____Quand iront-ils couper le bras d'Al Qaida au Nord-Mali.. Ils? qui ils? Au Nord-Mali, des amputations au nom de la charia - Les violences sexuelles contre les femmes dans les conflits armés en afrique
Par http://www.777-mafia.com/us/home, samedi 3 novembre 2012 à 12:17 :: __[7.7.7] Works at Secret d'état "Guide infâme de l'être existenciel noirs" battlefield.3 ".. "Le Seigneurs de la Négation" LOI du CHAOS.. :: #4205 :: rss
Quand iront-ils couper le bras d'Al Qaida au Nord-Mali Ils? qui ils? Les violences sexuelles contre les femmes dans les conflits armés en afrique
Ils, le Conseil de Sécurité de l'ONU! - Ils : ceux devant lesquels Colin Powell a brandi et agité un petit flacon contenant, paraît-il, l'once d'une arme de destruction massive recueillie en IRAK. - Ils : ceux devant lesquels Alain Juppé a soutenu Mordicus que le peuple libyen bombardé par son guide devait-être libéré en puisant un peu dans les budgets déjà fragile des Français et Américains pour dire : C'est l'OTAN qui a financé! (soit dit-en passant Kadhafi aussi, il avait vraiment le sens du guidage vu comment les missiles avaient été précisément lancés). Mais alors, pourquoi ne vont-ils pas faire la même chose au Mali? Ce n'est pas parce qu'ils ont peur hein, non! loin de là, le but de l'article est justement de vous en parler : Je ne vais pas refaire ici tout le truc Charia, pourquoi ça existe, comment cela peut être géré, à qui faut-il parler, quelle diplomatie pour faire entendre raison aux adeptes nord-maliens (ou normaliens?) de la charia etc. Djibril Bassolé, le Ministre Burkinabè des affaires étrangères en a fait la triste expérience. Après ses succès au Togo, en Côte d'Ivoire et en Guinée, pour la première fois, il s'est cassé les dents sur les Moudjao, ceux qui ont feint une certaine absence de leur leader pour éviter qu'il ne le rencontre.
A partir du moment où nous pouvons d'ailleurs supposer qu'à un moudjao ou à un ançar eddine, il n'existe pas de voix de raison à lui faire entendre et qu'il faut jouer sur la loi du tout ou rien, ou du on attaque ou on n'attaque pas, la grande question sur le nord-mali se pose en terme de temps. Quand va-t-on y aller?
D'abord, repérons les enjeux, car dans ce bas-monde où nous vivons, il s'agit bien d'une question d'enjeux : - Le Mali a t-il du pétrole? non! - Un autre minerai important, recherché par les seuls pays qui possèdent la bonne technologie pour l'exploiter? non! - Si on investit dans une guerre au nord-mali, qu'est-ce qu'on pourra récolter, quels en seront les bénéfices à court terme, à moyen terme, à long terme? - Combien de tirs stratégiques faudra t-il? combien de pilotes mobiliser? Les américains accepteront-ils de nous prêter encore un porte-avion à stationner dans le golfe. - Quelle est la distance du Porte avion stationné dans le golfe de guinée (sait-on jamais sur les côtes togolaises, on pourra visiter?) jusqu'au nord-mali, secteur où doit être effectué les frappes?
Revoyons le cas lybien : un missile tiré en Lybie coûtait à la France autour de quatre mille euros! un aller-retour d'un avion de chasse français décollant du porte-avion américain stationné en méditerranée coûtait dans l'ordre de 4500 euros, sans le missile qui va avec! Comparativement à un puits de pétrole à siphonner sur des années? soyez bon businessman... le jeu en vaut la chandelle, et peut-être même un cierge à la place.
Voilà ce pourquoi tout le monde au conseil de sécurité hésite : Oui on vous libère, mais en échange VOUS NOUS DONNEZ QUOI!!!
On préfère encore faire un tour en Syrie pour déboulonner Al ASSAD! il suffit de regarder la carte pour le comprendre. Vous sautez AL-ASSAD une fois, et vous vous retrouvez aux portes de l'IRAN qui du coup va commencer par se poser des questions sur son avenir du genre "oh lala, les américains arrivent, qu'est ce qu'on va faire"? On comprend pourquoi le Ministre Iranien des Affaires étrangères est parti faire sa part de "danse du ventre " à Bachar pour lui dire "reste là bas, surtout ne bouge pas, on t'envoie les kalach et tu zigouilles tous les rebels soutenus par les américains"; mais revenons au Mali!
Alors pourquoi alors la CEDEAO n'y va pas? bah, c'est simple : Le Capitaine SANOGO, puissant guerrier qui ne fait peur qu'aux Présidents maliens, mais pas au Islamistes du nord, a dit : "Non, nous ne voulons pas de forces étrangères pour aller finir avec les Islamistes du Nord, donnez nous juste les armes, on s'en charge ! ".
Il faut quand même se garder de piquer une folie ou faire le mythomane de l'armée. Car voici une armée malienne non entraînée, à qui on fournit du matériel militaire testé auparavant par des hommes surentraînés. Pffffff!!! Qu'iront-ils faire au Nord-mali où sont regroupés là également des anciens mercenaires noirs de Lybie qui n'ont fait que ça de leur vie!!! s'entraîner pour la gloire d'un Kadhafi (mort sans gloire, doit-on le rappeler).
Mais bien évidemment, aujourd'hui au sud du Mali, tout le monde a peur du Capitaine SANOGO, donc si la CEDEAO n'y va pas avec ses forces ouest-africaines, bah euuuuh... encore que les pays prêts à y aller ne sont pas nombreux, la Côte d'Ivoire est tout de suite "OUT"!!! elle n'a pas suffisamment sécurisé ses camps, à partir de quel moment irait-elle sécuriser les camps des autres!
En somme, tout le monde dit "oui il faut y aller" mais les freins sont nombreux, et le premier qui part sans les autres risque de nous refaire le faux départ à la Jon Drummond (I DID NOT MOVE!!!)
Il reste une solution : Donner beaucoup d'argent aux excités de la gâchette et du Allah-Akbarisme du Nord-Mali, et leur dire de se mettre à la retraite anticipée car maintenant on le sait; ces hommes qui occupent le nord-mali veulent faire de cette zone une bastion d'Al Qaida pour pouvoir bénéficier de la manne financière tombant de leurs collègues d'Al Qaida du moyen-orient. L'AQMI en bénéficie déjà, et Ançar Eddine accompagné de ses cousins coupeurs de bras du Moudjao s'en lèchent les doigts. L'argent vient des Arabes qui encouragent la charia dans le monde islamique.
Je vous dis ça autrement : Les boucheries humaines, sport favori des Islamistes du Nord Mali, les lapidations, les bras coupés et autres, bah ça rapporte de l'argent aux MUDJAO!!! (au moins on sait qu'Husain Bolt ne visitera jamais le Nord-Mali, où bien évidemment on peut le priver de son outil de travail, lol!)
En somme, tout n'est qu'une question d'argent aussi bien du côté des "Conseillers Permanents de Sécurité" de l'ONU que des adeptes du "Dieu est grand, Mahomet est son prophète, il dit de couper le bras au voleur et de lapider la femme adultère"!
L'ARGENT, mes amis, L'ARGENT, le nerf des guerres!
On a découvert il n'y a pas longtemps, pris en photo, des hommes des forces spéciales françaises au nord du mali. Ils sont là mais... relisez plus haut! il suffit qu'on leur donne l'ordre mais, là bas dans les arcanes du pouvoir français, on attend de lire et de relire les fiches comptables, les budgets à dédier aux opérations!!! combien va t-on mettre dans la balance, combien va t-on contrebalancer pour enrichir (et c'est important) l'état français; celui qui a investit dans la liberté du Mali.
Un malien rencontré à Lomé m'a expliqué récemment : "attend! au nord c'est quand même 45 degré à l'ombre. Si tu tiens fusil et que ça te brûle la paume des mains là, c'est là tu vas savoir si tu es CEDEAO ou MUDJAO"!
Enfin, si vous avez la chance et le temps de tomber sur ce film : MENSONGES d'ETAT avec Léonardo Di CAPRIO, n'hésitez pas à le regarder pop corn et soda à la main. Vous deviendrez à coup sûr un illuminé de l'actualité telle qu'elle s'impose véritablement au moyen-orient.
Publié par Eteh Komla Adzimahé à l'adresse http://adzimawhite.blogspot.fr/2012/08/quand-iront-ils-couper-le-bras-dal.html
Une équipe d'Amnesty International atteste la réalité des exactions pratiquées par des groupes islamistes. Par C.B. «Vers 15 heures, j’ai été emmené sur la place publique d’Ansongo. Des gens avaient été appelés pour assister à l’amputation. Ils m’ont fait asseoir sur une chaise, ils m’ont ligoté les pieds contre les pieds de la chaise, ils m’ont également ligoté le torse contre le dos de la chaise, mes avant-bras ont été attachés aux abords de la chaise. Puis le chef des Mujao a pris mon avant-bras droit et l’a ligoté avec une chambre à air de bicyclette, comme un garrot. Il a tenu ma main droite avec sa main gauche. De sa main droite, il tenait un couteau. Il a dit "Allah Akbar" avant de commencer à couper mon poignet.» Depuis le 8 août, Alhader Ag Almahmoud, 30 ans, éleveur touareg de la région de Gao, au Mali, n'a plus de main droite. Accusé de vol de bétail, il a été amputé, en place publique. Il n'a reçu aucun soin avant huit jours. Son témoignage a été recueilli à Bamako par une équipe d’Amnesty International, de retour vendredi d’une mission de quinze jours au Mali. Comme lui, au moins six autres personnes, accusées de vol au terme de simulacres de procès, ont été amputées par des groupes islamistes armés, selon les informations qu'a pu recouper Amnesty. L'équipe n’a pas pu se rendre dans la partie nord du pays passée aux mains des groupes islamistes, mais a enquêté auprès de réfugiés à Bamako et dans la région de Mopti, dans le centre, à la lisière de la zone occupée. L’ONG rend compte de ses observations dans un rapport publié ce jeudi, au moment où le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, recevait le Premier ministre malien, Cheikh Modibo Diarra. Mises en scène «Depuis début août il y a une vraie rupture», observe Gaëtan Mootoo, chercheur pour Amnesty, de retour du terrain. «Avant, les groupes armés procédaient à des intimidations, des menaces. Maintenant, ils procèdent à des profanations de lieux saints, des amputations, des exécutions extrajudiciaires...» Les amputations sont véritablement mises en scène, ajoute-t-il. «Les victimes, qui sont toutes des hommes noirs, sont amputées en place publique, devant la foule. Les membres amputés sont ensuite exposés à la vue de tous, tels des trophées au commissariat de police.» Une vidéo de l'AFP mise en ligne vendredi montre les moignons bandés d’un homme allongé sur un lit. Depuis le putsch du 22 mars et la déroute des Touaregs face aux groupes islamistes, le Mali est coupé en deux. Au Sud, un calme précaire, maintenu tant bien que mal par le gouvernement de transition et les militaires. Au Nord, en l’absence d’une offensive militaire encore hypothétique, les islamistes (essentiellement Ansar ed-Dine et le Mujao - Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest, une branche dissidente d’Al-Qaeda au Maghreb islamique) consolident leur emprise dans cette vaste zone où ils s’emploient à établir la charia. L’interdiction de boire, de fumer, d'écouter de la musique non religieuse se répand. A Tombouctou, des patrouilles d’Al-Qaeda au Maghreb islamique (Aqmi) rentrent dans les cours des maisons pour vérifier si les femmes portent bien le voile. A Gao, où règne le Mujao, les filles sont désormais voilées et séparées des garçons à l’école secondaire. En juin et juillet, au moins deux couples non mariés ont été l’un lapidé, l’autre flagellé.
Autre pratique qu'a pu confirmer de visu Amnesty, le recrutement d’enfants soldats, souvent des adolescents de 16 à 18 ans. Par les groupes armés du Nord, mais aussi par les milices d’autodéfense qui se sont constituées dans la partie du pays toujours contrôlée par le gouvernement, avec le soutien plus ou moins déclaré de celui-ci. Mi-août, l’Unicef avait déjà lancé une alerte à ce sujet. Ainsi, dans un camp des Forces de libération du Nord (FLN), proche de Mopti, le registre consulté par Amnesty atteste de la présence dans les troupes de cette milice de «plus de 40 enfants, nés entre 1995 et 1997, dont au moins deux filles mineures». Registre du camp militaire du Front de Libération du Nord. (Photo Amnesty International) Les violences sexuelles persistent aussi. Amnesty cite en particulier le cas d’une jeune fille de 14 ans violée à Tombouctou par un membre de la «police» mise en place par Aqmi. «Cet homme, un Burkinabé, a été arrêté et condamné à 100 coups de bâton. L’homme a également été condamné à épouser la jeune fille, à être exclu de la police, et à s’exiler de Tombouctou durant un an, a raconté un habitant à Amnesty. Il a reçu 11 coups de bâton sur la place Sankoré, mais il n’a pas épousé sa victime, n’a pas été expulsé de Tombouctou et continue de faire partie de la police d’Aqmi.» http://www.liberation.fr/monde/2012/09/20/au-nord-mali-des-amputations-au-nom-de-la-charia_847621
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