Grioo.com   Grioo Pour Elle     Village   TV   Musique Forums   Agenda   Blogs  
   RECHERCHER : Sur Grioo.com  Sur Google 
 Accueil  Rubriques  Archives  News pays     Contact   Qui sommes-nous ?     

Créer votre blog | Administrer votre blog |Aller au contenu | Aller au menu | Aller à la recherche

jeudi 18 novembre 9999

____Hais ton prochain comme toi même.. Elle m’a longtemps (et continue) posé problème car je comprenais en fait "aime ton prochain" et j’omettais "comme toi-même".

Aime ton prochain comme toi même

Nous sommes des millions à le faire sans nous en douter



  • Aime ton prochain comme toi même

"Aime ton prochain comme toi-même", cette injonction est au coeur du message biblique. Elle m’a longtemps (et continue) posé problème car je comprenais en fait "aime ton prochain" et j’omettais "comme toi-même".

De fait, je ressentais l’obligation d’aimer l’autre, d’aimer des personnes à l’encontre de mon inclination de ne pas les aimer pour leur méchanceté ou leur bassesse. Une réponse possible pour obéir à cet ordre divin était alors de me dire que ce n’est pas à moi de juger de la méchanceté ou de la bassesse de mon prochain. L’argument est imparable, mais il convainc plus l’esprit que le coeur.

Si au contraire je comprends le message divin "aime ton prochain comme toi même" comme l’injonction de s’aimer soi-même, j’emprunte une voie qui plait à mon esprit autant qu’à mon coeur et chemin faisant je percois mieux que cet amour que je me porte doit s’appliquer à tous les hommes.

Engagé sur cette voie, surpris par cette nouvelle compréhension et avec le sentiment d’être proche du but, je découvre alors que la route est encore longue qui mène à l’amour de soi (De l’importance de s’aimer). Car l’amour de soi passe par le respect de soi, plus qu’une idée générale c’est une somme de petites attentions que l’on se porte. L’amour de soi passe aussi par la pacification de nos conflits, ces conflits qui nous agitent et que nous transposons inconsciemment dans notre couple, notre famille, notre entourage, notre travail...

Et au final, si le monde manque tant d’amour pour son prochain, c’est probablement que nous sommes nombreux à nous aimer si peu.

Sans le vouloir, nous sommes une large majorité à aimer notre prochain comme nous même, c’est à dire si mal...

"T’accepter, c’est la première sincérité ; aimer, c’est la première loi ; apprendre à être simple, c’est la première science." JM Poirier

Envoyer à vos amis

Haut de page <

http://www.cheztom.com/amour-aime-ton-prochain-comme-toi-meme-article195.html

lire la suite

vendredi 9 novembre 6666

______Menottée, fouillée et en garde à vue pour une méprise ... De Issue de l immigration... ménoté, gardé a vu d'oeil! et pour ceux qui dénigrent ces jeunes. Attention, ces gens sont dangereux!

«Tous les flics du commissariat ont débarqué. Un premier m’a étranglé, un autre m’a frappé aux côtes. Je me suis retrouvé par terre, ­essuyant des coups. Tous me piétinaient avec leurs rangers. » Au début de cette histoire, Mik Impetto, alors animateur de quartier à Guyancourt, ramenait en voiture deux voisins qu’il avait croisés. L’un avait 16 ans, l’autre 18. Il était 18 heures, il y avait eu du grabuge dans le secteur. Quand les trois jeunes gens sont descendus de l’auto, les policiers les ont interpellés, Flash-Ball à la main, puis embarqués.

« Pourquoi ? – Vous le savez bien », ont répondu les agents. Mik et les deux adolescents ont subi le rituel de la GAV (prononcer « gé à vé » ou « gardave ») : fouille au corps, déshabillage complet. Placés en enfilade dans un couloir, les trois jeunes ont attendu, immobiles, sans pouvoir s’asseoir, boire ou manger, ni même aller aux toilettes. Il était 22 heures quand un officier est ­apparu, brandissant un paquet de bonbons. « Eh ! vous avez faim ? – Oui. – Eh bien, pour le moment, vous attendez ! » L’homme est ­reparti, espérant les faire craquer.

C’est ce qui s’est produit quelques minutes plus tard. « Quand un des jeunes a essayé de sortir, ils lui ont ouvert la porte. Le lieutenant lui a envoyé un violent coup de poing. Le gamin s’est écroulé, se cognant la tête par terre. De rage, j’ai envoyé une grosse ­patate au policier. » Et le tabassage de Mik a commencé... Après l’altercation, les policiers l’ont jeté dans une cellule. Assis sur un banc en bois, les pieds nus sur le sol souillé d’urine. Au petit matin, il s’attendait à être transféré au dépôt pour passer ­devant le procureur. Mais ce dernier n’a pas voulu l’auditionner. Le dossier était vide. L’un des jeunes qui accompagnaient Mik, le mineur, était pensionnaire dans un foyer de la Ddass. « Libérez-les tout de suite ! »

Il aura fallu dix-sept heures pour que la ­justice prenne enfin le dessus. Avec son pull en V, Mik Impetto n’a pas un look de racaille. Pourtant, cet auteur-compositeur, jamais condamné, a vécu une ­dizaine d’histoires de GAV. Récemment, une voiture banalisée l’a suivi jusqu’en bas de chez lui. Il s’est ­excusé de ne pouvoir présenter ses papiers et a proposé aux policiers de monter les chercher. « Non, vous nous suivez au commissariat. » Mik a la poisse avec les forces de l’ordre. Sa mère lui reproche de ne pas venir la voir assez souvent à Saint-Quentin-en-Yvelines. Il est désolé, mais il ne prend plus sa voiture. Trop de galères.

Depuis quelques années, ces mauvaises affaires de GAV ont largement dépassé les limites des cités. Blacks, Blancs, beurs, jeunes et vieux, riches et pauvres, à la campagne ou en ville, tout le monde en a une à raconter. Lorsque mon rédacteur en chef m’a confié ce sujet, je n’ai pas eu besoin de faire 10 mètres pour en trouver une.

L’été dernier, le mari de ma voisine de bureau est descendu se plaindre auprès d’un voisin qui jouait de la batterie en pleine nuit. Un peu plus tard, cet écrivain sexagénaire, les pieds fourrés dans ses charentaises, entendait sonner à sa porte. Sur son palier, trois agents, la main sur leur arme, braquaient leur lampe torche sur lui, l’accusant d’avoir agressé son voisin. Il s’est retrouvé menotté les mains derrière le dos, traversant la cour de son immeuble en pantoufles et en jogging, sa femme courant derrière lui à petits pas. Les policiers ont fait entrer le mari dans leur véhicule, en pressant sur sa nuque, et l’ont conduit au commissariat où il a passé six heures. « Ils se sont comportés comme si l’on était des terroristes en train de mettre au point la prochaine bombe pour faire exploser la tour Eiffel ! »

Avec ou sans alcool, à cause d’un mot de travers ou d’un ­passage pour piétons non respecté, tout ­citoyen peut être placé en garde à vue. Au poste, les traitements de choc ne semblent pas réservés aux vrais délinquants. C’est ce qu’a vécu Dominique Serrell, 60 ans, en mai 2007. A 23 h 45, après un dîner gentiment arrosé (une bouteille de vin à deux), cette consultante roule dans sa Smart quand elle aperçoit, dans son rétroviseur, une voiture de police actionner gyrophare et sirène. Le policier qui l’interpelle l’accuse d’avoir brûlé un feu rouge et lui ­reproche de sentir l’alcool. Elle conteste l’infraction, puis lâche une phrase malheureuse : « J’aime la police qui protège, pas celle qui harcèle. »

«Vous avez dit que vous n'aimez pas la police : on vous garde» Au commissariat, Dominique s’entend dire qu’elle est ivre. Lorsqu’elle souffle dans le ballon, le curseur affiche 0,35 gramme ­d’alcool. Mais elle est ivre quand même ! « Vous avez dit que vous n’aimez pas la police, on vous garde. » On lui ­refuse d’appeler son avocat. Trois policières lui demandent de se déshabiller, vérifient l’intérieur de sa culotte, lui arrachent soutien-gorge et collant. Bien que son taux d’alcoolémie soit inférieur à la limite légale (0,5 gramme), elle doit croupir dans le local de dégrisement. A 2 heures du matin, trois policiers la menottent avant de l’emmener aux urgences de l’hôpital Lariboisière. Le fourgon roule à vive allure, brûlant tous les feux. Après une visite médicale sommaire, elle est transférée au dépôt de la rue de Vaugirard.

« Si vous êtes là, c’est que vous avez quelque chose à vous reprocher », lui lance-t-on en guise d’accueil. Sa cellule de 7 mètres ­carrés comporte des W-C à la turque, un bas-flanc en béton et une couverture maculée de vomi. Incapable de fermer l’œil, Dominique passe la nuit assise, terrorisée, les yeux rivés sur la porte. Au petit matin, on la fait monter dans une fourgonnette qui traverse Paris « à tombeau ouvert », manquant de renverser des piétons sur un passage protégé. Au commissariat, on lui lit ses chefs d’accusation : « Conduite en état d’ivresse et refus d’obtempérer. » Dominique les conteste. On la fait attendre deux heures dans un local, avant de relever ses ­empreintes digitales et de la prendre en photo avec une ardoise où figurent son nom, sa date de naissance et sa taille.

Finalement, un officier la reçoit. Il semble gêné. « Vous n’êtes ni la première ni la dernière, dit-il. On a une équipe coutumière du fait. » Elle apprend que les policiers ont ajouté la mention « refus d’obtempérer » pour lui faire passer la nuit au poste. Après deux heures d’attente et un prélèvement d’ADN, Dominique Serrell récupère enfin ses affaires et peut repartir chez elle. Il est 11 h 30.

L’été dernier, bloqué dans son 4 x 4 derrière un camion de pompiers pendant vingt minutes, Bruno M. le pousse avec son pare-chocs. Une imprudence qui lui vaudra d’être menotté et de passer une nuit semblable à celle de Mme Serrell. Idem pour Sophie, contrôlée à 0,51 gramme d’alcool alors qu’elle roule à vélo sur le Pont-Neuf. Et pour Alice, osant demander des explications aux agents qui avaient placé ses enfants (de jeunes ados) en garde à vue parce qu’ils jouaient devant chez eux à 2 heures du matin.

Depuis que Frédéric Beigbeder a raconté ses deux nuits au poste dans « Un ­roman français », sorti en août 2009, les langues se délient. Autrefois ­jugées honteuses, les GAV se sont banalisées. Lorsque, aujourd’hui, Beigbeder anime des conférences sur le sujet, il demande toujours qui en a subi une. « Une trentaine de mains se ­lèvent. »

Au début du mois, Matthieu Aron a révélé, dans son livre-enquête « Gardés à vue » (éd. Les Arènes), le vrai chiffre : 800 000 en 2009. « A ce rythme-là, 1 homme sur 4 âgé de 15 à 65 ans devrait être placé en garde à vue dans les dix prochaines années », conclut-il.

Le journaliste de France Info révèle aussi l’incroyable histoire de Patricia Lamant et Bernard Copin. Ces Versaillais agressés l’été 2008 par des agents zélés mènent un combat contre les abus d’un système qui donne les pleins pouvoirs à la police pendant vingt-quatre heures de la vie d’un homme. « C’est vrai, il peut y avoir une réflexion sur la garde à vue quand elle s’applique à des délits mineurs, confie un officier de la PJ. Mais on ne peut en aucun cas priver de cette mesure ceux qui enquêtent sur les crimes et délits. Quand on abandonne une affaire de 8 tonnes de haschisch parce que des avocats ont soulevé un texte européen, c’est aberrant. »

La garde à vue à la française est illégale au niveau européen Aberrant, oui, mais le texte en question – un arrêt de la Cour européenne des droits de l’homme – existe bien. En rappelant que tout prévenu doit bénéficier de l’assistance d’un avocat « dès les premiers stades des interrogatoires de police », il rend de fait illégale, au niveau européen, la garde à vue à la française. Dans l’Hexagone, les avocats ne peuvent aujourd’hui ni consulter le dossier ni assister aux interrogatoires pendant toute la durée de la GAV. « L’avocat est un acteur aveugle et infirme de la garde à vue », explique Me Aurélien Hamelle, associé du cabinet Metzner, auteur de l’essai « Faut-il vraiment durcir la justice ? » (éd. JC Lattès). «

Les conventions internationales garantissent à tout citoyen le droit d’être assisté par un avocat à tout moment de sa vie. En France, c’est vrai, sauf pendant les vingt-quatre heures où il en a le plus besoin », résume le pénaliste Jean-Marc Fedida. Résultat, comme le résume Matthieu Aron : « Le problème entre les jeunes et les policiers n’est plus ­cantonné aux cités. Aujourd’hui, il y a un vrai problème entre les policiers et les Français moyens. »

Quels que soient les faits, un seul traitement, sans discernement. Comme cette Asiatique détenue après un vol dans un grand magasin, les gardés à vue, même pour des raisons insignifiantes, ont droit à des cellules très souvent insalubres. La semaine dernière, le tribunal de Charleville-Mézières a dispensé de peine un homme coupable de conduite en état d’ivresse et de violences à agents en raison des conditions « dégradantes » de sa détention en garde à vue.

Liens GoogleAspirateurs Dyson Explorez la gamme d'aspirateurs sans sacs, sans perte d'aspiration

www.dyson.fr/AspirateurOffres Bien Etre Spa, Massages, Beauté, Détente Jusqu´à 70% de réduction à la clé !

www.GROUPON.fr/Paris

commnt : sorti de con texte toute altercation semble illégitime ... Mais sans force de loi ... ce sera le retour à la jungle sensei12richard - Dimanche 21 Mars 2010 - 07:37

lire la suite

vendredi 2 novembre 6666

______La Tour De Garde « C'est un guet apens ! ».ou provocation qui tourne mal ? » le PDG (Parti De Grigny), est apparemment crédité d'un score de 23 à 25 % au premier tour

Un jour, une ville / Grigny

Le dernier combat de Claude Vazquez

Sandrine Binet | Le Parisien | 16.02.2008 | 07h00

DIFFICILE d’imaginer que les élections ont lieu dans trois semaines seulement. A Grigny, il y a bien des distributions de tracts au marché et quelques réunions publiques ici et là, mais la fièvre préélectorale est loin d’avoir gagné la ville. « Les municipales, personne n’en parle. Ici, les gens ont d’autres soucis en tête », glisse le buraliste de la place du Damier, à la Grande-Borne. « Je ne sais même pas si je vais aller voter, soupire Josiane, en grattant un Millionnaire. Depuis trente-sept ans que je suis ici, je vois le quartier se dégrader. » Un peu plus loin, un jeune commerçant est lui aussi tenté par l’abstention. « J’avais voté pour Ségolène à la présidentielle mais depuis qu’elle a été battue, je suis dégoûté. » Un peu plus loin, place aux Herbes, un garçon de 20 ans, mains dans les poches et capuche sur la tête, fait le pied de grue. « Moi, les élections, ça ne m’intéresse pas. Je voudrais un boulot mais quand on est jeune et qu’on habite Grigny, c’est pas facile. »

Une tentation de l’abstention sans doute entretenue par l’absence de suspense. Bastion communiste depuis 1945, Grigny n’a guère de risque de basculer. Pourtant, ces élections s’annoncent différentes des crus précédents. D’abord parce que le PC et le PS ont enfin enterré la hache de guerre. En 2001, une dissidente socialiste poussée par le député Julien Dray avait tenté de détrôner le PC Claude Vazquez, aux manettes depuis 1987. Cette fois, la suppléante du même député a rallié le maire. Un mariage de raison, pour « porter ensemble les projets pour Grigny ». Une façon aussi de préparer la relève à l’hôtel de ville.

De nouvelles voix s’élèvent Car Claude Vazquez le reconnaît, il mène là sa dernière campagne électorale, sans douter de la victoire.

« La question n’est pas de savoir si nous serons élus, mais avec quel score. Nous devons être bien élus, pour porter la volonté farouche de la ville d’être respectée par le préfet et le gouvernement », plaide-t-il, fier du grand chantier engagé dans les cités et du projet de nouveau centre-ville.

Le problème, c’est que pour la première fois, de nouvelles voix s’élèvent à Grigny pour contester l’action municipale. Pascal Troadec, ancien adjoint divers gauche, a décidé de monter sa propre liste, emmenant avec lui trois anciens conseillers municipaux. L’élu dissident vient d’être rejoint par le Parti de Grigny, une liste d’initiative citoyenne constituée par des jeunes. Ensemble, ils espèrent « faire vaciller une orientation « continuiste », qui ne sait pas se remettre en cause et admettre ses échecs ».

Au centre, le MoDem Serge Gaubier, élu d’opposition depuis 2001, est lui aussi entré en campagne, avec le soutien des Verts. Son objectif : « En finir avec une gestion défaillante, qui rejette la responsabilité du déficit budgétaire sur l’Etat sans assumer ses responsabilités. » En théorie, Claude Vazquez trouvera également sur son chemin l’UMP Daniel Mourgeon. Un élu d’opposition qui s’est toujours distingué par sa discrétion, voire sa « complaisance avec la mairie », accusent certains. Mais à trois semaines de la campagne, il n’a toujours diffusé aucun tract.

« Oui. Je ne peux me présenter personnellement puisque je ne suis pas de nationalité française. Mais ce parti, le PDG (Parti De Grigny), est apparemment crédité d'un score de 23 à 25 % au premier tour, mettant en péril l'équipe actuelle (PCF). En fait, j'étais Président du Conseil Consultatif des habitants de Grigny et nous nous sommes rendus compte qu'il y avait ici, toutes tendances politiques confondues, des gens vraiment compétents, mais qui n'avaient aucun pouvoir de décision.

Ce parti est le leur. Parce que notre constat global est que la politique locale, notamment sociale, ne fonctionne pas. Et que nos élus, aujourd'hui, n'ont pas de bonnes relations avec l'Etat. C'est pourtant à ce prix que les subventions serviront à quelque chose. Actuellement elles n'arrivent pas sur le terrain, alors que notre commune est censée s'en occuper sérieusement depuis trente ans. Je travaille aussi sur un documentaire, dans le même esprit, pour dépasser cette idée de confrontation systématique entre la population de banlieue et la police. Par l'image vidéo et mon engagement en politique je veux rétablir le dialogue. Pour que ce genre d'incidents n'arrivent plus... »

« C'est un guet apens ! ». C'est la déclaration de Madame Alliot Marie que l'on retient dans la presse d'aujourd'hui sur les troubles d'hier soir dans le quartier de la Grande Borne à Grigny (91). La vérité est (peut être) ailleurs !

Coup de chapeau à Omar Dawson, car s'il est un débutant en politique, lui au moins est sur le terrain, au cœur de l'action.

Sans le vouloir, car son but n'est pas là, il réalise le rêve de tout reporter, de TF1 à la plus obscure salle de rédaction :« Commenter une émeute en direct avec des vraies détonations (coups de feu ?) en ambiance sonore ».

videohttp://www.dailymotion.com/swf/x4kvk6&v3=1&related=1/video

Interview franche du collier de ce jeune gérant de société de production audiovisuelle et multimédia, âgé de 29 ans, de nationalité britannique, habitant Grigny (91) :

Marc Louboutin : « Quel est votre regard sur les récents troubles de la Grande Borne ? Guet-apens ou provocation qui tourne mal ? »

Omar Dawson : « Je ne crois pas que cela soit une provocation qui tourne mal. Comme d'habitude nous le remarquons dans notre quartier, à chaque période préélectorale, que la présence policière est accrue. Cela veut dire plus de pression sur les jeunes. Personnellement la semaine passée il m'est arrivé d'être contrôlé plusieurs fois de suite par des équipes différentes. Cela crée de facto une situation de tension et étonnamment arrive dans la foulée ce genre d'événement.

Marc Louboutin : « Parlons clairs. Y a t'il y a un lien direct entre cette pression policière et les incidents avec les jeunes ? »

Omar Dawson : « C'est en tous les cas ce que nous constatons. Certains CRS, pas tous bien sûr, se permettent même de dire aux jeunes : « Alors c'est ici la zone de non-droit ? Dites à vos copains de venir, nous, nous sommes prêts... » La provocation n'est pas systématiquement le fait des jeunes. La situation n'est pas si manichéenne, c'est beaucoup plus difficile à cerner. Et puis ce ne sont pas les policiers de base qui décident d'un seul coup d'intensifier les contrôles lors de ces périodes. Ils appliquent les ordres qui leur sont donnés.»

Marc Louboutin : « Quel est le profil des émeutiers ? »

Omar Dawson : « De ce que j'en sais, parce que je ne les fréquente évidemment pas, ce sont des très jeunes, entre 14 et 21 ans, pas forcément de type « racaille » comme c'est dit dans les médias. C'est sûr, comme beaucoup, ils vivent dans un milieu socialement et professionnellement précaire mais ils ne sont pas tous en rupture de ban. »

Marc Louboutin : « A Grigny, il y a déjà eu des coups de feu contre des CRS en 2005, des armes brandies devant les policiers en 2006 et cette année à nouveau des tirs sur la police. C'est une réalité la présence des armes à feu dans ce quartier ? »

Omar Dawson : « Les armes utilisées sont principalement des armes de poings à grenaille. Je pense que le but est de faire peur aux policiers. Il n'y a pas d'arsenal d'armes plus sérieuses mobilisées contre les policiers dans ce type d'affaires. »

Marc Louboutin : « Un policier d'une BAC de ce département me disait ce matin que la Grande Borne est un quartier plutôt calme en général mais que lorsque cela explose c'est toujours violent. Quelles sont les relations avec la police au quotidien ? »

Omar Dawson : « Je ne peux pas dire évidemment que les policiers sont populaires ici. Mais en général avec les jeunes qui ont passé vingt ans, nous nous connaissons et cela peut aller. Certains, même dans les BAC, tentent de dialoguer. Avec les plus jeunes c'est plus difficile parce qu'ils sont plus à fleur de peau. Mais globalement ils ne sont pas systématiquement détestés contrairement aux clichés. »

Marc Louboutin : « Quelle pourrait être la cause des incidents du 2 mars 2008 ? »

Omar Dawson : « Il y a souvent une raison, même parfois diffuse. En 2005 les policiers avaient contrôlé un bar à chicha de manière jugée outrancière par les habitants du quartier, cela a contribué au départ des troubles. Là, mise à part la pression, c'est peut être la récente libération d'un jeune qui avait pris une balle dans le bras par un policier en mai 2007. Apparemment, de ce que je sais puisque l'information n'est pas encore publique, le policier aurait tiré neuf fois à la place des trois coups de feu reconnus et aurait menti. C'est peut être cela l'information ou la rumeur qui est la goutte d'eau qui fait déborder le vase. »

Marc Louboutin : « Vous êtes à l'origine d'une liste politique qui se présente aux élections municipales. Vous pouvez m'en dire plus ? »

Grigny - Essonne (91350) Election municipale 2008

PRENDRE LE PARTI DES GRIGNOIS (mars 2008)



-Liste des candidats pour le 2ème tour (16 mars 2008)



Candidats

TROADEC Pascal DOUARIN-LAMOTHE Alexandra LE BRAS Christian ZINE Zaïra OUKBI Kouider GENOUILLE Annette PETIPERMON Frédérick LASRY Reine-Claude DIAKITE Mory BENAÏSSA Orkia MUTAMBUE Mutambue DUHOUX Andrée SCHVARTZ Olivier MARTINS MOREIRA Maria GALATA David BOUGRER-CINQVAL Catherine SCHVARTZ Marwan ALIPIO Sylvie IMTIAZ Skander FALLA Arletta SITTARAMANE Anandan TRAORE Rédia LAKEHAL Mourad MENUEL Linda DUHOUX Mathieu TAMARAT Dalila ALI Nasser OURZIK Linda METIVIER Jean-Pierre KASSIM Zalihata NIAKATE Madi ASSEGNINOU Véronique NORDINE Mounir FOFANA Fanta OUKBI Zakaria






Liste des candidats pour le 1er tour (9 mars 2008)



-Candidats

TROADEC Pascal DOUARIN-LAMOTHE Alexandra LE BRAS Christian ZINE Zaïra OUKBI Kouider GENOUILLE Annette PETIPERMON Frédérick LASRY Reine-Claude DIAKITE Mory BENAÏSSA Orkia MUTAMBUE Mutambue DUHOUX Andrée SCHVARTZ Olivier MARTINS MOREIRA Maria GALATA David BOUGRER-CINQVAL Catherine SCHVARTZ Marwan ALIPIO Sylvie IMTIAZ Skander FALLA Arletta SITTARAMANE Anandan TRAORE Rédia LAKEHAL Mourad MENUEL Linda DUHOUX Mathieu TAMARAT Dalila ALI Nasser OURZIK Linda METIVIER Jean-Pierre KASSIM Zalihata NIAKATE Madi ASSEGNINOU Véronique NORDINE Mounir FOFANA Fanta OUKBI Zakaria




Les résultats et l'ensemble des données figurant sur ces tableaux sont fournis par le Ministère de l'Intérieur







Copyright 2002 Benchmark Group - 69-71 avenue Pierre Grenier 92517 Boulogne Billancourt Cedex, FRANCE

GRIGNY Les esprits s’échauffent avant le deuxième tour Marine Legrand avec Nicolas Jacquard et Céline Carez | Le Parisien | 14.03.2008 | 07h00 LA TENSION est montée d’un cran ces dernières heures. La campagne pour les municipales envahit désormais le terrain judiciaire, les dépôts de plainte se multiplient et des actes de violence font leur apparition.

A GRIGNY.

Un immense trou béant… Dans la nuit de mercredi à hier, la voiture de Kouider Oukbi, numéro 5 sur la liste de Pascal Troadec (DVG), a été transpercée par un tir d’arme à feu. A quelques mètres de là les restes d’une cartouche de chasse… Figure du quartier du Méridien, à la Grande-Borne, Kouider Oukbi raconte avoir garé son véhicule dans la nuit. « Je l’ai trouvé comme ça vers dix heures ce matin », détaille-t-il alors que la police s’affaire à relever des indices. A côté de l’impact : un tag « PDG 0 % », reprenant les initiales du Parti des Grignois, auquel il adhère. « Depuis plusieurs semaines on m’a demandé de la fermer, me disant que j’étais trop agressif dans cette campagne », assure Kouider Oukbi. « C’est de la provocation », dénonce Pascal Troadec. Contacté, le maire PC sortant, Claude Vazquez, n’a pas souhaité s’exprimer.

A LONGPONT

la distribution de tracts s’est terminée au commissariat. Hier, Philippe Hamon, candidat centriste, a dû s’expliquer auprès des policiers sur son attitude envers une personne appartenant à l’équipe de Jean-Pierre Philippe, tête de liste UMP. Mercredi, il l’avait interceptée en train de distribuer des tracts anonymes aux propos diffamatoires à son encontre. « Nous assumons parfaitement ces propos », estime Jean-Pierre Philippe. Bilan des courses : la femme bousculée a déposé plainte. Idem du côté de Philippe Hamon qui a déposé plainte pour dénonciation calomnieuse et demandé une ordonnance sur requête, à effet immédiat, pour contraindre JPP à retirer certains propos de son blog. Balle au centre.

A MONTLHÉRY

une plainte pour « incitation à la haine raciale » vient d’être déposée par Taoufik Manouba, colistier du maire DVD, Lucien Pornin, contre « l’Ecoeuré de l’Hurepoix », une gazette locale distribuée dans le canton. Un article y soutient que le maire sortant « envisage de créer un carré musulman au cimetière de Montlhéry puis, plus tard, une mosquée ». « Cette allégation mensongère n’a pour seul objet que d’effrayer la population en faisant appel à des pulsions racistes et sécuritaires. Ce projet n’est mentionné nulle part dans notre programme. Nous n’avons même jamais discuté de ce sujet », s’insurge Taoufik Manouba.

A VIGNEUX

« Des propos intolérables, xénophobes », disent les anciens adjoints du maire et un représentant syndical. Hier, un habitant de Vigneux, Jean-Luc Touitou, secrétaire général de la CFDT en Essonne, a porté plainte contre le maire UMP, Serge Poinsot. Celui-ci a diffusé sur son blog officiel un texte se voulant satirique, « Un dimanche au marché ». Texte « au ras des pâquerettes », comme le qualifie un élu, dans lequel il cible des personnes en les qualifiant de « ripalous, déserteurs égyptiens, radis noirs, melons ». La plainte a été déposée auprès du procureur de la République. Le fameux texte a été, entre-temps, retiré du site.

  • LE DOSSIER QUI FACHE A GRIGNY

L’insécurité dans le viseur

S.B. | Le Parisien | 16.02.2008 | 07h00

QUATRE MOIS que les enseignants, les parents d’élèves et les élus de Grigny multiplient les assemblées générales et les courriers pour dénoncer la montée de l’insécurité dans la commune. Né du ras-le-bol des instits, le mouvement Stop la violence a pris une ampleur considérable, poussant même les parents à fonder une association. Normal, dans ce contexte, que la délinquance s’invite dans la campagne électorale. Claude Vazquez, le maire (PC) sortant, en appelle à l’Etat, réclamant inlassablement le retour de la police de proximité et l’embauche de médiateurs. « Nous avions demandé le financement de quinze postes de médiateurs de nuit. La préfecture nous en a accordé 6. C’est un début, mais ce n’est pas assez », plaide le maire. Pas question pour autant de mettre en place une police municipale. « La sécurité, c’est la responsabilité de l’Etat, pas des communes », tranche-t-il. Une position que ne partagent pas tous les candidats. Serge Gaubier (MoDem) milite pour l’embauche de gardes municipaux, « sur le modèle des gardes champêtres d’antan, pour faire respecter les arrêtés municipaux ». Il réclame également l’installation de vidéosurveillance devant les établissements scolaires. Une option rejetée par Pascal Troadec, l’ex-adjoint dissident, mais que Claude Vazquez n’exclut pas. « Il faut d’abord s’assurer que c’est efficace », avance le maire.

Grigny Encore un candidat menacé Sandrine Binet | Le Parisien | 15.03.2008 | 07h00 L’APPROCHE du second tour des élections municipales échauffe visiblement les esprits à Grigny. Dans la nuit de jeudi à vendredi, un adjoint au maire dissident, chef de file de PDG (Prendre le parti des Grignois), une liste « d’initiative citoyenne », a été victime d’attaques à son domicile : une poubelle incendiée, une voiture dégradée et des menaces de mort. La veille, c’était l’un de ses colistiers qui avait été pris pour cible. Quelqu’un avait tiré sur sa voiture, garée à la Grande-Borne, et tagué « PDG 0 % » sur la carrosserie. Deux tentatives d’intimidation qui provoquent une grosse émotion dans la commune.

« PDG, t’es mort »

« C’est terrible qu’on en arrive à de telles exactions, on joue avec la sécurité des gens », soupire Pascal Troadec (DVG), à peine remis de sa courte nuit. Le leader du PDG a été réveillé peu avant 2 heures par des bruits secs. Il a découvert qu’un conteneur à poubelles avait été déplacé devant son portail et incendié. « Le feu a pris juste devant mon compteur à gaz et sous les fenêtres de mes enfants. Par chance, la police et les pompiers sont arrivés très vite, raconte Pascal Troadec. Quelques minutes plus tard, j’ai découvert que les quatre pneus de la Ford Fiesta de mon épouse avaient été crevés et qu’on avait gravé Pascal té mort et PDG 0 % sur les portières et le capot. » La police a ouvert une enquête. Dans le camp du PDG, cette nouvelle attaque choque les militants. « C’est une campagne très dure, témoigne une colistière. Moi, je reçois des appels anonymes du genre PDG, t’es mort et on a dégradé ma boîte aux lettres. En 2001, alors que j’étais engagée dans une liste dissidente socialiste, on avait menacé de brûler mon appartement. » Après avoir gardé le silence jeudi, Claude Vazquez, le maire PC de Grigny, candidat à sa réélection sur une liste d’alliance avec le PS, a officiellement condamné les actes de malveillance, hier. L’élu a écrit au procureur et au préfet pour « demander que tout soit fait pour maintenir l’ordre et retrouver les auteurs » et annoncé que la ville se porterait partie civile. « A Grigny, les campagnes électorales se sont toujours tenues proprement et dignement, il faut que ça continue », avertit le maire. Hier après-midi, les quatre candidats ont signé une déclaration commune appelant « chacune et chacun à retrouver la sérénité indispensable et à tout faire pour garantir le bon déroulement du scrutin de dimanche ».

http://elections.leparisien.fr/elections-municipales-2008/essonne-91-municipales/6053-encore-un-candidat-menace.php

lire la suite

dimanche 6 mai 6666

_______A l’ombre des stades fleurit la misère, rien n'à changé pour la majorité des noirs... "Ces gigantesques immeubles de grigny II seront nos tombeaux! "

“Ces gigantesques immeubles seront nos tombeaux !”

Il y a beaucoup de chômage et, en l’absence de services postaux et faute d’une adresse officielle, il est d’autant plus difficile de trouver du travail. L’éloignement du campement est également source de difficultés. Les gens doivent prendre des minibus payants pour se rendre en ville, et de nombreux enfants ont été tués en traversant l’autoroute toute proche. La criminalité est également très élevée, mais la police n’intervient guère. La mobilisation contre les expulsions s’organise notamment grâce aux nouveaux médias. Pamela Beukes est secrétaire de la Campagne antiexpulsions de l’ouest du Cap Anti-Eviction Campapaign.

Elle ne décolère pas. “Ils font pire que le régime de l’apartheid ! A l’époque, on avait au moins le droit à une maison en briques. La Coupe du monde était censée améliorer notre niveau de vie, mais c’est le contraire qui se produit”, note-t-elle. La municipalité rejette ces accusations. Kylie Hatton, porte-parole de la ville, défend sa politique. “La ville du Cap ne déplace pas les habitants, affirme-t-elle. La Zone de relogement temporaire a été construite pour fournir des logements d’urgence… Il y a un vrai problème de vandalisme, et nos fournisseurs ont dû revenir à plusieurs reprises pour réparer les toilettes cassées ou les câbles électriques.” Autre conséquence de cet événement, des dizaines de milliers de vendeurs à la sauvette vont perdre leur gagne-pain. La Fédération internationale de football (FIFA) impose en effet autour des stades des “zones d’exclusion” qui sont uniquement réservées aux commerces autorisés. “La Coupe du monde va tuer les petits vendeurs à la sauvette”, assure Regina Twala, qui vend des repas à emporter depuis trente-cinq ans à côté du stade d’Ellis Park. “Si on nous interdit de faire du commerce à proximité des stades et des zones touristiques, comment va-t-on profiter du tourisme ?” Il y a certes eu une croissance dans le secteur du bâtiment grâce à la construction des stades, mais la plupart des ouvriers ont depuis été licenciés et n’ont toujours pas retrouvé de travail. “C’est juste un tour de passe-passe pour détourner l’attention du public de ces seize années de démocratie qui n’ont rien changé pour la majorité des Noirs dans le pays. Ces gigantesques stades seront nos tombeaux ! L’enjeu de cette Coupe du monde n’est pas le football ni le tourisme : c’est un moyen pour les politiciens et leurs amis de s’en mettre plein les poches…”, conclut Andile Mngxitama, éditorialiste et journaliste politique, qui devrait bientôt publier un pamphlet intitulé A bas la Coupe du monde !

Un adolescent brave les mouches et l’odeur nauséabonde des toilettes extérieures pour chercher de l’eau. L’air absent, il fixe les rangées de taudis en tôle rouillée. Ici, il n’y a pas d’arbre ni le moindre brin d’herbe. Ici, rien ne pousse. Zone de relogement temporaire pour le maire du Cap ou camp de concentration pour ses habitants, vous êtes à Blikkiesdorp ! Ses habitants disent avoir été expulsés de force de leurs anciens logements et installés ici contre leur gré. Pour eux, c’est la faute à la Coupe du monde de football qui aura lieu du 11 juin au 11 juillet 2010. “Ici, c’est une décharge, lance Jane Roberts. Ils ont chassé les gens des rues parce qu’ils ne voulaient pas les voir pendant la Coupe du monde. Maintenant on vit dans un camp de concentration. La police vient la nuit pour nous rouer de coups ! L’Afrique du Sud ne veut pas montrer comment elle traite son peuple. Il n’y a que la Coupe du monde qui compte !”

Pour le gouvernement du président Jacob Zuma, cet événement sportif profite déjà à l’ensemble du pays : création d’emplois, rénovation des infrastructures existantes et amélioration de l’image du pays à l’étranger. L’Afrique du Sud a dépensé sans compter pour les stades qui accueilleront les matchs et le Stade du Cap est sans doute la plus grande réussite. Pour les associations, cet endroit sinistre dans la township de Delft est la preuve que la première Coupe du monde organisée en Afrique est surtout destinée à impressionner les riches étrangers. D’après les habitants de Blikkiesdorp, la situation est pire qu’au temps de l’apartheid. Blikkiesdorp a été construit en 2008 pour la somme de 32 millions de rands 2,8 millions d’euros afin de fournir des “logements d’urgence” à environ 650 personnes. Mais, selon les habitants, environ 15 000 personnes y vivraient et de nouveaux arrivants ne cesseraient d’y déferler. La municipalité rejette ces chiffres, mais, dans certains cas, six ou sept personnes s’entassent dans des espaces de trois mètres sur six. La chaleur y est accablante en été et le froid glacial en hiver. Le bacille de la tuberculose et le virus du sida y prospèrent. Quant aux bébés nés ici, ils n’ont même pas d’existence officielle. Les allées qui séparent ces abris de fortune sont tirées au cordeau et les bicoques sont toutes identiques. Les maisonnettes ont beau être équipées de l’électricité, les allées sont pleines de chiens errants, de détritus et de sable gris qui tourbillonne.

Sandy Rossouw, 42 ans, faisait partie des 366 personnes expulsées du foyer Spes Bona, dans le quartier de Athlone. Avec sa famille, ils dorment à cinq dans le seul lit de sa bicoque de Blikkiesdorp. “Nous avons été expulsés de notre foyer à cause de la Coupe du monde, fulmine-t-elle. Il se trouvait à 200 mètres du stade. Nous ne voulions pas partir, mais ils ont menacé de faire intervenir la police. Ici, tout le monde crève de faim ! Les gens marchent trois heures pour aller à Athlone s’acheter une miche de pain. Huit familles se partagent un seul WC, c’est scandaleux ! Il y a quelques semaines, des hommes nous ont menacés avec un fusil d’assaut. Il faut annuler la Coupe du monde ! Ils rénovent les bâtiments du Cap pour des centaines de millions de rands. Pourquoi ne pas dépenser cet argent ici ?”

  • conséquence de la Coupe du monde, des dizaines de milliers de vendeurs à la sauvette vont perdre leur gagne-pain.

La Fédération internationale de football (FIFA) impose en effet autour des stades des “zones d’exclusion” réservées aux commerces autorisés.

“La Coupe du monde va tuer les petits vendeurs à la sauvette”, assure Regina Twala, qui vend des repas à emporter depuis trente-cinq ans à côté du stade d’Ellis Park, à Johannesburg. “Si on nous interdit de faire du commerce à proximité des stades et des zones touristiques, comment pourrons-nous profiter du tourisme ?”

http://www.courrierinternational.com/article/2010/05/06/a-l-ombre-des-stades-fleurit-la-misere

lire la suite

lundi 12 mars 6666

______Faire des enfants pour les abondonnées a la "DASS" ou à leur propre et sinistre destin de la rue.. enfants abandonnées par le père, femmes trompées et abandonnées.. après 2-3 enfants? Sale bâtard de nègre

Un enfant meurt de faim toutes les six secondes, le congo est en proie à la famine et Dubaï comme notre France mène grand train, la crise les affole mais pas la faim.

Tout en haut de la montagne

  • Les gens se pressent dans la vaste plaine

Fatalistes abusés par des plateaux où pousse la haine

L’azur s’est terni mais son visage est rebelle

Je fais les cent pas Dieu que cette montagne est belle

  • Un attroupement d’hommes se forme ils parlent

Ils veulent encore manger la pomme ! Ils le disent

Pour mieux se hisser là-haut et devenir des géants

Les maîtres de la montagne les maîtres du néant

  • Les vents se déchaînent s’en prennent à cette foule

Ils déambulent de là-haut car soudain tout s’écroule

L’eau la boue coulent les conquérants s’agenouillent

  • J’abandonne je renonce je reviendrais plus tard

Respirer la montagne m’asseoir sous son fard

Emprunter ses cols la caresser de mon haleine

  • Je reviendrais si je le peux ! M’asseoir sur son échine

Oublier les religions oublier le faux sage qu’endoctrine

Puis monter sur sa crête pour parler à tous les Dieux

Je reviendrais si j’en ai toujours le temps

Respirer cette aura qui l’habite depuis si longtemps

En haut de la montagne je crierais, rien ne m’appartient !

http://www.lepost.fr/article/2009/11/27/1812804_un-enfant-meurt-de-faim-toutes-les-six-secondes-dubai-comme-notre-france-mene-grand-train-la-crise-les-affole-mais-pas-la-faim.html

..« Sale nègre, si t’es pas content d’être en France rentre chez toi dans ton pays de singes. C’est pas une obligation que tu restes ici chez nous. tes frères les sales nègres et les sales négresses y’en a marre de voir vos sales gueules partout ou l’on va. alors ici si tu ne te plaît pas rentre chez toi dans ton pays de nègres bouffer des bananes.

La police a raison de contrôler de très près tous les nègres surtout à Paris où vous êtes là des milliers venus nous envahir et sans papiers sans autorisation de séjour chez nous. et en plus vous exigez des logements décents rentre chez toi habiter dans des cahutes de paille et de terre.

Moi et ma femme avons des studios à louer et jamais de la vie nous louerons à des nègres plutôt y foutre le feu dedans. Va voir chez toi dans ton pays si c’est mieux Sale bâtard de nègre plutôt que de venir pleurer chez Fogiel on a bien rigolé et applaudi la police qui fait très bien son travail vous êtes tous des envahisseurs et ils ont eu le droit d’agir en bon protecteurs des français. de toute façon tous les nègres nous tutoient les premier ils sont sales et n’ont pas d’éducation ce sont des primitifs alors on a pas à se laissé emmerder par cette vermine. Monsieur Robert Jean-Marie résidence les siguières A rue de latourache fréjus 83 600 Rentre chez toi dans ton pays ou ferme ta gueule de nègre »

lire la suite

______Mourir de misère dans la rue est une chose.. Souffrir de ne pas manger assez ou de mal manger arrivent en France.? En afrique (Sahel, Nigeria.. Congo) des enfants meurent de faim."A CELUI QUI A FAIM NE DONNE PAS DE POISSON, APPRENDS LUI A PECHE

Pourquoi cette question ?

Mourir dans la rue est une chose, souffrir de ne pas manger assez ou de mal manger arrivent en France.

  • "A Celui qui a faim ne donne pas de poisson, apprends lui à pècher!". "Mourir de faim, c'est endurer de longues et terribles souffrances. Un mal dont les enfants sont les premières victimes."

En afrique (Sahel, Nigeria... Congo) des enfants meurent de faim.

Comme quoi, il n'y a pas que des co..ries dans les Evangiles! même s'il s'agit plutôt d'un proverbe chinois... mais, c'est un détail. Le fond de ce proverbe est assez bon... sauf dans le désert !

Ici a grigny, on y meurt aussi :

  • -de froid,
  • -de solitude,
  • -de manque de soins,
  • -de manque d'amour,
  • -de manque d'intérêt pour autrui,
  • -de compassion envers les uns et les autres,
  • -de solidarité
  • -de conditions de vie (incendies ds des immeubles insalubres),
  • -de désespoir,

La situation est particulièrement difficile.., aujourd'hui en France, 8 millions de Français vivent avec un revenu inférieur à 900 Euros... Et dans le même temps les 2 ou 3% qui touchaient 2 millions annuel font tout ce qu'ils peuvent pour en toucher 4...

  • Mise en aparté

La moyenne du PIB des 49 PMA est de 278 dollars (318 euros) par habitant. Certains comme l'Ethiopie, la république démocratique du Congo, le Burundi et la Sierra Leone sont même sous la barre des 150 dollars (171 euros). A titre de comparaison, la moyenne du PIB par habitant des pays riches s'élève à plus de 25 000 dollars (28 600 euros)... Les PMA cumulent les carences dans la santé (74 % de naissances non médicalisées en moyenne), l'éducation (50 % d'illettrés), l'accès à l'eau (43 % de la population n'a pas d'accès direct à l'eau potable) ou l'espérance de vie (51 ans en moyenne). En trente ans, loin de se combler, le fossé s'est élargi. De 25 en 1971, on est passé à 49 ce mois-ci, avec l'arrivée du Sénégal. Au total, 10 % de la population mondiale ne vit qu'avec moins de 1 % du revenu mondial. L'Afrique concentre 34 PMA. Seul le Botswana a quitté le club

Avec 410 dollars de revenu moyen par habitant, la Guinée fait beaucoup mieux que la plupart des pays subsahariens, notamment le Kenya, le Burkina, le Bénin ou la Zambie, pour ne citer que ceux-là. Mais son revenu se situe en dessous de la moyenne régionale (450 dollars) et demeure inférieur à ce qu'il était il y a dix ans (- 10 %). Exprimé en francs guinéens, ledit revenu ne cesse de progresser, mais ce n'est qu'une illusion, la valeur de la monnaie étant en chute libre. Devise de référence utilisée à Conakry, le dollar américain vaut aujourd'hui près de 2 000 FG. Par rapport à 1998 (1 150 FG), l'augmentation est de 74 %. Cette dépréciation monétaire, qui risque de s'aggraver dans les prochaines semaines, se répercute sur le niveau des prix bien au-delà du taux d'inflation officiel (+ 6 % prévu en 2003, contre + 3 % en 2002). Ce taux est, en effet, fondé sur un panier de produits qui ne reflète pas le niveau de vie réel des Guinéens.

L'économie reste trop dépendante d'une seule matière première : la bauxite, dont on tire l'aluminium, rapporte de moins en moins de devises en raison de la baisse des cours sur le marché mondial, aggravée par la baisse de la teneur du minerai guinéen. Selon le FMI(*), la reprise de la croissance, entre 2000 et 2002, s'explique essentiellement par les bonnes campagnes agricoles. C'est presque le seul point positif du rapport que l'institution a publié au mois d'août. Les points noirs, en revanche, sont nombreux : aggravation des déficits (budgétaire et commercial), faiblesse des investissements privés, manque de discipline fiscale, baisse de la production industrielle, pénurie d'eau, coupures d'électricité... La dette extérieure équivaut au PIB annuel (3,2 milliards de dollars) et les réserves de change couvrent à peine deux mois d'importation (au lieu de trois). La deuxième facilité que le FMI devait approuver en septembre dans le cadre du programme de lutte contre la pauvreté a donc été bloquée, en attendant un redressement de la situation et... l'issue de la prochaine élection présidentielle !

source:

En un mot de misère oui, malheureusement. Je vis dans une cité "sensible" et pourtant, malheureusement, j'ai entendu dire qu'on aurait retrouvé des personne morte de faim, et qui survivait dans les caves insalubres et devasté par les incendies..!!

La mal-nutrition est une composante de la misère qui provoque un affaiblissement de l'organisme le rendant beaucoup plus fragile face au froid ou/et à la maladie.

Dans ce contexte, oui on peut dire que l'on meurt de faim à grigny et partout en France.

Je suis persuadé que de nombreuses personnes décédées dans la rue, "chez soi", ou à l'hopital, je parle de misère avec ou sans toît, seraient encore en vie avec un organisme un peu plus "costaud".

Ceux qui meurent de faim sont les SDF !?? pas si sûr.. Elle n'est malheureusement pas aussi séléctive .!

"Mourir de faim, c'est endurer de longues et terribles souffrances. Un mal dont les enfants sont les premières victimes." En afrique (Sahel, Nigeria) des enfants meurent de faim.

"Mourir de faim, c'est endurer de longues et terribles souffrances. Un mal dont les enfants sont les premières victimes." En afrique (Sahel, Nigeria... Congo) des enfants meurent de faim.

Je pense peut-être mal... en attendant je m'en sort mieux avec 900 euros par mois que ceux parfois qui gagnent 2 000 hein ? alors je pense peut-être mal, mais en attendant ça fonctionne... (Faire des enfants pour faire des enfants à l'heure de la pilule, ton discours est avarié )

http://www.notre-planete.info/actualites/actu_1034_18000_enfants_meurent_chaque_jour.php

  • Il faut se demander pourquoi tant de surplus et pourquoi tant d'animaux meurent

'http://www.rmc.fr/forum/rmc/bourdinampco/est-ce-quen-france-on-meurt-de-faim-357/messages-1.html''

Il faut se demander pourquoi tant de surplus et pourquoi tant d'animaux meurent

"Environ 18 000 enfants mourront de faim et de malnutrition aujourd'hui. Ce n’est pas facile à réaliser pour des gens aux Etats-Unis ou en Europe" a déclaré M. Morris. "Mais d’ici un mois, il y aura plus d'enfants qui seront morts de faim qu'il n’y a d’habitants à Washington. Pourtant il n'y a ni gros titre, ni tollé. Au lieu de cela, ces enfants pauvres et oubliés meurent discrètement dans des pays comme le Guatemala, le Bangladesh et la Zambie - loin de nos yeux. Cela ne devrait pas arriver : nous avons tous les outils nécessaires pour en finir avec la faim."

  • La faim nuit au développement du cerveau

L'impact de la faim et de la malnutrition est souvent grave pour les enfants. Une récente étude a montré une fois encore que le développement cognitif pendant les premiers mois et années de la vie est crucial et influence l'apprentissage, le comportement et la santé tout au long de la vie. La faim nuit au développement du cerveau des enfants, diminuant leurs chances de succès pour l’avenir. La sous-alimentation affecte chaque étape et aspect de la vie , en ralentissant non seulement la croissance physique mais aussi le développement mental – le Q.I. chute de 10 à 15 points, voire plus. Dans certains pays, les taux de retard de croissance dépassent 60 pour cent. "Imaginez l'impact sur les pays pauvres qui cherchent à développer leur économie". "Comment leur population active peut-elle être compétitive ? L’éducation et le développement sont tout simplement impossibles dans un pays où l’on a faim."

"Étant donné que 70 pourcent du développement cognitif a lieu au cours des deux premières années de notre vie, la malnutrition précoce peut avoir un effet dévastateur" a déclaré M. Morris. "Avant même de savoir parler et marcher, ces gosses ont déjà une longueur de retard."

Des chercheurs chiliens ont démontré que les enfants qui ont souffert de la malnutrition avant l’âge de deux ans tendent à avoir des cerveaux plus petits et moins développés et des quotients intellectuels inférieurs à ceux qui ont été bien nourris.

  • Enfants bien nourris meilleurs à l'école

D'autres études montrent que la carence en fer chez les enfants de moins de deux ans peut être associée à de mauvaises performances scolaires une fois qu'ils atteignent l'âge d’aller à l’école. De même, les enfants en retard de croissance peuvent perdre des années d’éducation parce qu'ils sont scolarisés plus tard qu'ils ne devraient. En revanche, les enfants bien nourris sont sensiblement meilleurs à l'école.

« La conclusion que nous pouvons en tirer est qu’il est primordial d'intégrer l’alimentation dans les programmes d'éducation - alimentation scolaire - avec des interventions pour la survie et la croissance des nourrissons afin d’avoir le plus grand impact alimentaire sur les enfants » a déclaré M. Morris. « Et les programmes contre la faim des enfants doivent commencer avant même que l'enfant ne vienne au monde - ils doivent commencer par la mère. »

  • Intégrer l'alimentation dans les programmes d'éducation

M. Morris a comparé les opportunités et les technologies éducatives actuelles dont les enfants disposent dans les pays développés pour concrétiser leur potentiel avec les ressources extrêmement limitées disponibles dans les pays les plus pauvres du monde. Dans les pays comme le Niger, le Tchad ou le Bangladesh, des millions d'enfants ne vont pas à l'école, car les familles ont besoin que chacun travaille pour joindre les deux bouts.

« Il n'y a rien de mal à vouloir le meilleur pour nos propres enfants, le contraire serait anormal. Mais la prochaine fois que vous achetez un nouvel ordinateur portable à votre enfant ou que vous programmez ses cours particuliers, ayez une pensée pour les millions d'enfants dont les doigts ne toucheront jamais un clavier – ceux qui auraient déjà de la chance s’ils avaient accès à l’alphabétisation et à l’arithmétique de base » a déclaré M. Morris.

  • Assez de nourriture pour tout le monde

« Nous pouvons faire une différence. Il y a plus qu'assez de nourriture dans le monde. Par exemple en Italie, une fois que les besoins alimentaires de la population sont satisfaits, il y resterait suffisamment de nourriture pour toutes les personnes sous-alimentées en Ethiopie ; les « restes » des français pourraient alimenter ceux qui souffrent de la faim en République Démocratique du Congo, et ceux des Etats-Unis pourraient nourrir tous les affamés d’Afrique. »

  • Mettre en place une politique alimentaire prioritaire

« L'aide publique au développement a connu une hausse constante pendant plusieurs années et plafonne maintenant à 100 milliards de dollars. Nous pouvons faire quelque chose, mais nous devons mettre en place une politique alimentaire prioritaire - on ne pourra pas éradiquer la pauvreté tant qu’on ne s’attaquera pas à la faim et la malnutrition. Et un bon début serait d’empêcher que la faim n’anéantisse toute lueur d’espoir des enfants. »

source :http://www.notre-planete.info/actualites/actu_1034_18000_enfants_meurent_chaque_jour.php

  • Un enfant meurt de faim toutes les six secondes dans le monde.

Que deviennent les produits périmés des grandes surfaces?

Une indice: 200 tonnes de produits alimentaires périmés détruits à Zanzibar

Les invendus de la grande distribution restent mal digérés en France. Tous les aliments mis en rayons ne terminent pas dans nos assiettes. Certains passent de la production à la destruction. Une fois la date de péremption dépassée, un produit ne peut plus être vendu, avec interdiction de le donner aux associations caritatives. Reste la poubelle, qui devient source d'énergie chez nos voisins européens.

Au rayon boulangerie d'un grand magasin, les consommateurs piochent méthodiquement dans les panières. Il y a ceux qui veillent à acheter du pain frais avec un délais de conservation maximum. Et ceux qui se ruent sur les croissants bradés, en raison d'une date de péremption proche.

« Près de neuf Français sur dix déclarent prêter attention à la date limite lorsqu'ils achètent des œufs », indique une étude de l'Institut national de la recherche agronomique. Une fois ce délai expiré, le produit doit être retiré de la vente.

Fruits et légumes, viande, poissons… La mention « A consommer jusqu'au » doit figurer sur chaque produit périssable, conformément au code de la consommation. Dans la grande distribution, l'application de ce texte varie. Certains privilégient la fraîcheur de leur stock.

Deux ou trois jours avant expiration de la date limite de consommation (DLC), les produits sont retirés des rayons : direction les associations caritatives. En 2009, les enseignes de la marque Carrefour ont ainsi distribué près de 14 000 tonnes de denrées, tous produits confondus.

  • Jetés dans une cuve, aspergés de produits chimiques

D'autres distributeurs préfèrent vendre à tout prix en affichant des offres promotionnelles. Daniel Doyer, président de la banque alimentaire de Tours, constate :

« Depuis la crise, les consommateurs prêts à acheter des produits bon marché jusqu'au jour de la date de péremption sont de plus en plus nombreux. Mais le soir même, quand le délai expire, le produit ne peut plus être donné à une association. Il doit être détruit. »

Détruire, c'est emballer dans de grands sacs plastiques les invendus. Ou jeter les aliments dans une cuve en aspergeant le tout de produits chimiques. « Cela dégage une odeur nauséabonde », rapporte Charlotte avec une moue dégoutée. Chargée de la mise en rayon, la jeune fille suit les instructions de la direction :

« Nous devons tout jeter dans une cuve. Sans prendre la peine de séparer le contenant du contenu. »

Puis, les déchets sont acheminés dans des centres d'enfouissement. Un service à hauteur de 120 euros la tonne. Si la gestion des stocks est facilitée par les outils informatiques, les palettes de nourriture invendues avoisineraient encore les 1,6 millions de tonnes par an (chiffre calculé sur la base des données fournies par l'enseigne Auchan dans les Echos du 12 janvier 2010). D'ailleurs, rares sont les enseignes qui acceptent de communiquer leur taux de déchets.

  • Nos « déchets » chez les Belges

En France, il existe peu d'unités de méthanisation qui transforment les produits périmés en énergie.

Ce principe s'étend pourtant chez les Britanniques. Dès mars 2009, Tesco, première enseigne de supermarchés en Grande-Bretagne, s'engage à transférer sa viande invendue vers des centres de fermentation ou des incinérateurs -soit 5000 tonnes par an. Quelques mois plus tard, son concurrent, Sainsbury's, souhaite valoriser 42 tonnes hebdomadaires de déchets dès l'été.

Martine Boussier, responsable du centre européen d'expertises et d'innovations Alimentec, note :

« En Allemagne et en Autriche, les initiatives de valorisation sont beaucoup plus nombreuses. En France, il y a quelques centrales de déchets ménagers qui jouent la carte de la méthanisation. Comme à Montpellier ou dans l'Ain. Mais nous avons beaucoup de retard. »

Depuis trois ans, quinze magasins Auchan du nord de la France livrent leurs déchets -3 100 tonnes l'an dernier- vers un centre de méthanisation belge. Le groupe Vanheede en produit 525 mégawattheures, ce que consomment 150 foyers français par an. L'unité de transformation s'autogère en électricité et revend les 75% d'énergie restante au réseau local.

Martine Boussier analyse :

« En comptant le transport, le stockage et la main d'œuvre, il n'est pas toujours rentable de transformer ses déchets. D'où l'importance de créer des projets collectifs avec toute l'industrie agroalimentaire. »

Sans l'appui de la grande surface, Vanheede serait déficitaire. Pour le distributeur, le coût de cette prestation reste inférieur à celle de l'enfouissement. Satisfait, le directeur environnement d'Auchan, Pierre Frisch, souhaite prolonger l'initiative, comme il l'indique au journal Les Echos :

« Nous produisons au total 180 000 tonnes de déchets alimentaires et non alimentaires. Nous pourrions méthaniser les 48 000 tonnes qui ne peuvent être données aux banques alimentaires. »

Cet engouement ne fait pas l'unanimité. En Grande-Bretagne, l'association végétarienne de protection des animaux Viva s'alarme du traitement des invendus :

« Il faut se demander pourquoi tant de surplus et pourquoi tant d'animaux meurent pour le fournir ? »

Produire, transporter, conserver et recycler : autant d'énergie déployée pour un produit qui ne sera jamais consommé. Seul bénéfice possible au sein de ce cycle de vie, recréer l'énergie dépensée.

source :http://eco.rue89.com/2010/03/13/que-deviennent-les-produits-perimes-des-grandes-surfaces-142205

lire la suite

mercredi 7 novembre 2012

____Kongos : stadium IIIe reich (Tuti Dia tiya, Kodi Puanga, etc.) wismerhill

Les Kongo sont un peuple d'Afrique centrale établi sur la côte atlantique de Pointe-Noire au nord (République du Congo) à Luanda (Angola) au sud et jusque dans la province du Bandundu (République démocratique du Congo) à l'est, y compris dans la Province du Bas-Congo de la République Démocratique du Congo. À la fin du XXe siècle, ils sont évalués à environ 10 000 000 d'individus.

Empire Kongo.

Crucifix en alliage de cuivre du XVIIe siècle (République démocratique du Congo)

Les Bakongo migrèrent vers le IIIe siècle en provenance du sud, après une migration en spirale, sous la conduite de leurs dirigeants (Tuti Dia tiya, Kodi Puanga, etc.) et s’établirent près des berges d’un grand fleuve Nzadi ou Zaïre en portugais. En 1482, les Portugais atteignirent les côtes sous la conduite de Diogo Cão. Le royaume Kongo était alors à son apogée grâce à la culture de l’igname, le traitement du fer et l’échange de houes contre de l'ivoire avec les peuples de l’intérieur.

Les Bakongo établirent des relations diplomatiques, qui prévoyaient également l'envoi d'une délégation à la cour royale du Portugal en 1485. Les relations d’abord égalitaires se transformèrent en une mainmise des Portugais. Dans un esprit de modernisation les dirigeants kongo acceptèrent le christianisme des missionnaires européens. Cela comportait également l'adoption des mœurs et style de vie portugais, ce qui déplut à une grande partie du peuple. Qui plus est, vers 1452, un prophète, Ne-Buela Muanda, prédit l'arrivée des portugais et la mise en esclavage physique et spirituel de beaucoup de Bakongo.

Il en résulta des tensions entre les chrétiens et les adeptes des religions kongo. En 1526, les Portugais furent expulsés, mais ils s'allièrent contre les Kongo à des chefs militaires kongo rebelles de la province de Yaka, Jagas (Bayaka) en 1568. Le Royaume de kongo ne retrouva jamais sa grandeur passée. Les années suivantes virent les Baongo se battre alternativement contre et avec les Portugais, les Néerlandais et les Espagnols pour finalement être colonisés en 1885. Au XXéme siècle, un parti politique kongo, l'Alliance des Bakongo (ABAKO) ainsi que les communautés kimbanguiste et Bundi dia Kongo jouèrent un rôle important dans l'indépendance de la République démocratique du Congo en 1960.

Le royaume levait des impôts, établit le travail obligatoire de ses citoyens pour financer sa stabilité sociale. En effet, la prise en charge de la frange la moins favorisée de la société était le devoir principal du roi. Le roi pouvait être un homme comme une femme. Quand c'était un roi, son épouse était la première dame du pays, et pouvait choisir et répudier son mari, le destituer, lever l'armée, etc.

Les jours de travail étaient réglementés, de sorte qu'un jour de repos tous les sept jours était accordé à chaque personne, mais par roulement selon les provinces et les clans. La semaine Kongo est constituée de quatre jours, le mois de 28, et on compte quatre jours de repos par mois (1 tous les 7 jours).

Contrairement à nombre de sociétés non-africaines de la même époque, le système social était plus favorable aux moins nantis, dans la mesure où :

les propriétaires de terrains, les employeurs et toute la classe aisée devaient prendre en charge les plus démunis, sous peine de déshonneur. Par exemple, il était obligatoire qu'un employeur fasse travailler ses employés le matin et leur laisse l'après-midi pour produire pour leur famille et leur bien personnel ; tout manquement pouvait s'accompagner de discrédit social.

Quant au roi, il était le responsable de toutes ces franges de la société. Il était élu par un groupe de gouverneurs, habituellement des chefs de parties importantes et par la suite par les officiels portugais. Les villes étaient généralement dirigées par des chefs de village, devant qui ils étaient responsables. Tous les membres du gouvernement étaient investis dans leurs fonctions sous des conditions de compétence, de respect des mœurs et avec l'aval des autorités spirituelles. Culture

La religion Kongo considère le monde comme multidimensionnel. Le monde matériel et le monde spirituel sont deux espaces qui se croisent en certains points de l'univers. Les humains sont cantonnés en dimensions inférieures (3) ou avancées (hauts prêtres, etc. : 4 et plus). Les esprits évoluent dans une sous-partie de cet univers d'au-moins 8 dimensions. Dans le monde des esprits se trouve la cité des ancêtres, Mpemba. Au-delà de ces mondes, se trouve Kalunga Nzambi ya Mpungu Tulendu. Les ancêtres font office d'intermédiaires entre le divin et l'homme.

Le divin est perçu comme la Cause primaire de toute chose, l'essence vitale de toute chose ainsi que la destination finale de toute chose. C'est ainsi que Kalunga est à la fois le lieu où se dirigent les esprits, dont ils sont issus et Dieu Lui-même (Nzambi), source de ces esprits. Kalunga est aussi la mer primitive dont tout est sorti, l'auto-créé, le Ka qui règne sur toute chose (ka : essence vitale ; lunga : accomplir, concrétiser et régner).

La spiritualité est aussi à la base de l'organisation politique et sociale.

L'intersection entre les deux mondes a une forme de croix, d'où l'importance de ce symbole dans la pensée Kongo. De plus, le personnage de Ne-Kongo (dont vient le nom Kongo) est supposé être cette intersection de Kalunga avec le monde humain, donc un être divin sous forme humaine, symbolisé aussi par la croix. Ce sont ces similitudes avec le christianisme qui en ont facilité l'infiltration.

La descendance est matrilinéaire, et l'ensemble du peuple Kongo est regroupé autour de 11 clans, que l'on retrouve aussi dans les dénominations de nombreux peuples d'Afrique noire ; ainsi les Mbenza chez les Sérères, Wolofs, les Muyabis, descendants de Nzinga, chez les Duala, Mossi, etc. Cliquez sur une vignette pour l’agrandir



Statue de pierre (région de Boma)



Céramique et teinture végétale



Sculpture yombé



Poignée de chasse-mouche en ivoire



Objet funéraire

Agriculture

Les Kongo cultivent le manioc, la banane, le maïs, la patate douce, l'arachide, les fèves, et le taro. Les sources de revenu sont le café, le cacao, la banane, et l'huile de palme. La pêche et la chasse sont toujours pratiquées dans certaines campagnes, mais beaucoup de Kongo vivent, travaillent et commercent dans les villes.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Kongos

Ethnonymie

Selon les sources on observe de multiples variantes : Bacongo, Badondo, Bakango, Ba-Kongo, Bakongos, Bandibu, Bashikongo, Cabinda, Congo, Congos, Fjort, Frote, Ikeleve, Kakongo, Kikongo, Kileta, Kongos, Koongo, Nkongo, Wacongomani1

Sur le plan international, c'est le terme Bakongo qui prévaut. "ba- " est en kikongo le préfixe qui signale le pluriel, "mu- signale le singulier, et "ki-" la langue.

Langues

Ils parlent divers dialectes du kikongo2 ainsi que le kituba, qui est un créole kikongo, simplifié et véhiculaire. En République démocratique du Congo et parmi les bakongo angolais qui y ont vécu pendant des années comme refugiés, le kikongo a cédé beaucoup de terrain au lingala.

Ethnies Kongos

En République du Congo :


  • Bémbé

  • Dondo

  • Kamba

  • Kamba

  • Hangala *Baragala

  • Kongo Boko

  • Kugni

  • Lari

  • Manyanga

  • Mikéngé ou N'Kéngé

  • Suundi

  • Bavili

  • Yombé

En République démocratique du Congo :


  • Manyanga

  • Ndibu

  • Ntandu

  • Yombé

  • Zombo

  • Mbata

  • Besi-Ngombé

  • Solongo

Au Cabinda, Angola:


  • Yombé

  • Woyo

  • Kotchi

  • Lindji

Histoire

lire la suite

lundi 20 février 2012

____"La honte de ton parent est ta honte." Proverbes toucouleurs du Sénegal.."Peu importe la direction du vent, le soleil suit toujours son chemin." et "Celui qui règne ne régnera pas toujours. Le Mali en proverbes - 1905.

..."L'homme qui fuit la vérité est un homme faible qui préfère l'obscurité."

"Le devoir des plus forts est de soutenir les plus faibles." Proverbe africain ; Le Bahunde en proverbes - 1905.

"Il n'y a pas d'enfant indésirable." Proverbe africain ; Le Bahunde en proverbes - 1905.

"Ce qui sera consommé par ennemi, ne le refuse pas à ton prochain." Proverbe africain ; Le Bahunde en proverbes - 1905.

"Une fois c'est oublier, deux fois c'est méchanceté." Proverbe africain ; Le Bahunde en proverbes - 1905.

"L'orphelin vole là où il a cultivé." Proverbe africain ; Le Bahunde en proverbes - 1905.

"On ne peut remplir que ce qui est vide." Proverbe de Jean-Marie Adiaffi ; La carte d'identité - 1980.

"La promesse est plus contraignante que la dette." Proverbe africain ; L'Afrique en proverbes - 1909.

"Point de jouvence qui dure dix ans." Proverbe africain ; Proverbes tutsis du Burundi - 1909.

"C'est dans le miel vieilli qu'on trouve le remède." Proverbe touareg ; Proverbes et dictons touaregs - 1882.

"Un lion ne prête pas ses dents à un autre lion." Proverbe africain ; Proverbes et dictons africains - 1882.

"La mère est celle qui prend le couteau par la lame." Proverbe africain ; L'Afrique en proverbes - 1905.

"Qui est impatient d'avoir un enfant, épouse une femme enceinte." Proverbe sénégalais ; Proverbes toucouleurs du Sénégal - 1882.

"La honte de ton parent est ta honte." Proverbe sénégalais ; Proverbes toucouleurs du Sénégal - 1882.

"Qui est né dans la brousse, ne connaît pas la frousse." Proverbe namibien ; La Namibie en proverbes - 1905.

"Avoir de longues plumes, ne veut pas dire voler haut." Proverbe zambien ; Proverbes Lamba de Zambie - 1905.

"L'hospitalité est un trésor." Proverbe africain ; L'Afrique du Sud en proverbes - 1909.

Quiconque se soucie de vous, vaut plus que votre parent." Proverbe africain ; L'Afrique du Sud en proverbes - 1909.

"À celui qui détruit son logis, tu prêtes une serpette." Proverbe gabonais ; Le Gabon en proverbes - 1909.

"La honte couvre le maïs, et non celui qui le coupe." Proverbe gabonais ; Le Gabon en proverbes - 1909.

"Un piège qui prend le rat, n'attrape pas l'éléphant." Proverbe gabonais ; Le Gabon en proverbes - 1909.

"Généreux est l'homme qui compte peu." Proverbe zaïrois ; Le Zaïre en proverbes - 1905.

"L'homme généreux est souriant ; l'avare est contracté." Proverbe zaïrois ; Le Zaïre en proverbes - 1905.

"Les gens généreux s'exposent toujours au mauvais traitement." Proverbe gabonais ; Le Gabon en proverbes - 1909.

"Le coléreux se fait du tort à lui-même." Proverbe africain ; Le Rwanda en proverbes - 1905.

"Nul sentier ne conduit à l'arbre qui ne porte pas de fruits." Proverbe africain ; L'Afrique en proverbes - 1905.

"Celui qui règne ne régnera pas toujours." Proverbe africain ; Le Mali en proverbes - 1905.

"Le chien parti, le chat mange l'os." Proverbe africain ; Le Kikongo en proverbes - 1905.

"Il n'y a plus de loi, pour celui qui a faim." Proverbe africain ; L'Afrique en proverbes - 1905.

"Chaque homme a son point faible." Proverbe africain ; L'Afrique en proverbes - 1905.

"L'homme qui fuit la vérité est un homme faible qui préfère l'obscurité." Proverbe africain ; L'Afrique en proverbes - 1905.

"L'arbre sec (faible) s'appuie sur le vert (fort)." Proverbe africain ; L'Afrique en proverbes - 1905.

"Le puissant déchu s'attaque à plus faible que lui." Proverbe africain ; L'Afrique en proverbes - 1909.

"Il est dur d'être pauvre, il est encore plus dur d'être seul." Proverbe africain ; L'Afrique en proverbes - 1909.

"Aimons naître, aimons vivre, aimons mourir : le néant n'existe pas." Proverbe africain ; L'Afrique en proverbes - 1909.

"Un homme sans culture ressemble à un zèbre sans rayures." Proverbe africain ; L'Afrique en proverbes - 1909.

"Là où on s'aime, il ne fait jamais nuit." Proverbe africain ; Livre des proverbes.

"Au chef, il faut des hommes et aux hommes, un chef." Proverbe africain ; Livre des proverbes.

"Seul un sot mesure la profondeur de l'eau avec ses deux pieds." Proverbe africain ; L'Afrique en proverbes - 1905.

"Si tu vois une chèvre dans le repaire d'un lion, aie peur d'elle." Proverbe africain ; Proverbes et dictons africains - 1882.

"L'oiseau qui chante ne sait pas faire son nid." Proverbe africain ; Proverbes et dictons africains - 1822.

"Au bout de la patience, il y a le ciel." Proverbe africain ; Livre des proverbes.

"Le feu qui te brûlera, c'est celui auquel tu te chauffes." Proverbe africain ; Proverbes et dictons africains - 1882.

"On tarde à grandir, on ne tarde pas à mourir." Proverbe africain ; Proverbes et dictons africains - 1822.

"Il n'y a pas de plus grand bonheur que la venue d'un hôte dans la paix et l'amitié." Proverbe africain ; Proverbes et dictons africains - 1882.

"L'erreur n'annule pas la valeur de l'effort accompli." Proverbe africain ; Proverbes et dictons africains - 1822.

"C'est en mer agitée qu'on reconnaît la qualité du bois du bateau." Proverbe africain ; L'Afrique en proverbes - 1905.

"La mort engloutit l'homme, elle n'engloutit pas son nom et sa réputation." Proverbe africain ; Livre des proverbes.

"Peu importe la direction du vent, le soleil suit toujours son chemin." Proverbe africain ; Livre des proverbes.

"A corriger un têtu, on perd son temps." Proverbe africain ; L'Afrique en proverbes - 1905.

"Ce n'est pas à toute oreille percée que l'on met des anneaux d'or." Proverbe africain ; Livre des proverbes.

"Le boeuf ne se vante pas de sa force devant l'éléphant." Proverbe africain ; L'Afrique en proverbes - 1905.

"Il n'y a pas qu'un jour, demain aussi le soleil brillera." Proverbe africain ; L'Afrique en proverbes - 1909.

"Pour qu'un enfant grandisse, il faut tout un village." Proverbe africain ; L'Afrique en proverbes 1909.

"Il faut façonner l'argile pendant qu'elle est molle." Proverbe africain ; Proverbes et dictons africains - 1822.

"L'homme a inventé la montre, mais Dieu a inventé le temps." Proverbe africain ; L'Afrique en proverbes - 1905.

"C'est au bout de la vieille corde qu'on tisse la nouvelle." Proverbe africain ; Proverbes et dictons africains - 1822.

"Si tu ne sais pas où tu vas, alors retourne d'où tu viens." Proverbe africain ; Livre des proverbes.

"Ne te lasse pas de crier ta joie d'être en vie et tu n'entendras plus d'autres cris." Proverbe africain ; Livre des proverbes.

"Celui qui t'empêche de te battre, donne-lui une récompense." Proverbe africain ; Proverbes et dictons africains - 1882.

"Le vieil éléphant sait où trouver de l'eau." Proverbe africain ; Proverbes et dictons africains - 1882.

"L'eau du fleuve ne retourne pas à sa source." Proverbe africain ; Proverbes et dictons africains - 1822.


****

http://www.mon-poeme.fr/proverbes-africains/index.proverbe-africain

lire la suite

jeudi 18 novembre 2010

______Déclaration universelle des droits de l'homme

ARTICLE 1 Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits... Ils doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité . ARTICLE 3 Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne . ARTICLE 25 Toute personne a droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé, son bien-être et ceux de sa famille, notament pour l'alimentation, l'habillement, le logement, les soins médicaux...

http://lulupo.blog.lemonde.fr/2010/09/11/personne-nest-insignifiant-absolument-personne/

lire la suite

mardi 9 novembre 2010

______«La famille noire est toujours un problème pour ce culturalisme» La dérive des cités sensibles a-t-elle une dimension culturelle?.. «la démonstration» d’Hugues Lagrange «ne tient pas».

Société 27/09/2010 à 00h00 «La famille noire est toujours un problème pour ce culturalisme» InterviewEric Fassin, sociologue à Normale sup :

5 réactions Par CATHERINE COROLLER



Eric Fassin est sociologue à l’Ecole normale supérieure. Il estime que «la démonstration» d’Hugues Lagrange «ne tient pas».

La dérive des cités sensibles a-t-elle une dimension culturelle, comme l’écrit Hugues Lagrange dans le Déni des cultures ? Son constat n’est pas original : comme d’autres, il traite de la «nouvelle question sociale» qui monte depuis trente ans, et dont les émeutes de 2005 ont été le symptôme. Mais son interprétation est bien en rupture avec les sciences sociales actuelles, auxquelles il reproche leur «déni des cultures» : il révise les analyses néoconservatrices, aux Etats-Unis, sur la «culture de la pauvreté», à la lumière d’un culturalisme anthropologique des années 1930. Les inégalités socio-économiques n’expliquent pas tout, dit-il - et ceux qui, comme moi, s’intéressent à la «question raciale» ne peuvent qu’être d’accord. Mais il va plus loin : les discriminations raciales ne suffiraient pas à expliquer les différences entre «sous-cultures». Il mobilise donc l’«origine culturelle». Et d’expliquer ainsi la situation des immigrés noirs du Sahel. Or sa démonstration ne tient pas : la précocité des différences scolaires entre groupes, annonçant les mêmes différences en matière de délinquance, ne s’expliquerait par l’origine culturelle que si la socialisation primaire n’avait rien à voir avec la société d’accueil. Or l’école et la famille sont tout autant traversées par les logiques de racialisation qu’entraînent discriminations et ségrégation.

La culture n’expliquerait rien selon vous ? La culture n’est pas une explication ; c’est ce qu’il faut expliquer. Lagrange lui-même finit par se contredire : il bascule de «l’origine culturelle», héritage du passé, à «l’ethnicisation», effet du contexte présent. D’un côté, il croit trouver dans la famille noire américaine contemporaine les traces des Africains «de la forêt». De l’autre, il parle de «néotraditionalisation» plus que de tradition : c’est le contexte français de stigmatisation de l’islam qui «démodernise» les Turcs laïcs. Lagrange affirme à la fois l’affaiblissement du modèle patriarcal chez les Maghrébins et son renforcement chez les Sahéliens : l’explication n’est donc pas du côté de l’origine !

Pourtant, ce livre rencontre un réel écho… Il est hélas d’actualité par ses thèmes (immigration et délinquance) et par sa grille d’interprétation : la cause du problème, c’est «eux» plus que «nous» - leur culture, plutôt que notre politique. Ainsi, il distingue deux catégories de Noirs : aux États-Unis ou aux Antilles, le père serait trop absent. En métropole, avec les immigrés sahéliens, ce serait le contraire : le père serait trop présent. «Matrifocalité» ou «patriarcat», pour ce culturalisme, la «famille noire» est donc toujours un problème. Or à droite, lors des émeutes de 2005, Gérard Larcher et Bernard Accoyer, actuels présidents du Sénat et de l’Assemblée nationale, mettaient eux aussi en avant la polygamie. Certes, Lagrange rejette l’exclusion des immigrés. Mais ce n’est pas son plaidoyer multiculturaliste qui fait son succès. S’il séduit les médias, c’est qu’il conforte le sens commun par un livre savant censé briser un tabou en disant tout haut ce que beaucoup pensent tout bas.

http://www.liberation.fr/societe/01012292610-la-famille-noire-est-toujours-un-probleme-pour-ce-culturalisme

lire la suite

vendredi 5 novembre 2010

______Congo+ : Nous avons en partage l'essence humaine. c'est elle qui clame: "vivre libre ou mourir!" Partagez l'amour de la liberté, partagez l'amour du congo.

Le mal du congo, c'est denis sassou nguesso, un homme sous influence, coupable de haute trahison pour bradage des ressources du pays a des puissances etrangeres, detournements, meurtres, violations des libertés. Nous n'avons pas le choix de combattre l'Injustice, juste celui des armes et nous n'avons que des mots et une plume contre la puissance d'un homme d'état Criminel, Illégitime, vassal de la Francafrique...

Denis Sassou Nguesso, on le sait, est un adepte de la peur quand il ne parvient pas à corrompre. Il a bâti tout son règne là-dessus : tuer, assassiner pour inspirer la frayeur des masses tétanisées afin que personne ne proteste contre son pouvoir. Ce soldat de métier a du mal à montrer de la faiblesse car l'image du soldat doit être celle d'un homme qui n'a peur, qui n'a pas de faiblesse, un homme qui reste stoïc face à la douleur ou la mort ; ce qui pourtant est tout à fait humain. On vient d'apprendre qu'un photographe est recherché - mort ou vif - pour avoir mis en ligne sur le site officieux du pouvoir une photo de monsieur Sassou Nguesso en larmes, soutenu par deux femmes. On doit se demander ce qu'il va advenir de la vie de ce pauvre photographe inconscient si on l'attrapait. En effet, qu'on le tue, qu'on le brutalise, qu'on le mutile, le mal est fait ! Cependant, le pouvoir pourrait chercher à en faire un exemple. Ceci prouve que le site officieux du pouvoir bénéficie d'une certaine liberté qu'il va certainement perdre car l'incident de la photo représente un précédent que Sassou ne voudra plus voir se répéter.

Cette photo que nous avons téléchargée sur le fameux site humanise Sassou Nguesso en le ramenant sur le plan comportemental à un homme comme un autre, un homme ordinaire qui ressent de la peine, un homme qui pleure et qui devrait se souvenir que Jésus a pleuré, lui, le fils de Dieu. Vous me direz qu'il n'y a pas de honte à pleurer sa fille tant aimée. Ce qui tranche avec l'indifférence du cobra royal face au spectacle de tous les Congolais grands ou petits qui meurent dans les hôpitaux du Congo - faute de soins quand ce ne sont pas les hôpitaux qui font défaut ou les médicaments ou l'argent pour acheter lesdits médicaments.

Sassou Nguesso a tout simplement peur qu'il n'inspire plus la peur. En effet, un homme qui pleure n'est donc pas tout-puissant et ce sont ses ennemis qui prennent confiance car les Congolais se disent qu'il n'est pas aussi redoutable qu'il ne paraît et ceci appelant cela, on peut croire qu'il pourrait éprouver tout autant la peur tout autant qu'il éprouve de la peine.

On a donc fait disparaître la photo compromettante du site du pouvoir mais le mal est fait car elle circule dans le monde entier et nombreux s'étonnent de voir le puissant Denis Sassou Nguesso en position de faiblesse, une faiblesse toute humaine, une faiblesse qui vient de l'amour d'une fille ; ce qui laisse toutes les supputations ouvertes : on pourrait croire que Sassou n'aime pas le Congo car il vient de montrer une âme sensible mais seulement pour sa fille bien-aimée. Alors, pourquoi ne pas s'émouvoir de la douleur du peuple qu'il représente ? N'a-t-il pas prêté serment ? Pourquoi toute cette débauche de moyens pour sauver sa fille et pourquoi cette grosse négligence face aux malheurs du peuple - alors que le pays n'a jamais été aussi riche ?

Le président a eu le temps de sécher ses larmes, lui qui va recevoir Sarkozy qui vient pour défendre les intérêts de la France ; il pourra en profiter pour lui parler de l'affaire des biens mal acquis. Après tout, ce n'est si grave de posséder 18 propriétés et 112 comptes bancaires ! Les intérêts de la France peuvent bien se concilier avec cette donnée car Chirac s'en accommodait bien - alors pourquoi pas Nicolas Sarkozy. Après tout les promesses du candidat Sarkozy à l'élection présidentielle ne se transforment pas forcément en prophéties - surtout quand l'intérêt de la France est en jeu ! On a compris qu'il se rend en république démocratique du Congo pour s'assurer de la continuité de l'exploitation des mines d'uranium ainsi qu'au Niger. Au Congo où il passe la nuit, il vient traiter à l'abri des oreilles indiscrètes françaises du problème des retraités français ayant travaillé au Congo à qui l'Etat congolais doit des centaines de millions d'euros. Sarkozy ne fera rien pour garantir aux Congolais des élections transparentes car comme il l'a dit, il n'est pas un électeur congolais. C'est qu'un Etat n'a que des intérêts et les peuples des autres nations n'en font pas partie - même pour le pays des droits de l'homme.

Cela dit, nous apprenons que le gouvernement congolais recherche activement le photographe, de nombreuses personnes ayant été incarcérées juste pour avoir détenu la photo compromettante qui ne dérogerait pas, à ce qu'il paraît, aux coutumes mbochies. Nous l'avons en notre possession de façon officielle puisqu'elle était téléchargeable sur le site du pouvoir. Si le président veut arrêter tous les sites qui l'ont affichée, eh bien, il y a du boulot. Nous mettons par ailleurs d'autres photos en ligne dont celle d'un Omar Bongo en pleurs dans les bras de son beau-père Sassou.

Si le pouvoir commence à arrêter des citoyens pour détention des photos que son propre photographe met en ligne, c'est qu'il y a un grain qui ne tourne pas rond quelque part dans la ciboulette étatique nationale...

http://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:TkpdN8HqRaYJ:www.demainlenouveaucongobrazzaville.org/article-29477248.html+nguesso+mort+ou+vif&cd=1&hl=fr&ct=clnk&gl=fr

lire la suite

mercredi 3 novembre 2010

_____Qu’est-ce que la folie ? « QUI VIT SANS FOLIE N’EST PAS SI SAGE QU’IL CROIT… » (La Roche Foucault) Afrique; seuil de l'obscurité et des montagnes d'immondices.. "La montagne a accouché d'une souris.."

Qu’est-ce que la folie ?

29 février 2004 13:16, par jeune fille de 16ans

La folie peut être une forme d’intelligence ;elle a une basse de reflexion sur le monde extérieur..la société.. Un fou a un sens de l’imagination tres developpé.la folie peut être douce(moment d’égarement,ou un délire entres ami(e)s...ou ravageuse,elle peu vous ronger petit à petit jusqu’à nuire a votre santé.......

http://www.lafrancophonie.net/SPIPAUT/spip.php?article69

Qu’est-ce que la folie ? « QUI VIT SANS FOLIE N’EST PAS SI SAGE QU’IL CROIT… » (La Roche Foucault)

jeudi 30 octobre 2003, par René-Pierre Amselle

Vous aurez compris, dans votre grande sagesse, que la lecture de ces quelques lignes que j’ai eu le plaisir et l’honneur de coucher sur ces pages, vont à jamais, ou pour toujours, (faites votre choix), marquer, que dis-je ? transmuter votre psychisme, votre morale, votre savoir, bref, votre personnalité… (Personne alitée…)

Si le ton de cet écrit est léger, voire teinté d’un certain humour, le fond, lui, est fiable et solide car il est rédigé par moi-même…(Moi m’aime).

Pourtant, attention ! Traiter un aussi vaste sujet en quelques lignes peut pêcher (Pêche à la ligne) par oubli, voire omission (Oh ! Mission). Mes choix seront forcément subjectifs.

Il en résulte un texte non exhaustif, mais dont les orientations, que vous pourrez prendre à votre compte, sembleront à vos interlocuteurs éblouis, le signe d’une culture bien assimilée.

La folie a des histoires passionnantes et une place originale dans notre société. Cependant elle reste entourée de bien des mystères et se trouve entachée d’idées fausses. Suscitant intérêt ou méfiance, engouement ou rejet, la folie a provoqué dans le monde entier un champ aussi large qu’éclectique de recherches, d’écoles, d’interrogations et … d’histoires !

Notre époque qui privilégie rendement, efficacité, effacement de ce qui gêne, dédain de la souffrance (Sous France) infantilisation des citoyens, au mépris d’une démarche qui encourage le désir, la liberté de penser ou de rêver et qui favorise l’expression plutôt que la censure, engendre la FOLIE, cette " anormalité comportementale " : tout ce qui n’est pas (Naît pas) dans la norme établie par nos Décideurs est folie.

Ainsi la folie a pénétré de nombreuses sphères de la vie humaine : La psychologie, la psychiatrie et les diverses spécialités médicales, d’une part, l’enseignement et la pédagogie, l’université, la littérature, la philosophie, l’Art, l’histoire, la politique, les religions, d’autre part.

Le FOU reste un personnage mystérieux, non conventionnel ; il est prétendu habité par des " esprits " squattant son psychisme ; par des fées (le fada) ; Il est illuminé par une autre lumière intérieure (le maboul). Un des biais parmi les plus captivants pour comprendre la folie est de s’intéresser à ses histoires… Bien sur, les histoires de fous ne sont pas dépourvues de contradictions, de batailles, ruptures, débats serrés et moments de crise. Vous l’avez remarqué !

Peut-on dire, par exemple, que la folie soit plutôt de gauche ? Ce qui est une évidence, c’est que les fous sont souvent les premières victimes de la répression des régimes totalitaires. Mais il y a aussi des régimes totalitaires dont certains dirigeants étaient ou sont fous !

A la question que je pourrais poser : " Au fait, êtes vous FOU ? " nombre d’entre nous répondrait par " HUM ! "… et un plus grand nombre encore par un vigoureux " NON ! " affirmatif.

Soyons clairs : s’il y a des individus face auxquels il ne faut pas faire de complexe, ce sont bien les FOUS qui sont des gens comme vous et moi, mais ayant le courage de refuser la norme.

Il faut que vous sachiez que vous êtes déjà dans une culture de folie, ne serait-ce qu’à travers les expressions qui ont envahi le langage quotidien comme : " c’est fou " ; " c’est dingue " ; " c’est dément ", etc.

Le signifiant de tout cela ? puisque nous sommes des demandeurs de sens :

C’est que vous êtes peut-être en état de latence. Alors finis les complexes ! Laissez vous aller (Haler) ! Et si vous êtes mis à l’index 1, vous pourrez vous réjouir d’être l’égal (Légal) d’un préservatif …

La folie est un PRÉSERVATIF !

A Marignane, le 14 XI 1998

René-Pierre AMSELLE

Qu'est-ce que la folie ?

  • La réponse de Christophe André Psychiatre et psychothérapeute

La folie, c’est souvent ce que l’on n’accepte pas, ou ce qu’on ne comprend pas. C’est pourquoi, en tant que psychiatre, je n’ai jamais rencontré de fous : je n’ai vu et ne continue de voir que des êtres humains qui souffrent, et qui sont perturbés dans leurs esprits ou leurs comportements par des maladies que j’essaye de soulager ou de soigner avec eux. Plus on accepte et plus on comprend, moins la folie existe.

Du moins la folie psychiatrique, qui n’est donc pas une maladie chez l’autre (la maladie « folie » n’existe pas, ou plus), mais un manque chez nous (manque de connaissances et de compréhension).

Pour l’autre folie, la « folie » de notre vocabulaire (« il est complètement fou ce type ») et des médias (« la folie spéculative ») elle désigne non pas la perte de la raison mais nos déraisons quotidiennes : comment les logiques absurdes qui parfois conduisent nos vies (se venger, posséder, s’enrichir, dominer, ne pas vieillir, …) vont nous conduire au pire.

Ces folies ordinaires, faites de déraisons des gens « pas fous » au départ, vont s’avérer immensément dangereuses et pour les personnes et pour la société. Bien plus que la folie des patients de psychiatrie.

http://www.psychologies.com/Moi/Problemes-psy/Troubles-Maladies-psy/Reponses-d-expert/Qu-est-ce-que-la-folie

Qu’est-ce que la folie ?

31 janvier 2004 18:31 le fou est au centre. il faudrait mettre le fou au centre de nos sociétés. le fou est la plus indésirable entité de nos sociétés rationnelles :il désorganise,il révolutionne. Le fou peut il être une cible des publicités, il fait ce qu’il veut, il n’est pas prévisible. Là encore le bas blesse car on aimerait bien que l’homme soit entiérement déterminé ( par des équations ?). Cela serait arrangeant pour certains. L’homme raisonnable est l’homme moderne. Sa folie le fait tourner en rond et tant mieux. des forces souterraines fluctuantes , une débauche d’energie sans direction, sans objectif. On aimerait que les masses soit prévisibles ( sondages). mais elles ont toujours ce grain de folie qui leur permet de se gausser de tous les voyeurs. Le fou est un dangereux troublion qui met en danger l’ordre établie ( et la sécurité) Répondre à ce message

Qu’est-ce que la folie ?

29 février 2004 13:16, par jeune fille de 16ans la folie peut être une forme d’intelligence ;elle a une basse de reflexion sur le monde extérieur..la société.. Un fou a un sens de l’imagination tres developpé.la folie peut être douce(moment d’égarement,ou un délire entres ami(e)s...ou ravageuse,elle peu vous ronger petit à petit jusqu’à nuire a votre santé.......

Qu’est-ce que la folie ?

31 janvier 2004 18:31 le fou est au centre. il faudrait mettre le fou au centre de nos sociétés. le fou est la plus indésirable entité de nos sociétés rationnelles :il désorganise,il révolutionne. Le fou peut il être une cible des publicités, il fait ce qu’il veut, il n’est pas prévisible. Là encore le bas blesse car on aimerait bien que l’homme soit entiérement déterminé ( par des équations ?). Cela serait arrangeant pour certains. L’homme raisonnable est l’homme moderne. Sa folie le fait tourner en rond et tant mieux. des forces souterraines fluctuantes , une débauche d’energie sans direction, sans objectif. On aimerait que les masses soit prévisibles ( sondages). mais elles ont toujours ce grain de folie qui leur permet de se gausser de tous les voyeurs. Le fou est un dangereux troublion qui met en danger l’ordre établie ( et la sécurité) Répondre à ce message

,ou un délire entres ami(e)s...ou ravageuse,elle peu vous ronger petit à petit jusqu’à nuire a votre santé.......

Qu’est-ce que la folie ? 22 janvier 2006 14:07, par F. Paris Bonsoir, Je crains malheureusement, que l’espèce humaine, ne soit à la difference des autres, la seule qui ait cette faille, je le craint imparable, ou s’engouffre en flue, ( flut ou flus je ne sais plus ) continu, ce que l’on appel, la vanité. Elle a, à mon sens contribué a créer une source d’illusions. De fait à apprendre a la controler en en comprenant tous les mécanismes, en reglant un a un, patiamment tous les détails pour aboutir au pouvoir absolu. Celles et ceux qui ne sont pas d’accord avec ce mecanisme et par les idées qui en découle, peuvent etre considérés comme fou. Vous posiez la question : Qu’est ce que la folie ? La folie n’est elle pas alors simplement de croire que l’on peu éduquer chaque etre humain pour qu’il comprenne qu’il a un cerveau qui, malgré toutes les recherches effectués n’a encore révélé aucuns liens serieux entre la psychiatrie et les maladies psychiatrique, et la physiologie. Que l’on puisse prendre le temps de leur expliquer par exemple qu’il n’y aurra plus, dans quelques années de psychiatres qualifiés ( c’est controversé, je sais !) et que, étant je le crois les seuls penseurs de notre époque ! Cela risque fort de donner des points capitaux aux concepteurs et à leurs dissiples, de cette fameuse pensée unique. Et que de fait ils peuvents tous ensemble penser à vivre et a laisser autre chose a leur descendance qu’une identité ce composant d’un numéro.( nous n’en sommes pas loint ) Peu etre est ce cela la folie, ce croire un etre superieur, doué de la faculté de détenir le savoir, donc le pouvoir. La vanité ?

Je me permettrais de vous transmettre pour terminer mon humble exposé sorti tout droit de ma propre pensé, donc unique, une recente decouverte ( pour ma part en tous cas donc certainement tres en retard )d’une lettre écrite par Freud le 26 février 1930, et adressée au Docteur Chaim Koffler à Jérusalem. Elle répondait à la demande de l’association de "Jérusalem Keren Ajossot" - demande envoyée à plusieurs personnalités juives éminentes - de signer une pétition condamnant les arabes pour une émeute survenue en 1929 en Palestine, émeute au cours de laquelle plus de 100 colons avaient été tués.

Son destinataire, le Docteur Chaim Koffler, l’a transmise à un collectionneur d’autographes de Jérusalem, Mr Abraham Schwadron, en échange de la promesse "qu’aucun oeil humain ne puisse jamais la voir".

Elle est restée secrète pendant plus de 75 ans jusqu’à ce qu’elle paraisse récemment dans le catalogue d’une exposition à l’université de Jérusalem.

« Cher Docteur,

Je ne peux faire ce que vous souhaitez .

Je me sens incapable de surmonter mon aversion à accabler le public avec mon nom et même ce moment critique ne me paraît pas le justifier. Quiconque désire influencer les masses se doit de leur donner quelque chose de vibrant et d’enflammé et mon sobre jugement sur le Sionisme ne le permet pas. Il est sûr que je sympathise avec ses buts, je suis fier de l’université de Jérusalem, et la prospérité de ses implantations me fait plaisir.

Mais, d’autre part, je ne pense pas que la Palestine pourra jamais devenir un État juif, ni que les mondes Chrétien et Islamique soient prêts à ce que leurs lieux saints soient sous contrôle juif. Il m’eut paru plus judicieux d’établir une patrie juive sur une terre moins chargée d’histoire. Mais je reconnais qu’un point de vue aussi rationnel aurait peu de chance d’obtenir l’enthousiasme des gens et le soutien financier des riches.

Je concède avec tristesse que le fanatisme infondé de notre peuple soit en partie à blâmer pour avoir éveillé la méfiance Arabe. Je ne puis cultiver de sympathie pour une piété mal dirigée qui transforma un morceau du mur d’Hérode en relique nationale offensant ce faisant les sentiments des autochtones palestiniens.

Jugez vous-même maintenant si, avec un tel point de vue critique je suis la personne qu’il faut pour conforter un peuple pris dans l’illusion d’une espérance injustifiée.

Votre respectueux serviteur. »

Freud

Si j’ai cette vanité, alors peu etre doit on me considerer comme fou. F. Paris.

Répondre à ce message

Qu’est-ce que la folie ?



11 septembre 09:50

Ecouter les conférences de Michel ONFRAY sur S.FREUD : Il y a 25 podcasts... Magnifique "élairage" sur le ... "bon docteur Freud"... Voir en ligne : http://www.franceculture.com/podcas...

  • Source et inspiration:http://www.guineeactu.com/info.asp?mph=deta&ret=deta&ID=4867

lire la suite

______Evitons le refroidissement des neurones? la Mort de l’asile. Cours à la Dionyversité de Saint-Denis: La folie

http://www.dionyversite.org/

Après un départ en fanfare (2 cycles, un "dimanche au musée" et un festival du documentaire social et politique), la Dionyversité reprend son rythme de croisière, de quoi maintenir notre cerveau en état de fonctionnement optimal.

- - - Le cycle des mardis (à 19h00, faut-il le rappeler ?) est consacré à "Wilhelm Reich", et bien sûr animé par Jacques Lesage de la Haye. Pourquoi "bien sûr" ? Parce que Jacques est le spécialiste incontesté de ce psychanalyste disciple de Freud et inventeur de thérapies originales... et qu'il a déjà assuré ce cycle à la Dionyversité il y a 2 ans.

La troisième séance porte sur les luttes politiques de Wilhelm Reich : ce sera le mardi 19 octobre. La dernière séance du cycle fera le point sur l'analyse reichienne aujourd'hui, et elle aura lieu le 26 octobre.




- - - Le cycle des jeudis (à 19h00, faut-il le répéter ?) s'intitule "Education populaire, éducation nouvelle, éducation libertaire ?". C'est une question posée par Hugues Lenoir, professeur et chercheur à l'Université Paris XI, et il essaie d'y répondre, avec l'aide de quelques praticiens de cette éducation, et grâce aux débats avec nous tous.

L'avant-dernière séance, le jeudi 21 octobre, s'interroge sur l'actualité de l'éducation populaire, avec Mikaël Garnier-Lavalley. Et le jeudi 28, des enseignants et des apprenants du Lycée Autogéré de Paris viendront évoquer ses 30 ans de pédagogie libertaire et/ou autogestionnaire.

et ENSUITE ?

En novembre, on s'intéressera au théâtre et au sport, sans jamais oublier la politique. En décembre, on fera un peu de tourisme : dans nos villes, avec le graphisme militant, et dans les îles, avec Cuba. Et le premier dimanche de novembre comme celui de décembre, on se rendra au Musée d'art et d'Histoire de St-Denis.


CONFS et DOCS en stock

Pour certains cycles de conférences, nous réalisons un 4-pages autour du thème abordé. Dernier 4-pages paru : "L'assiette au beurre".

D'autre part, nous avons mis en ligne la base de données des conférences, qui devrait permettre de mieux s'y retrouver dans les enregistrements actuellement ou prochainement disponibles. Une trentaine de conférences sont d'ores et déjà écoutables et téléchargeables. Nous travaillons à vous en mettre toujours davantage à disposition. Dernière conférence mise en ligne : "Défendre quelle laïcité ?", avec Henri Pena-Ruiz.

4-pages et conférences sont accessibles depuis cette page.


Ce site est supposé vous fournir toutes les indications utiles sur notre fonctionnement et sur les programmes, mais rien sur la météo ni sur l'actualité internationale, et croyez bien que nous le regrettons.

Si vous avez des suggestions, des remarques, ou des questions, sachez que vous pouvez nous contacter par mèl. Vous pouvez aussi demander à être inscrit sur notre liste de diffusion et recevoir ainsi les programmes (1 mèl par semaine maxi !), ce qui est utile en cas de modification de dernière minute : upsd@no-log.org

Wilhelm Reich



La plupart des écrits de Wilhelm Reich sont publiés en français aux Editions Payot.

La Révolution sexuelle (Ed. Christian Bourgois) La Fonction de l'orgasme (Ed. L'Arche) Ecoute, petit homme Psychologie de masse du fascisme L'Analyse caractérielle Le Meurtre du Christ (Ed. Champ Libre) L'Irruption de la morale sexuelle La Lutte sexuelle des jeunes (Ed. Maspero) ...

Gérard Guasch : Quand le corps parle (Sully) Willhelm Reich : énergie vitale et psychothérapie (Retz) Willhelm Reich : biographie d'une passion (Sully)

Jacques Lesage de la Haye : Une psycho-politique du corps - l'analyse reichienne (Ed. Atelier de création libertaire) La courbe de Chesnut Lodge - introduction dynamique à la psychopathologie clinique (Ed. ACL)

Jacques Lesage de la Haye, Roger Dadoun, Philippe Garnier : Psychanalyse et anarchie (Ed. ACL)

Roger Dadoun : Cent fleurs pour Wilhelm Reich (Payot)

Federico Navarro : Un autre regard sur la pathologie : la somatopsychodynamique / tome 1 (Ed. Epi) La somatopsychodynamique, un nouveau regard sur la pathologie / tome 2 (Ed. Equateur)

Elsworth Baker : L'homme pris au piège (Ed. Sédifor)

Jacques Lesage de la Haye, psychanalyste, s'est énormément investi dans la connaissance et la pratique reichiennes. Parmi les divers ouvrages et publications qu'il y a consacré, citons le plus récent : Introduction à la psychanalyse de Reich (Editions Chronique sociale, 2007).

Ce cycle a déjà été donné en juin 2008 et les enregistrements sont disponibles dans la rubrique "enregistrements et documents".



Par Jacques LESAGE DE LA HAYE



Médecin et psychanalyste, Wilhelm Reich (1897-1957) crée une nouvelle thérapie qui s’appelle successivement analyse caractérielle, végétothérapie et orgonothérapie... Militant politique, il milite avec les socialistes et les communistes en Autriche et en Allemagne. Il les quittera pour suivre une route libertaire, tout en refusant de se qualifier d'anarchiste, comme le lui avait demandé Paul Goodman.



Vie de Wilhelm Reich

Mardi 5 Octobre 19h00



Psychanalyse, actings, typologie, dimension sociale. Les 3 techniques thérapeutiques de W.R.

Mardi 12 Octobre 19h00



En Autriche, en Allemagne et aux Etats-Unis, Reich assume un engagement total et radical. Ce qui entraîne la rupture avec Freud. Ses oeuvres subissent l'autodafé des nazis et des Américains. Il est condamné à deux ans de prison aux USA.

Les luttes politiques de W.R.

Mardi 19 Octobre 19h00



Que reste-t-il des concepts reichiens ? A-t-il des continuateurs, en France et à l'étranger ?

http://www.dionyversite.org/cycle_10-10-A.html

lire la suite

mardi 2 novembre 2010

______La société civile africaine réclame un nouveau modèle économique

La société civile africaine réclame un nouveau modèle économique Par Marc Wegerif | jeu, 13 mai 2010 - 10:35

Pour la première fois, le Forum économique mondial (FEM) sur l’Afrique s’est tenu en Tanzanie du 5 au 7 mai. Les réunions du FEM sont dominées par les dirigeants d’entreprise et de gouvernement tandis que l’avis de personnes ordinaires est rarement pris en considération. Oxfam a apporté son soutien au Forum du peuple africain, une conférence qui a eu lieu en parallèle du FEM. Marc Wegerif y a participé :

Le forum du peuple africain est né de la volonté de créer un espace d’échange d’idées entre les personnes affectées par les décisions prises au FEM par les grosses entreprises et leur permettre de s’exprimer sur ce qu’ils souhaitent pour l’avenir et sur la façon d’y parvenir. Un forum de ce genre est désormais plus que nécessaire pour faire face aux menaces telles que le changement climatique, la hausse du prix des denrées alimentaires et l’exploitation par les entreprises.

Le Forum a été un véritable succès. Plus de 300 personnes ont participé à deux jours de débats sur le thème : « Pour la prospérité, la résilience et une croissance inclusive en Afrique ». Des débats animés ont porté sur des sujets allant du changement climatique à l’accaparement des terres par les entreprises étrangères, en passant par le rôle des femmes dans l’économie.

Les conclusions ont été claires : « Le modèle économique actuel ciblé sur la croissance, et les investissements des grosses entreprises qui en résulte, sont rarement bénéfiques aux populations. Les inégalités se multiplient et les pauvres sont de plus en plus pauvres » a conclu le dernier communiqué du forum. Le fait que les priorités du FEM sont souvent établies au détriment des peuples africains les plus pauvres s’est révélé être un sentiment partagé par tous.

Le point fort du premier jour a été pour moi le discours d’ouverture du Professeur Issa Shivji, un expert tanzanien sur les questions de développement et leader en son domaine. En s’appuyant sur la place qu’a occupé l’Afrique dans l’économie pendant le siècle dernier, il a argumenté que les dirigeants d’entreprise du FEM ne font qu’encourager une ère d’ « accumulation primitive » basée sur l’exploitation continue des ressources africaines au détriment du peuple africain. « Ce n’est pas le peuple africain qu’ils veulent mais juste l’Afrique », a-t-il déclaré.

A la différence du FEM, certains des secteurs les plus marginalises de la société ont eu la possibilité de s’exprimer amplement. Les groupes de femmes, les petits agriculteurs, les éleveurs et les pauvres des villes sont tous particulièrement affectés par les mesures prises par le FEM. Ils ont tous parlé de leurs problèmes et de leurs expériences comme le fait d’être expulsés de leurs terres pour laisser la place aux multinationales ou du manque d’investissement dans les services de santé et dans l’équité des sexes.

Le deuxième jour les participants ont bravé des pluies torrentielles pour débattre des problèmes du changement climatique et du rôle et des responsabilités des grosses entreprises. Les participants aux forum ont été informés de la façon dont les sécheresses prolongées, les inondations et les variations du climat affectent les communautés tanzaniennes. Ils ont appelé les entreprises a réduire leurs émissions de CO2 de façon radicale, à payer des indemnisations pour leur impact sur le changement climatique et la destruction environnementale et à accroitre l’investissement dans les énergies « propres » afin de fournir de l’électricité à toute la population.

Les multinationales ont aussi été au centre de la réunion consacrée aux accaparements des terres et ont été accusées de voler les terres et les ressources naturelles des petits producteurs. Dans un grand nombre de cas, les entreprises étrangères se sont accaparées des terres appartenant à des communautés locales sans respecter, ou trop peu, les droits juridiques ou traditionnels fonciers. En Tanzanie par exemple, les participants ont expliqué comment des agriculteurs de Kisarawe ont du céder leurs terres à une entreprise de biocarburants et comment à North Mara une entreprise minière étrangère a pollué les sources d’eau locales.

Les gouvernements africains ont eux aussi été critiqués pour “ne pas en faire assez pour protéger les droits et les intérêts des citoyens.” Certains services essentiels tels que la santé et l’éducation, dont dépendent les populations, ne s’améliorent pas et dans certains cas sont même en train de se détériorer à cause des politiques de réductions des coûts adoptés par les gouvernements.

Le Forum a représenté un espace où les citoyens pouvaient discuter de leur propre développement et émettre des suggestions pour un avenir meilleur et plus juste. Le monde devrait écouter ce qu’ils ont à dire.

http://blogs.oxfam.org/fr/blog/10-05-13-la-societe-civile-africaine-reclame-un-nouveau-modele-economique

lire la suite

mardi 11 mai 2010

_______L'histoire de l'humanité toute entière n'est qu'un amoncellement d'horreurs et de hontes: "L'égalité des Nègres ! Sornettes ! Combien de temps encore verra-t-on des fripons vendre et des imbéciles vanter un tel vulgaire morceau de démagogie ?&

L'histoire de l'humanité toute entière n'est qu'un amoncellement d'horreurs et de hontes: quoiqu'intelligents, l'homme a trop de culpabilité pour accéder à la foi !

Dans le dictionnaire Larousse de 1866, l'article « Nègre » affirme que le cerveau des Noirs est moins volumineux que celui des Blancs. Ce racisme a justifié les exactions de l'armée coloniale française.

Ernest Renan ne cacha pas ses sympathies pour les théories de Gobineau, et publia des écrits allant dans le sens de la supériorité de certaines races.

On peut rarement trouver un Noir capable de suivre et comprendre les travaux d'Euclide. Thomas Jefferson,

"Vous savez, cela suffit comme cela avec vos nègres. Vous me gagnez à la main, alors on ne voit plus qu’eux : il y a des nègres à l’Élysée tous les jours, vous me les faites recevoir, vous me les faites inviter à déjeuner. Je suis entouré de nègres, ici.Et puis tout cela n’a aucune espèce d’intérêt ! Foutez-moi la paix avec vos nègres ; je ne veux plus en voir d’ici deux mois, vous entendez ? Plus une audience avant deux mois. Ce n’est pas tellement en raison du temps que cela me prend, bien que ce soit déjà fort ennuyeux, mais cela fait très mauvais effet à l’extérieur : on ne voit que des nègres, tous les jours, à l’Élysée. Et puis je vous assure que c’est sans intérêt " Charles de Gaulle

Alors tu sais une connerie de plus ou de moins... n’empêche qu’il devrait être poursuivi, car ses genres d’inepties font souffrir certaines personnes car touchant profondément leurs feelings, leur amour propre, je pense aux descendants d’esclaves qui ont encore du mal panser leurs blessures.

En UK, ils avaient fait une étude dans des écoles pour étudier les enfants qui réussissent les mieux à l’école, figure toi que les premiers étaient les enfants chinois et les seconds les enfants indiens, si l’on considère selon une autre étude qui dit que les Anglais sont les plus intelligents d’Europe, je te laisse tirer des conclusions. Mais ne t' en fais pas car ces genres des tests prennent en compte beaucoup d’autres facteurs que le seul facteur intelligence lui même. A propos, quel serait le résultat du test de QI d’un pygmée? Ne souris pas si vite, je te vois conclure hâtivement, et quel serait le résultat du test d’intelligence dans le milieu naturel pygméen pour un occidental? Sources : Elima: L'esprit qui ne mâche pas ses mots.

Un prix nobel de Chimie affirme à la TV que le noir est moins intelligent que le blanc: rigueur scientifique ?

Tu sais le racisme idéologique sur des hypothèses scientifiques erronées pour justifier la mise en place de législations ségrégationnistes et la discrimination politique. Ce pseudo scientifique ne fait que suivre la trace de ses semblables, rien de surprennant. Depuis longtemps cette considération a été liée au droit (et même au “devoir” , selon Jules Ferry) pour une race supérieure d'en dominer au moins temporairement une ou plusieurs autres, notamment dans un cadre colonial. Sur le plan politique, le darwinisme social a servi à justifier le colonialisme, l'eugénisme, le fascisme et surtout le nazisme. Même LE PEN de nos jours, s’inspire du darwinisme social pour asseoir son idéologie d'extrême droite « Toute civilisation découle de la race blanche, aucune ne peut exister sans le concours de cette race ». Le comte Joseph-Arthur de Gobineau, l'Essai sur l'inégalité des races humaines. À l'école d'anthropologie de Paris, on pèse les cerveaux pour classer les individus dans une hiérarchie des races.

http://fr.answers.yahoo.com/question/index?qid=20071022111634AAwQ3BN

lire la suite