http://www.linternationalmagazine.com/article7177.html

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chapchap 13.01.10 à 18:23 @engel Tamoro,vous me faites sourire doucement j’espere que vous ne sous estimez pas tant notre intelligence au point de prétendre que nous ne pouvons pas faire la difference entre noirs americains,antillais,et africains voyons.je vous ferai noter que les créoles se retrouvent aussi aux ameriques dans le sud des Etats unis.vous semblez ne pas avoir assez nuancé votre explication(quelle futilité). moi qui pensait que les noirs de France se sentiraient des affinités sur cette question d’identité nationale.si il yen a un qui peut faire avancer les choses dans la bonne direction je crains que ce ne soit pas G. Kelman.sachant que les partenaires africains de la France sont en general ceux qui se soucient le moins des leurs on peut craindre le pire.

Engel Tamoro 13.01.10 à 12:32 Un noir d’afrique est un noir d’afrique, un noir des amériques est un noir des amériques, et un noir des iles (dites françaises) est un noir des iles française (c’est a dire un créole) il n’est ni africain, ni antillais. Que les africains se mettent cela dans la tête. Heureusement que Kelman à su bien expliqué les choses. Je suis heureux et rassuré qu’il soit auprès de Besson pour l’éclairer dans ce genre de confusion

Engel Tamoro 13.01.10 à 12:28 Votre rédaction, pour laquelle j’ai beaucoup de respect au vue du travail que vous faite est fautive dans ce débat. J’ai acheté le magazine, j’ai lu la tribune de Kelman en intégralité, et quant on lis cette tribune intégralement on se fait une autre opinion. Je vous reproche ne n’avoir laissé que des extraits sur le site. Ca ne donne pas une vue générale du magazine

OBSERVATEUR 13.01.10 à 08:28 A méditer Le principal n’est pas de savoir d’où l’on vient, (les évolutionnistes avec Darwin affirment que l’homme descend du singe), mais de savoir où l’on va.

OBSERVATEUR 13.01.10 à 07:48 L’on s’extasie devant de grands talents, quelle que soit leur couleur. Les élites pour leur pérennité assimilent tres souvent les talents pour les faire sien. Dans l’histoire russe qui sait que le grand poete et ecrivain russe Pouskin avait des ancetre noirs et qu’il est vénéré par tous les RUsses dont on dit qu’ils ont une identité affirmée. Le vrai probleme peut venir des groupes qui ont une identité communautaire forte et qui ont besoin de marquer leur territoire. S’il y a un grand fossé culturel (la culture n’est pas seulement le savoir c’est aussi une maniere de vivre de décider, de donner des priorités, d’avoir les memes codes, de partager des valeurs politiqes ou religieuses....) entre les communautés, l’on risque d’aboutir à des affrontement (latents ou réels). A ce propos j’ai assisté stupéfait à une bagarre entre deux étudiants noirs l’un était américain et l’autre africain, le noir américain a traité le noir africain de "sale négre" et de "sauvage".Il ne suffit donc pas d’avoir la meme couleur de peau ni de vagues origines lointaines potentiellement communes pour devenir de facto membre d’une communauté. A force d’exacerber les différences (à travers la repentance, la négritude et autre) et au lieu de chercher à les applanir , l’on risque de multiplier les risques de confrontation Mais n’est-ce point la ce que cherchent certaines organisations, qui en font leur fonds de commerce en esperant s’emparer du pouvoir dans une société éclatée avec des affrontements-comme l’instrumentalisation de la négritude en Guadeloupe par les partis indépendantistes,- confortés parfois par des des lois d’exception. Ces lois ont permis les horreurs des camps d’extermination staliniens et nazis ou encore les camps des communistes cambodgiens (20% de la population exterminée ede 1978 à 1980) Parmi les lois d’exception , citons une loi sur le racisme promulgées en Russie en 1918 permettant de fusiller toute personne qui aurait proféré des propos dits antisémites. L’histoire de la révolution francaise est édifiante avec les centaines de milliers de pauvres paysans vendéens et bretons étripés et décapités au nom de beaux ideaux. Le fonds de toute révolution sociale , le plus souvent rupture brutale avec les valeurs du passé, ne repose-t-il pas sur l’instrumentalisation de l’intimidation et de la terreur ? Il est important que les citoyens d’un pays (quelle que soit leur couleur) partagent des valeurs communes. Cela va peut etre à l’encontre de ceux qui esperent faire éclater notre pays en régions en pensant qu’ils pourront construite une EUROPE DES PROVINCES et non une Europe des patries ? On peut leur rétorquer qu’ils se trompent lourdement et qu’il est plus facile de régenter de grands groupes bien identifés que des multitudes d’identités de petits groupes. Quand on joue aux apprentis sorciers, il faut s’attendre au pire.

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