Pancrace : Je ne me souviens pas de la première personne que j’ai tué, parce que je ne l’ai pas identifié dans la cohue. Par chance, j’ai commencé par tuer plusieurs personnes sans les regarder en face(...) Ca c’était grand-chose. Les yeux de celui qu’on tue sont immortels, s’ils vous font face au moment fatal. Ils ont une couleur noire terrible. Ils font plus sensation que les dégoulinements de sang et les râles des victimes, même dans un grand brouhaha de mort. Les yeux du tué, pour le tueur, sont sa calamité s’ils les regardent. Ils sont le blâme de celui qu’il tue

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