vendredi 12 mai 2006
De l'insulte et de l'exclusion dans le débat historique
vendredi 12 mai 2006 à 13:29 :: Général
Quand on est présidente de deux associations qui portent l'une le titre "Les 3A ~ Histoire & Sociétés", l'autre "Société d'Histoire 94120 Saint-George & Dalayrac", ce n'est pas pour se cacher derrière son petit doigt et se taire. Je dois assumer.
Je suis une personne publique. C'est ainsi depuis 1968 quand j'ai participé à ma première manifestation, bien sagement — nous étions en rang quatre par quatre ! C'était notre manière de protester : se mettre quatre par quatre au lieu de deux par deux. Pas plus de quatre parce que les automobilistes de l'époque n'auraient pas compris". Mai 1968 fut un temps de négociations. C'est à cette école que j'ai été formée.
Personne publique, j'ai le devoir de mériter le respect et le droit de dénoncer quand on me manque de respect. Ce que je fais par ce billet.
C'est ce jeudi 11 mai que j'ai découvert le texte dont je livre ici copie. En me renseignant sur l'ouvrage qui était au programme de la conférence d'où je revenais : Mélangeons-nous, par Vincent Cespedes, Maren Sell, 364 p. Voici l'objet de ma stupéfaction et de mon mécontement et de ma colère.
“Ceci me rappelle une belle dame Alexis Marise Bique[1], Présidente « Les 3A ~ Hitoire & Sociétés » qui me disait que nous pourrions partager quelque chose de commun… Entre temps j´ai appris qu´elle était fort agréable à regarder… c´est un bon début. Mais je suis naturellement intéressé par l´objet de notre partage, et j´attends ses brûlantes propositions. Un de ces jours je vais la relancer, et ce sera pas pour des carottes… et si elle ne répond pas, je vais répondre pour elle, comme l´ont si souvent fait les européens en Afrique : au four et au moulin, et j´aime autant lui dire que ça va faire mal, très mal. Mais on n´en meure pas comme à l´esclavage, mais parole de nègre, cela va la faire vomir jusqu´au sang. Vaudrait mieux qu´elle réponde, c´est plus civilisé et moins cher. Forum Réalisance[2]
Comme chez tout être humain, mon cerveau est dans ma tête et non pas à mi-chemin de ma hauteur. Mon cerveau me dit que l'homme est responsable pour ces insultes indignes dans le débats intellectuel. Il appartient à l'homme de réparer. Pour lire mon analyse, cliquer