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mercredi 8 mai 2013

Jean-Pierre Thystère-Tchicaya naît le 7 janvier 1936 à Pointe-Noire, de parents vili.

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Jean-Pierre Thystère-Tchicaya

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Aller à : Navigation, rechercher Jean-Pierre Thystère-Tchicaya, né le 7 janvier 1936 à Pointe-Noire, mort le 20 juin 2008 à Paris, est un homme politique de République du Congo. Il a été maire de Pointe-Noire de 1994 à 1997 et président de l'Assemblée nationale de la République du Congo de 2002 à 2007.

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1 Biographie

1.1 Famille et formation

1.2 L'enseignement

1.3 Baron du PCT (1971 – 1984)

1.4 La mise à l'écart (1984 – 1990)

1.5 L'intermède démocratique (1990 – 1997)

1.6 L'après-guerre (1997 – 2008)

2 Parcours politique

2.1 Chronologie des fonctions principales

3 Sources





  • Biographie..!

Famille et formationmodifierJean-Pierre Thystère-Tchicaya naît le 7 janvier 1936 à Pointe-Noire, de parents vili.

Il fait ses études primaires à Pointe-Noire, de 1944 à 1950.

De 1950 à 1957, il est élève au lycée Chaminade de Brazzaville, alors sous la responsabilité des Marianistes, où il obtient le baccalauréat de lettres-philosophie.

À partir de 1957, il fait des études supérieures en France, à l'École normale supérieure de Saint-Cloud et à la Sorbonne. Il y obtient un diplôme d'études supérieures d'histoire et un CAPES.

En 1961, il épouse Blanche Marie Duran, de nationalité française avec laquelle il a quatre enfants : Dominique, Jean-Marc, Patricia et Jean-Pascal.

Durant ses études supérieures, il est secrétaire général, puis président de l'Association des étudiants congolais en France (AEC).


  • L'enseignementmodifierDe retour au Congo, en 1965, il est nommé proviseur du lycée Chaminade, où il avait effectué ses études secondaires.

De 1966 à 1971, il est directeur de l'École normale supérieure de l'Afrique centrale, à Brazzaville. Il y enseigne également l'histoire


  • Baron du PCT (1971 – 1984)modifierLe 16 juillet 1968, en plein bras de fer entre le président Massamba-Débat et les officiers progressistes, conduits par le capitaine Ngouabi, il est cosignataire avec Pascal Lissouba, Henri Lopès et Jean-Édouard Sathoud, d'une lettre ouverte au Président de la république dans laquelle ils demandent la mise entre parenthèses du socialisme et l'instauration d'une démocratie nationale.

En décembre 1971, il est nommé ministre de l'Enseignement supérieur, technique et professionnel.

Au congrès du Parti congolais du travail (PCT) de décembre 1972, il fait son entrée au Comité central.

Au congrès suivant, en décembre 1974, il devient Président de la Commission de contrôle et de vérification du parti.

En décembre 1975 se tient une session extraordinaire du Comité central du PCT, convoquée par le président Ngouabi pour faire face au difficultés économiques et financières du pays et aux contradictions internes du parti. À l'issue de la session, le Bureau politique est dissout et un État Major Spécial Révolutionnaire est mis en place, pour assumer ses fonctions jusqu'à la convocation prochaine d'un congrès extraordinaire. Thystère-Tchicaya en est un des cinq membres, avec Marien Ngouabi (Président), Louis Sylvain-Goma, Denis Sassou-Nguesso et Jean-Pierre Gombe. Il est chargé de la Permanence et de l'organisation et de ce fait, devient le numéro deux du régime.

Le 18 mars 1977, la disparition du président Ngouabi fait de lui le numéro un du régime. Mais, il s'efface devant le Comité Militaire du Parti. Durant les deux années de pouvoir de Joachim Yhombi-Opango, il est en marge des affaires publiques, le Comité central du PCT ayant été dépouillé de ses pouvoirs par l'acte fondamental promulgué par le CMP.

En février 1979, allié à Sassou-Nguesso, premier vice-président du Comité militaire du parti, il contribue grandement à la chute de Yhombi-Opango et la fin du CMP. Au congrès extraordinaire du PCT de mars 1979, il est désigné membre du Bureau politique chargé de l'idéologie et de l'éducation. Garant de l'orthodoxie communiste, il redevient le numéro deux du régime.


  • La mise à l'écart (1984 – 1990)modifierFin juillet 1984, lors du congrès du PCT, il est exclu du Comité central. Le 16 août, il est mis en résidence surveillé, puis mis au secret quelques mois plus tard.

Le 3 août 1986, la cour révolutionnaire ouvre une audience consacrée au procès des auteurs des attentats à la bombe contre le Cinema "Star" en mars 1982 et l'aeroport de Maya-Maya en juillet 1982, qui avaient fait quelques morts. Il est l'un des six accusés avec, entre autres Claude-Ernest Ndalla et le colonel Blaise Nzalakanda. Après deux semaines de débats, il est déclaré coupable et condamné 5 ans d'emprisonnement avec sursis. La peine la plus lourde est prononcée contre Ndalla "Graille", condamné à mort (la sentence ne sera jamais exécutée!).

En réalité, le procès ne démontre rien et l'opinion publique congolaise tient Thystère-Tchicaya pour innocent du crime qui lui est reproché. Sans doute, le colonel Sassou-Nguesso a voulu se débarrasser d'un numéro deux encombrant. Au terme du procès, il retrouve la liberté et redevient Professeur d'histoire à l'Université Marien-Ngouabi de Brazzaville.


  • L'intermède démocratique (1990 – 1997)modifierEn 1990, il s'implique dans le processus de démocratisation du pays. Il crée un parti, le Rassemblement pour la démocratie et le progrès social (RDPS), qui prône des valeurs sociales-démocrates. Il est l'initiateur de plusieurs lettres ouvertes au président de la République, cosignées avec plusieurs personnalités nationales et réclamant une ouverture démocratique.

Après la conférence nationale souveraine en 1991, il est un temps proche de la coalition en construction autour de Pascal Lissouba, avant de se ranger du côté des Forces du Changement qui soutiennent l'action du Premier ministre de transition André Milongo. Au début de l'année 1992, à la veille des premières échéances électorales, il allie son parti au MCDDI de Bernard Kolélas.

Aux législatives de 1992, son parti récolte une dizaine de sièges, exclusivement à Pointe-Noire et dans la région du Kouilou. Lui-même est élu dans une circonscription du deuxième arrondissement de Pointe-Noire (Mvouvou). A la présidentielle, il termine cinquième avec un peu plus de 5 % des voix.

Lorsque Pascal Lissouba entame son mandat présidentielle, l'alliance avec le MCDDI est formalisée sous le sigle URD, avec l'appoint de quelques petits partis.

En septembre 1992, l'URD forme une coalition avec le PCT de l'ancien président Sassou-Nguesso, dont l'accord de gouvernement avec l'UPADS de Lissouba a avorté. La coalition URD-PCT, revendique la majorité parlementaire à l'Assemblée Nationale, puis censure le gouvernement de Bongho-Nouarra le 15 octobre 1992. Le Président se refuse à nommer un nouveau Premier ministre dans la nouvelle majorité et dissout l'Assemblée, le 7 novembre 1992. Il s'ensuit une contestation populaire menée par l'URD-PCT, qui est réprimée au prix de 3 morts. Après l'accord entre les deux forces politiques du 3 décembre 1992, un gouvernement d'union nationale est formée par Claude-Antoine Da-Costa et la CONOSELA, comité indépendant est chargé d'organiser des élections législatives anticipées. Il est ministre des Hydrocarbures.

La mouvance présidentielle devance l'opposition au premier tour des élections anticipées, en mai 1993. L'URD-PCT crie à la tricherie et refuse de participer au deuxième tour, exigeant la reprise du premier tour. Il appelle à la désobéissance civile. De politique, le conflit devient armé et chaque camp, par le biais de ses milices, se compromet par des actes criminels contre les partisans de l'autre camp (tuerie, pillage).

Le 15 juin 1993, la mouvance présidentielle qui a participé toute seule au second tour se déclare vainqueur des législatives et le président Lissouba nomme Joachim Yhombi-Opango, Premier ministre. Une Assemblée nationale croupion porte à sa tête, André Milongo.

Dès le 18 juin, l'URD-PCT constitue des institutions parallèles. Un gouvernement est formé, dirigé par Thystère-Tchicaya. Une Assemblée Nationale bis siège sous la présidence d'André Mouele. Le siège des institutions fantômes est la résidence de l'ancien Président de la République Sassou-Nguesso.

Devant la recrudescence de la violence, un accord intervient, sous l'égide du Président gabonais Omar Bongo. Le deuxième tour est repris et un collège de magistrats africains arbitre les litiges du premier tour. En définitive, la camp de Lissouba confirme sa victoire en janvier 1994.

En août 1994, Thystère-Tchicaya peut enfin occupé le siège de maire de Pointe-Noire, conquis depuis 1992. À la différence de son allié Kolelas, il ne place aucun membre de son parti dans le gouvernement, suite à l'ouverture faite par Pascal Lissouba en janvier 2005.

Fin 1996, il forme une coalition avec le MDS de Paul Kaya et l'UR de Benjamin Bounkoulou. Par cette nouvelle alliance, dénommée Mouvement pour l'unité et la reconstruction, en sigle MUR, il se démarque de ses alliés Kolelas et Sassou-Nguesso sans toutefois rompre formellement les liens.

Durant la guerre civile de 1997, il intègre l'ERDUNN, la plate-forme politique qui se constitue en faveur de Pascal Lissouba. Il est nommé ministre des Hydrocarbures dans le gouvernement de Bernard Kolelas en septembre 1997. Lors de l'offensive finale des forces de Sassou-Nguesso, il appelle les populations de Pointe-Noire à ne pas opposer de résistance.


  • L'après-guerre (1997 – 2008)modifierAprès la guerre, il est membre du Conseil National de transition. Fin 1997, il est remplacé à la mairie de Pointe-Noire par François-Luc Makosso. Lors de l'élection présidentielle de 2002, il soutient la candidature de Sassou-Nguesso. Élu de nouveau député à Pointe-Noire, la même année, il est porté à la tête de l'Assemblée Nationale, en s'alliant au PCT.

En 2007, il dénonce l'accord avec le PCT. Sa santé se dégrade au cours de cette année et il ne participe pas activement à la campagne électorale pour la campagne électorale des législatives. Il est tout de même réélu député de sa circonscription de Mvoumvou. Du fait de sa brouille avec le PCT, il perd le perchoir.

Durant les premiers mois de l'année 2008, il reste en France de façon permanente, pour ses soins. Le 20 juin, il décède à Paris.

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___Inauguration des voiries urbaines de la ville de Nkayi--Betou mé yamb’ ngue na Congo ! (munukutuba)

To yambi yo awa na Congo ! (lingala)

Betou mé yamb’ ngue na Congo ! (munukutuba) La République du Congo, plus communément nommée Congo-Brazzaville, dessine au cœur l’Afrique la silhouette d’un cheval, la tête dans la forêt, la croupe dans l’océan. C’est très intimement une terre de fleuves et d’eau : le puissant fleuve Congo, frontière sur quelque 700 km, prolongé par l’Oubangui, forment à eux deux la colonne vertébrale du pays. Leurs nombreux affluents en sont le système nerveux, ses voies de circulation. Si le fleuve fausse la route au pays pour aller se jeter dans l’océan chez le voisin du Congo-Kinshasa, ses 170 km de côtes lui ouvrent la voie des échanges maritimes. Les capitales des deux Congo se font face sur les rives du fleuve homonyme et c’est un voyage dans le voyage que de passer de l’une à l’autre. Kinshasa la déglinguée, où la survie est un art, et Brazzaville la nonchalante affairée.




Où le touriste (re)devient voyageur Le Congo n’est pas une destination pour le tourisme de masse et ne le sera probablement jamais. Tout est à dimension humaine et vous y trouverez des lieux peu cartographiés, des pistes à ouvrir, ainsi qu’une curiosité souvent bienveillante envers l’étranger.




« Civilisés jusqu’à la moelle des os ! » … s’extasiait en découvrant les peuples du Congo l’ethnologue allemand Léo Frobénius qui a entrepris près d’une douzaine d’expéditions en Afrique noire entre 1904 et 1935. Si aujourd’hui la notion de « civilisé » à des relents coloniaux, les Congolais n’en restent pas moins, très majoritairement, des personnes faisant preuve, sans affectation, d’une délicate politesse.

Rumba et noix de cola Plus précieuse que le pétrole : l’énergie que déploient les Congolais dans leurs plaisirs. Une vitalité rieuse, une mobilité et une gourmandise des choses qui fait le quotidien vibrant. Le soir venu, cette énergie trouve un autre terrain d’expression dans deux des grandes passions congolaises : la danse et la séduction.




Fécondité d’une terre d’eau Dès qu’on pénètre dans les terres, la diversité des biotopes n’a d’égal que l’opulence des paysages. Le Congo, irrigué de toute part, généreusement arrosé, est une terre nourricière à l’exubérante flore.




Un potentiel écotouristique en devenir Des nombreuses réserves naturelles du pays parmi lesquelles le parc d’Odzala au nord du pays, vous permettront de découvrir la faune africaine dans des conditions parfois sommaires, mais là encore, on vient au Congo, si ce n’est pour y travailler, pour sortir des sentiers battus. Le parc de Conkouati géré par WCS accueille le visiteur dans d’excellentes conditions de confort.




Une destination pour la pêche sportive Encore méconnu des agences spécialisées, le pays est le paradis des pêcheurs sportifs, qu’il s’agisse de prises en mer de taille frisant parfois des records (tarpon, courbines, carpes rouges) ou en eau douce avec les fameux tiger fish, réputés pour leur combativité, que l’on trouve dans le fleuve Congo à l’est de Brazzaville.




Atteindre facilement le Congo Il vous est possible d'aller passer vos vacances au Congo en utilisant un comparateur de vols. Visiter le Congo constituera pour vous une belle opportunité de découvrir des paysages magnifiques, de belles forêts, des calottes montagneuses. Le parc d'Odzala, la basilique Sainte Anne, le musée Marien NGOUABI, la cathédrale Sacré-CSur, les chutes de la Bouenza, les grottes de Nkila-Ntari font partie des lieux que vous devez absolument visiter.


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L'explosion d'un dépôt de munitions le 4 mars à Brazzaville a fait plus de 2.300 blessés et près de 14.000 sans-abri, le nombre de tués restant inchangé à près de 200 victimes, dont les obsèques se dérouleront dimanche, selon un nouveau bilan jeudi du gouvernement congolais.




Lors d'une séance de questions d'actualité au Parlement, le ministre du Plan et président de la Commission d'évaluation du sinistre, Pierre Moussa, a donné le chiffre de 13.854 sans-abri.

Les hôpitaux ont reçu 2.315 blessés, dont 297 sont encore soignés, a-t-il précisé. Le nombre de personnes tuées dans l'accident est toujours évalué à près de 200, a indiqué de son côté le porte-parole du gouvernement Bienvenu Okiemy.

Un précédant bilan faisait état de plus de 1.300 blessés et 5.000 sans abri.




Il s'agit du plus meurtrier accident de ce type, dans des dépôts d'armes et de munitions, depuis 10 ans dans le monde.

Le bilan pourrait s'alourdir encore, d'autres corps se trouvant vraisemblablement à proximité immédiate du dépôt, où la Croix-Rouge n'a pu se rendre jusque-là.

Les obsèques des victimes se dérouleront dimanche à Brazzaville, après une cérémonie d'hommage en présence du président congolais Denis Sassou Nguesso, a annoncé M. Okiemy. Le deuil national décrété depuis mardi prendra fin dimanche.




Le ministre du Plan a détaillé jeudi l'étendue des destructions autour du dépôt de munitions.

"L'épicentre du sinistre est composé de trois périmètres: le premier périmètre qui comprend le camp des blindés (où se trouvait le dépôt) a été détruit à 98%. Seuls les bâtiments en construction par une entreprise chinoise ont résisté", a-t-il indiqué.




"Le deuxième périmètre a été détruit à 90% et dans le troisième les dégradations sont aussi significatives"", a-t-il ajouté sans préciser l'étendue des périmètres.




Lors de la séance au Parlement le député d'opposition Patrice Kadia, a mis en cause le pouvoir en place : "la conservation du pouvoir coûte très chère au Congo, a-t-il dit on n'a pas vu la richesse dans les médicaments pour soigner les blessés, mais seulement dans les armes qui sont gardées dans les quartiers populaires comme des semences".




Selon le gouvernement congolais, un incendie consécutif à un court-circuit serait à l'origine de l'explosion d'un dépôt d'armes et de munitions à Brazzaville. Le drame aurait fait au moins 146 morts.

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____La ville de Nkayi sera entièrement électrifiée Jeudi 3 Mai 2012 - 12:41 VILLAGE NATALE in PSYCHISME NEEGRIIER

Nkayi Ville de la République du CongoNkayi est la ville principale de la région de la Bouenza, dans le centre sud de la République du Congo, à environ 250 km de la capitale Brazzaville

L'ouverture des offres relatives à l'électrification totale de la ville de Nkayi (département de la Bouenza) a eu lieu le 2 mai à Brazzaville. Le projet porte sur la réhabilitation des lignes moyenne tension à conducteur de faible section ; l'extension du réseau moyenne tension ; la réhabilitation des postes existantes ; le renforcement et l'assainissement du réseau basse tension ; le renforcement et la réhabilitation de l'éclairage public.

Le projet est financé par le budget de l'Etat. Pour la réhabilitation des lignes moyenne tension à conducteur de faible section, les travaux portent sur le remplacement des conducteurs des lignes aériennes moyenne tension de faible section (25 et 34mm2) par des conducteurs en almélec de section 95mm2 sur près de 10 kilomètres. En ce qui concerne l'extension du réseau moyenne tension, il s'agit de la construction des réseaux aériens en moyenne tension 10kv, sur une longueur estimée à près 15 kilomètres, y compris la future zone aéroportuaire située à 4 kilomètres de la ville en câble almélec de section 95mm2 avec des armements en nappe voûte ou d'autres types d'armements et les accessoires.

Pour la réhabilitation des postes existantes, il s'agit de réhabiliter neuf postes existants afin qu'ils puissent répondre aux normes exigées. Le renforcement et l'assainissement du réseau basse tension, quant à lui, porte sur la création d'un nouveau réseau basse tension à partir de douze nouveaux postes moyenne tension et basse tension en câble pré assemblé 3x70+54,6mm2 avec poteaux en bois en alignement et poteaux métalliques pour les encrages sur une longueur de 24 kilomètres, soit 2 km de câble à poser pour chaque nouveau poste ; l'assainissement du réseau basse tension existant par le remplacement des câbles de faible section par le câble pré assemblé 3x35+54,6mm2 sur 12 km et câble pré assemblé 3x70+54,6mm2 sur 8km.

Enfin, le renforcement et la réhabilitation de l'éclairage public concerne la réhabilitation du réseau d'éclairage existant et de son extension en option, à l'aide de l'éclairage solaire ou traditionnel.

Cinq entreprises ont soumissionné. Les raisons sociales des sociétés, les montants de l'offre, les durées d'exécution des travaux et les propositions des rabais, etc., ont été présentés. Il s'agit notamment de la société Electra, qui a proposé un montant de 2.595.839.612 francs CFA (TTC), pour une durée des travaux de 44 semaines ; la société Toutelectric : 4.052.102.930 francs CFA (TTC), pour une durée de 11 mois ; la société ETDE Congo : 4.066.448.092 francs CFA (TTC), pour 12 mois de travaux ; la société PROCOB SA : 5.739.260.740 francs CFA (TTC), pour 12 mois ; et la société EGET : 3.949.570.493 (TTC), pour une durée des travaux de 12 mois.

Le choix de l'adjudicataire sera publié après examen des dossiers par la sous-commission d'évaluation, conformément au code des marchés publics et ses textes d'application.

La cérémonie d'ouverture des offres a été présidée par l'assistant du ministre délégué, délégué général aux grands travaux, Placide Moundoundou, en présence des représentants des sociétés soumissionnaires.

Gaspard Lenckonov

http://www.congo-site.com/La-ville-de-Nkayi-sera-entierement-electrifiee_a12483.html

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