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jeudi 13 décembre 6666

_____« Soyez Heureux et féconds», bonne fête de fin d'année.. “Y’a des Nègres qui sont pas morts, c’est juste qu’ils puent le cadavre” Afrique: « La mort n’est rien, mais vivre vaincu et sans gloire, c’est mourir tous les jours »

Dieu bénisse l’Afrique !

''L’homme d’Afrique vit dans la quotidienneté de la mort..

Habituellement, l’Afrique est considérée comme le dernier de la classe, toujours en décalage avec le reste des continents. Or notre beau continent reste le continent le plus éclatant, le plus riche potentiellement quoique le plus négligé. D’une superficie de 30 221 532 km2 en incluant les îles, l’Afrique est un continent couvrant 6 % de la surface terrestre et 20,3 % de la surface des terres émergées. Avec une population, en 2009, estimée à 996 533 200 habitants, les Africains représentent 15,54% de la population mondiale.

L’Afrique est un continent qui compte ne serait-ce qu’au niveau de sa population, 43% de jeunes qui ont moins de 20 ans, ce qui reste un vivier pour son développement. Difficile, du reste, d’imaginer l’Afrique autrement que sous les traits sévères qu’on lui prête généralement. Et pourtant, « Le Monde diplomatique », N°108, n’a pas trouvé meilleur titre que « Indispensable Afrique ». Si notre continent est indispensable au bon fonctionnement de l’économie mondiale, il est alors possible de se poser une seule question : pourquoi l’Afrique peine à se développer au même rythme que les autres ? Si nous tenons le savoir pour libérateur, il nous faut le vulgariser : tel est notre but. Et Nous n’avons jamais fait mystère de notre volonté de réveiller les consciences endormies car comme disait Napoléon Bonaparte, « Les hommes qui ont changé l’univers n’y sont jamais parvenus en gagnant des chefs; mais toujours en remuant des masses. ». L’Afrique et son développement reste donc la centralité de notre présente contribution.

L'Afrique, le continent aux ressources inégalables

Le continent africain est riche au regard de son potentiel. L’Afrique détient 30% des réserves minérales de la planète. 80 % des ressources de la planète en coltan, qui sert à la fabrication des portables, 90% du platine, 50% du diamant, 40% de l’or. C’est la raison pour laquelle, certains observateurs traitent à propos de notre continent de « scandale géologique ». Entre 1990 et 2004, la production du continent africain a augmenté de 40%, passant de 7 à 10 millions de barils/jours et elle doit atteindre cette année 50%. Le continent assure 11% de la production pétrolière mondiale. Avec la Guinée, qui représente 30% des réserves mondiales de bauxite, tout juste derrière l’Australie, le continent ne manque pas d’aluminium.

Les Nations unies estiment, par exemple, qu’il y a plus de 800 millions d’hectares de terres cultivables inutilisées qui attendent leur révolution verte. Elle devrait être le lieu de la réponse attendue aux pénuries alimentaires en Afrique et ailleurs. Après l'Amazonie, la forêt africaine est la seconde plus grande forêt tropicale du monde. Précisément, 20% de la surface de forêt tropicale encore intacts se situent dans le "Bassin du Congo" (au sud-est du Cameroun). Une biodiversité unique au monde. Plus de 200 espèces ligneuses poussent sur 1000 mètres carrés, soit une fois et demi plus d'espèces que sur l'ensemble du territoire français. A ce stade de réflexion, nous retiendrons que l’Afrique regorge d’énormes ressources pourtant le continent est abonné aux aides occidentales.

L'Afrique, un continent abonné aux aides extérieures

L’APD aux pays d’Afrique subsaharienne est passée de 3,1 milliards en 1990 à 1,4 milliard en 1999, soit une baisse de 55%.

L’Afrique est devenue le continent mendiant qui fait toujours la manche pour vivre. Du coup, ce continent aux fabuleuses ressources, passe pour être celui qu’on doit assister continuellement. L’homme politique de premier ordre, selon les termes consacrés du général DE GAULLE, Félix Houphouët Boigny, disait qu’un homme qui a faim, n’est pas un homme libre. L’aide devient un levier très puissant pour les pays aujourd’hui dits riches, mais pauvres hier, de corriger leur image avec leurs aides au développement.

Pour corriger son image désastreuse dans bien des pays d’Afrique subsaharienne, Alain Joyandet, le ministre français de la coopération, voudrait rendre cette aide « visible » car selon lui, elle n’est « ni assez visible, ni assez efficace ».

Désormais, la France voudrait privilégier l’aide directe, via les ONG, pour construire par exemple des écoles, avec un drapeau français planté dessus. La démarche, on ne peut plus claire, est politique. En effet, cette bataille de la France, guidée par la volonté française de gagner l’estime des africains déjà très entamé. L’aide n’est pas seulement une main tendue, mais un couteau pour nous trancher « la gorge » ou une corde pour nous étrangler.

En ce qui concerne la France, elle étudie "la création d'un jeu spécifique pour l'Afrique", un loto ou un bingo en ligne, qui complèterait l'aide publique au développement et s'inscrirait dans le cadre des "financements innovants". En tout cas, c’est ce qui se prépare au secrétariat d'Etat à la Coopération français.

L’Afrique reste de loin le continent où les mérites d’un ministre de l’économie restent attachés à ses efforts de mobilisation de l’aides extérieures et à annuler les anciennes. Ils sont abonnés aux clubs de Paris et de Londres.

Le Club de Paris est un groupe informel de créanciers publics (19 pays développés en sont membres permanents) qui a pour but de trouver des solutions coordonnées et durables aux difficultés de paiements de nations endettées.

Quant au Club de Londres, c’est un groupe informel de créanciers bancaires privés qui s'occupe de dettes publiques. Il préfère rééchelonner les dettes. Et sa première rencontre eut lieu en 1976 pour tenter de résoudre les problèmes de paiements du Zaïre.

Les africains n’ont pas encore compris que l’aide extérieure est un piège. Pis, il ne semble pas toujours acquis aujourd’hui qu’ils veuillent s’en débarrasser. C’est la raison pour laquelle, dans son livre «L'Aide Fatale», l'économiste Dambisa Moyo s'insurge contre l'assistance portée au continent noir. Dans sa démonstration, elle n’y va d’ailleurs pas avec la tendresse qu’on connait aux femmes. Selon elle, Il faudrait fermer les robinets, en finir définitivement avec l'aide au continent noir et ce, pour le bien de l'Afrique, pour la sauver, l’aide étant la cause de tous ses maux, de son sous-développement. Pour Dambisa Moyo, les occidentaux ont notamment eu tort de prêter de l'argent à Jean Bedel BOKASSA, le dirigeant de la Centrafrique qui mettait les têtes de ses ennemis dans son frigo.

Pour clore ce paragraphe, nous empruntons deux citations de deux présidents africains sur la question de la dette.

Dans une interview accordée à TIME, le président Paul Kagamé a déclaré :

"Maintenant il faut poser une question à nos donateurs et partenaires qui ont tant dépensé d’argent : qu’est ce que cet argent a changé en Afrique ? "

Dans les 50 dernières années vous avez dépensé 400 milliards de dollars sous forme d’aide. Mais quels sont les résultats visibles ? ». Tout aussi flamboyant, Abdoulaye Wade aurait dit en 2002: «Je n'ai jamais vu un pays se développer grâce à l'aide et au crédit. Tous ceux qui ont réussi, en Europe, en Amérique, au Japon, ou en Asie —comme Taiwan, la Corée, Singapour— ont cru au marché. Il n'y a pas de mystère ici. L'Afrique s'est trompée de route après l'indépendance». C’est donc dire que le juste et fol espoir de l’endettement est berne.

Mais une fois qu’on a dit ceci, se pose alors la sempiternelle question de l’attitude à adopter. Une des premières solutions est la réappropriation de nos richesses.

La réappropriation de notre continent et de ses ressources

Les africains sont de plus en plus contre l’exploitation de matières premières abondantes sans qu’en résulte un véritable décollage du continent et singulièrement dans l’espace francophone, pourtant bien doté.

Pétrole au Gabon, au Congo, au Cameroun, au Tchad, en Cote d’ivoire. Dans presque tous les pays africains, il ne reste que moins de 20% des royalties. Le Tchad perçoit 12,5 % des revenus totaux, sous forme de royalties, le Congo de Sassou N’Guesso, 17 % alors que Lissouba voulait porter ce pourcentage à 33%.

Or dans ce pays, les recettes pétrolières représentent 60 % des ressources internes mobilisables.

Ces matières premières sont le plus souvent exploitées abusivement par des multinationales françaises. Il est temps de mettre définitivement fin aux pactes coloniaux sur le continent. Comment comprendre ce paradoxe : les pays qui détiennent le plus de matières premières sont ceux-là qui accusent le plus grand retard en matière de lutte contre la pauvreté. Le scenario est connu, il est clair et simple. Pour les pays ayant le pétrole en offshore, les majors du pétrole ont tout simplement provoqué chez eux des guerres civiles afin de « privatiser » d'une manière unilatérale l’exploitation. Ils arrosent les différents seigneurs de guerres, en leur fournissant les armes. On en trouve moult exemples sur le continent africain.

Des pays africains, comme le Congo Brazzaville, possèdent une richesse pétrolière qui devrait faire leur prospérité, et pourtant tous les indicateurs de développement humain y sont au rouge.

La France a la réputation de soutenir envers et contre tout, les dictateurs de l’espace francophone : pour ne citer que les défunts, pour ne pas allonger la liste, Jean Bedel Bokassa (Centrafrique), Joseph Mobutu (République Démocratique du Congo), Gnassingbé Eyadema (Togo), et Omar Bongo (Gabon). Et ces soutiens n’ont pour seul dessein le pillage systématique des fabuleuses ressources de l’Afrique. Encore une preuve, s’il en était besoin, que les aides occidentales n’ont aucune vocation à nous aider. Mieux, Lumumba fut assassiné le 17 janvier 1961, moins de sept mois après la déclaration d’indépendance du Congo dont il était Premier ministre, pour le remplacer par Mobutu Sesseko. Marien N’Gouabi, l’homme qui avait pour seul devise « Tout pour le peuple, rien que pour le peuple » a été assassiné le 18 mars 1977 et remplacé par Yhombi Opango, lui aussi renversé le 5 février 1979, par Sassou Nguesso. L’assassinat de Thomas Sankara le 15 octobre 1987, pour le remplacer par Blaise Compaoré. Laurent Kabila, fut assassiné et remplacé par son fils Joseph, plus accommodant avec les intérêts financiers occidentaux.

Nous devons lutter pour notre survie car toujours selon Napoléon, « La mort n’est rien, mais vivre vaincu et sans gloire, c’est mourir tous les jours ».

L’enjeu est d’importance : il s’agit de lutter pour notre survie et notre humanité.

L'intégration régionale réelle comme notre issue de secours

La grandeur tragique de l’Afrique, c’est de n’avoir jamais su mettre un mouchoir sur ses certitudes. Si les indépendances ont conféré à chaque pays, une autonomie politique de juré, celle-ci peine à se concrétiser tant les inégalités sociales et l’illégitimité de certains régimes alimentent guerre et instabilité. Nous avons dit plus haut que l'Afrique devait d'abord compter sur elle-même, et non sur l'aide extérieure.

La renaissance africaine doit prendre une ampleur neuve, elle doit dépasser le simple cadre de l’esthétique pour redéfinir le rapport de « l’homme africain » au monde. Cette année, pas moins de dix-sept pays d'Afrique sub-saharienne célébreront un demi-siècle d’indépendance.

Il est insoutenable de voir nos frères mourir dans les eaux territoriales européennes. On estime chaque année, qu’environ deux millions de personnes essaient de rentrer illégalement sur le territoire de l’Union européenne.

Sur ce nombre, environ deux mille périssent en méditerranée, et autant dans les flots de l’Atlantique. Pour dit-on « refuser la misère du monde », les européens ont mis sur pied une organisation semi-militaire, le Frontex pour défendre l’Europe contre ces migrants. Face à cette palissade dressée par ceux qui viennent squatter nos richesses, les africains gagneraient à créer une sorte d’organisation pour lutter contre le pillage légalisé, cette fois de nos matières premières, par les multinationales.

Aujourd’hui les pays africains ont le devoir de bâtir des économies génératrices de prospérité et propices à la création d'une classe moyenne, laquelle est l'assise indispensable de toute démocratie. Il n’est pas difficile de tenter de dresser un bilan politique et économique du continent depuis les indépendances. Les faits sont sacrés et parlants : le développement de l’Afrique est embryonnaire en dépit de ses ressources. Son développement serait sans doute moins décontenancé si des mesures vigoureuses étaient prises.

Il est urgent que les pays africains révisent les contrats pétroliers qui font la part belle aux entreprises occidentales. Cette tache n’est pas simple quand on sait qu’elles entretiennent des rebellions et guerres afin d’exploiter gratuitement les ressources du continent. Il nous faut explorer une nouvelle voie : celle du « jeu collectif » pour reconquérir nos richesses.

Il serait donc profitable pour les africains, d’établir au sein des regroupements régionaux (UEMOA, CEMAC, par exemple) un niveau minimum de royalties, appliqué par tous les membres aux majors du pétrole et autres produits stratégiques. C’est le seul moyen d’éviter que ces vautours de multinationales punissent les gouvernements moins accommodants.

Bien-aimés frères et sœurs d’Afrique, notre devise doit être « nulli concedo » c’est-à-dire n’appartenir à personne. Mais ce à quoi nous devons aspirer pour notre continent, c’est son droit à une vie honorable, à une dignité sans tache, à une indépendance sans restrictions.

Dieu bénisse l’Afrique !

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samedi 24 novembre 2012

____Crise au Kivu RDC : l'ONU envisage d'utiliser des drones français et américains.. Un sujet controversé : Alors que l’ONU accuse le Rwanda et l’Ouganda de soutenir en sous-main la rébellion du mouvement du 23 mars (M23)

Crise au Kivu RDC : l'ONU envisage d'utiliser des drones français et américains

Alors que l’ONU accuse le Rwanda et l’Ouganda de soutenir en sous-main la rébellion du mouvement du 23 mars (M23)

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Crise au Kivu RDC : l'ONU envisage d'utiliser des drones français et américains ONU(1751) - m23(208) - drones(4) - crise au kivu(1) 23/11/2012 à 17h:33 Par Jeune Afrique

L'ONU a demandé à la France et aux États-Unis de lui fournir des drones. L'ONU a demandé à la France et aux États-Unis de lui fournir des drones. © AFP

L’ONU a indiqué qu’elle envisageait d’utiliser des drones pour la première fois afin de surveiller l’est de la RDC, où la rébellion du M23 a lancé son offensive. Des responsables des Nations unies ont pris contact avec les gouvernements congolais et rwandais.

Les Nations unies « examinent toute une série de mesures pour renforcer les capacités de la Monusco afin de protéger les civils des groupes armés présents dans cette vaste zone de l'est de la RDC », a expliqué Kieran Dwyer, porte-parole du département de maintien de la paix de l'ONU.

« Utiliser des aéronefs non armés, des drones, pour surveiller les mouvements de ces groupes est un des outils que nous envisageons », a-t-il ajouté. « Bien sûr, nous le ferions avec prudence, en totale coopération avec le gouvernement congolais, et en choisissant les moyens de surveillance les plus efficaces pour aider à appliquer notre mandat de protection des civils », a-t-il assuré.

Un sujet controversé

Alors que l’ONU accuse le Rwanda et l’Ouganda de soutenir en sous-main la rébellion du mouvement du 23 mars (M23), des diplomates de l’organisation ont pris contact avec le gouvernement rwandais et congolais afin de discuter de cette intiative. « C'est un sujet controversé, les pays ne sont pas tous d'accord là-dessus », a ainsi souligné Olivier Nduhungirehe, premier conseiller à la mission du Rwanda auprès de l'ONU.

L’organisation s’est également rapprochée de la France et des États-Unis afin que ces deux pays lui fournissent les drones qui pourraient selon elle aider à la surveillance et la sécurisation des frontières. L’ONU envisage également d’augmenter les effectifs de la Monusco, qui passeraient à 19 500 hommes. Son secrétaire général, Ban Ki Moon, doit présenter bientôt ces propositions au Conseil de sécurité où, outre les États-Unis et la France, le Rwanda siège en tant que membre non-permanent.

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RDC ( 2 réactions ) Prises de guerre du M23 à Goma : "Kinshasa nous approvisionne depuis le début" m23(208) - Nord Kivu(151) - FARDC(123) - Goma(60) 23/11/2012 à 18h:11 Par Jeune Afrique Diminuer la taille du texte Augmenter la taille du texte Imprimer Envoyer Partager cet article Le M23 a récupéré une partie des armes des FARDC à Goma. Le M23 a récupéré une partie des armes des FARDC à Goma. © Pierre Boisselet/JA

En quittant la ville de Goma, entre le 20 et le 21 novembre, sous la poussée des rebelles du M23, les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) ont laissé derrière elles de nombreuses armes et munitions. Y compris des canons. Diaporama.

Les soldats du M23 ne les cachent pas. Bien au contraire. Leurs « prises de guerre » - ces armes, munitions et canons laissés par l’armée loyale en débâcle -, ils les exhibent à Goma afin de « montrer que c’est bien Kinshasa qui approvisionne régulièrement et contre son gré, le M23 depuis le début », explique le porte-parole adjoint du mouvement Amani Kabasha. Une vingtaine de conteneurs remplis d’armements en tous genres sont ainsi stockés au port de la capitale du Nord-Kivu. On en trouve également à Katindo, l’un des quartiers de la ville.

Pour le moment, dans le Nord-Kivu, les armes se sont tues, mais, en prévision des négociations du week-end avec les chefs d’État de la région, le mouvement rebelle continue de clamer sa détermination. Et d’étaler son nouvel équipement.

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http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20121123175808/kinshasa-rdc-fardc-gomaprises-de-guerre-du-m23-a-goma-kinshasa-nous-approvisionne-depuis-le-debut.html

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samedi 22 septembre 2012

____Un monde à l'envers... Vingt ans après la chute du mur de Berlin, sept ans et demi après les attentats du 11 septembre 2001 à New York et Washington, une crise financière et économique

En détail

http://boutique.monde-diplomatique.fr/l-atlas-2009-2747.html

Vingt ans après la chute du mur de Berlin, sept ans et demi après les attentats du 11 septembre 2001 à New York et Washington, une crise financière et économique sans précédent vient à nouveau bousculer la géopolitique internationale.

Chaque jour nous apporte son lot de nouvelles d’un monde en plein bouleversement : déclin de l’empire américain, poussée de la Chine et de l’Inde, retour de la Russie. Vivons-nous la transition de l’« hyperpuissance » au polycentrisme ?

Comment s’y retrouver, comprendre les mutations en cours, dégager de nouvelles grilles de lecture ? A ces questions, le nouvel Atlas du Monde diplomatique apporte des réponses, grâce à son approche à la fois globale et précise d’un monde en mutation.

Ouvrage de référence, il présente sur chacune de ses 87 doubles pages un texte synthétique émanant d’un spécialiste (économiste, politologue, environnementaliste...) accompagné de cartes et graphiques inédits auxquels s’ajoute une sélection de sites Internet.

Au sommaire, cinq grands chapitres :

• Les nouveaux rapports de forces internationaux

• Le monde vu depuis douze grands Etats, du Nord comme du Sud

• Les vrais défis énergétiques de la planète

• Les conflits qui persistent

• Les handicaps et promesses du continent africain

Dirigés par Alain Gresh, Jean Radvanyi, Philippe Rekacewicz, Catherine Samary et Dominique Vidal, soixante-dix collaborateurs ainsi que sept géographes-cartographes ont uni leurs talents pour réaliser cette nouvelle édition entièrement inédite.

• Plus de 300 cartes, schémas et graphiques ;

• Des textes courts et synthétiques hiérarchisant les informations essentielles ;

• Des spécialistes : économistes, sociologues, politologues, démographes, historiens, environnementalistes...

• Une large bibliographie (sites Internet, livres et rapports) pour approfondir vos recherches.

200 pages, 300 cartes et graphiques, 2009.

Lire, dans Le Monde diplomatique de mars 2009, « L’œil, la Terre et le cartographe », par Philippe Rekacewicz, et « Par-delà les modes », par Dominique Vidal.

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samedi 28 juillet 2012

__[+]__Les douze tribus d'Israël. Le territoire de Juda : SIMEON, JUDA, RUBEN, GAD, EPHRAIM, DAN, MANASSE, BENJAMIN, ISSACHAR, NAFTALLI, ASCHER, ZABULON Enfants d'Israël __Particularités__ Le lion est un symbole de la tribu de Juda (Apoc.5.5) MER MORTE

Le premier livre de la Bible hébraïque ou de l’Ancien Testament la Genèse, se termine avec l’installation en Égypte des Hébreux, ou plus exactement, des 12 fils de Jacob/Israël, fondateurs directs ou indirect des 12 tribus.



Le premier livre de la Bible hébraïque ou de l’Ancien Testament la Genèse, se termine avec l’installation en Égypte des Hébreux, ou plus exactement, des 12 fils de Jacob/Israël, fondateurs directs ou indirect des 12 tribus.





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Albert Einstein

Le terme judaïsme désigne la tradition, la culture religieuse et le mode de vie des Juifs constitué des descendants des Israélites provenant de l'antique terre d'Israël et des quelques minorités les ayant rejoints par la conversion et s'étant mélangées à eux au fil de leur diaspora de deux millénaires. Le judaïsme comporte des éléments religieux mais ne s'y limite pas puisqu'il contient, outre son code de conduite, une législation, des rites, et des coutumes non spécifiquement religieuses.

Selon ses textes fondateurs, en particulier le Tanakh, la foi des anciens Israélites et de leurs descendants, les Juifs, serait basée sur une alliance contractée entre Dieu et Abraham, qui aurait ensuite été renouvelée entre Dieu et Moïse.

Les juifs fondent le judaïsme sur la religion abrahamique qui fleurira ensuite dans la Loi mosaïque (la Torah), les Nevi'im) et les Ketouvim), collectivement désignés par l'acronyme Tanakh, dont le texte constitue la Miqra ou Bible hébraïque.

Cette religion se fonde sur le culte du Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob, au Nom ineffable, qu'elle conçoit comme une Essence éternelle (YHWH), qui détient tous les pouvoirs (Elohim), transcendant Seigneur des seigneurs (Adonaï) qu'elle considère Un et Unique et qu'elle qualifie ainsi : omnipotent, omniscient, juste et miséricordieux. Cette religion professe aussi que le rassemblement de toutes les puissances (Elohim) manifesta le créateur du monde qui continue de s'impliquer dans sa destinée en faisant irruption dans son Histoire, comme lorsqu'il fit sortir d'Égypte les enfants d'Israël. Les cohanim du Temple de Jérusalem par deux fois détruit assuraient Son culte. Les rabbanim ont transmis ensuite la tradition juive jusqu'à nos jours.

Le judaïsme est l'une des plus anciennes traditions religieuses monothéistes encore pratiquées aujourd'hui. Les valeurs et l'histoire du peuple juif sont à la source des deux autres religions abrahamiques, le christianisme et l'islam. Il n'est toutefois pas à la base du samaritanisme, qui est une tradition israélite concurrente, ni du zoroastrisme, lui-même issu du mazdéisme.

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Ce portail compte 3 650 articles dont 19 articles de qualités et 8 bons articles . Vous pouvez en consulter la liste. Nuvola apps cache.png Lumière sur... Un enfant de la communauté, à Dimona, en septembre 2005.

Les African Hebrew Israelites of Jerusalem (hébreu : כושים עבריים), ou African Hebrew Israelite Nation of Jerusalem ou Original Hebrew Israelite Nation, ou Kingdom of Yah (Royaume de Dieu), souvent connus abusivement sous le nom plus générique de Black hebrews (hébreux noirs) sont une communauté religieuse d'origine afro-américaine, dont le principal centre est à Dimona, au sud d'Israël dans le désert du Neguev.

Créée dans les années 1960 par un ouvrier métallurgiste de Chicago, Ben Carter, l'organisation s'intègre dans un ensemble de mouvements américains apparus à la fin du XIXe siècle et collectivement qualifiés de Black Hebrews (hébreux noirs) ou de Black Hebrews Israelites. Ces mouvements considèrent tous que les noirs actuels descendent des anciens Israélites de la Bible, et rejettent le christianisme au profit d'une religion basée sur l'Ancien Testament, et plus ou moins proche du judaïsme traditionnel selon les groupes. La majorité des organisations Black Hebrews peuvent être considérées comme adhérant à l'idéologie dite du Nationalisme noir. En plus de ces idées, communes aux autres groupes, l'Original Hebrew Israelite Nation a des croyances et des pratiques spécifiques, comme l'émigration vers Israël, un régime alimentaire végétalien, et l'autorisation de la polygamie.

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La croix latine

Le christianisme est une religion monothéiste qui a émergé du judaïsme et qui se base sur la personne de Jésus-Christ de Nazareth, le fils de Dieu fait homme. Jésus se dit en hébreu Yeshua ce qui signifie « Dieu sauve, Sauveur », et Il est aussi appelé Emmanuel, « Dieu avec nous, Dieu parmi les hommes ». Les Évangiles ou Nouveau Testament témoignent que Jésus est né miraculeusement d'une vierge, nommée Marie, à Bethléem. Les prophètes de l'Ancien Testament (la Bible juive), et Jean Baptiste annoncent la venue du Messie, soit le Christ (Khristos en grec, c'est-à-dire « oint »). Le Messie vient sauver les hommes de leurs péchés. À 33 ans, Jésus est arrêté par le conseil religieux juif de Jérusalem, le Sanhédrin, et crucifié à Jérusalem sous Ponce Pilate, le préfet romain de Judée ; des personnes, ses disciples, témoignent de sa Résurrection trois jours après sa mort, le jour de la fête de Pâques. Le christianisme s'est développé par l'enseignement et la prédication des apôtres de Jésus au Ier siècle, qui prêchent l'Évangile aux Juifs d'abord, puis aux païens. Les chrétiens sont ceux qui reconnaissent Jésus de Narazeth comme le Messie, le Christ, le fils de Dieu, annoncé par la Loi et les prophètes dans l'Ancien Testament. C'est à Antioche que pour la première fois les disciples du Christ sont appelés chrétiens (Actes des Apôtres, XI, 26).

Jésus est pour les chrétiens le sauveur du monde, la lumière du monde, le fils de Dieu. Le passage de Jean III, 16 est un résumé du message chrétien. Dieu, dont le nom Yahvé signifie l'Être, est dans le Paradis ; Il s'est fait chair en la personne de Jésus ; Il agit par son Esprit ; il est à la fois un en trois personnes comme l'être humain qui est à la fois âme, corps et esprit.__

Le christianisme présente aujourd'hui plusieurs visages en raison des divergences théologiques et de traditions liturgiques différentes. En règle générale, on identifie trois courants principaux : les catholiques (http://www.eglise.catholique.fr/accueil.html), les orthodoxes et les protestants dès la Réforme. Le christianisme est une religion et une foi importante dans le monde depuis un peu plus de deux millénaires. Avec ses 2,3 milliards de fidèles, le christianisme est la religion la plus répandue du globe, devant l'islam, qui compte pour sa part 1,5 milliard de croyants.

Ce portail est destiné à faciliter la navigation entre tous les articles consacrés à la religion chrétienne comme à ses différentes branches. Bonne visite !

En apprendre plus sur le christianisme... Branches du christianisme modifier

Principales branches du christianisme Réforme XVIe siècle

Protestantisme

Europe du Nord, Amérique du Nord Anglicanisme 1517

Grande-Bretagne

1530 Église catholique Église catholique romaine Europe du Sud, Amérique du Sud, Amérique du Nord Unions Catholicisme




Christianisme ancien

Grand schisme XIe siècle Églises catholiques orientales

Europe de l'Est, Méditerranée orientale 431 451 Églises orthodoxes Europe de l'Est, Asie du Nord Églises des trois conciles ou orthodoxes orientales Égypte, Arménie, Syrie, Éthiopie Églises des deux conciles ou nestoriennes Irak, Iran, Inde

Lumière sur… modifier Templ.jpg

L'Ordre du Temple était un ordre religieux et militaire international issu de la chevalerie chrétienne du Moyen Âge. Ses membres sont appelés les Templiers.

Il fut créé le 13 janvier 1129 à partir d'une milice appelée les Pauvres Chevaliers du Christ et du Temple de Salomon. Il œuvra pendant les XIIe et XIIIe siècles à l'accompagnement et à la protection des pèlerins pour Jérusalem dans le contexte de la guerre sainte et des croisades. Il participa activement aux batailles qui eurent lieu lors des croisades et de la Reconquête.

Après la perte définitive de la Terre sainte en 1291, l'ordre fut victime de la lutte entre la papauté et Philippe le Bel et fut dissous par le pape Clément V le 22 mars 1312 à la suite d'un procès en hérésie. La fin tragique de l'ordre mena à nombre de spéculations et de légendes sur son compte.



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La Bible est le nom français donné au regroupement de textes sacrés du judaïsme (24 livres), ou du christianisme (autour de quarante livres suivant les divers canons), en un seul Livre, bien que chacune de ces religions, voire chaque courant en son sein respectif, ait un rapport différent à ces textes fondamentaux. Le mot « bible » désigne l’ensemble du corpus des textes religieux juifs (Bible hébraïque) ou judéo-chrétiens (Bible chrétienne). Il désigne, sous l’apparence d’un ouvrage unique, une collection d’écrits très variés (récits des origines, textes législatifs, récits historiques, textes sapientiaux, prophétiques, poétiques, hagiographies, lettres) dont la rédaction s’est échelonnée sur plusieurs siècles.

La Bible hébraïque se nomme TaNaKh, acronyme basé sur les noms de ses trois parties constituantes, la Torah est la loi, les Neviim sont les prophètes, les Ketouvim sont les autres écrits. Les chrétiens nomment Ancien Testament la partie de la Bible qui reprend les textes canoniques du Tanakh et d'autres textes antiques non repris par la tradition judaïque. La Bible chrétienne contient en outre un Nouveau Testament qui regroupe les écrits relatifs à l'avènement de Jésus-Christ. Le mot « Testament » traduit du latin testamentum, correspond au mot grec διαθήκη qui signifie « convention » ou « disposition écrite » (d'où « testament ») qui devint dans le contexte biblique « pacte » ou « alliance ». Les églises chrétiennes se réfèrent souvent à la Bible comme à la parole de Dieu.

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[Lumière sur... Satan].

Le livre de Job (איוב Iyov) est l'un des Livres du Tanakh et de l'Ancien Testament. Poème didactique écrit en prose, il a été appelé "l'un des livres les plus difficiles de la Bible".

Les nombreuses exégèses du livre sont des tentatives classiques pour réconcilier la coexistence du mal et de Dieu (pour laquelle Leibniz a forgé le terme de "théodicée"). L'intention originale du Livre de Job apparaît comme assez ambigüe : tantôt invocation à la droiture, tantôt perspective cynique de cette idée, peut-être réponse au problème du mal, ou, selon quelques érudits, satire contre un maintien "puritain" de la religion.

Le sujet est la mise à l'épreuve de Job, les circonstances de celle-ci, sa nature, l'endurance de Job, et sa conclusion. Le Livre consiste en une introduction historique en prose (ch. 1,2), la controverse et sa solution, en vers (ch. 3-42:6). Les lamentations de Job (ch. 3) sont l'occasion d'une controverse qui se tient en trois parties, chacune formée d'un dialogue entre Job et ses trois amis. Le premier échange donne le début de la controverse (ch. 4-14); le second l'amplification de celle-ci (ch. 15-21); et le troisième son paroxysme (ch. 22-27). Lire l'article Autres articles sélectionnés au sein du portail Bible

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Le saviez-vous ? colonne Pompée.

Palais de David



La Grande structure en pierre est le nom donné aux restes d'un bâtiment de la Cité de David, au sud de vieille ville de Jérusalem. Ce nom fut donné par le découvreur Eilat Mazar à cause de sa proximité avec "la structure en pierre à degrés" que Yigal Shilo voyait comme un mur de soutènement du palais du roi David ou une partie de la citadelle jébuséenne qu'il avait conquise.

Megiddo



Megiddo est située à environ 90 km au nord de Jérusalem et à 31 km au sud-ouest de la ville actuelle de Haïfa. Ce lieu domine la Vallée de Jezreel au nord. C'est un important site archéologique. Le site fut habité de 7000 à 500 av. J.-C.

École théologique d'Alexandrie



L'École théologique d'Alexandrie, dite aussi le Didascalée, fut une des grandes écoles théologiques des premiers siècles du christianisme. Sa méthode théologique était symbolico-allégorique. L'influence de Platon et du néoplatonisme y est manifeste. Elle eut des filiales en Palestine et en Pamphylie.

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Image sélectionnée

Bet shenesh aus nord.jpg Bet Shemesh, ville du district de Jérusalem en Israël, située à environ 30 kilomètres à l'ouest de Jérusalem. (obtenir en poster)

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Ancien Testament Le jardin d'Eden (par Thomas Cole)

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Personnages bibliques Abraham

Abel – Abraham – Adam – Amminadab – Ananias, Azarias et Misaël – Ange déchu – Archange – Azraël – Barachiel – Caïn – Chérubin – Dan (Bible) – David (Bible) – Élie – Esther (Bible) – Gabriel (archange) – Gadrel – Gamaliel l'Ancien – Goliath (Bible) – Haniel – Jéhudiel – Joab – Jophiel – Liste des personnages de la Bible – Liste des prénoms bibliques – Malédiction de Cham – Mical (Bible) – Michal – Michel (archange) – Mikhal – Perets – Pharaon de l'Exode – Raphaël (archange) – Rémiel – Salomé (fille d'Hérodiade) - Sem (Bible) – Séraphin (Bible) - Seth (Bible) – Sulamite – Togarma – Tsaphkiel – Uriel – Zacharie Ben Joïada – Zacharie fils de Barachie

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Lieux de la Bible Déportation des juifs

Ashterot – Aï (Bible) – Bashân – Beer-Sheva – Béthanie – Béthel – Bethléem – Bethsaïde – Beït-Horon – Pays de Canaan – Capharnaüm – Cédron (vallée) – Désert de Paran – Eben Ezer – Éden – Ein Kerem – Emmaüs (Bible) – Galaad (Jordanie) – Galilée (région) – Gath – Gethsémani – Gezer – Gibeon – Gihon - Gog et Magog – Golgotha (Calvaire) – Gomorrhe – Guilead – Havilah – Hébron – Mont Horeb – Jaffa – Jéricho (Bible) – Jérusalem – Keren-Hakarmel – Kidron – Kiryat Arba – Kiryat-Yéarim – Lac de Tibériade – Megiddo – Mont Hermon – Mont Nébo – Mont Sinaï – Mont Sion – Mont Séïr – Naïm – Nazareth – Ninive – Penouel – Rama (Ville) – Seba – Sinaï (Bible) – Sodome – Suse (Élam) – Tarsis – Temple de Jérusalem – Terre de Nod – Tophet (lieu) - Tsoar – Vallée du Jourdain – Villes lévitiques

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Nouveau Testament La maison d'Ananias

Nouveau Testament – Agapes – Antéchrist – Apôtre – Baptême du Christ – Bassin de Silwan – Codex Purpureus Beratinus – Comma Johanneum – Douze (Apôtres) – Épître – Épîtres aux Corinthiens – Épîtres pastorales – Évangiles – Fragment de Muratori – Golgotha (Calvaire) – Johannes Greber – INRI – Jésus-Christ – Marc (évangéliste) – Millenium (christianisme) – Miracles dans le Nouveau Testament – Prologue de l'évangile selon Jean – Prophétie de Siméon – Puits de Jacob – Sept paroles de Jésus en croix – Sept Églises d'Asie – Source Q – Thyateira – Tétramorphe – Variantes textuelles du Nouveau Testament – Épîtres catholiques - Eberhard Nestle

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Peuples de la Bible David et Goliath

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Versions ou traductions de la Bible Version de la Bible

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Tribus d'Israël

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r.wikipedia.org/wiki/Douze_tribus_d'Israël

  • Ruben

  • Siméon

  • Lévi

  • Juda

  • Dan

  • Nephthali

  • Gad

  • Aser

  • Issacar

  • Zabulon

  • joseph

  • Manassé

  • Éphraïm

  • Benjamin

Liste des tribus d'Israël



Tribu de Ruben fondée par Ruben



Tribu de Siméon fondée par Siméon



Tribu de Lévi fondée par Lévi



Tribu de Juda fondée par Juda (dont provient la dynastie du roi David)



Tribu d’Issacar fondée par Issachar



Tribu de Zabulon fondée par Zabulon



Tribu de Dan fondée par Dan



Tribu de Nephthali fondée par Nephthali



Tribu de Gad fondée par Gad



Tribu d'Asher fondée par Asher



Tribu de Joseph fondée par Joseph



Tribu de Manassé fondée par Joseph, père de Manassé



Tribu d'Éphraïm fondée par Joseph, père d’Éphraïm.



Tribu de Benjamin fondée par Benjamin

12 tribus de Israel fr.svg

Le décompte des douze tribus d’Israël correspond donc aux douze fils de Jacob, sauf Lévi, les Lévites n’ayant pas de territoire propre, et sauf Joseph qui est remplacé par ses deux fils Manassé et Éphraïm.

Parfois on compte une tribu pour Lévi et les tribus d’Ephraïm et de Manassé sont regroupées en une unique « tribu de Joseph ».

À noter que le livre de l’Apocalypse, attribué à l’apôtre Jean, cite les douze tribus d’Israël au chapitre 7, versets 4 et suivants, sans mentionner la tribu de Dan, mais en citant celle de Lévi et, comme tribus à part entière celles de Joseph et de Manassé1.

Destinée ultérieure

Faisant partie du royaume de Juda, la tribu de Juda survécut à la destruction d'Israël par les Assyriens, mais connut la Captivité de Babylone. Lorsque celle-ci prit fin, la distinction entre les tribus se perdit au profit d'une identité commune. Puisque, dans le Royaume de Juda, Siméon et Benjamin tenaient une place très subalterne, c'est Juda qui donna le nom identitaire - d'où est venu le mot « Juifs ». Selon la tradition, la plupart des Juifs actuels sont issus de la tribu de Juda.

Particularités

La tribu de Juda avait une place à part comme tribu principale du royaume de Juda, et c'est d'elle que venaient les souverains du Royaume (sauf les derniers rois de Judée, les Asmonéens, qui étaient des Lévites). Il semble que le statut royal de Juda soit prophétisé dans la Bénédiction de Jacob, qui annonce que le bâton ne doit pas s'écarter de Juda, ni le sceptre sortir d'entre ses pieds... même si certains érudits y voient un Vaticinium ex eventu, car ils datent le poème de quelques siècles après le Cantique de Déborah, à -800-700 environ. Avec la lignée de David parmi ses membres, la tribu compte aussi dans son sein David ainsi que ses ancêtres Booz, Obed, et Jessé. Selon les croyances juives, puisque la bénédiction semble promettre que Juda gouvernera toujours le royaume, le Messie (juif) devait être un membre de cette tribu.

De nombreux autres personnages importants appartenaient également à la tribu. Certains des plus importants prophètes qui ont laissé des écrits, notamment Isaïe, ainsi qu'Amos, Habacuc, Joël, Michée, Abdias, Zacharie, et Sophonie venaient de Juda. Par la suite, au cours de l'exil babylonien, les Exilarques (dirigeants communautaires officiellement reconnus) étaient originaires de cette tribu, et lorsque l'exil prit fin, on trouve dans la tribu Zorobabel (le chef des premiers Juifs à revenir dans ce qui était devenu la Judée), Shealtiel (un personnage quelque peu mystérieux), et Néhémie (un des premiers et plus importants gouverneurs de Judée nommés par les Achéménides). À l'époque romaine, tous les titulaires du poste de Nasi (prince) après Shemaiah se disaient de la tribu de Juda, car tous descendaient de Hillel, dont on disait que la mère était de lignée davidique (dans le judaïsme, c'est la lignée maternelle qui était la plus importante pour l'ethnicité).

Le lion est un symbole de la tribu de Juda (Apoc.5.5)

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mercredi 25 janvier 2012

___Rama Yade radiée des listes électorales à Colombes... L'ex-secrétaire d'Etat a jusqu'au 20 janvier pour exercer un recours devant le tribunal d’instance. Tweet

Depuis mardi matin, Rama Yade n'est plus inscrite sur les listes de la commune. Photo : DUPUY FLORENT/SIPA

Rama Yade radiée des listes électorales à Colombes

L'ex-secrétaire d'Etat a jusqu'au 20 janvier pour exercer un recours devant le tribunal d’instance. Tweet

http://www.metrofrance.com/info/rama-yade-la-france-ne-se-fout-pas-de-ses-enfants/mjjt!nRiFtdJIkYdrM/

POLITIQUE - La commission de révision des listes électorales de Colombes (Hauts-de-Seine) a refusé de réinscrire l'ex-secrétaire d'Etat Rama Yade, proche de Jean-Louis Borloo (Parti radical) et candidate aux législatives dans la circonscription, d'après l'affichage officiel qui pouvait être consulté mardi.

La commission de révision, qui avait déjà radié l'élue le 15 décembre du bureau numéro un, avait pris sa décision jeudi soir mais aucune information n'avait filtré depuis.

Après avoir essuyé le premier revers en décembre, Rama Yade avait engagé des démarches pour être inscrite dans un autre bureau - le numéro 29 - mais la commission s'y est finalement opposée. Rama Yade a jusqu’au 20 janvier pour exercer un recours devant le tribunal d’instance.

Rayée des listes, elle ne pourra pas voter à Colombes lors des prochains scrutins, mais elle conserve ses mandats de conseillère municipale et régionale. Sa candidature aux législatives sur la 2e circonscription (Asnières nord et sud-Colombes sud) n’est pas remise en cause non plus.

Rama Yade, qui veut ravir la circonscription actuellement aux mains du député UMP Manuel Aeschlimann, avait nié en décembre toute radiation, invoquant un "simple changement de bureau de vote consécutif à un changement d'adresse".

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Rama Yade bientôt radiée des listes électorales à Colombes?

L'ancienne secrétaire d'Etat ne résiderait pas à l'adresse fournie, selon le maire de la ville. Elle pourrait être radiée d'ici fin décembre. Avant d'éventuelles poursuites judiciaires. Tweet

La ville de Colombes dans les Hauts-de-Seine s'apprête à radier 3 000 personnes de ses listes électorales. Une procédure classique, mais qui ne devrait pas passer inaperçu cette année. En cause : l'ex-secrétaire d'Etat Rama Yade pourrait également être concernée. Le maire PS de la ville des Hauts-de-Seine estime ce mercredi que l'élue d'opposition municipale a menti sur sa domiciliation, confirmant une information du site internet Atlantico.fr.

"Comme chaque année, la commission de révision des listes électorales vérifie la régularité des inscriptions et il semble que Rama Yade, conseillère municipale d'opposition dans la ville, n'est pas régulièrement inscrite", a affirmé le maire socialiste Philippe Sarre.

D'après les documents dont le maire dispose, l'élue "ne réside pas à l'adresse fournie - celle de son association Agir pour Colombes - et ne dispose d'aucune propriété ni résidence lui permettant d'attester de son inscription au rôle de la taxe foncière ou d'habitation".

D'après M. Sarre, Rama Yade ne "respecte donc pas le code électoral et pourrait être radiée d'ici mi-décembre - comme 3.000 habitants de Colombes par an - par la commission de révision des listes électorales".

Contacté mercredi par l'AFP, l'entourage de Rama Yade n'était pas en mesure de commenter cette information.

Des poursuites judiciaires pourraient être engagées

"Une chasse anti-Rama Yade"? Le socialiste s'en défend. Ajoutant au passage qu'une éventuelle radiation ne l'empêcherait pas forcément de se présenter aux législatives ni d'exercer son mandat de conseillère municipale".

Toutefois, des poursuites judiciaires pourraient être engagées "en fonction de la décision prise par la commission de révision électorale, du comportement de Rama Yade, et de sa réaction", a déclaré M. Sarre au site internet Atlantico.fr.

Secrétaire d'Etat aux droits de l'Homme (2007-2009) puis aux Sports (2009-2010), Rama Yade avait quitté l'UMP en avril 2011 pour rejoindre le Parti radical de Jean-Louis Borloo, dont elle soutenait le projet de candidature à la présidence de la République, avant qu'il ne renonce à se présenter.

Conseillère régionale en Ile-de-France depuis 2010 et conseillère municipale d'opposition à Colombes (Hauts-de-Seine) depuis 2008, l'enfant chérie des sondages rêve de conquérir aux prochaines élections législatives la deuxième circonscription des Hauts-de-Seine, celle du député UMP Manuel Aeschlimann.

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3/

Rama Yade quitte l'Unesco pour Jean-Louis Borloo

Rama Yade, ex-figure emblématique de la sarkozie, a coupé le cordon avec le chef de l'Etat en démissionnant de son poste d'ambassadrice de l'Unesco, pour mieux suivre Jean-Louis Borloo en campagne. Tweet

Ce qui s'appelle couper le cordon une bonne fois pour toutes. "On la mise en demeure de choisir entre Nicolas (Sarkozy) et Jean-Louis (Borloo)", résumait mercredi soir un membre du Parti radical (PR). C'est désormais chose faite, puisque Rama Yade, qui s'est ralliée à l'ex-ministre de l'Ecologie dès la fin 2010, vient de démissionner de son poste d'ambassadrice de l'Unesco, pour mieux se consacrer à la campagne présidentielle...

Ce qui confirme que la candidature de M. Borloo, dont l'annonce reste prévue pour cet automne, fait figure de secret de polichinelle. Tous deux furent simultanément exclus du gouvernement au moment du remaniement ministériel de novembre dernier. Le point de départ d'une prise de distances assumée, qui ne demandait plus que cette dernière officialisation. Dès son éviction, Rama Yade prenait ainsi la roue d'un Jean-Louis Borloo déçu de ne pas s'être retrouvé à Matignon, pour reprocher au chef de l'Etat de ne pas mettre assez l'accent sur la "cohésion sociale".

Ont suivi, entre autres, des critiques sur le débat sur l'islam ("Le gouvernement fait des musulmans de France des assignés à résidence religieuse."), sur le retard à l'allumage du président Sarkozy après les révolutions tunisiennes et égyptiennes ("De la realpolitik, dans sa forme la plus brute."), ou encore un appel à voter PS dans l'entre-deux-tours des élections cantonales, alors que le gouvernement préconisait le "ni, ni" (ni PS, ni FN)... Pour finir, le 28 mars, par une formule aussi cinglante que lapidaire : "Jean-Louis Borloo, c'est le sarkozysme en mouvement."

"Dans la brousse" La décision de Rama Yade ne surpendra donc personne. Et sûrement pas le leader du PR, qui a immédiatement "salué son courage et son honneur qui ne sont pas de nature à surprendre les Français". Avant de s'enflammer : "On va faire une super équipe ! Son engagement auprès de moi m'oblige encore plus." Pour mémoire, en avril dernier, à la question de savoir si elle devait son poste à l'Unesco au seul Nicolas Sarkozy, l'ancienne benjamine du gouvernement avait sèchement répliqué : "Oui, parce que sinon je serais dans la brousse, c'est ça ?"

Sa démission n'a toutefois pas encore été officielement acceptée par l'Elysée, où elle devrait être reçue "vendredi ou samedi". Car le temps presse. "J'ai écrit au président de la République il y a quelques jours. Je lui ai dit que j'étais disponible pour discuter du jour où je pouvais quitter mes fonctions sans que cela nuise aux intérêts de la France vis-à-vis de l'Unesco, a-t-elle expliqué. On est en train de s'organiser avec Jean-Louis Borloo pour la campagne électorale. Je vais être intégrée dans le dispositif beaucoup plus officiellement, en jouant un rôle particulier. Il est important pour moi de m'investir librement, totalement. C'est le choix de la liberté et de la cohérence."

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