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mardi 24 avril 6666

___Ne suis-je pas ton frère? Talmadge X Hayer.. (Thomas Hagan, assassins du leader afro-américain le 21 février 1965, date à laquelle Malcolm X a été tué).. frère, SELON L'EVANGILE DE JUDAS Damné, Il n'est permis qu'aux damnés de se séparer de Dieu

Possession et damnation de l'âme mortelle

  • Damné, damnation, condamnation: "ton âme, tu l'as perdu et il iras droit en enfer" aucune repentance pour toi frère (Talmadge X Hayer) car la justice de l'homme n'égale celle de dieu universelle.

SELON L'EVANGILE DE JUDAS: *Ensemble de la vie n'est que souffrance matériel

La démarche de Judas et son péché final 2.32 : Un penntâcle a cinq branche renversé, cinq bougie, Un homme au centre, Une allumette, et un cercle autour de l'étoile...ensuite rituel méssianique noire

La vie, ensuite, n'a plus de fin, car l'âme ne meurt pas, c'est à dire ne s'anéantit pas. Elle meurt à son destin qui est céleste mais survit à son châtiment. Elle meurt à ce bienheureux destin quand elle meurt à la Grâce... Cette vie, atteinte par une gangrène qui est la mort à son destin, se prolonge le long des siècles dans la damnation et le tourment. 2.85 Il n'est permis qu'aux damnés de se séparer de Dieu. 2.86 Leur mort c'est la damnation qui est encore existence, oui, mais une existence dépourvue de ce qui est la Vie vraie et la joie éternelle, c'est-à-dire de la vision béatifique de Dieu et de son éternelle possession dans la lumière éternelle. 4.152 Mais pour l'un de vous, le Sang ne sera rien et le Feu ne sera rien, car le Sang aura eu pour lui le pouvoir de le damner et il connaîtra éternellement un autre feu dans lequel il brûlera vomissant du sang et avalant du sang, parce qu'il verra du sang partout où il posera son regard mortel ou son regard spirituel du moment qu'il aura trahi le Sang d'un Dieu. 5.51

Oui, je vous le dis. Bien souvent Dieu, le Tout Puissant, le Tout, attend qu'une créature, un rien, fasse ou ne fasse pas un sacrifice, une prière, pour signer ou ne pas signer la condamnation d'un esprit. Il n'est jamais tard, jamais trop tard pour essayer et espérer de sauver une âme. 7.216

Il est dit aussi qu'à celui qui invoquera un succube ou incube pourra lui donnée un nom..

L'un des assassins de Malcolm X remis en liberté surveillée 20/04/2010



Thomas Hagan sortira effectivement de prison le 28 avril prochain



En prison depuis les coups de feu qui ont coûté la vie à Malcolm X en 1965 à la salle des fêtes d'Audubon, Thomas Hagan, l'un des assassins de leader afro-américain, pourra bénéficier de la liberté conditionnelle. Depuis deux décennies, il n'était plus détenu que deux jours par semaine,

Après 16 tentatives de demande de liberté conditionnelle, la 17ème a finalement été la bonne puisque la demande de mise en liberté conditionnelle a finalement été acceptée. La date de sortie de prison de Hagan a été fixée au 28 avril 2010.

Hagan est âgé de 69 ans et était un militant de la Nation de l'Islam le 21 février 1965, date à laquelle Malcolm X a été tué alors qu'il s'apprêtait à prononcer un discours. Thomas Hagan qui s'appelait alors Talmadge X Hayer avait été capturé par la foule qui l'avait battu. Il avait également été blessé par un garde du corps de Malcolm X. C'est l'arrivée de la police qui l'avait sauvé.

Deux autres personnes, Muhammad Abdul Aziz (qui s'appelait alors Norman 3X Butler) et Kahlil Islam (Thomas 15X Johnson) avaient également été inculpées pour le meurtre. Ils avaient plaidé non coupables tandis que Hagan avait affirmé lors du procès qu'il était coupable du meurtre et que ses co-accusés étaient innocents. Les trois hommes avaient été condamnés chacun à des peines dont la durée pouvait aller d'un minimum de 20 ans de réclusion jusqu'à la prison à vie au maximum.

En 1977, dans une déclaration complémentaire, Hagan avait déclaré que lui et d'autres personnes (qui n'étaient ni Abdul Aziz ni Kahlil Islam) avaient décidé de tuer Malcolm X car il était « hypocrite » et « s'était tourné contre le fondateur de la Nation de l'Islam », Elijah Muhammad. Hagan avait également dit qu'après que Malcolm X ait reçu un tir dans la poitrine de la part d'un premier tireur, lui et un autre tireur avaient effectués des tirs supplémentaires en direction de Malcolm X. Les deux autres tireurs en question n'ont jamais été identifiés.

Abdul Aziz a été remis en liberté conditionnelle en 1985. En 1998, il a été nommé par Louis Farrakhan chef de la sécurité de la mosquée de Harlem qui fut autrefois dirigée par...Malcolm X. Kahlil Islam fut remis en liberté conditionnelle en 1987.

En 1988, Hagan avait bénéficié de la possibilité de pouvoir sortir et travailler en dehors de la prison. Avant sa mise en liberté conditionnelle, il passait cinq jours sur sept à l'extérieur, travaillant dans un fast food ou passant son temps en compagnie de sa femme et de ses enfants.

Interrogé par le New York Post en 2008, Hagan avait dit avoir exprimé « son regret et son chagrin » pour avoir participé à l'assassinat de Malcolm X. Il ajoutait aussi qu'il avait déjà passé 40 ans en prison, que son comportement en prison était correct et qu'il ne voyait pas de raisons justifiant le fait qu'on continue à le maintenir en détention.

Hagan disait également fuir la publicité et ne pas vouloir écrire de livre, pour ne pas donner l'impression qu'il capitalisait sur son « infamie ». Selon son dossier judiciaire, Hagan a utilisé toutes les possibilités éducatives et tous les programmes que lui offrait le système judiciaire pour mener la vie d'un citoyen respectueux des lois, et a de façon répétée exprimé des remords pour son crime.

http://www.grioo.com/ar,l_un_des_assassins_de_malcolm_x_remis_en_liberte_surveillee,18925.html

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lundi 23 avril 6666

_____« L’enfer est il exothermique (évacue de la chaleur) ou endothermique (absorbe de la chaleur) ? »..

Ci-dessous est la version d'une soi-disant question de chimie donnée à l'université de Montpellier. La réponse d'un étudiant a été si profonde que le professeur l'a partagée avec ses collègues, via internet, et c'est pourquoi nous avons le plaisir de la lire.

  • Voici la version d’une question ” bonus ” de chimie donnée à l’Université de Montréal.


La réponse d’un étudiant a été si loufoque que le professeur l’a partagée avec ses collègues, via Internet, et c’est pourquoi nous avons le plaisir de la lire…



Question bonus : « L’enfer est il exothermique (évacue de la chaleur) ou endothermique (absorbe de la chaleur) ? »

La plupart des étudiants ont exprimé leur croyance en utilisant la Loi de Boyle (si un gaz se dilate il serefroidit et inversement) ou ses variantes.



Cependant un étudiant eut la réponse suivante :



« Premièrement, nous avons besoin de connaître comment varie la masse de l’enfer avec le temps.



Nous avons donc besoin de connaître à quel taux les âmes entrent et sortent de l’enfer.



Je pense que nous pouvons assumer sans risque qu’une fois entrée en enfer, l’âme n’en ressortira plus.



Du coup, aucune âme ne sort. De même pour le calcul du nombre d’entrée des âmes en enfer, nous devons regarder le fonctionnement des différentes religions qui existent de par le monde aujourd’hui.



La plupart de ces religions affirment que si vous n’êtes pas un membre de leur religion, alors vous irez en enfer.



Comme il existe plus d’une religion exprimant cette règle et comme les gens n’appartiennent pas à plus d’une religion, nous pouvons projeter que toutes les âmes vont en enfer…



Maintenant, regardons la vitesse de changement de volume de l’enfer parce que la Loi de Boyle spécifie que ” pour que la pression et la température restent identique en enfer, le volume de l’enfer doit se dilater proportionnellement à l’entrée des âmes.”



Par conséquent, cela donne deux possibilités :


  • - Si l’enfer se dilate à une vitesse moindre que l’entrée des âmes en enfer, alors la température et la pression en enfer augmenteront indéfiniment jusqu’à ce que l’enfer éclate.

  • - Si l’enfer se dilate à une vitesse supérieure à la vitesse d’entrée des âmes en enfer, alors la température diminuera jusqu’à ce que l’enfer gèle.


Laquelle choisir ?



Si nous acceptons le postulat que ma camarade de classe Teresa m’a répondu durant ma première année d’étudiant : ” Il fera froid en enfer avant que je couche avec toi”, et en tenant compte du fait que j’ai couché avec elle la nuit dernière, alors l’hypothèse doit être vraie. Ainsi, je suis sûr que l’enfer est exothermique et a déjà gelé… Le corollaire de cette théorie c’est que comme l’enfer a déjà gelé, il s’ensuit qu’il n’accepte plus aucune âme et du coup qu’il n’existe plus… laissant ainsi seul le Paradis, et prouvant l’existence d’un Être divin ce qui explique pourquoi, la nuit dernière, Teresa n’arrêtait pas de crier oh mon Dieu !… »



(C’est le seul étudiant à avoir reçu la note 20/20 )

http://blog-detente.fr/?p=412

http://pagesperso-orange.fr/catholicus/Enfer/enfer3.html

« L'enfer, s'écria le prédicateur, est une prison étroite, sombre et fétide, un habitacle de démons et d'âmes perdues, plein de flammes et de fumées. L'exiguïté de cette prison est spécialement destinées par Dieu à punir ceux qui ont refusé de demeurer dans les limites de ses lois... Là en raison du grand nombre de damnés, les prisonniers sont entassés les uns sur les autres dans leur horrible prison dont les murailles, dit-on, ont quatre milliers de mille d'épaisseur ; et les damnés sont si complètement immobilisés, si impuissant que selon un bien-heureux saint, saint Anselme qui en parle dans son livre des Similitudes, ils n'ont même pas la possibilité d'écarter de leur yeux le ver qui les ronges... L'horreur de cette prison étroite et sombre s'accroît de son effroyable puanteur. Toutes les immondices du monde, tout le fumier, toute la fange du monde s'écouleront là, nous dit-on, comme en un vaste cloaque fumant, quand la terrible conflagration du dernier jour aura purifié le monde... Imaginez un cadavre immonde et putride, pourri, décomposé au fond d'un tombeau, un amas gélatineux de corruption liquéfié. Imaginez ce cadavre livré aux flammes, dévoré par le feu du soufre brûlant, répandant l'épaisse et suffocante odeur de décomposition répugnante et nauséabonde. Et puis imaginez cette écoeurante puanteur multipliée des millions et des millions de fois par le nombre de millions et de millions de carcasses fétides amassées dans les ténèbres enfumées, cet immense fongus de pourriture humaine... mais cette puanteur, si horrible qu'elle soit, n'est pas la plus grande torture physique que subissent les damnés. La torture par le feu est la plus grande qu'un tyran ait jamais infligée à ses semblables. Mettez un instant votre doigt dans la flamme d'une bougie et vous sentirez la douleur que cause le feu. Mais notre feu terrestre fut créé par Dieu pour le bien de l'homme, pour maintenir en lui l'étincelle de vie, pour l'aider dans ses travaux utiles, tandis que le feu de l'enfer est d'une toute autre nature ; il fut créé par Dieu pour torturer et châtier le pêcheur impénitent... Le souffre qui brûle dans l'enfer est une substance spécialement destinée à brûler éternellement avec une indescriptible fureur... le feu de l'enfer possède la propriété de conserver ce qu'il brûle, et, bien qu'il fasse rage avec une impétuosité incroyable, cette rage n'a pas de fin...»

Le droit d'enseigner la vérité ne comporte pas celui d'y ajouter des inventions fabriquées de toutes pièces. Le pouvoir de prêcher n'octroie pas celui de prophétiser à tort et à travers. Si véritablement le prêtre qui parle en chaire est chargé d'annoncer la parole de Dieu, autant le fidèle est tenu de l'entendre avec un respect sacré, autant le prêtre lui-même doit trembler de déformer cette sainte parole.




Il faut attendre Swedenborg (1688 -1772), pour lire, sur la mort des hommes voués à la damnation, une description qui renouvelle complètement les perspectives ouvertes par la poésie Dantesque.

Le droit d'enseigner la vérité ne comporte pas celui d'y ajouter des inventions fabriquées de toutes pièces. Le pouvoir de prêcher n'octroie pas celui de prophétiser à tort et à travers. Si véritablement le prêtre qui parle en chaire est chargé d'annoncer la parole de Dieu, autant le fidèle est tenu de l'entendre avec un respect sacré, autant le prêtre lui-même doit trembler de déformer cette sainte parole.




Il faut attendre Swedenborg (1688 -1772), pour lire, sur la mort des hommes voués à la damnation, une description qui renouvelle complètement les perspectives ouvertes par la poésie Dantesque.

« Lorsque... la lumière céleste les inondes, ils sont pris de vertige. Leur vue s'obscurcit, leur pensée est suspendue, leur coeur bat, en proie à une angoisse indicible, ils se tordent comme des serpents près du feu, ils se précipitent dans l'abîme qui s'ouvre sous leurs pieds et ce n'est qu'à partir du moment où ils ont rejoint leurs semblables en enfer qu'ils recouvrent la respiration. Dieu ne précipite donc lui-même aucun être humain en enfer. L'homme qui vit dans le mal n'a d'autre désir que de parvenir dans le lieu où se trouve son péché. Les esprits mauvais sont donc, en enfer dans leur propre milieu. Ils jouissent du feu de l'enfer, de sa puanteur et de ces immondices, et lorsqu'un rayon de la lumière divine pénètre jusqu'à eux, ils cherchent à s'y dérober, préférant la lumière infernale qui est semblable à des charbons ardents et à du soufre en ignition. Leur visage est noir et velu, couvert de pustules, d'ulcères et de plaies, mais ils croient néanmoins entre eux avoir figure humaine. Ils se livrent aux plaisirs qui répondent à leurs désirs. Dans les enfers les moins rigoureux, il existe des huttes rudimentaires, agglomérées en villes, avec des ruelles et des rues. Des habitations sort perpétuellement un bruit de querelles et les rues sont le théâtre de rixes et de brigandages. d'autres esprits infernaux habitent de sordides maisons de débauche, tandis que d'autres errent comme des bêtes féroces et se poursuivent dans l'obscurité des forêts. Et ils trouvent leur plus grand plaisirs à se tourmenter et à se torturer les uns les autres... Dans ces conditions, les esprits infernaux ne se punissent eux-mêmes que par l'insatiabilité de leurs désirs. »

Swedenborg donne à ce texte un sens eschatologique et en conclut que, de la même façon, la damnation est l'effet d'un refus définitif opposé à la lumière divine.

Cette évocation de l'enfer semble si proche de ce qu'on peut découvrir sur cette terre elle-même qu'on risquerait de la trouver rassurante. Les tourments sont si bien l'oeuvre des damnés eux-mêmes qu'on serait tenté de croire qu'ils peuvent y puiser quelque satisfaction : Swedenborg ne va-t-il pas jusqu'à déclarer qu'ils jouissent du feu de l'enfer ? Si terrible que soit ce monde perdu, du moins est-il le repaire où les damnés s'abritent d'une lumière céleste qui les remplit d'épouvante.

C'est à partir des limites qu'il s'impose que sa vision possède une valeur significative. Ce qu'il explore, c'est au moins l'enfer à l'état natif, c'est le minerai de l'enfer, brûlant et agité comme une lave souterraine dans les profondeurs de l'humanité, dans l'âme et la vie des hommes. Certes, ce serait manquer gravement au dogme que de croire que l'enfer est en cette vie et non plus outre. Il peint seulement le mal déchaîné en l'homme, mais totalement déchaîné, infini, et éternisé.

Parce qu'il part de l'homme et non pas de monstres légendaires, parce qu'il montre comment l'homme possède en lui-même, l'effrayant pouvoir de transformer la vie en enfer, sa leçon est irrécusable. De prime abord son enfer semble moins terrible, il n'en apparaît que davantage possible, car il est saisi dans sa racine en l'homme qui est l'appétit effréné du crime. Ici, c'est la fureur du péché qui directement invente tous les supplices. L'enfer, selon Swedenborg, est le plus grand prototype de la « société du crime ».

L'ultime fond de l'Enfer chrétien, c'est encore chez Dostoïevski, qu'on le trouve rappelé :

« Qu'est-ce que l'Enfer ? La souffrance de ne plus pouvoir aimer. »

Cette souffrance fondamentale, le damné se l'est choisie durant la vie terrestre ; elle commande inexorablement sa vie future. Ce n'est pas au lendemain de la mort que l'on peut commencer à aimer. Qui a vécu dans la haine, la mort le cristallise à jamais dans la haine. De là cette rage incoercible de tous contre tous et contre Dieu. L'Enfer a été fondé par Lucifer et ses anges, dans le moment même de leur révolte, de leur refus de Dieu. Tout le contenu de l'enfer découle de cette source enflammée. A cette oeuvre de malédiction le damné s'associe à son tour pour sa propre ruine éternelle.

La dilatation de l’enfer

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