___Le M23 dans les faubourgs de Goma... La chute de Goma confirmée. Silence du pouvoir, à Kinshasa, profond comme une tombe, n'est pas de nature à rassurer le pays. Joseph Kabila complice avec le Rwanda !
Par http://www.777-mafia.com/us/home, mercredi 21 novembre 2012 à 11:33 :: ___Battlefiel IV - BLOODSLATTERS - Survival Of The Fittes - Everyday Gun Play - Street Life :: #4230 :: rss
«La perte de la souveraineté par le Congo à Goma est un échec d'une ampleur monumentale»
Le M23 dans les faubourgs de Goma
19 novembre 2012
Selon des sources concordantes, l'entrée des rebelles dans Goma se poursuit, mardi 20 novembre. Les forces du M23 ont contourné dans la nuit et le début de la matinée les positions gouvernementales et ont pris possession du centre-ville.
Des tirs continuent de se faire entendre dans la partie opposée de la ville, le long de la route qui mène à Saké. C'est sur cet axe que les FARDC (l'armée congolaise) sont en train de faire retraite. Une partie d'entre eux, selon certaines sources, aurait été encerclée par une autre colonne rebelle.
Dans les quartiers ouest de Goma, des pilages ont lieu. Certains soldats étant en train de "se servir avant de fuir", selon un habitant joint sur place.
La rébellion du M23 avait longuement et soigneusement préparé cette offensive. Les forces armées rebelles se font désormais appeler Armée révolutionnaire congolaise (ARC), un nom qui permet de prendre de la distance avec la dernière appellation en cours, souvent mentionnée dans des rapports des Nations unies, et qui a déjà entraîné des sanctions contre son chef militaire, Sultani Makenga.
De plus, le M23 a été créé sur la base de revendications de militaires face à un accord de paix précédent mal appliqué. Désormais, les rebelles montrent qu'ils voient plus loin. Ce qui se joue aux portes de Goma n'est pas un épisode obscur d'un conflit entre soldats d'infortune, mais le retour en force d'une rébellion en bonne et due forme, même si ses effectifs sont encore limités (peut-être 2 000 hommes ?). Va-t-on voir dans les jours à venir d'autres mouvements alliés du M23 passer à l'acte dans le "Grand Nord" (la partie la plus septentrionale du Nord-Kivu), dans le Sud-Kivu ou dans la province orientale ? C'est envisageable. Certains s'y préparent. Nous y reviendrons.
Silence du pouvoir
Elles semblent déjà bien loin, les tentatives de négociations entamées dimanche 18 novembre pour empêcher l'assaut de Goma. Depuis, les forces du M23 ont tiré des hauteurs qui dominent l'aéroport (lequel se trouve à la sortie nord), en s'appliquant à ne pas tuer de casques bleus, ce qui aurait pour conséquence d'attirer une attention internationale jusqu'ici très, très relâchée.
Quelles seront les conséquences ? Au milieu de cette poussée de violence dans l'Est, il ne faut pas perdre de vue que la République démocratique du Congo est un pays malade. Et, depuis plusieurs jours, le silence du pouvoir, à Kinshasa, profond comme une tombe, n'est pas de nature à rassurer le pays. Seul le porte-parole du gouvernement et ministre de la communication, Lambert Mende, se fait entendre. Les détenteurs du pouvoir à Kinshasa, à commencer par le président Joseph Kabila, restent murés dans le silence des moments de crise.
Si Goma devait tomber, il faut imaginer que la rue, à Kinshasa, ainsi que bon nombre de responsables politiques encore frustrés après les élections désastreuses de 2011 feraient entendre leur voix, et cela peut inclure l'usage de la violence. Lorsque, en 2004, un groupe rebelle similaire (l'un des chefs en était... Laurent Nkunda) avait pris la ville de Bukavu, des émeutes avaient éclaté dans la capitale congolaise et visaient essentiellement l'ONU, accusée d'inaction face aux rebelles. C'étaient pourtant des hélicoptères onusiens (sud-africains) qui avaient chassé les rebelles à coups de roquettes et ramené un semblant d'ordre, ouvrant la voie à un accord bancal qui avait gelé le conflit pendant moins de deux ans, avant que la rébellion ne reprenne de plus belle.
.. http://afrique.blog.lemonde.fr/2012/11/19/premiers-tirs-dans-goma-la-bataille-de-la-ville-a-t-elle-commence/
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• L'ONU condamne la prise de Goma par les rebelles du M23
Mots clés : ONU, Monusco, Goma, République démocratique du Conga, Rwanda, Ouganda
Par Adèle Smith Publié le 21/11/2012 à 09:43 Réactions
Un rebelle du M23 patrouille sur le boulevard central de Goma, mardi. Crédits photo : PHIL MOORE/AFP
La résolution demande au secrétaire général de l'Onu d'ouvrir une enquête sur les pays qui apportent leur soutien aux rebelles dans l'Est de la République démocratique du Congo, particulièrement le Rwanda.
Correspondante à New York.
Le Conseil de Sécurité de l'ONU a voté à l'unanimité, mardi soir, une résolution proposée par la France, qui condamne la prise de Goma par le M23 dans l'Est de la République démocratique du Congo. Cette résolution appelle également à sanctionner par le gel des comptes et l'interdiction de voyager deux de ses chefs rebelles: Innocent Kaina et Baudouin Ngaruye. Le Conseil exige le retrait immédiat de Goma des rebelles et rappelle à l'ordre les pays étrangers qui apportent leur «soutien» au M23, sans nommer explicitement le Rwanda et l'Ouganda. L'un et l'autre nient leur implication.
Le Rwanda en accusation. Dans la résolution votée mardi soir, il est demandé au secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, d'indiquer dans les prochains jours les noms des pays soutenant les rebelles du M23. Un rapport d'experts indépendants de l'ONU (document PDF), qui a fuité la semaine dernière sur Internet, accuse sans ambages les responsables rwandais de «fournir des conseils stratégiques et de l'appui logistique» aux rebelles et de «jouer un rôle central dans le soutien des activités politiques du M23». Selon un haut responsable de l'ONU, les preuves du rôle du Rwanda, en particulier, sont nombreuses: de nouvelles armes, des équipements de vision nocturne, de nouvelles recrues parlant l'anglais et, surtout, de nouvelles tactiques qui ont permis de prendre par surprise les hommes de la Monusco (le contingent de l'ONU dans le pays) et les forces de l'ordre congolaises pendant le week-end.
Les États-Unis critiqués. Human right watch reproche aux États-Unis de ne pas avoir voulu mentionner les responsables rwandais dans la résolution. «Si le Conseil de sécurité veut réellement protéger les civils de Goma, il doit envoyer un message beaucoup plus clair à Kigali. On peut s'étonner du silence inexplicable des États-Unis sur ce point, en dépit de leur influence sur le Rwanda. Au nom des populations civiles de Goma, Washington se doit de soutenir des sanctions immédiates contre ceux qui soutiennent le M23 de l'étranger», a déclaré le responsable de HRW, Philippe Bolopion.
Les États-Unis ont simplement condamné la «violation de la souveraineté de la RDC» et appelé le Rwanda à faire la preuve de son influence. Les présidents congolais, rwandais et ougandais, Joseph Kabila, Paul Kagame et Yoweri Museveni devaient se rencontrer ce mercredi à Kampala pour tenter de résoudre la crise. 1600 casques bleus à Goma. Selon un responsable de l'ONU, les forces du M23 ont doublé depuis un mois pour atteindre 3000 personnes. Ils ont utilisé des mitrailleuses sophistiquées pour tirer et toucher un hélicoptère d'attaque de la Monusco (sans faire de blessés).
L'ambassadeur français à l'ONU, Gérard Araud, a rappelé que la Monusco n'a que 1600 soldats dans Goma, ville très vaste comptant plus d'un million d'habitants. Paris réclame une révision du mandat des quelque 17.000 casques bleus de l'ONU présents sur l'ensemble du territoire de la RDC, estimant «absurde» que celui-ci ne leur permette pas d'intervenir. Mais les options militaires restent limitées. Un haut responsable de l'ONU a expliqué mardi que la Monusco avait renoncé à combattre le M23 ce week-end parce que l'armée congolaise «avait disparu dans la nature». Or, souligne-t-il «l'ONU ne peut se substituer» à elle. Sa mission n'est pas «de servir d'armée pour un autre pays». Une intervention dans un milieu urbain aurait pu en outre coûter la vie à de nombreux civils.
Interrogations sur l'étendue du mandat de la Monusco. Les trois pays contributeurs de la force de maintien de la paix - Pakistan, Inde et Afrique du Sud - sont par ailleurs très inquiets à l'idée d'une mission plus offensive alors qu'ils estiment déjà être à la limite de leur mandat. L'ambassadeur français a souligné qu'une option actuellement à l'étude serait de donner à la Monusco un «mandat de contrôle des frontières». La direction des opérations de maintien de la paix a demandé aux trois pays impliqués dans la crise d'autoriser l'usage de drones de surveillance. Le Congo soutient l'idée, mais le Rwanda et l'Ouganda doivent encore l'approuver.
Une «coexistence «inévitable». À l'ONU, on commence en tout cas à parler de «coexistence» inévitable avec le M23 à Goma. «La perte de la souveraineté par le Congo à Goma est un échec d'une ampleur monumentale» pour le Congo, souligne un diplomate qui préconise un dialogue et «une coexistence sans coopération» avec le M23, lequel cherchera par tous les moyens à se faire reconnaître.
ONU / RDC / RWANDA - Article publié le : samedi 20 octobre 2012 - Dernière modification le : samedi 20 octobre 2012
Soutien au M23: les experts de l’ONU pointent de nouveau le Rwanda et l’Ouganda
Des soldats des FARDC en pleine traque d'une position des rebelles du M23 au Nord-Kivu, le 24 mai 2012. AFP /PHIL MOORE
Par Karim Lebhour
Le Conseil de sécurité a exprimé dans une déclaration, vendredi 19 octobre, son «soutien total» au groupe d’experts qui accuse le Rwanda et l’Ouganda d’armer les rebelles du M23 dans l’est de la RDC. Les experts de l’ONU ont renouvelé leurs accusations dans la version finale de leur rapport. Un rapport encore confidentiel, mais que le correspondant de RFI à l’ONU a pu consulter.
Les experts de l’ONU persistent et signent. Dans un document de 44 pages remis aux membres du Conseil de sécurité le 12 octobre, le groupe d’expert (GoE) chargé de surveiller l’application des sanctions de l’ONU en République démocratique du Congo réaffirme et détaille les accusations portées à l’encontre du Rwanda et de l’Ouganda dans leur rapport préliminaire du mois de juin. « Le gouvernement du Rwanda continue de violer l’embargo sur les armes en apportant un soutien militaire direct aux rebelles du M23, en facilitant leur recrutement, en encourageant et facilitant les désertions au sein des FARDC armée congolaise, NDR, ainsi qu’en fournissant des armes, des munitions, des renseignements et des conseils politiques ». Un lien direct entre les rebelles du M23 et le commandement militaire rwandais
En dépit des efforts diplomatiques et des déclarations d’intention, le GoE constate que « grâce au soutien des forces armées rwandaises et ougandaises », le M23 (dont les effectifs sont estimés à 1 250 hommes), a continué sa progression au cours de l’été dans l’est de la RDC. Le rapport évoque une « série d’attaques » au cours du mois de juillet 2012 dans le territoire du Rutshuru et parle d’une « intervention directe des forces spéciales rwandaises » pour aider à prendre la ville de Kiwanja. « Les forces armées rwandaises ont armé les rebelles, facilité l’évacuation des blessés vers le Rwanda et partagé des équipements de communication avec le M23 ».
Les armes livrées par le Rwanda et l’Ouganda comprennent, note le GoE, des mitrailleuses lourdes de 12,7 mm, des mortiers de 60 mm, 91 mm et 120 mm ainsi que des roquettes anti-char et des moyens anti-aériens. Si le soutien de l’Ouganda est « d’une intensité moindre que le Rwanda », les auteurs observent que Kampala a permis au groupe rebelle d’opérer librement sur son territoire et d’améliorer ses relations extérieures. Les experts établissent un lien direct entre les rebelles du M23 et le commandement militaire rwandais. La chaîne de commandement du M23 comprend, selon eux, le général mutin congolais Bosco Ntaganda qualifié de « plus haut commandant rebelle sur le terrain » et remonte ensuite jusqu’au ministre rwandais de la Défense, James Kabarabe, chef « de facto » de la rébellion.
Corruption au sein de l'armée congolaise Dans un chapitre intitulé « Tentatives du M23 pour ouvrir un front dans l’ouest de la RDC », les experts de l’ONU notent que les rebelles ont pris contact avec l’opposition congolaise pour tenter de nouer des alliances, sans toutefois préciser si cette démarche a abouti. Le rapport pointe également la corruption au sein de l’armée congolaise. « Les FARDC continuent d’être infestées par des réseaux criminels générant des revenus pour les officiers supérieurs (…) à travers le contrôle des ressources naturelles et la contrebande ». L’essentiel de ce rapport s’appuie sur les témoignages d’anciens soldats du M23 et de témoignages recueillis auprès des populations locales. Les soldats rwandais opérant avec le M23 sont identifiés par « leurs uniformes, leurs équipements, leur façon de patrouiller et leurs accents ».
Ces nouvelles accusations ont été vigoureusement démenties par le Rwanda et l’Ouganda. Dans un entretien avec un quotidien américain, Louise Mushikiwabo, la ministre rwandaise des Affaires étrangères, accuse le chef du groupe d’expert, Steve Hege, de mener une vendetta personnelle contre l’actuel pouvoir rwandais. « Ces experts n’ont pas pris la peine de contacter le Rwanda avant de porter ces accusations. Ce sont des méthodes de travail très contestables », a ajouté le diplomate rwandais Olivier Nduhungirehe, à New York. Le Conseil de sécurité a toutefois jugé ces informations suffisamment crédibles pour affirmer vendredi « son soutien total au groupe d'experts de l'ONU » qui a rédigé ce rapport et exiger l’arrêt « de tout appui extérieur » aux rebelles du M23. Le rapport doit être officiellement adopté le mois prochain.
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Goma est une ville de l'est de la République démocratique du Congo. Située à environ 1 500 mètres d'altitude dans la vallée du Rift, Goma est le chef-lieu de la province du Nord-Kivu. La ville est bâtie en bordure et au nord du lac Kivu sur les anciennes coulées de lave issues de la chaîne volcanique des Virunga, et principalement sur celles du volcan Nyiragongo qui la domine de près de 2 000 mètres à 20 km plus au nord. En 2002, lors de sa dernière éruption, la lave a dévalé sur Goma et ravagé le quartier commerçant.
Sommaire ..! 1 Histoire 2 Géographie 3 Subdivisions 4 Démographie 5 Notes et références 6 Voir aussi 6.1 Articles connexes 6.2 Liens externes
Histoire..!
La ville est la base arrière de l'opération Turquoise organisée en 1994 à la fin du génocide rwandais.
La ville et ses environ abritera dans des camps autour de 650 000 réfugiés hutus de 1994 jusqu'à la chute du Zaïre, dont certains supposés anciens génocidaires. Selon des ONG, l'AFDL procède à des massacres dans les camps entre 1996 et 19971.
De 1998 à 2002/2003, la ville, sous contrôle du Rassemblement congolais pour la démocratie (RCD) pro-rwandais échappe au contrôle du gouvernement congolais.
De nombreux viols, massacres et crimes de guerre y ont été perpétrés entre 1996 et 2006 par les troupes des généraux rebelles du RCD, essentiellement sous les généraux Nkundabatware et Mutebesi.
En 2002, le Nyiragongo entra en éruption, et une coulée de lave atteignit le centre de la ville. La lave n'a pas atteint le lac Kivu fort heureusement, en effet ce lac est un lac méromictique et un changement brutal de chaleur aurait des conséquences graves: Éruption limnique.
Débordant de populations fuyant les violences, Goma compte, en 2008, 700 000 habitants. Ceux qui ne peuvent pas trouver d'abri remplissent les camps de réfugiés, où l'ONU et les ONG se débattent pour leur fournir nourriture, eau et combustible.
Géographie
La ville doit son nom au volcan éteint autour duquel elle s'est installée, le mont Goma, qui lui-même doit son nom au mot swahili « ngoma » qui signifie « tambour », dénomination due à sa forme et, peut-être, à la résonance particulière des lieux. Le cratère du mont Goma, envahi par les eaux du lac Kivu avec lequel il communique, abrite le port de la ville fréquenté quasi exclusivement par la navette, fret/passagers, Goma/Bukavu.
Ville frontalière, elle côtoie Gisenyi, à l'est, petite ville rwandaise aux plages de mica blanc étonnement scintillantes.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Goma
Subdivisions..!
La ville est divisée en 2 communes divisiées en 6 et 7 quartiers administratfis :
Goma (commune) : Katindo, Keshero, Volcan, Mikeno, Lac Vert, Mont Goma ; Karisimbi : Kahembe, Katoyi, Majengo, Mabanga, Murara, Ndosho, Mugunga.
Démographie
..Goma au M23: Le Front Civil de Résistance Populaire fustige Joseph Kabila, son régime fantoche et sa complicité avec le Rwanda ! Par Freddy Mulongo, mardi 20 novembre 2012 à 15:46 :: radio :: #3054 :: rss
Depuis que Goma est tombé dans les mains de la soldatesque rwandaise. Les Congolais ne décolèrent plus ! La haute trahison de Joseph Kabila et l'infiltration des institutions congolaises sont avérées. Le peuple congolais va se prendre en charge lui-même et règler une fois pour toutes, l'invasion et l'occupation rwandaise au Congo. Ce communiqué de presse du Comité local de Résistance Populaire du Nord-Kivu est sans équivoque. Appel des Comités Locaux de résistance Populaire CLRP-Nord Kivu du Front Civil de Résistance Populaire FCRP.
Joseph Kabila et Paul Kagamé, deux frères Dupond-Dupont qui se jouent des malheurs des Kongolais.
Goma envahit par la soldatesque de Kagmé
Des Congolais fuient à Goma
Même des femmes congolaises doivent fuir.
Chers compatriotes,
Nous, Résistants-Patriotes-Combattants du Nord Kivu, accusons le pouvoir fantoche de l'usurpateur Joseph Kabila de haute trahison parce que l'ordre incompréhensible de retrait des militaires congolais de la ville de Goma émanait de la haute hiérarchie de Kinshasa! Ce pouvoir est bel et bien complice de l'agression rwandaise sous couvert de la milice rwandaise dite M23!
En ce moment, ce sont les résistants-Patriotes- combattants qui tiennent la ville et sont rejoints par les militaires congolais patriotes qui refusent, désormais, d'obéir aux ordres de Kinshasa et sont déterminés à se battre aux côtés des Résistants-Patriotes-Combattants!
La MONUSCO a choisi d'adopter l'attitude traitresse de laisser-faire! Elle s'occupe de l'évacuation des étrangers européens, américains... tandis que les populations civiles congolaises sont délaissées sans protection! L'armée rwandaise s'est positionnée à Gisenyi en attendant une pretexte pour lancer une offensive sur la ville de Goma!
Nous appelons tous les congolais Résistants-Patriotes-Combattants congolais à travers le monde, de se lever et, sans état d'âme, de s'en prendre aux ambassades du Rwanda! La forme importe peu!
Pour imposer la paix chez nous, nous devons porter la guerre là où elle a commencé, au Rwanda!
Nous appelons les Résistants-Patriotes-Combattants de Kinshasa de chasser l'ambassadeur du Rwanda de chez nous, de fermer cette ambassade et de punir les collabos!
Nous appelons les militaires et les policiers congolais patriotes de rejoindre la résistance et de désobéir aux ordres des officiers congolais traitres et les officiers rwandais infiltrés qui occupent les postes stratégiques, il ne travaillent pas pour la RDC, ils reçoivent les ordres de Kigali et fournissent tous les renseignements !
Chers compatriotes, pour ce combat pour sauver notre patrie, le Nord Kivu a besoin de votre soutien patriotique! Engagez-vous dans ce combat là où vous êtes!
http://www.reveil-fm.com/index.php/2012/11/20/3054-goma-le-front-civil-de-resistance-populaire-fustige-joseph-kabila-et-son-regime-fantoche
La ville de Goma menacée : «Joseph Kabila» se terre à Kingakati
Une "séance de travail" à la Ferme présidentielle de Kingakati. Photo d’archives
Où est passé le gouverneur du Nord Kivu, le PPRD Julien Paluku ? L’intéressé prétend qu’il est à Goma. Une dépêche de l’AFP soutient que le gouverneur se trouverait à Bukavu. Selon une source jointe par la rédaction de Congo Indépendant, les autres responsables civils et militaires de la province auraient trouvé refuge…à Gisenyi, au Rwanda. Un comble ! «Joseph Kabila» était injoignable au téléphone le vendredi 16 et samedi 17 novembre pendant que l’armée congolaise avait besoin d’appui. Des responsables de la Mission onusienne au Congo ont tenté sans succès de joindre le «raïs». Retranché dans sa Ferme de Kingakati, l’homme n’a pas encore estimé «opportun» de tenir une réunion extraordinaire du conseil des ministres. Encore moins de manifester une certaine mauvaise humeur en rappelant «en consultation» l’ambassadeur du Congo-Kinshasa à Kigali. «Joseph Kabila est un traître». Cette phrase n’est pas nouvelle. Elle revient avec acuité dans toutes les conversations entre Congolais. Didier Etumba, Amisi Kumba et Olivier Amuli respectivement chef d’état-major général des FARDC (Forces armées de la RD Congo), chef d’état-major des Forces terrestres et porte-parole de la 8ème Région militaire se prélassaient dans la capitale pendant que la guerre faisait rage à Goma.
Tombera ? Tombera pas ? La ville de Goma, chef-lieu de la province du Nord Kivu, avait, dimanche 18 novembre, les allures d’un no man’s land. Désertée par les autorités provinciales tant civiles que militaires, cette cité urbaine n’est pas encore, à proprement parler, investie par les rebelles du M23. Selon diverses sources, ceux-ci se trouveraient à trois ou cinq kilomètres de cette agglomération. Nul ne sait qui contrôle encore l’aéroport. Et dire que l’Etat a déboursé près de 400 millions de dollars US pour financer une guerre qui se solde par une humiliante défaite. Combien de morts et de blessés va-t-on dénombrer dans les rangs des FARDC? Tout ça pour ça !
Le «roi fainéant»
Selon des témoins, des colonnes des FARDC quittaient Goma dimanche abandonnant la population à son triste sort. «Epuisés, certains militaires et officiers disent n’avoir rien mis sous la dent depuis plusieurs jours, faute d’approvisionnements», peut-on lire parmi les texto expédiés du Nord Kivu. Qui a voulu saper le moral des troupes déployées sur le terrain ? Il semble bien que «Joseph Kabila» était injoignable au téléphone durant toute la journée de vendredi 16 et samedi 17 novembre. Les responsables de la Mission onusienne au Congo ont tenté de le joindre. Sans succès. Et cause, les questions militaires et sécuritaires relèvent de lui seul. «C’est un secret de Polichinelle de dire que Joseph Kabila consacre plus de temps à se faire plaisir qu’à s’occuper des affaires publiques, commente un habitué du Palais de la nation. Le Président vient rarement au bureau. D’ailleurs, son directeur de cabinet ne le voit que très rarement. Les réunions du conseil des ministres sont rarissimes alors que le pays traverse des moments difficiles». Roi fainéant, «Joseph» passait du bon temps dans sa Ferme de Kingakati pendant que des jeunes militaires congolais servaient de chair à canon, victimes de la bêtise humaine et de la félonie.
Pendant qu’à Kinshasa les gouvernants affichaient leur insouciance légendaire, le Conseil de sécurité des Nations unies - plus soucieux du Congo que les dirigeants du pays - a tenu, samedi 17 novembre, une réunion d’urgence. A l’ordre du jour : la situation au Nord Kivu. Il fallait à tout prix faire arrêter la «marche victorieuse» des guérilleros du M23. Qui mieux que Paul Kagame pouvait-il le faire ? Le secrétaire général de l’Onu, Ban Ki Moon, dû se faire violence en recourant aux bons offices du chef d’Etat rwandais. Celui-ci a-t-il fait droit à cette demande ? Goma n’est pas «tombée» aux mains des assaillants. La ville n’est plus contrôlée par les forces gouvernementales. Une situation kafkaïenne. Les rebelles du M23 se trouvent néanmoins en position de force pour «négocier» avec un «Joseph Kabila» qui est brocardé par ses contempteurs comme «une personne fourbe et peu respectueuse de la parole donnée». Sultani Makenga et ses «amis» paraissent décidés à lui tenir la dragée haute.
«Kabila doit démissionner»
La nouvelle défaite subie par les FARDC au Nord Kivu vient confirmer ce que tous les observateurs de la politique congolaise ne cessaient de dire. A savoir que le Congo-Kinshasa est dirigé par un homme énigmatique au passé nébuleux. Un homme sans doctrine ni pensée politique qui a été propulsé au sommet de l’Etat par certains lobbies mafieux. «En douze années passées à la tête de l’Etat, «Joseph Kabila» a démontré qu’il n’a ni projet ni grand dessein pour le pays», enchaîne un analyste. Et d’ajouter : «Le soutien apporté au M23 par le Rwanda n’absout pas Kabila d’avoir failli dans la mise sur pieds d’une armée républicaine et dissuasive. Les cinq chantiers et la fameuse révolution de la modernité constituent une haute farce pour endormir les Congolais, réputés naïfs. Lorsqu’une équipe de football aligne des défaites après défaite, il faut penser à changer d’entraîneur. Après une accumulation d’échecs au plan politique, économique, social et militaro-sécuritaire, Joseph Kabila doit en tirer toutes les conséquences politiques : il doit démissionner avant qu’il ne soit trop tard pour sa sécurité personnelle…».
Proche d’Etienne Tshisekedi wa Mulumba, Tharcisse Loseke Nembalemba d’enfoncer le clou : «Joseph Kabila vient de démontrer qu’il est complice de la situation qui se déroule à Goma. Nous manifestons notre compassion ainsi que notre solidarité à l’endroit de nos compatriotes du Nord-Kivu qui sont victimes des affres des amis et alliés politiques de Monsieur Kabila. On oublie souvent que le CNDP était membre de la Majorité présidentielle». Loseke de conclure : «Joseph Kabila et son gouvernement doivent démissionner pour irresponsabilité. A défaut, ils seront chassés du pouvoir par la population congolaise. D’ailleurs, tous les signaux laissent apparaître l’imminence de la fin du régime kabiliste…»
Baudouin Amba Wetshi © Congoindépendant 2003-2012
RDC- Retombés du Crash à Bukavu: Joseph Kabila se trouverait caché à l’est du pays! by bakolokongo février 12th, 2012 Les masques sont tombés sur la disparition de l’Imposteur et Usurpateur d’identité nationale congolaise, depuis sa prestation de serment. D’après une source concordante de bakolokongo.com depuis Goma, Joseph Kabila qui serait porté disparu depuis son serment, se trouverait caché à l’est du pays, plus probablement au Rwanda. C’est depuis le territoire rwandais que Joseph Kabila donne des ordres à ses collabos sous la supervision de Kantumba Mwanke, son conseiller principal à la mafia internationale et occupation. Joseph Kabila se deplace du Rwanda à Goma pour des audiences de travail avec ses collabos sous haute discrétion. D’après notre source, juste avant l’accident de l’avion qui transportait Augustin Kantumba Mwanke et d’autres collabos, un dispositif sécuritaire impressionnant a été constaté dans la ville de Goma, dernière destination de grands passagers de l’avion. La population abasourdie n’avait pas compris le bien fondé de cette disposition et d’autres mouvements suspects qui ressemblaient habituellement à la securisation de Joseph Kabila partout où il passe sur le territoire congolais. Ce n’est qu’après le crash du jet qui transportait ces dignitaires que l’opinion s’est bien rendu compte et a réalisé que l’Homme fort de Kinshasa, l’Imposteur Joseph Kabila devait se trouver présentement et discrètement à Goma, destination finale de ce vol de fortune. En effet, Augustin Kantumba Mwanke aurait embarqué ces agents pour les conduire discrètement chez son maitre à l’est du pays pour recevoir des ordres. Tous ces collabos dont Augustin Katumba Mwanke, conseiller du président (mal réélu) Joseph Kabila, Augustin Matata Ponyo, ministre congolais des Finances, Marcelin Tshisambo, le gouverneur du Sud-Kivu (est) et le député Antoine Ghonda, ancien ambassadeur itinérant du président Kabila se rendaient discrètement à Goma en passant par Bukavu où d’autres membres de la délégation devraient être embarqués sur invitation de l’imposteur de Kinshasa qui aurait trouvé refuge à l’est du pays, pour une séance de travail au cours de laquelle ils devraient recevoir instructions et ordres. Mais le sang précieux de nos ancêtres les a confondus et la mission discrète a tourné au vinaigre. Un grand jour pour les Combattants Résistants et la diaspora congolaise qui ont accueilli avec satisfaction cette tragédie! Les collabos vont tous finir les un après les autres dans des conditions imprévisibles. Les patriotes regrettent et se posent la question pourquoi d’autres collabos tels Lambert Mende, Evariste Boshab, André Kimbuta, Bisengimana,… n’etaient-ils pas de la partie. Selon nos sources, le bilan de l’accident serait très lourd : plusieurs corps inanimés encore non identifiés ont été trouvés sur le lieu du crash.
Cette tragédie intervient quelques jours seulement après le passage du chef de la Défense belge en visite au Congo, général Charles-Henri Delcour à Kigali et Brazzaville où il a été négocier le maintien de Joseph Kabila au pouvoir à la place de Louis Michel. Celui-ci devrait normalement se rendre à Kinshasa engager les pourparlers avec l’opposition pour la formation d’un gouvernement d’union nationale sous la présidence de Joseph Kabila. Ce dernier ayant été vaillamment décrié par l’opinion nationale et internationale, a été basculé pour se faire remplacer par le général Charles-Henri Delcour, chef d’état-major de l’armée belge, lequel a été dépêché en toute discrétion afin de contourner l’attention de l’opinion pour le même objectif. Même ses sinistres visiteurs de marque connaitront le même sort en RDC.
Des questions se posent sur le mobile du crash: est-ce un accident ou un attantat criminel des forces de résistance qui combattent le régime de Joseph Kabila?
http://bakolokongo.com/portail/2012/02/rdc-retombes-du-crash-a-bukavu-joseph-kabila-se-trouverait-cache-a-l%E2%80%99est-du-pays/
..Goma au M23:
http://www.congoindependant.com/article.php?articleid=7654
LA DEMISSION DE » KABILA » EXIGEE: Declaration des ONG des droits de l’homme sur la prise de Goma redaction | nov 21, 2012 | 0 comments DECLARATION DES ORGANISATIONS DE DEFENSE DES DROITS HUMAINS DE KISANGANI SUR LA SITUATION QUI PREVAUT ACTUELLEMENT A L’EST DE LA RDC
Le Peuple Congolais est trahi par ceux qui ont la charge de garantir ses droits fondamentaux, sa sécurité et l’intégrité territoriale nationale
Nous, Organisations des droits humains et d’Education Civique de la Province Orientale déplorons et condamnons avec la dernière énergie l’occupation de la Province du Nord Kivu par le Rwanda sous étiquette de M23.
Nous demandons la démission du Chef de l’Etat et du gouvernement de la République Démocratique du Congo pour haute trahison conformément aux prescrits de l’article 165, paragraphe 1er de la Constitution telle que révisée le 20 janvier 2011.Cette occupation est une démonstration de plus de l’agression de la République Démocratique du Congo par le Rwanda et ses collabos qui sont dans l’arène du pouvoir congolais.
Nos Organisations déplorent la passivité et l’inefficacité des gouvernants de la République Démocratique du Congo, non seulement de ne pas déclarer l’Etat d’urgence pour la défense de l’intégrité territoriale conformément à l’article 85 de la Constitution mais aussi et surtout le fait de ne pas reconnaître et faire reconnaître clairement l’agression dont est victime la République Démocratique du Congo par le Rwanda; ce comportement est une manifestation explicite de la haute trahison du peuple congolais par ses dirigeants.
Nos Organisations restent soucieuses et attachées à la libération sans délai et sans condition ; et au rétablissement de la paix dans la partie Est de la République Démocratique du Congo en particulier dans la Province du Nord Kivu.
En conséquence, nous demandons la démission du Chef de l’Etat et du gouvernement de la République Démocratique du Congo pour haute trahison conformément aux prescrits de l’article 165, paragraphe 1er de la Constitution telle que révisée le 20 janvier 2011.
Au parlement, nous demandons la stricte observance des dispositions constitutionnelles.
Fait à Kisangani, le 20 novembre 2012
Pour les Organisations des droits humains et d’Education Civique de la Province Orientale
http://congotribune.com/la-demission-de-kabila-exigee-declaration-des-ong-des-droits-de-lhomme-sur-la-prise-de-goma/
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