 |
|
 |
|
 |
 |
 |
 |
 |
|
 |
 |
Kofi Annan en compagnie de Mwai Kibaki et de Raila Odinga
©
ap |
 |
 |
|
 |
|
 |
|
 |
 |
|
|

Un groupe d'experts travaillant pour le compte la Cour Pénale Internationale (CPI) a approuvé l'ouverture d'une enquête sur les massacres liés aux violences post-électorales de 2008 au Kenya, annonce un communiqué publié mercredi à Nairobi.
Ces violences avaient fait 1.300 morts et entraîné le déplacement de plus d'un demi-million de personnes, rappelle-t-on. Parmi les accusés figurent 20 hautes personnalités politiques et des hommes d'affaires. La CPI indique qu'il y avait des preuves suffisantes pour l'ouverture du procès contre un certain nombre de hauts responsables proches du président kenyan, Mwai Kibaki, et du Premier ministre, Raila Odinga, les deux principaux adversaires de la présidentielle.
 |
Parmi les accusés figurent 20 hautes personnalités politiques et des hommes d'affaires. La CPI indique qu'il y avait des preuves suffisantes pour l'ouverture du procès contre un certain nombre de hauts responsables proches du président kenyan, Mwai Kibaki, et du Premier ministre, Raila Odinga, les deux principaux adversaires de la présidentielle |
 |
|
|
«Les informations disponibles portent à croire que des crimes contre l'humanité ont été commis sur le territoire kenyan», souligne le communiqué de la CPI.
Les parlementaires kenyans sont profondément divisés sur la nécessité de créer un tribunal local pour enquêter sur les massacres de 2008 et juger les coupables. |