*** Le vin Wade est tiré mais tout le monde n’est pas prêt à le goûter à plus forte raison le boire jusqu’à la lie.

  • __Si Dieu existe réellement il doit être surprise inimaginable pour voir comment l'homme noir est insignifiant et ingrat. psychisme negrier

Exterminer la race Noire ! Vous ne merité pas qu'en sacrifie nos vie pour vous__.

( 13/02/2010 00:00 ) À / France

Exterminer la race Noire ! il faut peut être ,,,,commencer par bombarder soit même , ces prejugés.

Dieu demande pitié et pardon ,faut il exterminer l'homme noir...?

L'art et la manière de vous piller : L'homme blanc, supérieur, se doit d'apporter sa grandeur aux peuplades indigènes, le NOIR dois DISPARAITRE, le noir n'existe pas. Continuer a les asservire et tuer lès tous (sauf nelson mandela)

Publié le 13 septembre 2011

La France ne tient pas l'Afrique,

c'est l'Afrique qui la tient

Les accusations de Me Bourgi sur des remises de fonds africains a MM. Chirac et Villepin font grand bruit. Faudrait-il quitter l'Afrique ? A quoi bon : l'Afrique ne nous quittera pas !

Donc, si l'on en croit Me Bourgi, zélé porteur de valises et excellent connaisseur des mœurs politiques de l'Afrique francophone, des dizaines de millions d'euros versés par des chefs d'État africains ont atterri (par son truchement) entre les mains de MM. Chirac et Villepin. Le scandale est patent. Ces révélations, informations, allégations (on rayera les mentions inutiles selon les sympathies qu'on éprouve ou pas pour les deux personnages mis en cause) font hurler le Parti socialiste qui parle de "faits stupéfiants".

C'est de bonne guerre. Et ce qui se passe, depuis des décennies, entre la France et les très changeants régimes africains est tout sauf reluisant. Scandale oui ! Mais "stupéfiant" ? C'est la stupéfaction du PS qui est stupéfiante… Parmi les plus imminents dirigeants de ce parti il y a en effet plusieurs "bébés Mitterrand". Ignoraient-ils - ils jouaient certes dans le bac a sable de la cour de l'Élysée mais n'étaient quand même pas si bébés que ça - qu'il y avait une "cellule africaine" auprès de François Mitterrand ? Ne savaient-ils pas que le représentant spécial du Président de la République d'alors s'appelait Jean-Christophe Mitterrand et qu'il sillonnait l'Afrique avec moult cadeaux et promesses et qu'on l'appelait là-bas « papa m'a dit » ? Certes aucune valise, a supposer qu'il y en ai eu, n'arrivait jusqu'au bureau du chef de l'État. François Mitterrand avait l'argent en horreur et ne serait jamais allé se salir les mains en comptant des liasses de billets. Ce qui, soit dit en passant, signe une grande différence de classe et d'élégance entre lui et ceux que Me Bourgi montre du doigt.

J'entends bien qu'on pourrait me reprocher de me servir de Mitterrand pour dédouaner messieurs Chirac et Villepin. Tel n'est vraiment pas mon propos. Si Me Bourgi parvient à apporter la preuve de ses accusations (et, grand connaisseur des secrets franco-africains, il en est capable) l'ancien président de la République et son collaborateur le plus proche seront jugés coupables. Et ce sera justice. De surcroît ils passeront pour des imbéciles et des maladroits . Et ce sera une confirmation.

Mais les rapports entre la France et ses anciennes colonies africaines ne peuvent se juger uniquement à l'aune des turpitudes réelles ou supposées de nos dirigeants. Nous tenons l'Afrique, crient les fonctionnaires de l'anticolonialisme et de l'anti-imperialisme. Et bien non : c'est l'Afrique qui nous tient ! Nous avons évidement là-bas des intérêts économiques, des bases militaires . Et, surtout, des dizaines de milliers de Français, commerçants, entrepreneurs, cadres, enseignants, qui y vivent. Mais nous payons aussi. Et grassement. Qui assure les salaires des fonctionnaires quand le budget de tel ou tel État africain est défaillant ? Qui verse la solde des soldats des armées locales qui menacent de se révolter quand celle-ci n'est pas payé à temps ? Qui fournit les sommes nécessaires pour s'attirer les bonnes grâces d'untel ou d'untel parvenu au pouvoir par un coup d'État militaire ou par des élections où démocratie rime avec tribalisme ?

Mais nous soutenons des dirigeants corrompus et dictatoriaux, s'offusquent les contempteurs de la "Françafrique" ? Effectivement. Mais y a-t-il quelqu'un d'autre à soutenir ? Prenons deux cas exemplaires. Le Tchad d'abord. Du temps de Giscard, l'armée française a fait la guerre dans ce pays pour soutenir le pouvoir en place contre un rebelle, Hissène Habré. Puis ce dernier a gagné. Il a régné, il a massacré, il a torturé. Et la France qui l'avait combattu ? Elle a coopéré avec le vainqueur, toute honte bue. Puis il a été renversé : il est aujourd'hui poursuivi pour crime contre l'humanité. Et la France ? Elle travaille avec ses successeurs...

La Côte d'Ivoire maintenant. La France, tous Présidents confondus, a coopéré avec Laurent Gbagbo : plus de 20 000 Français résident en Côte d'Ivoire. Ce Président ivoirien, membre de l'Internationale Socialiste avait des amis au PS. Henri Emmanuelli et quelques autres l'ont d'ailleurs soutenu jusqu'au bout. Et qui croyez vous que Laurent Gbagbo a arrosé, si l'on en croit Me Bourgi ? MM. Chirac et Villepin, simplement parce que ces derniers étaient au pouvoir. Aucune préférence idéologique, politique. Non. Juste un principe froid et calculateur de réalité. Et la France, depuis toujours, applique ce même principe. Nous ne choisissons pas les chefs d'États africains : ce sont eux qui nous choisissent. Parfois notre pays mise sur untel plutôt que sur untel. Et il arrive qu'on parie sur le mauvais cheval. Alors on fait avec. Et on s'arrange avec l'autre cheval.

C'est ainsi.

C'est pas beau ?

Non. Et l'Afrique, elle, elle est belle ?

Afrique | Dominique de Villepin | Françafrique | François Mitterrand | Jacques Chirac | Robert Bourgi International | Politique

http://www.atlantico.fr/decryptage/francafrique-roger-bourgi-francois-mitterrand-chirac-villepin-180869.html


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09/02/2012





http://www.grioo.com/ar,situation_au_mali_amadou_toumani_toure_au_pied_du_mur,22063.html



Par Lefaso.net



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© getty




Bamako a vraisemblablement perdu le Nord. Et ce, au sens propre comme au sens figuré du terme. C’est le moins que l’on puisse dire au regard de la débandade qui a fait suite aux attaques des rebelles touareg. Même des dignitaires du pays vont mettre leurs proches à l’abri dans des pays voisins. Il faudra trouver les moyens de faire face à la crise humanitaire qui se profile à l’horizon surtout au regard des limites de nos Etats en matière de prise en charge de ce genre de situations.

Cet exode prouve, si besoin en est encore, qu’il y a vraiment péril en la demeure. De deux choses l’une : soit l’Etat malien prépare une vigoureuse riposte et les populations civiles quittent la zone en prélude à cela, soit les rebelles en imposent par leur force de frappe au point que les populations, se sentant en danger, préfèrent se mettre sagement à l’abri.

La première hypothèse semble la plus plausible même si la seconde n’a rien de loufoque. Le Mali ne devrait pas plier si facilement l’échine face au Mouvement national pour la libération de l’Azawad (MNLA). On est, de ce fait, fondé à penser que le Mali va durcir le ton contre ces rebelles. ATT avait jusque-là privilégié le dialogue. Cela est compréhensible. Mais, face aux attaques du MNLA, avec les morts qui en découlent, force est de reconnaître qu’il y a lieu de changer le fusil d’épaule. Même la négociation a ses limites objectives.

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Cette indépendance, ces rebelles touareg la veulent par tous les moyens. Et ils sont probablement sûrs de leurs forces. N’attaque pas un camp militaire qui veut ! On ne le dira jamais assez : à la faveur de la crise libyenne, ces rebelles ont acquis des armes et de l’expérience. Ils ont donc les moyens de placer la barre très haut.

De leur côté, les autorités maliennes, ATT en tête, n’ont pas su faire preuve d’anticipation : avec ce qui s’est passé en Libye, il fallait s’attendre à cela. Le moins qu’elles auraient pu faire, c’était de renforcer la présence militaire aux zones frontalières, surtout au Nord du pays, tant en hommes qu’en moyens logistiques. Cela n’a visiblement pas été fait.

En témoigne le fait peu honorable pour l’armée malienne que certains de ces hommes ne disposant pas de moyens pour faire face au feu nourri de l’ennemi, en ont été réduits à prendre la poudre d’escampette vers des pays frontaliers pour sauver leur vie. Cela prouve que la capacité d’action et de réaction de l’armée malienne laisse à désirer. Il faut croire que ATT a tiré toute la leçon de cette débandade symptomatique et que l’armée malienne saura tout mettre en œuvre pour non seulement laver l’affront, mais aussi sécuriser durablement le territoire.




C’est entre autres, une question d’honneur. Certes, il est difficile pour le Mali de sécuriser la bande sahélo-saharienne à lui tout seul. Un renfort militaire de la communauté internationale, notamment de tous ses voisins géographiques, ne lui serait pas de trop. Mais il faut avouer qu’à ce niveau, le Mali n’a pas été assez opportuniste au moment où la lutte contre AQMI dans la bande sahélo-saharienne faisait beaucoup d’émules.

Il aurait dû mieux saisir l’occasion pour se faire appuyer par tous ceux qui ont un quelconque intérêt dans cette lutte en vue de sécuriser autant que faire se peut, sa partie Nord. Le Mali paye ainsi le prix de sa relative passivité. Maintenant que ces combattants regroupés au sein du MNLA, parlent de « révolution », de besoin d’autonomie et non de rébellion, il devient difficile pour le Mali, d’obtenir un soutien extérieur contre eux. Ses partenaires pourraient avoir tendance à se réfugier derrière l’argument de la non-ingérence dans les affaires intérieures d’un autre Etat pour ne pas intervenir, du moins à visage découvert.

Mais tous les pays voisins sont conscients du danger qui les guette tous avec ce qui arrive au Mali. Ce pays n’est, pour ces rebelles, qu’une sorte de porte d’entrée. S’ils y prospèrent, il faudra s’attendre à ce qu’ils évoluent dans leurs revendications. Les autres pays devront donc se préparer au pire dans l’avenir. Il faut espérer que la dernière conférence d’Alger saura trouver une solution à la hauteur de l’urgence.

« Le Pays »

www.lefaso.net




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09/02/2012

http://www.grioo.com/ar,presidentielles_senegalaises_le_vin_wade_est_tire_faut-il_le_boire_,22062.html


  • La campagne présidentielle sénégalaise est lancée


Par Lefaso.net



Affiche de campagne d'Abdoulaye Wade




Le Sénégal est en pleine compagne électorale depuis le 5 février dernier. Pendant 21 jours, une dizaine d’hommes politiques vont faire une cour assidue à l’électorat dans l’espoir d’avoir ses faveurs le soir du 26 février et, ainsi, présider aux destinées du Sénégal pour les 5 prochaines années.

Comme c’est de coutume en Afrique, ces trois semaines seront une période de belles promesses et de beaux mensonges. Pour ce faire, les vendeurs d’illusions qui prétendent à la haute charge présidentielle vont parcourir le Sénégal pour promettre monts et merveilles. Au nombre de ceux-ci, le chef de l’Etat sortant Abdoulaye Wade. Il est en lice après la validation de sa candidature, fortement contestée par le Conseil constitutionnel.

La validation de la candidature à problème de Wade par le Conseil constitutionnel est loin d’apaiser les rancœurs et les récriminations des opposants



Seni Dabo

Malgré cette onction, sa candidature reste comme une arête à la gorge de tous les autres candidats qui grognent toujours. La contestation de sa candidature est même au centre des tout premiers meetings des « tout sauf Wade » (TSW). Si la détermination ne faiblit pas, il est à parier qu’il en sera ainsi jusqu’à la fin de la campagne électorale. La validation de la candidature à problème de Wade par le Conseil constitutionnel est loin d’apaiser les rancœurs et les récriminations des opposants.



Abdoulaye Wade en campagne le 8 février 2012 à Thies © getty




Le vin Wade est tiré mais tout le monde n’est pas prêt à le goûter à plus forte raison le boire jusqu’à la lie. Les opposants politiques et les apolitiques regroupés dans le Mouvement du 23-Juin (M23) refusent, en tout cas, le fait accompli ou, pour reprendre l’expression de certains leaders, le « coup d’Etat constitutionnel ».

La décision du Conseil constitutionnel ne les empêche point de fustiger la candidature de Wade à tel point que l’on redoute même des entraves à la campagne de l’intéressé les jours à venir. En effet, la campagne que mène tranquillement jusque-là le candidat sortant, peut irriter quelques extrémistes du camp d’en face qui pourraient être tentés de perturber ses meetings avec les risques d’affrontements que cela comporte.

Outre la violence qui en résulterait, cette attitude pourrait profiter à Wade qui ne manquerait pas de stigmatiser l’intolérance et le hooliganisme politiques de ses adversaires. Le TSW pourrait se révéler un couteau à double tranchant à manipuler avec précaution. La fixation sur l’intéressé pourrait faire oublier le programme des candidats qui le contestent. A force de combattre Wade tout le temps à travers les meetings, ces derniers en viendraient à ne plus avoir le temps pour expliquer leurs projets au peuple sénégalais.



Abdoulaye Wade en campagne à Dakar le 7 février 2012 © getty




Il ne faudrait pas aussi perdre de vue que c’est une attitude qui finirait par rendre sympathique celui qui est stigmatisé, sinon voué aux gémonies. Nul doute que les opposants n’ignorent pas le risque d’effet boomerang de leur attitude. En plus du caractère illégal de la candidature de Wade qui est dénoncée à tout bout de champ et qui pourrait finir par marquer bien des esprits, ils ne manqueront pas de décortiquer son bilan d’une décennie à la tête du Sénégal pour faire ressortir les aspects négatifs.

En décidant de continuer malgré tout de dénoncer la candidature de Wade, les contempteurs de ce dernier savent ce qu’ils font et ce qu’ils recherchent. Le souhait de tout un chacun au Sénégal et en dehors de ce pays, est que la campagne électorale et l’élection se déroulent dans le calme.

Séni DABO

Le Pays

www.lefaso.net




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09/02/2012




http://www.grioo.com/ar,l_universite_de_harvard_assigne_en_justice_l_ambassade_du_cameroun_aux_usa,22066.html

Elle est propriétaire des locaux qu'occupe l'ambassade, dont le bail est arrivé à expiration le 31 janvier



Par Bonaberi.com



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D'après une information rendue publique par Fox News et plusieurs autres sites internet américains, l'ambassade du Cameroun aux Etats-Unis serait en passe d'être expulsé des locaux qu'elle occupe à Washington, DC, locaux qui sont propriété de l'université de Harvard.

En effet, l'ambassade du Cameroun aux Etats-Unis avait bénéficié en 2009 d'un contrat de bail de trois ans avec Harvard pour l'occupation de ses locaux actuels. L'ambassade camerounaise avait en effet dû déménager car ses anciens locaux étaient en cours de rénovation.

Mais à l'approche du terme du bail avec Harvard et malgré la proposition qui aurait été faite à l'ambassade de prolonger de trois mois le contrat en cours, celle-ci n'aurait pas répondu et n'aurait pas entrepris les démarches pour pouvoir demeurer légalement dans les locaux.



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Le bail étant officiellement expiré le 31 Janvier 2012 et la proposition de prolongement étant restée lettre morte, l'Université de Harvard a saisi la justice américaine pour rentrer en possession de son bien dans les meilleurs délais. Elle demande à la justice américaine de constater que les locaux sont occupés illégale et de permettre l'expulsion dans les quinze jours suivants le verdict.

Si, comme cela est de rigueur, les diplomates disposent bien de l'immunité diplomatique, d'après Fox News, l'Ambassade du Cameroun ne bénéficie d'aucun privilège particulier sur un bâtiment qu'elle utilisait en location et dans lequel son personnel demeure désormais illégalement. En effet, à la signature du contrat de bail, une clause prévoyant la non existence de l'immunité diplomatique en cas de litiges civils avait été signée par les deux parties.

Les autorités camerounaises n'ont pour le moment donné leur version des faits, malgré les demandes de Fox News.

Vous pouvez voir la plainte déposée par l'Université de Harvard en cliquant Ici et l'article de Legal Times en cliquant Ici






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09/02/2012



Pour évaluer la situation dans le Nord du Mali, touché par la rébellion touareg



Par Panapress



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Une mission d'enquête de la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) est attendue jeudi au Mali pour évaluer pendant pendant trois jours la situation dans la partie Nord du pays, où une rébellion touaregue a fait plusieurs morts et des milliers de personnes déplacées, a appris la PANA mercredi d'une source proche de l'organisation régionale.

La mission comprendra des représentants de la Force de veille de la CEDEAO ainsi que des affaires politiques et humanitaires, qui vont évaluer la situation sur le terrain et faire une proposition sur la meilleure manière pour la CEDEAO de répondre à la crise.

Les recommandations de la mission, qui se réunira avec les différentes parties prenantes dans le pays au cours de sa mission de 9 au 11 février, seront examinées par la commission de médiation de la CEDEAO et du Conseil de sécurité, qui doivent se réunir le 16 février au siège de la Commission de la CEDEAO à Abuja, la capitale nigériane.



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Les attaques répétées des groupes armés touaregs dans le nord du Mali ont commencé le 17 janvier dernier, déclenchant une réponse tout aussi ferme de l'armée malienne.

Les combats ont fait de nombreux morts de chaque côté et envoyé plus de 20.000 réfugiés vers les pays voisins.

Le Mouvement de libération nationale Azawad (MNLA) qui réclame une région autonome du Nord-Mali, a lancé des attaques après le retour de nombreux combattants touaregs de la Libye, où ils avaient combattu aux côtés des forces de Mouammar Kadhafi lors de la crise dans ce pays de l'Afrique du Nord.

http://www.grioo.com/ar,mission_d_enquete_de_la_cedeao_au_mali,22065.html

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