Conteur, poète, journaliste et professeur. Prix National Eugenio Espejo pour l’ensemble de son œuvre. Il est l’un des représentants les plus importants des négritudes en Équateur et plusieurs de ses nouvelles évoquent et recréent ce monde. Le critique nord américain Henry J. Richards affirmait : «Franchement, soutenir avec raison que les contributions de Estupiñán Bass au récit le place à l’avant-garde des nouvellistes hispano-américains d’aujourd’hui… L’auteur a réussi à produire une nouvelle historique en accord avec les normes établies pour ce genre, l’incarnation du héros mythique dans l’un des personnages et l’énonciation de l’idéologie révolutionnaire."

OEUVRES LITTÉRAIRES Nouvelles: Cuando los gayacanes florecían (Quito, 1954); El paraíso (Quito, 1958); El último río (Quito, 1966); Senderos brillantes (Quito, 1974); Las puertas del verano (Quito, 1978); Toque de queda (Guayaquil, 1978); Bajo el cielo nublado (Quito, 1981); Al norte de Dios (Quito, 1994). Poesía: Canto negro por la luz (Quito, 1956); Timarán y cuabú (Quito, 1956); Las huellas digitales (Quito, 1971); Las tres carabelas (Portoviejo, 1973); El desempate (1980). Essais et chroniques: Luces que titilan: guía de la vieja Esmeraldas (Esmeraldas, 1977); Viaje alrededor de la poesía negra (Quito, 1982); Desde un balcón volado (Quito, 1992); El Crepúsculo (1983); 1993 Los canarios pintaron el aire amarillo (nouvelle).

Traduit de l'Espagnol par Guy Everard Mbarga

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