6 |
651198,8 |
103495,1 |
-4,02% |
503,90% |
| source : www.grioo.com |
| * indices liquidafrica en l'absence d'indices officiels |
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Actualités économiques |
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Le ZSE, ou Zimbabwe Stock Exchange
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liquidafrica.com |
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 Les places financières zimbabwéennes et Nigérianes ont été les plus actives cette semaine. Si la bourse d’Harare continue de consolider (-4,02%) après une progression régulière et accentuée lors du premier semestre, celle de Lagos a enregistré le plus fort rebond de la semaine (+3,14%). Deux secteurs ont dicté la tendance au Nigeria : Les banques, qui bénéficient des mouvements de restructuration en cours (Manny bank a ainsi par exemple vu près de 200 millions de ses titres échangés lors des deux dernières séances !) et les sociétés pétrolières et parapétrolières comme Conoil, Unipetrol qui bénéficient des nouvelles mesures de dérégulation du secteur décidées par le gouvernement ces derniers jours.
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Le Johannesbourg Stock Exchange
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borsagratis.com |
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Selon le CEO (le PDG) du Johannesbourg Stock Exchange (JSE), Russell Loubser, la bourse sud Africaine prévoit de supprimer près de 10% de ses effectifs (soit une trentaine de personnes) afin de faire face à la chute des investissements dans les marchés financiers. Le nombre d’entreprises cotées sur la place sud-africaine a ainsi chuté de 660 à 450 en l’espace de deux ans. Par ailleurs, le dirigeant sud-africain a confirmé les négociations en cours, en vue de créer une place boursière panafricaine en 2004 réunissant le Ghana, l’Afrique du Sud, la Namibie, le Zimbabwé et la zambie. Enfin, AltX, le marché alternatif dédié aux petites et moyennes entreprises démarrera bien le 27 Octobre selon M. Loubser avec ou sans entreprise cotée.
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La BEAC, Banque des Etats d'Afrique Centrale
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beac.int |
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La banque des états de l’Afrique centrale (BEAC) a annoncé cette semaine dans un communiqué que la bourse régionale des valeurs d’Afrique centrale (BVMAC) entrerait en activité au deuxième trimestre 2004.
Dans le même communiqué, la banque a annoncé la nomination de M. Alexandre GANDOU de nationalité congolaise au poste de président de la COSUMAF, et de Etienne DJIMARIM, centrafricain, aux fonctions de Secrétaire Général.
Pour mémoire, la COSUMAF est l’organisme qui assure la tutelle, le contrôle et la surveillance du marché financier du Marché Financier Régional.
La BVMAC elle, est dotée d’un budget de 1,779 milliards de FCFA.
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Quelques semaines après le Sénégal noté par l’agence de notation Standard & Poor’s, le Cameroun aurait été noté « B » par l’agence Fitch selon la revue Africa Intelligence.
Dans un rapport de treize pages, l'agence Fitch évalue le "risque camerounais" pour les investisseurs étrangers. Sur le plan économique, l'analyse de Fitch est plutôt positive : "L'économie du Cameroun est relativement diversifiée par rapport à celles des autres pays de la région. Le secteur pétrolier est en déclin continu depuis plusieurs années et les réserves actuelles sont estimées à dix ans. Le pétrole représente aujourd'hui environ 5% du PIB contre 20% dans les années 1980. Cependant, il constitue encore une part importante des échanges avec 30% des revenus d'exportation et 20% des recettes budgétaires. Malgré ce déclin, la croissance économique est demeurée élevée dans son ensemble. Ceci est dû au poids relativement faible des exportations dans l'économie camerounaise (20% du PIB) mais également aux efforts importants destinés à diversifier l'économie".
En revanche, la corruption demeure "un problème important au Cameroun malgré les efforts entrepris ces dernières années". Selon l'indice de perception de la corruption publié par Transparency International, le Cameroun se situe en 2003 à la 89e place sur 102 pays, ce qui le place au même niveau que l'Azerbaïdjan, la Moldavie, l'Indonésie ou encore l'Equateur. Par ailleurs, le secteur public connaît de sérieux problèmes de gouvernance. Aussi, les fonds prévus dans le cadre du PPTE (allégement de la dette) restent pour l'instant bloqués sur un compte à la Banque centrale.
Enfin last but not least, "le Cameroun n'est pas à l'abri de difficultés politiques" estime Fitch. "C'est un pays très pauvre et les disparités de revenu entre régions sont importantes. Les relations politiques avec le nord-ouest et le sud-ouest anglophone sont tendues. En outre, le système politique est très centralisé et la succession du président Biya n'est apparemment pas préparée. Aussi le risque d'une lutte de pouvoir lors de cette succession n'est-il pas négligeable".
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Robert Mugabe le président zimbabwéen
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La Banque centrale du Zimbabwe a annoncé, jeudi, avoir injecté 96 milliards de dollars zimbabwéens dans l'économie nationale afin d'atténuer la crise financière que le pays vit depuis cinq mois et qui a failli susciter des émeutes dans le pays. (824 dollars zimbabwéens = 1 dollar US) Selon le porte-parole de la Banque d'émission nationale, Kennedy Manjengwa, cette somme, qui équivaut à environ la moitié de la masse monétaire en circulation, a été injectée dans le système financier au cours des neuf derniers jours.
Des décideurs politiques, des hommes d'affaires et des cadres africains ont pris part ce vendredi, au Sénat français à Paris, à un colloque intitulé 'Ensemble, dynamisons le secteur privé en Afrique',. Parmi les intervenants, on attendait la présence de Roger Melingui, ministre camerounais du budget, Mahamadou Sacko, ancien ministre du Niger, président de Afrique SA, et des personnalités politiques françaises comme Michel Roussin, Jacques Pelletier.
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Le président mozambicain, Joaquim Chissano, a annoncé mercredi que le Japon a accepté d'octroyer 25 millions de dollars américains au Mozambique pour la construction d'un nouveau pont sur le fleuve Zambèze
Le premier Salon international de l'automobile de Cotonou (SIAC), visant à promouvoir la vente de véhicules neufs au Bénin et en Afrique, se déroulera du 12 au 16 novembre prochain dans la capitale économique béninoise.
Vodacom/Congo, en un peu moins de deux ans, a déjà déployé au bout de 17 mois d'exploitation, son réseau dans 47 villes et cités de la R.D.C et compte actuellement 450.000 abonnés actifs, selon une information communiquée par son Directeur général adjoint, Gilbert Nkuli.
La compagnie tunisienne Tunisair lancera à partir de 2 décembre prochain une liaison hebdomadaire vers Abidjan, la capitale économique de la Côte d'Ivoire, a-t-on appris mercredi à Tunis de source officielle. Cette desserte est sans doute favorisée par la double implantation de la BAD (Banque Africaine de développement) entre les deux pays.
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Patrick Motsepe
©
empowerment.co.za |
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Harmony Gold Mining Ltd, la compagnie minière sud-africaine dont nous avions présenté il y a quelques semaines, l’opération de fusion avec ARMGold de Patrice Motsepe, a annoncé cette semaine une recomposition de son conseil d’administration à la suite de cette opération.
Patrice Motsepe remplacera Adam Fleming démissionnaire, comme président du directoire. Dans le même temps, plusieurs personnalités issues de ARM Gold rejoignent le conseil d’administration du nouveau groupe.
La cérémonie officielle marquant le début de l'exploitation du pétrole tchadien se déroulera le 10 octobre prochain selon le comité d’organisation. Plus de 600 invités de marque et huit chefs d'Etat sont attendus pour la circonstance à Komé (sud du pays), au coeur du bassin pétrolier de Doba. A noter que, le pays est devenu officiellement exportateur de pétrole puisque le premier tanker pétrolier chargé, a quitté cette semaine le port de kribi au Cameroun pour une livraison.
600 travailleurs de la Régie des chemins de fer du Mali (RCFM) ont été licenciés en fin de semaine dernière dans le cadre du processus de libéralisation du réseau ferroviaire Bamako-Dakar.
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TV Africa
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ecalo-cism.org |
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TV AFRICA, une chaîne hertzienne africaine basée en Afrique du Sud et qui diffusait ses programmes à destination d’une quarantaine de pays africains, a interrompu ses programmes cette semaine.
Africa Media Group, les actionnaires majoritaires de cette chaîne ont jeté l’éponge après que l’endettement net de la société ait atteint 23 millions de rands, un niveau bien supérieur de l’estimation de ses actifs (16 millions de rands). Une grande partie de cette dette est due aux fournisseurs de satellite.
TV Africa prétendait représenter un potentiel d’audience de 250 millions de personnes à travers le continent et une couverture actuelle de près de 100 millions de personnes. Seulement, selon un spécialiste, ce chiffre représente le nombre de personnes qui regardent la télévision en Afrique et non le nombre d’écrans de télévisions bien inférieurs, environ 1/6.
Selon Charlotte Mattheuws, cette spécialiste du quotidien sud-Africain Business Day, la société aurait fait quelques erreurs fondamentales :
« L’un des problèmes était leur association avec des petits diffuseurs locaux dans plusieurs pays. Or sur le continent africain, les chaînes locales sont encore majoritairement des chaînes étatiques contrôlées par les gouvernements ». En plus, plusieurs personnes estimaient que les programmes de la chaîne étaient en déphasage avec les goûts de la cible, ce qui rendait difficile d’attirer des revenus publicitaires suffisant de la part des annonceurs. Par exemple, les vieux films hollywoodiens étaient rejetés par ce public friand de nouveautés.
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