

Ma Solange Oussou, votre serviteur et Médina Koné pendant la cérémonie: tout n'a pas été triste
© Médina Koné
L'article a pointé un certain nombre de défaillances dans l'organisation, et en particulier l'accueil des journalistes, mais malgré tout, nous sommes plus que favorables au concept qu'ont voulu véhiculer les organisateurs. Contrairement à d'autres personnes qui ont voulu prendre le bateau un peu tard, Franck Anretar ou Djoe Dunoyer ont un historique dans notre communauté, et dans la défense de la culture afro-carribéenne qu'on ne peut pas remettre en cause, et qui retire tout soupçon de tentative de "récupération" de leur part. Mais qui aime bien châtie bien, surtout quand c'est pour avancer, et si nous devions donner à notre modeste échelle quelques conseils aux organisateurs pour les prochaines éditions:
Muscler sérieusement la partie logistique de l'organisation, notamment la gestion des partenaires et des invités les plus prestigieux
Le déroulé de la cérémonie devrait être confié à des personnes dont c'est le métier
Bien réfléchir avant de signer des partenariats prestigieux sur le papier, mais coupant les trophées d'une partie de leur base. Tout sacrifier pour (éventuellement) passer à 1h du matin sur France 2 semble être un trop grand sacrifice
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