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vendredi 24 décembre 9999

_____L’Afrique , notre avenir... "Une situation singulière" et Le Zimbabwe « s'en sortira sans aide occidentale »

L’Afrique , notre avenir le 16 novembre 2009 23H28 | par Jacques Attali

Selon les statisticiens l’Afrique vient de franchir le seuil du milliard d’habitants : elle abrite désormais un humain sur sept, alors qu’elle n’en accueillait qu’un sur dix en 1950, et en accueillera un sur cinq en 2050, soit 2 milliards d’habitants.

Ce n’est qu’un des signes qui fait de l’Afrique, principal lieu de misère, une source de croissance et la matrice de notre avenir.

L’Afrique est d’abord le lieu de toutes les souffrances:

..une durée de vie moyenne inférieure de 15 ans à la moyenne planétaire ; une mortalité infantile vingt fois plus élevée qu’en Europe de l’Ouest ; un taux d’exode rural le plus élevé du monde ; avec la multiplication des bidonvilles et le délabrement des infrastructures ; la moitié de son territoire, qui abrite la moitié de la population, est désertique ; une famine permanent et un manque d’eau, qui s’aggraveront avec le changement climatique, entraineront d’immenses mouvements de populations.

  • L’Afrique est aussi le poumon écologique de la planète :

..De ses forêts, qui couvrent environ 22 % du continent (et même 45 % de l’Afrique centrale, en particulier avec le bassin du Congo, deuxième forêt du monde) dépend la maitrise des gaz à effet de serre, la protection de la diversité, la stabilisation des sols, la qualité et l’écoulement des eaux.

  • L’Afrique est aussi un des moteurs de la croissance mondiale,

..avec une croissance supérieure, depuis des années, à la moyenne mondiale, et encore supérieure à 2% en 2009 contre 5% auparavant, ce qui n’est pas assez pour empêcher des millions d’Africains de retomber dans la pauvreté extrême.

  • L’Afrique est enfin le lieu de toutes les promesses :

..c’est le continent le plus riche en matières premières (pétrole, minerais, produits agricoles) ; c’est le continent le plus jeune (43 % des Africains subsahariens ont moins de 15 ans ; dans le seul Nigéria, il nait chaque année plus d’enfants que dans l’ensemble de l’Union Européenne ; l’Uganda est le pays le plus jeune du monde, avec 56% de moins de 15 ans) ; une scolarisation en pleine explosion ; une natalité de mieux en mieux maitrisée, en particulier au Maroc, en Tunisie, au Sénégal, en Afrique du Sud et au Kenya ; une espérance de vie en hausse de 16 ans depuis 1950 ; des marchés financiers qui s’ouvrent partout ; des universités qui progressent ; des connections internet bouleversées par la mise en service de deux câbles sous-marins ; des changements de mentalités incroyablement rapides; une gouvernance qui s’améliore, malgré le maintien, trop souvent, du népotisme et de la corruption.

Aussi, nous, en Europe et en particulier en France, devrions considérer l’Afrique comme un formidable potentiel de croissance, bien plus proche de nous que tous les autres géants qui nous fascinent. Si l’on sait y organiser des partenariats pour y développer sur place les ressources naturelles, au lieu de les abandonner aux Chinois et aux Américains, une fois de plus ligués contre les Européens. Si l’on sait compléter la zone Franc par d’autres institutions de coopération, stabilisant les cours des matières premières et valorisant le formidable potentiel créatif du continent. Si l’on sait ainsi, au-delà de tout altruisme, dont il ne faut rien attendre, préparer notre avenir, en nous accrochant à cette formidable locomotive.

j@attali.com

http://blogs.lexpress.fr/attali/2009/11/16/lafrique_notre_avenir/

Publié le 09 juillet 2010 à 09h14 | Mis à jour le 09 juillet 2010 à 09h23

  • Le Zimbabwe «s'en sortira sans aide occidentale»

Agence France-Presse Harare




Le président Robert Mugabe a déclaré que le Zimbabwe se redresserait par lui-même, sans aide occidentale, alors que l'Union européenne (UE) a dit attendre des «progrès concrets» concernant le respect des droits de l'homme pour alléger les sanctions qui pèsent sur le pays.

«Le Zimbabwe se redressera par son intelligence et ses ressources», a assuré Robert Mugabe devant le comité central de son parti, le ZANU-PF, a rapporté vendredi le journal d'État Herald.

«Le Zimbabwe ne sera sauvé par aucun pays, aucune organisation, surtout pas occidentale. Laissons cela à nos partenaires au sein du gouvernement d'union, mais nous n'allons pas gaspiller nos efforts en initiatives inutiles», a-t-il dit.

Ces déclarations interviennent une semaine après une rencontre à Bruxelles entre une délégation du Zimbabwe et des représentants de l'Union européenne sur les sanctions imposées depuis 2002 à ce pays d'Afrique australe par l'UE en raison de violations répétées des libertés fondamentales par le régime de Robert Mugabe.

La chef de la diplomatie de l'UE, Catherine Ashton, a souligné le 2 juillet que «l'UE appréciait certains progrès réalisés» depuis la formation d'un gouvernement d'union en février 2009 et répondrait «de manière flexible et positive à tout signal clair de progrès concrets supplémentaires» en matière de réformes politiques.

M. Mugabe a également accusé les pays occidentaux de faire pression sur le processus de Kimberley pour interdire au Zimbabwe d'exporter ses diamants.

Le Processus de Kimberley vise à empêcher la commercialisation des «diamants du sang», provenant de pays où ils servent à l'achat d'armes et où les droits de l'homme sont violés.

La dernière réunion du Processus le 24 juin à Tel Aviv n'a pas réussi à dégager un consensus sur la levée de l'interdiction des ventes de diamants du Zimbabwe.

Le processus de Kimberley «n'est pas une organisation des droits de l'homme. Mais c'est ce que les États-Unis, le Canada et l'Australie voudraient qu'il soit, quand il s'agit du Zimbabwe», a déclaré M. Mugabe.

«Nous avons été mis sur la sellette parce que ces mêmes pays nous ont imposé des sanctions illégales et poussé à la ruine», a-t-il accusé.

http://www.cyberpresse.ca/international/afrique/201007/09/01-4296867-le-zimbabwe-sen-sortira-sans-aide-occidentale.php

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____Pourquoi l'Afrique ne s'en sortira pas cette génération-ci « Ils veulent faire de nous des clones résignés de la pensée unique et nous sommes devenus des clowns agités de la pensée multiple»... «Nos ennemis de demain seront pire que ceux d’aujourd'hui

..." CELUI QUI NE SAIT PAS EST UN IGNORANT, CELUI QUI SAIT ET NE DIT RIEN EST UN CRIMINEL " B.Brecht

« le nombre de jours qu’il me restent à vivre, dieu seul les sait. Mais quel que soit le point de la course où le terme m’atteindra, je partirai avec la certitude chevillée que, quel que soient les obstacles que l’histoire lui apportera, c’est dans le sens de sa libération que mon peuple ira. L’ignorance, les préjugés, l’inculture peuvent un instant entraver ce libre mouvement, mais il est sûr que le jour inévitablement viendra où l’on distinguera la vérité des ses faux-semblants, tout le reste est littérature. » M.Mammeri. dans un entretien accordé à Tahar Djaout.

« J’ai un but à atteindre : Empêcher la culture berbère de périr. Elle est aujourd’hui menacée en Afrique du Nord. Pourtant, elle ne porte ombrage à personne, mais on prétend qu’elle relève du particularisme régional alors que c’est toute l’Afrique blanche qui est Berbère en profondeur. Il s’agit d’un patrimoine cinq fois millénaire, un patrimoine de beauté et de spiritualité qui devrait faire l’orgueil de tous les pays maghrébins et au delà de l’humanité toute entière. » Marguerit- Taos Amrouche.

« …Ils trichent avec eux-mêmes et ils trichent avec l’histoire, les dirigeant des pays maghrébins qui tentent d’éliminer la culture berbère. » Marguerit- Taos Amrouche.

« Nos bijoux sont exposés, nos poèmes, contes et chansons sonr répertoriés partout ailleurs à l'étranger, à quoi serviront alors vos lois et vos discours » Marguerit- Taos Amrouche.

«Je conçois et je raisonne en français, mais je ne peux que pleurer en berbère » Jean Amrouche.

« La France est l'Esprit de mon âme, l'Algérie l'âme de mon esprtit.» Jean Amrouche.

« A vous les jeunes, donnez-moi votre parole d’honneur, je vous ai laissé pour continuer comme si j’existais éternellement. » Slimane Azem.

« La langue Amazigh est un chef-d’oeuvre linguistique qu’il faut à tout prix développer et promouvoir. » Mohamed Haroun.

«..L'humour permet, à travers de petites histoires, de raconter la grande Histoire et de toucher des points que l'on ne peut atteindre par d'autres voies...» Fellag

«... Ils veulent faire de nous des clones résignés de la pensée unique et nous sommes devenus des clowns agités de la pensée multiple».Fellag Mohamed

« Nous avons défriché le terrain, à présent, c’est aux autres de continuer. » M Mammeri

« L'histoire a toujours été écrite par les vainqueurs. C'est une histoire officielle et l'histoire officielle a fait de nous les REBELLES du Maghreb, ses maudits, mais les amants vrais d'une liberté vraie, pas celle que les puissants d'un jour nous tendaient à bout de perche ou bien qu'ils nous tronquaient et nous livraient en lambeaux dérisoires. Oui je disais que le véritable amant de la liberté c'était le rebelle puisqu'il va jusqu'à y miser sa vie. » M Mammeri dans un entretien accordé à Tassadit Yacine " aux origine de la quête".

  • « Pourvu qu'il ne vous arrive point tel le sort de cet arbre lequel, une fois coupé de ses racines, ses feuilles vertes se faneront et dépériront. Un arbre sans racine est condamné à mourir.» M Mammeri
  • « Fait en sorte de ne pas devenir des éternels pauvres de la connaissance la plus large d'esprit et de coeur.» M Mammeri
  • « La CONNAISSANCE est un flambeau. Un flambeau de lumière. Laisse-donc le flambeau illuminer et dissiper l'obscurité. Intemporelle , la connaissance l'est d'autant que la lumière. Elle est lumière même. La connaissance

est un flambeau brûlant. Laisse-donc le flambeau brûler ce qui est pourri, désuet, suranné, ce qui n'a plus de racine. Ouvre-lui la voie, la meilleur; Laisse-la passer vers l'avenir; Fait en sorte qu'elle ne reste pas figée, tournant en rond, errant sans but, sans fin, en vase clos. La CONNAISSANCE est un flambeau: chaque génération se le transmet pour qu'il demeure constamment haut, jamais ne tombe ou ne s'éteigne ou reste immobile, isolant dans un coin.» M Mammeri In " * : Lettre à Mohand Azwaw sur la connaissance".

« La vie d'un écrivain importe peu finalement. C'est son oeuvre qui est importante. L'essentiel, c'est non l'événement, mais l'aventure intérieure.» M Mammeri .

« Il était temps de happer les dernières voix avant que la mort ne les happe. Tant qu’encore s’entendait le verbe qui, depuis plus loin que Syphax, résonnait sur la terre de mes pères, il fallait se hâter de la fixer quelques part où il put survive, même de cette vie demi-morte d’un texte couché sur des feuillets morts d’un livre. » M.Mammeri.

«Je suis né dans un canton écarté de la haute montagne, d'une vieille race qui depuis des millénaire na cessé d'être là, avec les uns, ou la neige, à travers les stables gara mantes ou les vieilles cités du tell, à déroulé saga, ses épreuves et les fastes, qui à contribué dans l'histoire de diverses façons à rendre plus humaine la vie des hommes». M.Mammeri.

«Je ne sais pas si la langue de mes rêves tient à des vocables ou à des flexions. J'imagine que la langue réelle adhère aux images, que je rêve en berbère la haute montagne ou en français le monde extérieur, celui pour lequel il faut plutôt des outils éprouvés que les envoûtements de la musique. Je suis sûr que c'est en berbère que je fabule.» M.Mammeri.

« Le peuple, dirent les magiciens, ne vit pas seulement de pain, il aime les fables, il faut en inventer pour lui » M.Mammeri. ( La Traversée).

« la culture Algérienne, et une fois de plus elle s’en sortira. Elle s’en sortira car Toute tentative d’imposer quelque chose à notre peuple est vaine et relève de l’irresponsabilité » M.Mammeri.

« L'arabe classique est le seul reconnu, le seul officiel mais n'est la langue d'aucun Algérien. Les Langues populaires, l'arabe populaire et l'amazigh sont les langues de tous les Algériens, mais n'ont pas de statut reconnu officiellement. Elle existent réellement sans exister légalement, au sens d'exister constitutionnellement» M.Mammeri.

« Vous me faites le chantre de la culture berbère et c’est vrai. Cette culture est la mienne, elle est aussi la vôtre. Elle est une des composantes de la culture Algérienne, elle contribue à l’enrichir, à la diversifier, et à ce titre je tiens (comme vous devriez le faire avec moi) non seulement à la maintenir mais à la développer. » Réponse de M.Mammeri au journal « El Moudjahid daté de 20 mars 1980 a propos de l’article paru dans ces colonnes intitulé Les Donneurs de Leçons.

« Je suis le déterreur de l'histoire insoumise et de ses squellettes irascibles enfouis sous vos temples dévastateurs. Je ne cautionnerai jamais vos cieux incléments et rétrécis où l'anathème tient lieu de credo. Je ne cautionnerai jamais la peur mitonnée par vos prêtres-bandis des grands chemins qui ont usurpé les auréoles d'anges. Je me tiendrai hors de portée de votre bénédiction qui tue, vous pour qui l'horizon est une porte clouée, vous dont les regards éteignent les foyers d'espoir, transforment chaque arbre en cerueil.» Tahar Djaout.

« Je ne suis ni pour l’Algérie française, ni pour l’Algérie Arabe. Je m’insurge contre les deux. » Kateb Yacine.

  • « l'Arabisation, c'est imposer à un peuple une langue qui n'est pas la sienne et donc combattre la sienne, la tuer. » Kateb Yacine.
  • « ...Il ne suffit pas de naitre en Algérie pour être un Algérien, surtout si on à travaillé contre son histoire, contre ceux qui l'étaient vraiment . » Kateb Yacine. ( *: dans un entretien accordé à Tassadit Yacine en octobre 1987 à BenAknoun au domicile de Kateb)

« Quand un peuple se lève pour défendre sa langue, on peut vraiment parler de révolution culturelle » Kateb Yacine.

« L’Algérie offre le spectacle d’un pays subjugué par la mythologie de la nation arabe, car c’est au nom de l’arabisation qu’on réprime le Tamazight Notre langue national, depuis des millénaire, est à peine tolérée, pour ne pas dire proscrite dans l’Algérie indépendante ! »Kateb Yacine.

« On croirait aujourd'hui, en Algérie et dans le monde, que les Algériens parlent l'arabe. Moi-même, je le croyais, jusqu'au jour où je me suis perdu en Kabylie . Pour retrouver mon chemin, je me suis adressé à un paysan sur la route . Je lui ai parlé en arabe. Il m'a répondu en Tamazight. Impossible de se comprendre. Ce dialogue de sourds m'a donné à réfléchir. Je me suis demandé si le paysan kabyle aurait dû parler arabe, ou si, au contraire, j'aurais dû parler Tamazight ...»Kateb Yacine In ( Les ancêtres redoublent de férocité).

« Une chose est certaine: Fidélité intransigeante à mes idées, je mourrai de façon exemplaire, en irréductible et en éternel rebelle comme je l'ai toujours vécu.» Disait MATOUB Lounes.

« Je crois que si les jeunes m'aimait autant, c'est parce qu'il savent que non seulement je comprends leurs difficultés, mais que je les ai vécues aussi. » L.Matoub.

«On me donne un passeport algérien, mais il me faut une autorisation pour parler ma langue» Idir ( Chanteur kabyle).

«Chanter en kabyle est en soi un acte de militantisme, une façon d’exprimer ma révolte, de dire que j’existe. Si j’avais fait un autre métier, j’aurais trouvé d’autres moyens pour exprimer les mêmes revendications» Idir ( Chanteur kabyle).

« Je termine en disant à l’Algérien qui me taxera de ‘ Berbérisme’ : ‘ Oui je suis Berbère’. Je pourrais alors l’apostropher à mon tour : ‘ Mais tu es Arabe, cet Arabe chassé d’Espagne mais qui néanmoins, réussit à s’incruster chez nous’. Il n’ y a qu’une façon, une seule de ne pas nous jeter ces épithètes avec visage : SOYONS SEULEMENT DES ALGERIENS. » Bessaoud Mohand Aarav.

«Si j'étais jeune, je prendrais le maquis après l'assassinat de MATOUB.C'est dire que cela m'a révolté profondément. Car à travers MATOUB c'est toute la Kabylie qui était visée».Bessaoud Mohand Aarav.

« Nos ennemis de demain seront pire que ceux d’aujourd’hui » Mouloud Feraoun.

«… Il n’y aura pas d’arrangement du tout car ce ne serait rien d’autre qu’une trahison. Personne ne veut trahir les morts et les morts sont tombés pour la liberté. Autant mourir comme eux, que de se dire, plus tard, ils sont morts en vain. » Mouloud Feraoun disait a propos de la guerre de libération.

« Un Peuple sans ARTISTES est un peuple MORT » M 'hamed Issiakhem.

« Un Peuple sans MEMOIRE et TRADITIONS est un peuple MORT » Ibn Khaldoun.

«... les berbères ont toujours été un peuple puissant, redoutable, brave et nombreux; un vrai peuple comme tant d'autre dans ce monde, tel que les grecs, les persans et les romains» Ibn Khaldoun (histoire des berbères).

« Yal Agdud wensâra Ansayen Dusmekti, d Agdud Immuten » Ibn Khaldoun.

« Les berbères racontent un tel nombre d’histoires que, si on prenait la peine de les mettre par écris, on en remplirait des volumes. »Ibn Khaldoun.

«Citons encore les vertus qui font honneur à l’homme et qui sont devenues, pour les berbères, une seconde nature : leur empressement à s’acquérir des qualités louables, la noblesse, les actions pour lesquelles ils méritent les louanges de l’univers : Bravoure et promptitude à défendre leurs hôtes et clients, fidélité aux promesses, aux engagements et aux traités , patience dans l’adversité et les grandes afflictions, douceur de caractère, indulgence pour les défauts d’autrui, bonté pour les malheureux …haine de l’ oppression, valeur déployée contre les empires qui les menaçaient, dévouement à la cause de dieu et de la religion. Voilà pour les berbères une foule de titres qui pourraient servir d’exemples aux nations à venir. » Ibn Khaldoun. In ‘ Histoire des berbères’ .

«Voyez tous les pays conquis par les Arabes: la civilisation en a disparu, ainsi que la population; le sol paraît avoir changé de nature.»Ibn Khaldoun. (Prolégomènes).

« Lemmer Ssneγ taddart n leqbayel zik, γef asmi snekkreγ anadi-w tili aţas ara d-rnuγ n tmussniwin .» Karl Marx.

« Si j’avais connu l’existence des petites républiques kabyles, j’aurais changé un bon volume de mon capital » Karl Marx.

« C'est le génie des berbères, qui le premier, a formulé l'axiome du nationalisme ( Saint Augustin) et revendiqué la liberté de la pensée (Averroès).» Eugène Guernier ( Opuscule cité).

« Les berbères ont donné à Rome des empereurs qui furent parmi les meilleurs, de grands généraux. Ils ont eu des hommes remarquables: Massinissa, Apulée, Juba II, Saint Augustin,...» Général BREMOND ( Berbères et Arabes).

« La meilleure manière d’appartenir à un peuple, c’est d’écrire dans sa langue » Heinrich Böll, écrivain allemand (1917-1985).Traduction : « The best way to belong to a people, is to write in its language.»

«Je peut vous dire que, pour moi, la KABYLIE a été quelque chose d'immense qui est restée profondément dans ma vie. Il n'ya pas de jours que je n'y pense pas. Je pense que je voudrais être un AMUSNAW d'honneur.» Pierre Bourdieu.B.Brecht

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vendredi 17 décembre 9999

_____Les ennemis de l'Afrique? Ce sont les Africains J'insiste, je persiste... L'uranium à ciel ouvert. Mais les cerveaux se sont enfuis à tombeau ouvert. Les imbéciles.. UNE MALÉDICTION "divine" QUI TOMBE DU CIEL et une danse macabre

Les Imbéciles Lyrics



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Les Imbéciles" Ringtone to your Cell

Tout change, tout évolue


  • Seuls les imbéciles, ne changent pas
  • Tout change, tout évolue
  • Seuls les imbéciles, ne changent pas

J'insiste, je persiste, et je signe

  • Les ennemis de l'Afrique
  • Ce sont les Africains
  • J'insiste, je persiste, et je signe
  • Les ennemis de l'Afrique
  • Ce sont les Africains

Les imbéciles ont décidé

  • d'entrer dans l'histoire à reculons
  • Les peuples baillonnés
  • écoutent la "synfolie" des canons

Les Algériens égorgent les Algériens

Les Somaliens fusillent les Somaliens

  • Les Rwandais génocident Rwandais
  • Les Burundais découpent les Burundais
  • Les Congolais massacrent les Congolais
  • Les Angolais brûlent l'Angola

(PAUSE)

On a le diamant à ciel ouvert

  • On a l'or à ciel ouvert
  • La bauxite à ciel ouvert
  • L'uranium à ciel ouvert
  • Mais les cerveaux se sont enfuis
  • à tombeau ouvert

(PAUSE)

Tout change, tout évolue

  • Seuls les imbéciles, ne changent pas
  • Tout change, tout évolue
  • Seuls les imbéciles, ne changent pas
  • On a le fer à gogo
  • Le pétrole à gogo
  • Le cobalt à gogo
  • Le nickel à gogo

J'insiste, je persiste, et je signe

  • Les ennemis de l'Afrique
  • Ce sont les Africains
  • J'insiste, je persiste, et je signe
  • Les ennemis de l'Afrique
  • Ce sont les Africains

Malgré les richesses agricoles, minières et minéralières

  • Nous sommes victimes de l'endettement à croissance
  • Exponentielle et baignons dans l'économie sous perfusion
  • C'est la mondialisation de l'économie à sens unique
  • Avec la pensée unique du Maitre à penser!!

Reveille-toi Afrique!

(Merci à Tomkatsu pour cettes paroles)

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  • Tout change, tout évolue
  • Seuls les imbéciles, ne changent pas
  • Tout change, tout évolue
  • Seuls les imbéciles, ne changent pas
  • J'insiste, je persiste, et je signe
  • Les ennemis de l'Afrique
  • Ce sont les Africains
  • J'insiste, je persiste, et je signe
  • Les ennemis de l'Afrique

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  • Tout change, tout évolue
  • Seuls les imbéciles, ne changent pas
  • Tout change, tout évolue
  • Seuls les imbéciles, ne changent pas

  • J'insiste, je persiste, et je signe
  • Les ennemis de
  • Ce sont les Africains
  • J'insiste, je persiste, et je signe
  • Les ennemis de
  • Ce sont les Africains

  • Les imbéciles ont décidé
  • d'entrer dans l'histoire à reculons
  • Les peuples baillonnés
  • écoutent la "synfolie" des canons

  • Les Algériens égorgent les Algériens
  • Les Somaliens fusillent les Somaliens
  • Les Rwandais génocident Rwandais
  • Les Burundais découpent les Burundais
  • Les Congolais massacrent les Congolais
  • Les Angolais brûlent l'Angola


(PAUSE)


  • On a le diamant à
  • On a l'or à style
  • La bauxite à
  • L'uranium à
  • Mais les cerveaux se sont enfuis

à <b style="color:black;background-color:#a0ffff">tombeau</b> <b style="color:black;background-color:#ff9999">ouvert</b>



(PAUSE)


  • Tout change, tout évolue
  • Seuls les imbéciles, ne changent pas
  • Tout change, tout évolue
  • Seuls les imbéciles, ne changent pas

  • On a le fer à gogo
  • Le pétrole à gogo
  • Le cobalt à gogo
  • Le nickel à gogo

  • J'insiste, je persiste, et je signe
  • Les ennemis de <b style="color:black;background-color:#ffff66">l'Afrique</b>
  • Ce sont les Africains
  • J'insiste, je persiste, et je signe
  • Les ennemis de <b style="color:black;background-color:#ffff66">l'Afrique</b>
  • Ce sont les Africains

  • Malgré les richesses agricoles, minières et minéralières
  • Nous sommes victimes de l'endettement à croissance
  • Exponentielle et baignons dans l'économie sous perfusion
  • C'est la mondialisation de l'économie à sens unique
  • Avec la pensée unique du Maitre à penser!!
  • Reveille-toi Afrique!


(Merci à Tomkatsu pour cettes paroles) Enter the code exactly as it appears:

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mercredi 15 décembre 9999

† __Black Consciousness Movement Traduction "BCMT": Black Rebel Motorcycle Club Conscience Killer lyrics.. ["B.R.M.C.C.K.L"] ..Black Consciousness in literature

Black Rebel Motorcycle Club Conscience Killer lyrics

http://www.paroles-musique.com/traduction-Black_Rebel_Motorcycle_Club-Conscience_Killer-lyrics,t62407

Autres traductions pour Black Rebel Motorcycle Club Beat The Devil's Tattoo

  • -Conscience Killer
  • -Done All Wrong
  • -Shuffle Your Feet
  • -Weapon Of Choice
  • -Long Way Down (Bla)
  • -Red Eyes And Tears
  • -Cool Water (feat Courtney Jaye)
  • -666 Conducer
  • -Shadow's Keeper
  • -In Like The Rose
  • -And With This Comes
  • -Evol
  • -War Machine (Bla)
  • -Sweet Feeling
  • -The Toll (Feat Courtney Jaye)
  • -Mama Taught Me Better
  • -River Styx
  • -Bad Blood (Bla)
  • -Aya (Bla)
  • -Half-State

The Black Consciousness Movement (BCM) was a grassroots anti-Apartheid activist movement that emerged in South Africa in the mid-1960s out of the political vacuum created by the jailing and banning of the African National Congress and Pan Africanist Congress leadership after the Sharpeville Massacre in 1960.1dead link The BCM represented a social movement for political consciousness.

"Black Consciousness origins were deeply rooted in Christianity. In 1966, the Anglican Church under the incumbent, Archbishop Robert Selby Taylor, convened a meeting which later on led to the foundation of the University Christian Movement (UCM).



This was to become the vehicle for Black Consciousness."2

The BCM attacked what they saw as traditional white values, especially the 'condescending' values of white people of liberal opinion. They refused to engage white liberal opinion on the pros and cons of black consciousness, and emphasized the rejection of white monopoly on truth as a central tenet of their movement. While this philosophy at first generated disagreement amongst black anti-Apartheid activists within South Africa, it was soon adopted by most as a positive development. As a result, there emerged a greater cohesiveness and solidarity amongst black groups in general, which in turn pro black consciousness to the forefront of the anti-Apartheid struggle within South Africa.

The BCM's policy of perpetually challenging the dialectic of Apartheid South Africa as a means of conscientizing Black brought it into direct conflict with the full force of the security apparatus of the Apartheid regime. "Black man, you are on your own" became the rallying cry as mushrooming activity committees implemented what was to become a relentless campaign of challenge to what was then referred to by the BCM as 'the System'.

It eventually sparked a confrontation on June 16, 1976 in the Soweto uprising, when at least 200 people were killed by the South African Security Forces, as students marched to protest the use of the Afrikaans language in African schools. Unrest spread like wildfire throughout the country. The Black revolution in South Africa had begun.

However, although it successfully implemented a system of comprehensive local committees to facilitate organized resistance, the BCM itself was decimated by security action taken against its leaders and social programs. By June 19, 1976, 123 key members had been banned and confined to remote rural districts. In 1977 all BCM related organizations were banned, many of its leaders arrested, and their social programs dismantled under provisions of the newly Implemented Internal Security Amendment Act. In September 1977, its banned National Leader, Steve Biko, was murdered while in the custody of the South African Security Police.

http://en.wikipedia.org/wiki/Black_Consciousness_Movement

edit History

edit Early Worldview of Native Africans

The Black Consciousness Movement started to develop during the late 1960s, and was led by Steve Biko, a black medical student, and Barney Pityana. During this period, the ANC had committed to an armed struggle through its military wing Umkhonto we Sizwe, but this small guerrilla army was neither able to seize and hold territory in South Africa nor to win significant concessions through its efforts.

The ANC had been banned by apartheid leaders, and although the famed Freedom Charter remained in circulation in spite of attempts to censor it, for many students the ANC had disappeared.

The term Black Consciousness stems from American educator W. E. B. Du Bois's evaluation of the double consciousness of American black's being taught what they feel inside to be lies about the weakness and cowardice of their race. Du Bois echoed Civil War era black nationalist Martin Delany's insistence that black people take pride in their blackness as an important step in their personal liberation. This line of thought was also reflected in the Pan Africanist, Marcus Garvey, as well as Harlem Renaissance philosopher Alain Locke and in the salons of the Nardal sisters in Paris.

Biko's understanding of these thinkers was further shaped through the lens of postcolonial thinkers such as Frantz Fanon, Léopold Senghor, and Aimé Césaire. Biko reflects the concern for the existential struggle of the black person as a human being, dignified and proud of his blackness, in spite of the oppression of colonialism (see Négritude).

The aim of this global movement of black thinkers was to restore black consciousness and African consciousness, which they felt had been suppressed under colonialism.3dead link

Part of the insight of the Black Consciousness Movement was in understanding that black liberation would not only come from imagining and fighting for structural political changes, as older movements like the ANC did, but also from psychological transformation in the minds of black people themselves. This analysis suggested that to take power, black people had to believe in the value of their blackness. That is, if black people believed in democracy, but did not believe in their own value, they would not truly be committed to gaining power.

citation needed

Along these lines, Biko saw the struggle to restore African consciousness as having two stages, "Psychological liberation" and "Physical liberation". While at times Biko embraced the non-violent tactics of Mahatma Gandhi and Martin Luther King, this was not because Biko fully embraced their spiritually-based philosophies of non-violence. Rather, Biko knew that for his struggle to give rise to physical liberation, it was necessary that it exist within the political and military realities of the apartheid regime, in which the armed power of the white government outmatched that of the black majority. Therefore Biko's non-violence may be seen more as a tactic than a personal conviction.

4 However, along with political action, a major component of the Black Consciousness Movement was its Black Community Programs, which included the organization of community medical clinics, aiding entrepreneurs, and holding "consciousness" classes and adult education literacy classes.

Another important component of psychological liberation was to embrace blackness by insisting that black people lead movements of black liberation.

This meant rejecting the fervent "non-racialism" of the ANC in favor of asking whites to understand and support, but not to take leadership in, the Black Consciousness Movement. A parallel can be seen in the United States, where student leaders of later phases of SNCC, and black nationalists such as Malcolm X, rejected white participation in organizations that intended to build black power. While the ANC viewed white participation in its struggle as part of enacting the non-racial future for which it was fighting, the Black Consciousness view was that even well-intentioned white people often reenacted the paternalism of the society in which they lived.



This view held that in a profoundly racialized society, black people had to first liberate themselves and gain psychological, physical and political power for themselves before "non-racial" organizations could truly be non-racial.

Biko's BCM had much in common with other left-wing African nationalist movements of the time, such as Amilcar Cabral's PAIGC and Huey Newton's Black Panther Party.citation needed

edit Early years: 1960-1976

Although the ANC and others opposed to apartheid had initially focused on non-violent campaigns, the brutality of the Sharpeville Massacre of March 21, 1960 caused many blacks to embrace the idea of violent resistance to apartheid. However, although the ANC's armed wing started its campaign in 1961, no victory was in sight by the time that Steve Biko was a medical student in the late nineteen-sixties. Even as the nation's leading opposition groups like the ANC proclaimed a commitment to armed struggle, their leaders had failed to organize a credible military effort.

If their commitment to revolution had inspired many, the success of the white regime in quashing it had dampened the spirits of many.

It was in this context that black students, Biko most notable among them, began critiquing the liberal whites with whom they worked in anti-apartheid student groups, as well as the official non-racialism of the ANC. They saw progress towards power as requiring the development of black power distinct from supposedly "non-racial groups."

This new Black Consciousness Movement not only called for resistance to the policy of Apartheid, freedom of speech, and more rights for South African blacks who were oppressed by the white Apartheid regime, but also black pride and a readiness to make blackness, rather than simple liberal democracy, the rallying point of unapologetically black organizations. Importantly, the group defined black to include other "people of color" in South Africa, most notably the large number of South Africans of Indian descent.

The movement stirred many blacks to confront not only the legal but also the cultural and psychological realities of Apartheid, seeking "not black visibility but real black participation" in society and in political struggles.5

The gains this movement made were widespread across South Africa. Many black people felt a new sense of pride about being black as the movement helped to expose and critique the inferiority complex felt by many blacks at the time.

The group formed Formation Schools to provide leadership seminars, and placed a great importance on decentralization and autonomy, with no person serving as president for more than one year (although Biko was clearly the primary leader of the movement). Early leaders of the movement such as Bennie Khoapa, Barney Pityana, Mapetla Mohapi, and Mamphela Ramphele joined Biko in establishing the Black Community Programmes (BCP) in 1970 as self-help groups for black communities, forming out of the South African Council of Churches and the Christian Institute. They also published various journals, including the Black Review, Black Voice, Black Perspective, and Creativity in Development.

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On top of building schools and day cares and taking part in other social projects, the BCM through the BCP was involved in the staging of the large scale protests and workers strikes which gripped the nation in 1972 and 1973, especially in Durban. Indeed, in 1973 the government of South Africa began to clamp down on the movement, claiming that their ideas of black development were treasonous, and virtually the entire leadership of SASO and BPC were banned.

In late August and September 1974, after holding rallies in support of the Frelimo government which had taken power in Mozambique, many leaders of the BCM were arrested under the Terrorism Act and the Riotous Assemblies Act.

Arrests under these laws allowed the suspension of the doctrine of habeas corpus, and many of those arrested were not formally charged until the next year, resulting in the arrest of the "Pretoria Twelve" and conviction of the "SASO nine", which included Maitshe Mokoape and Patrick Lekota. These were the most prominent among various public trials which gave a forum for members of the BCM to explain their philosophy and to describe the abuses that had been inflicted upon them. Far from crushing the movement, this led to its wider support among black and white South Africans.6

edit The Soweto riots and after: 1976-present

Main article: Soweto riots

The Black Consciousness Movement heavily supported the protests against the policies of the apartheid regime which led to the Soweto riots in June 1976. The protests began when it was decreed that black students be forced to learn Afrikaans, and that many secondary school classes were to be taught in that language.

This was another encroachment against the black population, which generally spoke indigenous languages like Zulu and Xhosa at home, and saw English as offering more prospects for mobility and economic self-sufficiency than did Afrikaans.

And the notion that Afrikaans was to define the national identity stood directly against the BCM principle of the development of a unique black identity. The protest began as a non-violent demonstration before police opened fire on the crowd, killing hundreds of youths.

The government's efforts to suppress the growing movement led to the imprisonment of Steve Biko, who became a symbol of the struggle. Biko died in police custody on September 12, 1977.



It should be noted that Steve Biko was a non-violent activist, even though the movement he helped start eventually took up violent resistance. White newspaper editor Donald Woods supported the movement and Biko, whom he had befriended, by leaving South Africa and exposing the truth behind Biko's death at the hands of police by publishing the book Biko7.

One month after Biko's death, the South African government declared 17 groups associated with the Black Consciousness Movement to be illegal.

Following this, many members joined more concretely political and tightly-structured parties such as the ANC, which used underground cells to maintain their organizational integrity despite banning by the government. And it seemed to some that the key goals of Black Consciousness had been attained, in that black identity and psychological liberation were growing. Nonetheless, in the months following Biko's death, activists continued to hold meetings to discuss resistance. Along with members of the BCM, a new generation of activists who had been inspired by the Soweto riots and Biko's death were present, including Bishop Desmond Tutu. Among the organizations that formed in these meetings to carry the torch of Black Consciousness was the Azanian People's Organization (AZAPO) which persists to this day.8

Almost immediately after the formation of AZAPO in 1978, its chairman, Ishmael Mkhabela, and secretary, Lybon Mabasa were detained under the Terrorism Act. In the following years, other groups sharing Black Consciousness principles formed, including the Congress of South African Students (COSAS), Azanian Student Organization (AZASO) and the Port Elizabeth Black Civic Organization (PEBCO).

citation needed

While many of these organizations still exist in some form, some evolved and could no longer be called parts of the Black Consciousness Movement. And as the influence of the Black Consciousness Movement itself waned, the ANC was returning to its role as the clearly leading force in the resistance to white rule. Still more former members of the Black Consciousness Movement continued to join the ANC, including Thozamile Botha from PEBCO.

Others formed new groups. For instance, in 1980, Pityana formed the Black Consciousness Movement of Azania (BCMA), an avowedly Marxist group which used AZAPO as its political voice. Curtis Nkondo from AZAPO and many members of AZASO and the Black Consciousness Media Workers Association joined the United Democratic Front (UDF).9 Many groups published important newsletters and journals, such as the Kwasala of the Black Consciousness Media Workers and the London based BCMA journal, Solidarity.

And beyond these groups and media outlets, the Black Consciousness Movement had an extremely broad legacy, even as the movement itself was no longer represented by a single organization.

citation needed

Indeed, while the Black Consciousness Movement itself spawned an array of smaller groups, many people who came of age as activists in the Black Consciousness Movement did not join them. Instead, they joined a plethora of other organizations, including the ANC, the Unity Movement, the Pan Africanist Congress, the United Democratic Front and trade and civic unions.

The Black Consciousness Movement's most-lasting legacy is as an intellectual movement. The weakness of theory in and of itself to mobilize constituencies can be seen in AZAPO's inability to win significant electoral support in modern-day South Africa. But the strength of the ideas can be seen in the diffusion of Black Consciousness language and strategy into nearly every corner of black South African politics.

In fact, these ideas helped make the complexity of the South African black political world, which can be so daunting to the newcomer or the casual observer, into a strength. As the government tried to act against this organization or that one, people in many organizations shared the general ideas of the Black Consciousness Movement, and these ideas helped to organize action beyond any specific organizational agenda.

If the leader of this group or that one was thrown into prison, nonetheless, more and more black South Africans agreed on the importance of black leadership and active resistance. Partly as a result, the difficult goal of unity in struggle became more and more realized through the late nineteen-seventies and nineteen-eighties.

citation needed

Biko and the legacy of the Black Consciousness movement helped give the resistance a culture of fearlessness.

And its emphasis on individual psychological pride helped ordinary people realize they could not wait for distant leaders (who were often exiled or in prison) to liberate them. As the ANC's formal armed wing Umkhonto weSizwe struggled to make gains, this new fearlessness became the basis of a new battle in the streets, in which larger and larger groups of ordinary and often unarmed people confronted the police and the army more and more aggressively.

If the ANC could not defeat the white government's massive army with small bands of professional guerrilla fighters, it was able to eventually win power through ordinary black peoples' determination to make South Africa ungovernable by a white government. What could not be achieved by men with guns was accomplished by teenagers throwing stones.

While much of this later phase of the struggle was not undertaken under the formal direction of Black Consciousness groups per se, it was certainly fueled by the spirit of Black Consciousness. Kashy Singh(2005) had said that black people are equal to all other human beings

Even after the end of apartheid, Black Consciousness politics live on in community development projects and "acts of dissent" staged both to bring about change and to further develop a distinct black identity.10

edit Controversies and criticism

A balanced analysis of the results and legacy of the Black Consciousness Movement would no doubt find a variety of perspectives. A list of research resources is listed at the end of this section including Columbia University's Project on Black Consciousness and Biko's Legacy.

Criticisms of the Movement sometimes mirror similar observations of the Black Consciousness Movement in the United States. (See reference to Fredrickson's comparative work below). On one side, it was argued that the Movement would stagnate into black racialism, aggravate racial tensions and attract repression by the apartheid regime. Other detractors thought the Movement based heavily on student idealism, but with little grassroots support among the masses, and few consistent links to the mass trade-union movement. (See Columbia reference below)

Assessments of the movement (See Gerhard references below) note that it failed to achieve several of its key objectives. It did not bring down the apartheid regime, nor did its appeal to other non-white groups as "people of color" gain much traction.

Its focus on blackness as the major organizing principle was very much downplayed by Nelson Mandela and his successors who to the contrary emphasized the multi-racial balance needed for the post-apartheid nation. The community programs fostered by the movement were very small in scope and were subordinated to the demands of protest and indoctrination. It's leadership and structure was essentially liquidated, and it failed to bridge the tribal gap in any *large-scale* way, although certainly small groups and individuals collaborated across tribes.

After much blood shed and property destroyed, critics charged that the Movement did nothing more than raise 'awareness' of some issues, while accomplishing little in the way of sustained mass organization, or of practical benefit for the masses. Some detractors also assert that Black consciousness ideas are out-dated, hindering the new multi-racial South Africa. (See Gerhard reference 1997 below).

edit Defenses of the Black Consciousness Movement

Black Consciousness in literature

In comparison with the Black Power movement in the United States, the Black Consciousness movement felt little need to reconstruct any sort of golden cultural heritage.

African linguistic and cultural traditions were alive and well in the country. Short stories published predominantly in Drum magazine had led to the 1950s being called the Drum decade, and future Nobel Prize winner Nadine Gordimer was beginning to become active. The fallout from the Sharpeville massacre led to many of those artists entering exile, but the political oppression of the resistance itself led to a new growth of black South African Literature.

In the 1970s, Staffrider magazine became the dominant forum for the publication of BC literature, mostly in the form of poetry and short stories. Book clubs, youth associations, and clandestine street-to-street exchange became popular. Various authors explored the Soweto riots in novels, including Miriam Tlali, Mothobi Mutloatse and Mbulelo Mzamane. But the most compelling force in Black Consciousness prose was the short story, now adapted to teach political morals.

Mtutuzeli Matshoba famously wrote, "Do not say to me that I am a man." An important theme of Black Consciousness literature was the rediscovery of the ordinary, which can be used to describe the work of Njabulo Ndebele.11

However, it was in poetry that the Black Consciousness Movement first found its voice. In a sense, this was a modern update of an old tradition, since several of South Africa's African languages had long traditions of performed poetry. Sipho Sempala, Mongane Serote, and Mafika Gwala led the way, although Sempala turned to prose after Soweto. Serote wrote from exile of his internalization of the struggles, while Gwala's work was informed and inspired by the difficulty of life in his home township of Mpumalanga near Durban. These forerunners inspired a myriad of followers, most notably poet-performance artist Ingoapele Madingoane.

James Mathews was a part of the Drum decade who was especially influential to the Black Consciousness Movement. This poem gives an idea of the frustrations that blacks felt under apartheid:

Freedom's child You have been denied too long Fill your lungs and cry rage Step forward and take your rightful place You are not going to grow up knocking at the back door.... This poem by an unknown author has a rather confrontational look:

Kaffer man, Kaffer nation Arise, arise from the kaffer Prepare yourself for war! We are about to start steve biko the hero Mandlenkosi Langa's poem: "Banned for Blackness" also calls for black resistance :

Look up, black man, quit stuttering and shuffling Look up, black man, quit whining and stooping

...raise up your black fist in anger and vengeance. A main tenet of the Black Consciousness Movement itself was the development of black culture, and thus black literature.

The cleavages in South African society were real, and the poets and writers of the BCM saw themselves as spokespersons for blacks in the country.

They refused to be beholden to proper grammar and style, searching for black aesthetics and black literary values.11 The attempt to awaken a black cultural identity was thus inextricably tied up with the development of black literature.

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mercredi 8 décembre 9999

_____Que "meurt la vie, VIVE LA MORT? "Viva la muerte !"".. Le silence est le poids des larmes.. EcRiRe C’eSt HuRlEr En SiLeNcE… = …La vraie pollution, c’est la connerie humaine… = Les vanités contemporaine dans l'art; C'est la vie !

  • VIVE LA MORT?

Pour aller au ciel il faut mourir donc vive la mort ...L afrique est mort. Vive le nouveau Afrique ! L'été est mort, vive l'été prochain !!

A la vie à la mort, dans la joie comme dans la douleur vive l ... certes la peine de mort n'arrête pas les criminels,mais si on applique la peine de mort ,au moins cela ne recommenceront pas ,découper un homme en deux comme le souligne badinter dans sa plaidoirie,ok,mais ces criminels eux ont le droit d'ôter la vie, sachant qu'ils seront condamnés ,mais tôt ou tard ils recommenceront,l car la liberté ils l'obtiendrons,les victimes eux ne sortiront jamais de leurs tombeaux.Qui est à plaindre la victime ou l'assasin??

"Viva la muerte !", "Vive la mort !" Alors, croire qu'on l'arrêtera avec la mort, c'est illusion...L'abolition de la peine de mort !

  • Meilleure réponse

Ben oui ! Normalement, un vrai croyant attends la mort avec délectation. Jésus a dit à ses apotres : "Vous, soyez passants"

  • Évaluation du demandeur : Bizzard non?

hummm.. réflexion fait; La vie est-elle d'être surveiller en permanence par des caméras, d'être suivi electroniquement partout ou l'on va ? De devenir un robot ?

Le résultat ne vous satisfait pas ? Essayez le suicide..! ...http://fr.answers.yahoo.com/question/index?qid=20100417083522AAE5yjJ

La personne qui se suicide, **

  • Ce n’est pas la vie qu’elle veut s’enlever, *


** Mais la douleur qu’elle veut tuer !

-Etre trahie par une « amie » …

-Ne pas savoir ou est sa famille…

-Ne pas savoir pourquoi on est ici…

-Se sentir seule…

-Etre perdue…

-Perdre ses amis les uns après les autres pour se rendre compte qu’enfait tout le monde s’en fou et qu’ils sont presque tous hypocrites…

-Garder en soi tellmen de chose ki nous détruisent petit à petit…

-Ne plus savoir qui croire et en qui avoir confiance…

-Avoir mal mentalement et fisikmen…

Ne pas se sentir aimée

-Et encore tant d’autres…

''J'ai plus rien à dire. J'en ai plus la force''...

''Tellmen de questions qu'on se pose sans jamais avoir de réponse... La vie ne sert à rien, il n'y a aucun but.'' J'en peux plus d'essayer d'arranger les choses, de faire semblant que sa va bien alors ke rien ne va! RIEN NE VA et rien n'ira jms.

''Y a juste plus rien qui me retient ici. chui dégoutée de ce kon peu appelé une vie.''

Y a plus RIEN ki peu me "sauver"... mai enfait pk sauver? ya RIEN de bien ici... pffff.... chui juste trop décue de tout. plu gout à rien. g plus rien d'autre à dire.

On pourrait dire que depuis la nuit des temps les hommes ont réalisé des « vanités », c'est-à-dire représenté les éphémères éléments de l'existence pour en souligner la fragilité. Pourtant, depuis le XVIIe siècle, on n'a jamais vu autant de représentations de crânes dans l'art qu'aujourd'hui... Signe d'un temps qui s'accélère, d'un rapport étroit à la mort, de l'acceptation d'une éventuelle « fin » qui menace la planète, ou d'une intimité forcée avec la question spirituelle, qui obsède encore une époque pourtant des plus matérialistes.

"Marmotte" ; l'a bien souligné(e) que : "... Les victimes / Qui, quant à / elles ne sortiront jamais de leurs tombeaux ..."

Quant à savoir de ce qui est à plaindre, soit : c'est la triste victime, soit : c'est l'assassin / Que de questions ...

'Assassin', qui je pense, ne semble pas avoir eut d'autre solution ; que de donner 'la mort !' / Mais bon, hors de question de l'excuser, ou bien de le pardonner / Surtout ... En être arriver à dire : "Vive la mort" / Pour certains : OUI (Par : exemple 'Human Bomb(E) 99 ; né le 30.10.1969...) / Pour d'autres "Ma-Ma-Mia !!!"

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_____L'homme dans toute sa splendeur : Pourquoi l'être humain est-il un éternel insatisfait ?. Parce que l'homme est un organisme vivant, il naît, croît et meurt, comme tout ce qui vit. Il n'a qu'une vie, mais elle est essentiellement vouée à la mort.

La condition humaine

Comme on a pu s'en rendre compte au cours de cette navigation dans le passé, l'expérience de l'existence humaine, nous fait prendre conscience d'un certain nombre de tensions profondes, que les grands philosophes ont scrutées depuis toujours, et d'une façon plus convaincante pourrait-on dire, depuis le XIX è siècle :

  • Vie/mort
  • Individu/société
  • Liberté/destin
  • Finitude/perfectibilité

Pourquoi l'être humain est-il un éternel insatisfait ?

Ces quatre couples constituent sans doute les paramètres de la condition humaine

1. Parce que l'homme est un organisme vivant, il naît, croît et meurt, comme tout ce qui vit. Il n'a qu'une vie, mais elle est essentiellement vouée à la mort.

Cependant, au fond de lui-même, quelque chose lui fait désirer échapper au temps, à l'espace. 2. Parce que l'homme est un organisme vivant, il est seul à pouvoir exercer les activités nécessaires au maintien de sa vie : manger, boire, digérer, apprendre, connaître, se situer dans son milieu et dans l'univers, donner à sa propre existence un sens. Personne ne peut penser à sa place.

Par contre, il a besoin sur le plan physique des éléments contenus dans la nature qui assurent sa vie comme organisme ; il a aussi besoin des autres sans qui il ne peut se réaliser ; il est un être fondamentalement culturel et solidaire. 3. Parce qu'il est un être capable de choix, parce qu'il est libre, il est responsable de ses actes. Il est maître de sa destinée dans la mesure où un acte humain est essentiellement un acte voulu librement. Au fond l'homme est ce qu'il veut devenir.

Par contre, parce que beaucoup d'éléments dans la vie ne dépendent pas de lui il doit subir son destin. L'homme ne choisit pas de naître, ne choisit pas ses gènes, ne choisit pas son temps ni son espace. Beaucoup de contraintes à la fois physiques et culturelles lui sont imposées par le fait qu'il est un être physique, vivant, intelligent et responsable. Il est dépendant sur bien des plans. 4. Parce qu'il est un organisme vivant, il est un être limité, dans le temps et l'espace tant physiques que culturels. Il est faible, fragile : l'erreur est humaine dit-on.

Par contre, éternel insatisfait, il désire toujours davantage; et, perfectible, il apprend de ses erreurs. Au fond de lui brûle un désir d'infini et de perfection.

Quand on réfléchit un tant soit peu aux différents aspects de la condition humaine on peut mieux mesurer l'ampleur des défis que l'homme doit relever pour simplement se réaliser, donner un sens à sa vie, et faire son bonheur à travers ces contradictions.

Les penseurs de tous les temps ont cherché à résoudre ces énigmes.

-http://peuimportelaquestion.clubdiscussion.net/philosophie-f10/l-homme-dans-toute-sa-splendeur-t66.htm -http://www.cvm.qc.ca/ccollin/conception/cond_hum.htm

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lundi 6 décembre 9999

___Kiss of Death " Judas, c’est par un baiser que tu livres le Fils de l’homme ? " » — Évangile selon saint Luc 22, 48,

Un baiser de la mort, ou baiser de Judas, est une expression pour désigner un rapprochement d'un individu vers un autre, qui en fait signale l'engagement ou la reprise d'hostilités.

L'expression a pour origine le baiser de Judas à Jésus Christ afin de désigner aux soldats l'homme à arrêter, signant sa trahison.

« Jésus lui dit : " Judas, c’est par un baiser que tu livres le Fils de l’homme ? " » — Évangile selon saint Luc 22, 48, texte sur Wikisource.

Au sein de la mafia, le baiser de la mort est plus concrètement chargé de sens : c'est un baiser qui signifie l'annonce de sa mort violente prochaine pour celui qui le reçoit.

Luc 22

La fête des pains sans levain, appelée la Pâque, approchait. Les principaux sacrificateurs et les scribes cherchaient les moyens de faire mourir Jésus ; car ils craignaient le peuple.

Or, Satan entra dans Judas, surnommé Iscariot, qui était du nombre des douze. Et Judas alla s’entendre avec les principaux sacrificateurs et les chefs des gardes, sur la manière de le leur livrer.

Ils furent dans la joie, et ils convinrent de lui donner de l’argent.

Après s’être engagé, il cherchait une occasion favorable pour leur livrer Jésus à l’insu de la foule. Le jour des pains sans levain, où l’on devait immoler la Pâque, arriva, et Jésus envoya Pierre et Jean, en disant : Allez nous préparer la Pâque, afin que nous la mangions.

Ils lui dirent : Où veux-tu que nous la préparions ?

Il leur répondit : Voici, quand vous serez entrés dans la ville, vous rencontrerez un homme portant une cruche d’eau ; suivez-le dans la maison où il entrera, et vous direz au maître de la maison : Le maître te dit : Où est le lieu où je mangerai la Pâque avec mes disciples ?

Et il vous montrera une grande chambre haute, meublée : c’est là que vous préparerez la Pâque. Ils partirent, et trouvèrent les choses comme il le leur avait dit ; et ils préparèrent la Pâque. L’heure étant venue, il se mit à table, et les apôtres avec lui.

Il leur dit : J’ai désiré vivement manger cette Pâque avec vous, avant de souffrir ; car, je vous le dis, je ne la mangerai plus, jusqu’à ce qu’elle soit accomplie dans le royaume de Dieu.

Et, ayant pris une coupe et rendu grâces, il dit : Prenez cette coupe, et distribuez-la entre vous ; car, je vous le dis, je ne boirai plus désormais du fruit de la vigne, jusqu’à ce que le royaume de Dieu soit venu.

Ensuite il prit du pain ; et, après avoir rendu grâces, il le rompit, et le leur donna, en disant : Ceci est mon corps, qui est donné pour vous ; faites ceci en mémoire de moi.

Il prit de même la coupe, après le souper, et la leur donna, en disant : Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang, qui est répandu pour vous.

Cependant voici, la main de celui qui me livre est avec moi à cette table. Le Fils de l’homme s’en va selon ce qui est déterminé. Mais malheur à l’homme par qui il est livré ! Et ils commencèrent à se demander les uns aux autres qui était celui d’entre eux qui ferait cela. Il s’éleva aussi parmi les apôtres une contestation : lequel d’entre eux devait être estimé le plus grand ?

Jésus leur dit : Les rois des nations les maîtrisent, et ceux qui les dominent sont appelés bienfaiteurs.

Qu’il n’en soit pas de même pour vous. Mais que le plus grand parmi vous soit comme le plus petit, et celui qui gouverne comme celui qui sert.

Car quel est le plus grand, celui qui est à table, ou celui qui sert ? N’est-ce pas celui qui est à table ? Et moi, cependant, je suis au milieu de vous comme celui qui sert.

  • Vous, vous êtes ceux qui avez persévéré avec moi dans mes épreuves ;

c’est pourquoi je dispose du royaume en votre faveur, comme mon Père en a disposé en ma faveur, afin que vous mangiez et buviez à ma table dans mon royaume, et que vous soyez assis sur des trônes, pour juger les douze tribus d’Israël.

  • Le Seigneur dit : Simon, Simon, Satan vous a réclamés, pour vous cribler comme le froment.

Mais j’ai prié pour toi, afin que ta foi ne défaille point ; et toi, quand tu seras converti, affermis tes frères.

  • Seigneur, lui dit Pierre, je suis prêt à aller avec toi et en prison et à la mort.

Et Jésus dit : Pierre, je te le dis, le coq ne chantera pas aujourd’hui que tu n’aies nié trois fois de me connaître.

  • Il leur dit encore : Quand je vous ai envoyés sans bourse, sans sac, et sans souliers, avez-vous manqué de quelque chose ? Ils répondirent : De rien.
  • Et il leur dit : Maintenant, au contraire, que celui qui a une bourse la prenne et que celui qui a un sac le prenne également, que celui qui n’a point d’épée vende son vêtement et achète une épée.
  • Car, je vous le dis, il faut que cette parole qui est écrite s’accomplisse en moi : Il a été mis au nombre des malfaiteurs. Et ce qui me concerne est sur le point d’arriver.

Ils dirent : Seigneur, voici deux épées. Et il leur dit : Cela suffit.

  • Après être sorti, il alla, selon sa coutume, à la montagne des oliviers. Ses disciples le suivirent.

Lorsqu’il fut arrivé dans ce lieu, il leur dit : Priez, afin que vous ne tombiez pas en tentation. Puis il s’éloigna d’eux à la distance d’environ un jet de pierre, et, s’étant mis à genoux, il pria, disant : Père, si tu voulais éloigner de moi cette coupe ! Toutefois, que ma volonté ne se fasse pas, mais la tienne.

Alors un ange lui apparut du ciel, pour le fortifier.

  • Etant en agonie, il priait plus instamment, et sa sueur devint comme des grumeaux de sang, qui tombaient à terre.
  • Après avoir prié, il se leva, et vint vers les disciples, qu’il trouva endormis de tristesse,

et il leur dit : Pourquoi dormez-vous ? Levez-vous et priez, afin que vous ne tombiez pas en tentation.

  • Comme il parlait encore, voici, une foule arriva ; et celui qui s’appelait Judas, l’un des douze, marchait devant elle. Il s’approcha de Jésus, pour le baiser.
  • Et Jésus lui dit : Judas, c’est par un baiser que tu livres le Fils de l’homme !

Ceux qui étaient avec Jésus, voyant ce qui allait arriver, dirent : Seigneur, frapperons-nous de l’épée ?

  • Et l’un d’eux frappa le serviteur du souverain sacrificateur, et lui emporta l’oreille droite.

Mais Jésus, prenant la parole, dit : Laissez, arrêtez ! Et, ayant touché l’oreille de cet homme, il le guérit.

  • Jésus dit ensuite aux principaux sacrificateurs, aux chefs des gardes du temple, et aux anciens, qui étaient venus contre lui : Vous êtes venus, comme après un brigand, avec des épées et des bâtons.
  • J’étais tous les jours avec vous dans le temple, et vous n’avez pas mis la main sur moi. Mais c’est ici votre heure, et la puissance des ténèbres.
  • Après avoir saisi Jésus, ils l’emmenèrent, et le conduisirent dans la maison du souverain sacrificateur. Pierre suivait de loin.
  • Ils allumèrent du feu au milieu de la cour, et ils s’assirent. Pierre s’assit parmi eux.

Une servante, qui le vit assis devant le feu, fixa sur lui les regards, et dit : Cet homme était aussi avec lui.

  • Mais il le nia disant : Femme, je ne le connais pas.

Peu après, un autre, l’ayant vu, dit : Tu es aussi de ces gens-là. Et Pierre dit : Homme, je n’en suis pas.

  • Environ une heure plus tard, un autre insistait, disant : Certainement cet homme était aussi avec lui, car il est Galiléen.
  • Pierre répondit : Homme, je ne sais ce que tu dis. Au même instant, comme il parlait encore, le coq chanta.
  • Le Seigneur, s’étant retourné, regarda Pierre. Et Pierre se souvint de la parole que le Seigneur lui avait dite : Avant que le coq chante aujourd’hui, tu me renieras trois fois.
  • Et étant sorti, il pleura amèrement.
  • Les hommes qui tenaient Jésus se moquaient de lui, et le frappaient.
  • Ils lui voilèrent le visage, et ils l’interrogeaient, en disant : Devine qui t’a frappé.
  • Et ils proféraient contre lui beaucoup d’autres injures.
  • Quand le jour fut venu, le collège des anciens du peuple, les principaux sacrificateurs et les scribes, s’assemblèrent, et firent amener Jésus dans leur sanhédrin.
  • Ils dirent : Si tu es le Christ, dis-le nous. Jésus leur répondit : Si je vous le dis, vous ne le croirez pas ;

et, si je vous interroge, vous ne répondrez pas. Désormais le Fils de l’homme sera assis à la droite de la puissance de Dieu.

  • Tous dirent : Tu es donc le Fils de Dieu ? Et il leur répondit : Vous le dites, je le suis.

Alors ils dirent : Qu’avons-nous encore besoin de témoignage ? Nous l’avons entendu nous-mêmes de sa bouche.

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lundi 15 novembre 9999

____Le déni de grossesse -Et l'Afrique en cascade ou le douloureux accouchement d'une souris. Jusqu'à quand le sang devra-t-il continuer à couler impunément ?

  • Cessons d'insulter l'intelligence du peuple AFRICAIN. Il faut que justice soit faite !

En effet, qu'il s'agisse d'un ras-le-bol, d'une frustration trop longtemps contenue, ou même d'une souffrance incontrôlable, rien, pour le républicain et pacifiste que nous sommes, ne peut justifier cet acte apparemment désespéré de notre compatriote.

Cependant, nous considérons que la répression à outrance et disproportionnée, sans cesse utilisée par le pouvoir en place, pour anéantir ou étouffer le moindre son discordant, au mépris des principes les plus élémentaires des Droits de l'homme, devient de plus en plus préoccupante.

Comment comprendre qu'après avoir été appréhendé, notre compatriote n'ait pas été déféré devant une juridiction compétente, en vue d'être jugé conformément à la législation en vigueur?

A ce propos, l'histoire est jalonnée de nombreux cas d'atteinte à l'intégrité physique de hautes personnalités de ce monde, sans que leurs auteurs n'aient été poussés au suicide dans leurs lieux de détention.

Le cas récent, celui de cet Italien qui lança un projectile et blessa gravement au visage le Président du Conseil Italien, le " Cavalière " Berlusconi.

Autre cas, celui de ce journaliste Irakien, qui, en date du 15 décembre 2008, en pleine conférence de presse, lança ses chaussures sur le Président Georges W. Bush des Etats-Unis. Tout le monde s'en souvient, ces images ont fait le tour du monde ! Après avoir été arrêté, jugé et condamné, il vient de purger sa peine et est aujourd'hui libre de tous ces mouvements !

Et que dire d'Ali Agça, ce jeune Turc, qui osa ouvrir le feu sur Sa Sainteté le Pape Jean-Paul II, en le blessant grièvement ? En dépit de sa situation de victime, il rendit plusieurs fois visite à son bourreau en prison, afin de comprendre les raisons de son geste, et en tira même des leçons pour l'amélioration du reste de son pontificat.

Sommes-nous en train d'assister à une dérive totalitaire, à un retour aux anciennes méthodes tant décriées de la 2ème République, où l'élimination physique était une simple routine ?

Bien que la version officielle fasse état d'un suicide, ce qui paraît trop beau pour être vrai, et qui nous donne une impression de déjà vu et entendu, nous estimons que dans tous les cas de figure, les responsabilités doivent être établies sans complaisance.

Comment des services de sécurité supposés aguerris, ont pu faire preuve d'un tel amateurisme en laissant à l'infractaire le temps et l'occasion de mettre un terme à sa vie, alors que sa déposition aurait pu éclairer l'opinion sur le mobile réel d'un tel acte et les éventuels commanditaires ?

Ce scénario de bas étage n'est même pas digne d'un polar de série B.

Les réactions qui ne cessent d'affluer depuis le décès de notre compatriote, tant sur le plan national qu'à l'extérieur du pays, ainsi que les réactions qui s'en sont suivies, ne font que confirmer le malaise que cette mort, une mort de plus, une mort de trop, provoque dans l'esprit des Congolais et autres observateurs épris de paix et de justice.

Est-ce cela l'Etat de droit ? La fameuse " Tolérance zéro n'existe-t-elle que pour une catégorie de personne ? Implique-t-elle que la vie humaine ne soit plus frappée de son caractère sacré tel que consacré par l'article 16 de la Constitution ?

L'image du pays est une fois de plus mise à rude épreuve ! Comme si la mort de Floribert Chebeya, cet illustre défenseur des droits de l'homme, ne suffisait pas !

Jusqu'à quand le sang devra-t-il continuer à couler impunément ? Trop c'est trop !

Alors, qu'attendez-vous pour nous tuer tous,

Il faut que justice soit faite !

Nous serions tentés de réclamer une enquête ainsi qu'une autopsie, afin de déterminer les causes réelles et les circonstances exactes du décès de notre compatriote.

Hélas, hélas, mille fois hélas, nous pouvons citer autant de cas où les enquêtes diligentées ont accouché d'une souris, en ne répondant à aucune réelle question.

Les présumés auteurs des crimes sur les adeptes de Bundu dia Kongo, se pavanent dans les rues. Les suspects de la mort de Chebeya continuent à narguer le peuple Congolais. "Ça suffit ! il faut que ça change"

Qui protégera le peuple Congolais longtemps meurtri ? Où un Congolais même coupable, devrait-t-il se sentir plus en sécurité ? N'est-ce pas chez lui ?Est-il admissible qu'un Congolais se sente plus en sécurité dans un autre Etat que dans son propre pays ?

50 ans après, est-ce l'héritage et la culture que nous voulons léguer à nos enfants et arrières petits enfants ? Non, trop c'est trop, ça suffit, il faut que ça change !

Chers compatriotes, tenons-nous la main et dans le respect des lois et des Institutions de la République, luttons pour l'avènement d'un Etat qui soit réellement fondé sur les valeurs républicaines, la rénovation des mœurs politiques, le respect des droits de l'homme, l'amour de la Patrie et de son peuple.

Réfléchissons dès maintenant aux choix que nous ferons demain. L'homme qu'il faut à la place qu'il faut.

Prenons garde de ne plus nous méprendre sur le choix à porter sur nos dirigeants, à quelque niveau que ce soit, de peur d'allonger la liste des martyrs et de "mourir massivement après avoir voté massivement"

Pour que ça change, bannissons la peur et levons-nous comme un seul homme.

Maître Puela Albert-Fabrice

Député National

http://congoforums.net/informations_2/affaire_tungulu_trop_cest_trop_ca_suffit_il_faut_que_ca_change-10926/

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_____Je suis noir et fière de l'être.. :: are the black and I'm proof traduction; Le Noire existe et J'en suis la preuve. J'ai besoin d'une preuve que les anciens Egyptiens n'étaient pas noirs

  • Coup de gueul ....!

pas vraiment.

Il n'y a rien de plus énervant que des personnes qui sortent ce genre de phrase!

De toute manière on décide pas d'être noir, donc les gens qui proclame ce type de phrase on visiblement qqch à prouver!

Quand on est bien avec soi-même et surtout avec sa couleur de peau on a pas à se justifier!!

Voilà juste un petit coup de gueule en passant... http://www.volcreole.com/forum/sujet-28903.html

Si tu as juste un coup de gueule à faire passer, je t'invite ici.

Sinon, si tu veux en débatre, ouvre ton sujet.

JE SUIS NOIR ET FIERE

J'adore ma couleur de peau......

Je suis une black woman et j'en suis fière après tant d'années à me faire traiter de nègres ,de sale noir et de je ne sais plus quel autre sobriquet je suis heureuse d'avoior cette couleur de peau......... Merci aux gens aussi qui ne sont pas de la même couleur que moi et qui savent que LA COULEUR DE PEAU NE VEUT RIEN DIRE DONC : FUCK LE RASCISME. Je voulais aussi faire un petit coucou a certains amis dont delphine qui est blache mais qui est plus black que moi dans l'esprit lol a Natacha qui est italiene qui est aussi française que moi et a ti jo qui est chinois qui est aussi guyanais que moi....... de tous ses mélanges sortent des gens extraordinnaires que j'adorent qui sont tous aussi DIFFERENTS les un que les autres......... j'en ai marre d'entendre dire que les black restent entre eux, les blancs de leur coté, et les chinoix ......bref maintenant le truc qu'il faut comprendre c'est que l'on est tous etre humain et que bon mis a part notre couleur peau ya rien d'autre qui nous séparent.

http://www.ladiz.fr/php/article.php/articleid/85780

J'ai besoin d'une preuve que les anciens Egyptiens n'étaient pas noires Posted in the African-American Forum Publié dans le Forum africain-américain

Ils étaient noirs, beaucoup de gens vont essayer de dire que les anciens Egyptiens n'étaient pas noirs, parce qu'ils se sont peints en brun et non noir. Thats so stupid because black people are not black-we come in different shades of brown-I have never seen a black-black person. Thats si bête noire parce que les gens ne sont pas noirs, nous viennent en différentes nuances de brun-Je n'ai jamais vu une personne noir-noir. Like I said we come in all shades of Brown just like the Ancient Egyptians painted themselves in all shades of brown! Comme je l'ai dit, nous viennent dans toutes les teintes de brun, tout comme les Egyptiens eux-mêmes peint dans toutes les nuances de brun! The word black mostly means our culture and features- Like our full lips-which the ancient egyptians had, Our braided, cornrowed, black hair- which the egyptians wore, Our many beautiful shades of brown- which the egyptians used to painted their selves in- Our love for gold and other jewelry-which the ancient egyptians also loved-Go to a black neigborhood, you'll see nothing but cats-Just like if you were to visit ancient egpyt. Le noir mot signifie surtout notre culture et des fonctionnalités Comme nos lèvres plein que les anciens Egyptiens avaient, Notre tressée, cornrowed, cheveux noirs, qui portaient les Egyptiens, Nos nombreux belles nuances de brun-que les Égyptiens utilisé pour peindre les mêmes dans - Notre amour pour l'or et autres bijoux-que les anciens Egyptiens aimait aussi-Go à un neigborhood noir, vous ne verrez rien, mais les chats-Just comme si vous étiez à visiter egpyt ancienne. Oh yeah We come from Africa-Like Egypt! Oh yeah Nous venons de l'Afrique comme l'Egypte! If that doesnt tell you they were black, I recommend seeing a counselor or something Si cela ne marche pas vous dire qu'ils étaient noirs, je recommande de voir un conseiller ou quelque chose Also the words of Aussi les mots de Herodotus Hérodote and et Chiek Diop Chiek Diop

Ce qui suit est la preuve émanant de l'origine africaine de la civilisation: par: Cheikh Anta Diop

1. 1.

Evidence from Physical Anthropology Preuve de l'anthropologie physique The skeletons and skulls of the Ancient Egyptians clearly reflect they were Negroid people with features very similar to those of modern Black Nubians and other people of the Upper Nile and of East Africa. Les squelettes et des crânes des anciens Egyptiens reflètent clairement qu'ils étaient négroïdes personnes avec des caractéristiques très semblables à ceux des modernes Nubiens Black et d'autres personnes du Haut-Nil et de l'Afrique de l'Est.

2. 2. Melanin Dosage Test Test Dosage mélanine Egyptologist Cheikh Anta Diop invented a method for determining the level of melanin in the skin of human beings. Égyptologue Cheikh Anta Diop a inventé une méthode pour déterminer le niveau de mélanine dans la peau des êtres humains. When conducted on Egyptian mummies in the Museum of Man in Paris, this test indicated these remains were of Black people. Lorsqu'elles sont menées sur des momies égyptiennes dans le Musée de l'Homme à Paris, ce test a indiqué que ces restes étaient des Noirs.

3. 3. Osteological Evidence Témoignage ostéologiques "Lepsius canon," which distinguishes the bodily proportions of various racial groups categories the "ideal Egyptian" as "short-armed and of Negroid or Negrito physical type." "Canon Lepsius, qui distingue les proportions corporelles des diverses catégories de groupes raciaux« l'idéal égyptien »comme étant« à court armés et des négroïdes ou Negrito type physique. "

4. 4. Evidence From Blood Types Témoignage De Types de sang Diop notes that even after hundreds of years of inter-mixture with foreign invaders, the blood type of modern Egyptians is the "same group B as the populations of western Africa on the Atlantic seaboard and not the A2 Group characteristic of the white race prior to any crossbreeding." notes Diop que, même après des centaines d'années d'inter-mélange avec les envahisseurs étrangers, le type de sang des Egyptiens modernes est le B "du même groupe que les populations de l'Afrique occidentale sur la façade atlantique et non pas la caractéristique A2 Groupe de la race blanche avant tout métissage. "

5. 5. The Egyptians as They Saw Themselves Les Egyptiens comme ils se voyaient "The Egyptians had only one term to designate themselves =kmt= the Negroes (literally). This is the strongest term existing in the Pharaonic tongue to indicate blackness; it is accordingly written with a hieroglyph representing a length of wood charred at the end and not crocodile scales," singular.'Kmt' from the adjective =kmt= black; it therefore means strictly Negroes or at the very least black men. "Les Egyptiens avaient un seul terme pour se désigner = kmt = les Noirs (littéralement) C'est la plus forte terme existant dans la langue pharaonique pour indiquer la noirceur;. Il est donc écrit avec un hiéroglyphe représentant un bout de bois brûlé à la fin du pas écailles de crocodile », au singulier,« Kmt »de l'adjectif = kmt = noir;. cela signifie donc strictement les Noirs ou chez les hommes au très noir. The term is a collective noun which thus described the whole people of Pharaonic Egypt as a black people." Le terme est un nom collectif qui a ainsi décrit l'ensemble du peuple de l'Egypte pharaonique en tant que peuple noir. "

6. 6. Divine Epithets Épithètes divines Diop demonstrates that "black or Negro" is the divine epithet invariably used for the chief beneficent Gods of Egypt, while the evil spirits were depicted as red. Diop démontre que "noir ou noir» est l'épithète divine toujours utilisé pour les dieux bienfaisants chef de l'Egypte, tandis que les mauvais esprits ont été représentés en rouge.

7. 7. Evidence From the Bible Témoignage de la Bible

The Bible states that "…the sons of Ham were Cush and Mizraim ie Egypt, and Phut, and Canaan. And the sons of Cush; Seba, and Havilah, and Sabtah, and Raamah and Sabtechah." La Bible déclare que "fils t ... il de Cham étaient Cush et Mitsraïm c.-à-Egypte, et Puth, et Canaan Et les fils de Cush;.. Seba, et Havila, et Sabtah, et Rahma et Sabtechah" According to Biblical tradition, Ham, of course, was the father of the Black race. Selon la tradition biblique, Ham, bien sûr, était le père de la race noire. "Generally speaking all semitic tradition (Jewish and Arab) class ancient Egypt with the countries of the black." «De manière générale toutes les traditions sémitiques (juifs et arabes) classe l'Egypte ancienne avec les pays du noir."

8. 8. Cultural unity of Egypt With The Rest of Africa L'unité culturelle de l'Egypte avec le reste de l'Afrique Through a study of circumcision and totemism. Grâce à une étude de la circoncision et le totémisme. Diop gives detailed data showing cultural unity between Egypt and the rest of Africa. Diop fournit des données détaillées montrant l'unité culturelle entre l'Egypte et le reste de l'Afrique.

9. 9. Linguistic Unity With Southern and Western Africa L'unité linguistique avec l'Afrique du Sud et l'Ouest In a detailed study of languages, Diop clearly demonstrates that Ancient Egyptian, modern Coptic of Egypt and Walaf of West Africa are related, with the latter two having their origin in the former. Dans une étude détaillée des langues, Diop démontre clairement que l'Egypte ancienne, moderne et copte d'Égypte valaf d'Afrique de l'Ouest sont liés, avec les deux derniers ayant leur origine dans l'ancien.

10. 10. Testimony of Classical Greek and Roman Authors Témoignage du grec classique et les auteurs romains Virtually all of the early Latin eyewitnesses described the Ancient Egyptians as Black skinned with wooly hair. Presque tous les témoins oculaires début latine décrit les anciens Egyptiens comme peau noire avec des cheveux laineux.

After the conquest of Egypt by Alexander, under the Ptolemies, crossbreeding between white Greeks and black Egyptians flourished. Après la conquête de l'Egypte par Alexandre, sous les Ptolémées, les croisements entre les Grecs et les Egyptiens blanc noir florissant. "Nowhere was Dionysus more favored, nowhere was he worshiped more adoringly and more elaborately than by the Ptolemies, who recognized his cult as an especially effective means of promoting the assimilation of the conquering Greeks and their fusion with the native Egyptians." "Cela n'a jamais été plus favorisés Dionysos, nulle part il adorait plus adoration et plus élaborée que par les Ptolémées, qui a reconnu son culte comme un moyen particulièrement efficace de promouvoir l'assimilation des conquérants grecs et leur fusion avec les Égyptiens d'origine." {Endnote 15: JJ Bachofen, Pages choisies par Adrien Turel, "Du Regne de la mere au patriarcat." {Note 15: JJ Bachofen, Pages Choisies par Adrien Turel, "Du Regne de la patriarcat au simple." Paris: F. Alcan, 1938, p. Alcan F., 1938, p.: Paris 89.} 89.}

These facts prove that if the Egyptian people had originally been white, it might well have remained so. Ces faits prouvent que si le peuple égyptien avait initialement été blanc, il aurait très bien pu rester. If Herodotus found it still black after so much crossbreeding, it must have been basic black at the start. Si Hérodote trouvé encore noir après croisement autant, il doit avoir été noir de base au début.

Les anciens Egyptiens étaient bien des Africains noirs. Archaeologists have discovered, by examining their cranial structure, that they were a mixture of what we would today consider Black and Arab. Les archéologues ont découvert, en examinant leur structure crânienne, qu'ils étaient un mélange de ce que nous considérons aujourd'hui Noirs et les Arabes. They were mostly Black. Ils étaient pour la plupart noir. The Greek were not Egyptians, they did not even arrive to Egypt until mid 300 BC, well after the Pyramids which were built around 2500 BC. Les Grecs n'étaient pas Egyptiens, ils n'ont même pas arriver en Egypte jusqu'à la mi-300 avant JC, soit bien après les pyramides qui ont été construits vers 2500 avant JC. Many Egyptians of today are also black but what we see in the media are the "whiter" Egyptians whose are a mixture of many races. Beaucoup d'Egyptiens d'aujourd'hui sont également en noir, mais ce que nous voyons dans les médias sont les «plus blanc» dont les Egyptiens sont un mélange de plusieurs races. Yes, they are Egyptians because they have been there for generations but they are not the descendants of the ancient Egyptians who were Black. Oui, ce sont des Egyptiens parce qu'ils ont été là depuis des générations, mais ils ne sont pas les descendants des anciens Egyptiens qui étaient de race noire. If you look at the features of the Modern North Africans such as the Somalians and Ethiopians, you will see that have facial structure very similar to the Egyptians in the hieroglyphics. Si vous regardez les caractéristiques des Africains du Nord moderne tels que les Somaliens et des Ethiopiens, vous verrez que la structure du visage ont très similaire pour les Egyptiens dans les hiéroglyphes. You don't have to have a wide nose and stereotypical "Negroid" features to be Negro. Vous n'avez pas besoin d'avoir un nez large et stéréotypée "négroïde" caractéristiques d'être nègre. There are many groups of Africans who do not fit the stereotype. Il ya de nombreux groupes d'Africains qui ne correspondent pas au stéréotype. People just readily categorize all Africans with the ones from Congo. Les gens facilement catégoriser tous les Africains avec ceux de Congo. Some scientists have even gone as far as to try and classify North Africans as "Caucasoid" because they defy the scientific definition of "Negroid" which is not defined by skin color but by facial (cranial) structure. Certains scientifiques ont même allé aussi loin que d'essayer de classer les Nord-Africains comme «caucasienne», parce qu'ils défient la définition scientifique de «négroïdes», qui n'est pas défini par la couleur de peau, mais par le visage (crânienne) structure. It's just an attempt to dissociate Egypt and North Africans with so called "Sub-Saharan" Africa and whiten the Ancient Egyptians. C'est juste une tentative de dissocier l'Egypte et les Nord-Africains avec ce qu'on appelle «sub-saharienne" L'Afrique et blanchir les anciens Egyptiens. But even common sense tells you that they were Black. Mais même le bon sens vous dit qu'ils étaient de race noire. Sudan is Egypt's neighboring country and it is no question that the Sudanese are Black. Soudan est le pays voisins de l'Egypte et il ne fait aucun doute que les Soudanais sont des Noirs. A few miles to the north, however, and the Africans miraculously are no longer Black A quelques miles au nord, cependant, et les Africains ne sont plus miraculeusement Black Read this interesting essay by a Black Egyptian woman Lire cet article intéressant par un noir femme égyptienne http://proofmagazine.i8.com/catalog.html http://proofmagazine.i8.com/catalog.html Pharaohs (notice the unmistakable African features): Pharaons (préavis les caractéristiques unique en Afrique): http://users.cyberone.com.au/myers/diop12-13....

notice the women's braids avis tresses des femmes

La destruction de la civilisation noire

1. 1. "Ignore or refuse to publish any facts of African history" that would not support "Ignorer ou refuser de publier tous les faits de l'histoire africaine" qui ne serait pas de soutien their racial theories. leurs théories raciales.

2. 2. "Create a religious and 'scientific' doctrine" to ease the white conscience for "Créer une religieuse et« scientifique »doctrine» afin de faciliter la conscience blanche pour oppressing and enslaving African people. opprimer et d'asservir les peuples africains.

3. 3. "Flood the world with hastily thrown together African 'histories'" that contain «Inonder le monde avec la hâte d'Afrique ainsi que des« histoires »qui contiennent European perspectives only. perspectives européennes seulement.

4. 4. "Start renaming people and places. Replace African names of persons, places, and "Renommer Premier personnes et des lieux. Remplacer les noms d'Afrique des personnes, des lieux, et things with Arabic and European names." This will disguise their true black identity. choses avec des noms arabes et européens. "Ce sera dissimuler leur véritable identité noire.

5. 5. Change the criteria for defining race. Modifier les critères de définition de la race. For example, one drop of Negro blood in Par exemple, une goutte de sang noir dans les America makes you a Negro, no matter how light your skin. Amérique du fait de vous un nègre, peu importe comment la lumière de votre peau. When reporting ancient Lors de la déclaration anciens history, reverse the standard. l'histoire, inverser la norme. Make one drop of white blood render someone a Faire une goutte de sang d'une personne de rendre une blanche Caucasian no matter how dark the skin.(Test this criteria during the De race blanche, peu importe la façon dont la peau sombre. (Test à ce critère lors de la "riding-at-the-back-of the-bus" era of the South during the 1940s in the USA. «Circonscription-à-la-back de l'autobus" l'ère du Sud durant les années 1940 aux États-Unis. Be Soyez assured that any of the Pharaoh's of Egypt, especially up to and including the 25th l'assurance que tout du Pharaon d'Egypte, en particulier jusqu'à et y compris le 25 Dynasty, would have been required to sit at the back of the bus.) Dynastie, aurait été tenu de s'asseoir à l'arrière de l'autobus.)

6. 6. When black participation in civilization is so obvious your best schemes can't Lorsque la participation des Noirs dans la civilisation est si évidente vos meilleurs régimes qui ne peuvent hide it, find a way to attribute the success to outside white influence. le cacher, trouver un moyen d'attribuer le succès à l'influence blanche à l'extérieur.

7. 7. When all the ancient historians contradict your theory, seek to discredit them. Lorsque tous les historiens de l'Antiquité en contradiction avec votre théorie, cherchent à les discréditer.

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samedi 13 novembre 9999

___I dream of an Africa which is in peace with itself. Je rêve d'une Afrique qui est dans la paix avec lui. Suprématie ou caricature ? Quête - World of Warcraft DMX - Ruff Ryders' Anthem

I dream of an Africa which is in peace with itself. Je rêve d'une Afrique qui est dans la paix avec lui.

La Melanine donne aux personnes noires des capacités........ par Kaysha

bon je l'ai trouvé sur le net et je voulais le partagé avec vous et j'espère que ca vous plaira !!!!!

La Melanine raffine le système nerveux de telle manière que les messages du cerveau atteignent d'autres secteurs du corps plus rapidement dans les personnes noires, les peuples Originales. Les enfants en bas âge noirs s'asseyent, se tiennent, rampent et marchent plus tôt que les blancs, et montre des avantages cognitives plus avancés que les bébes blancs en raison de leur abondance de Melanine. Carol Barnes a écrit "... vos processus mentaux (puissance du cerveau) sont commandés par le même produit chimique qui donne aux humains noirs leur supériorité physique (athétisme, capacités dansantes rhythmiques) et abilitées. Ce produit chimique... est la Melanine!" L'abondance de Melanine dans les humains noirs produit un organisme supérieure physiquement, mentalement, et spiritualement. C’est pourquoi tous les fondateurs des grandes religions du monde sont noirs. La Melanine est la base du neuro-produit chimique pour ce qui s'appelle L’AME dans les personnes noires. De la même manière que les noirs excellent dans l’athlétisme, ils peuvent éxceller dans d’autres secteurs aussi bien (comme ils faisaient dans le passé!) une fois que les blocs sur leur route sont enlevés!

Dieu Est-il Noir? L'homme original était NOIR, "fait á L'IMAGE de Dieu" son Parent, selon les livres sacrés. Les enfants ressemblent á leurs parents. Toutes les autres races ne sont que des variations diluées de la race originale noire.

La plupart des blancs ont les glandes pineales calcifiés qui contractent la production de la Melatonine, par consequent qui limitent leur capacité morale. Situé dans le cerveau, les pineales et les glandes pituitaires minuscules règlent d'autres glandes du corps. La tradition ésotérique considère le secteur de ces glandes comme le troisième oeil, siege de l'âme, et le mystérieux Uraeus représenté par le cobra sur le front oyale/couronnes des Egyptiens. Pourquoi les Africains considèrent l'Européen l'enfant de Dieu, mais les Européens considèrent l'Africain comme un sauvage sans âme? La "melatonine," est décrite comme l'hormone mentale et morale stimulante d'humanisme produit par la glande pineale. La recherche scientifique indique que la plupart des blancs ne peuvent pas produire beaucoup de melatonine parce que leurs glandes pineales sont souvent calcifiées et ne fonctionnent pas. Le taux de de calcification des Pineales chez les Africains est 5-15%; les Asiatiques - 15-25%; les Européens -60-80%! Ceci est la base chimique des differences culturelles entre les noirs et les blancs, faisant intorroger quelques intellectuels noirs sur la question de l'approche Européenne, celle du logique, droit, rigide, la posture anti-sentiment, reflète une orientation gauche de cerveau et reflète qu’ils manquent la clez principale chimique de la melatonine pour consulter leur inconscience et par consequent ils ne peuvent pas être sentimentaux. Carol Barnes a écrit "La Melanine est résponsable de l'éxistence de la civilisation, philosophie, religion, vérité, justice, et décence. Les individus (les blancs) contenant les plus bas niveaux de Melanine se comportent d'une façon barbare." La Melanine donne aux humains la capacité DE SE SENTIR parce que c'est l'absorbateur de toutes les frequences d’énergie. Dr. Welsing a écrit que "puisque la melanine est l'absorbateur supérieur de toutes les énergies, il est essentiel d'établir cette compréhension de Dieu et de 'toutes les énergies.' Le fait qu’il manque de la Melanine aux albinos (les blancs) peut également aidez à expliquer... pourquoi, selon l'opinion de beaucoup de peuples non-blancs, ils (les blancs) manquent de spiritualité " et de la capacité d'être en accord avec l’âme superieur, et par consequent d’établir l'harmonie et la justice... "

L'évidence scientifique de la Melanine menace l'idéologie de la suprématie blanche.

Après avoir considéré la Melanine comme étant un produit "de dépotoir" du métabolisme du corps qui "sert une fonction inutile," la science occidentale (blanche) a maintenant découvert que la Melanine est la principale clez chimique de la vie et du cerveau elle-même! Toutes les études et les faits sur la Melanine suggèrent qu’après 400 ans essayant d’inferiorizer la race noire, "la science occidentale fait face á la réalité attristante que, par ses propres normes définies, les personnes noires sont probablement supérieures aux blancs à la fois dans le potentiel intellectuel et la coordination des muscles." (interview dans le magazine Sepia). Le rôle central que la Melanine joue dans le corps "a été supprimé pour maintenir l’inferiorité mythologique des noirs... et 'la blancheur en tant que marque de supériorité." (Dr. Richard King) le "complexe de supériorité" des personnes blanches est un mécanisme de défense et révelateur de leur complexe d'inferiorité le plus profond qu'ils projettent sur des personnes de couleurs. Les psychologues disent que le déni absolue signifie réellement la chose opposée. Si les blancs croyaient vraiment que la peau blanche était "supérieure," pourquoi "se bronzer" est si important dans la culture blanche en dépit de ses risques de santé connus (des milliers meurent annuellement à cause du cancer de la peau): en plus de se boucler ou faire des permances sur des cheveux sans vie, droits, et la dernière: des injections de lèvre pour une apparence plus pleine! Et c’est la femme blanche qui vous dit que son compagnon idéal est "grand, FONCÉ, et beau!" "Le foncé" en effet se rapporte à plus de Melanine!

"Une mauvaise Melanine" est entrain de massacrer les personnes Melanisées!

Dans leur effort continu pour détruire les personnes de couleurs, les blancs créent des "drogues de marques," structurées pour chimiquement lier et changer la molécule de la Melanine, le faisant devenir toxique et même mortel aux personnes fortement melanisées! Carol Barnes, qui documente ce sujet a écrit, "La MELANIN peut devenir toxique à l'homme Noir parce qu'elle est combinée avec des drogues nocives telles que la cocaïne, les amphtamines, la pyscholique, les hallucinoges...le marijuana... etc..." Les molécules de ces drogues ressemblent á la molécule de la Melanine! Le corps est dupé et son équilibre est dérangé parce qu'il compte sur ses drogues qui détruisent la Melanine afin de fonctionner. Même des drogues légales comme les tétracyclines, neurolepts (tranquillisants), ont la forte tendance de se lier avec la Melanine. Les herbicides (paraquats, orange 'agent 'dioxin) se lient irréversiblement la Melanine et restent dans l'homme Noir durant toute sa vie entraînant beaucoup de problèmes. L'abus des drogues se produit plus par les noirs parce que la Melanine fait devenir les noirs plus rapidements dépendants des drogues et plus longtemps de ces drogues qui sont délibérément placées dans les communautés noires. Les drogues sont en train de détruire le coeur des societés indigènes d’Amérique et causent beaucoup de décès.

Pour plus d'information sur les merveilles de la Melanine: Le superbe Dr. Richard "African Origin of Biological Psychiatry" et les riches informations de Carol Barnes Carol Barnes "Melanin: The Chemical Key to Black Greatness" (C. Barnes, Box 3009189,Houston Texas, 77230). En outre l'exposé technique "Melanin, The Organizing Molecule" par Dr. Frank Barr, découvreur de l'organisation de "Melanin's organizing" (institut pour l'étude de conscience (510) Ave., Berkeley CA 94704)

Kaysha

I dream of an Africa which is in peace with itself. http://www.mespoemes.net/louiss/ http://delires2louiss.blogspot.com/

http://myplace.forumactif.com/t910-la-melanine-donne-aux-personnes-noires-des-capacites

Suprématie ou caricature ?

A moins que vous ne viviez sur une autre planète, vous n’avez pas pu passer à côté des derniers Jeux Olympiques qui ont eu lieu à Londres. Les blacks (pour ne pas dire noirs ou encore nègres) s’y sont encore une fois brillamment illustrés. L’équipe olympique jamaïcaine, menée par le phénoménal Usain Bolt, Yohan Blake, Warren Weir et compagnie, a battu tous les records, l’équipe américaine de basketball, la fameuse « Dream Team », avec de grands pontes de la NBA tels que Kobe Bryant, Carmelo Anthony ou « King » Lebron James, a conservé son titre olympique, la gymnaste Gabby Douglas est entrée dans la légende, en devenant à seulement 16 ans, la première femme de couleur à remporter l’épreuve de gymnastique aux JO.

Les exemples font foison : le plus grand sportif de tous les temps et tous sports confondus s’appelle Michael Jordan … Et c’est un noir ! Michael Jackson est l’artiste le plus couronné. Selon le Rock n’ Roll Hall of Fame, il a été identifié comme étant l’artiste le plus populaire et créatif de toute l’industrie du spectacle. Muhammad Aly est devenu une légende à la force de ses … poings !

Le rap, tout le monde le sait, est dominé par les blacks. Le seul rappeur « blanc » qui a su s’imposer dans le milieu, c’est Eminem. Mais avant d’être accepté par ses comparses, il en a bavé !

Les exemples sus cités ne sont qu’une liste parmi tant d’autres. J’ai tenu à les lister, afin de pouvoir aborder le cœur même de ce post, qui est la domination des noirs dans deux domaines, à savoir l’art et le sport. Pour le sport, ce n’est guère étonnant, car déjà à l’époque de la traite négrière, les esclaves étaient choisis suivant leurs caractéristiques physiques : denture solide, musculature développée, capacité de résistance à la fatigue, grande taille … Et les propriétaires s’en glorifiaient à qui mieux mieux : « Mon nègre court mieux que le tien, mon nègre abat une charge de travail plus importante que le tien … » Il est scientifiquement avéré d’ailleurs que « nous » sommes bio – physiologiquement doués pour les efforts prolongés : plus légers, plus à même de fabriquer des enzymes productrices d’énergie, d’assimiler plus facilement l’oxygène, et donc une plus grande capacité pulmonaire.

J’ai toujours abhorré toute forme de caricature, quelle qu’elle soit … Et la question fondamentale qu’il convient de se poser ici est : « Pourquoi nous cantonnons – nous à certains domaines ? » A chaque fois que je le dis, on me rabroue d’un « Oh tais – toi, pour une fois que nous sommes meilleurs que les blancs, laisse – nous en profiter ! Tu es trop rabat – joie ! » Ok, je suis bien d’accord que c’est valorisant pour les noirs de faire de si remarquables performances, mais nous ne devons pas pour autant nous (laisser) enfermer dans ce carcan et affirmer notre suprématie dans ces seuls domaines, à savoir la musique et le sport. Ce désir de nous mesurer continuellement à la « race » blanche devrait cesser. En ce moment, celle – ci s’inscrit dans une logique de repentance (sincère ?) face à la traite négrière / colonialisme à grand renfort d’aides et partenariats en tous genres avec l’Afrique, alors m’est avis est que nous devrions arrêter de vouloir leur montrer coûte que coûte que nous sommes les plus forts qu’eux dans ceci ou dans cela.

Il est grand temps d’arrêter « d’investir » dans les muscles ! Faisons – le avec nos neurones ! Si tel avait été le cas, nous n’en serions pas là aujourd’hui … Il est vrai que nous avons été victimes d’un « faux » départ, ce qui nous a considérablement retardés, mais réveillons – nous … Prenons le cas de la Chine. Ce pays étend ses tentacules partout. Pas un pays – surtout ceux d’Afrique – où ils ne sont présents. Si l’on se base sur la définition de la « masse critique » qui stipule que plus on est nombreux, plus on a de la chance de produire des talents, l’Afrique et les blacks ne devraient pas être laissés en rade !

C’est pour cette raison que j’admire Barack Obama. Avec son « Yes We Can » auquel personne ne s’attendait, il nous a montré la voie à suivre et que si nous le voulons vraiment, nous le pouvons. Lors du Forum des Jeunes Leaders qu’il a convoqué en 2010 à la Maison Blanche, il a publiquement dit aux Nègres américains, et du monde entier, surtout les jeunes, de cesser d’avoir comme seul horizon mental le sport et la musique ! Il faudrait qu’un tel discours soit tenu partout où vivent des Noirs …

Entrer dans l’histoire en pulvérisant les records du 100 m ou du relais 4 x 100 m, c’est certes bien, c’est même génial, mais contribuer à la (bonne) marche de son pays, et par là même du monde entier en écrivant des livres, en ayant des idées, en les exposant avec de solides arguments, en inventant des logiciels l’est aussi, sinon plus …

Alors, au lieu d’entendre des commentaires extasiés sur notre rapidité, notre façon de groover, de swinguer ou encore de nous « saper », montrons ce que nous avons dans la tête !

Ndèye Fatou KANE

http://www.piccmi.com/Suprematie-ou-caricature_a14652.html

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samedi 13 février 9999

____Le continent africain, une économie en pleine forme.. Un continent plein d’atouts économiques... Un continent encore à bâtir. L'Afrique est-elle un futur géant économique ?

L'Afrique est-elle un futur géant économique ? Le Politoblog » L'Afrique une future zone économique émergente ?

Perspectives du continent africain à long terme - Document de travail N.25, juin 2011

28/06/2011 Jean-Michel BOUSSEMART

  • Les économies africaines sont-elles en voie d’émerger ?
  • Lesquelles et à quel rythme ?
  • Sont-elles des marchés prometteurs pour nos entreprises ?

Cette étude prospective s’efforce d’éclairer ces questions en examinant les perspectives démographiques, économiques et sectorielles du continent.

La population de l'Afrique doublera d'ici 2050

Les experts des Nations Unies anticipent un doublement de la population du continent africain d'ici à 2050. Elle atteindrait, selon leur scénario moyen, 2,2 milliards en 2050, près du quart de la population mondiale.

  • Décollage économique

Croissance économique et démographique ne coïncident pas toujours. Ainsi, sur la période 1980-1995, le PIB par habitant a-t-il reculé de 0,4 % par an. Mais depuis 1995 il a progressé significativement, surtout sur la période 2003-2007. La crise mondiale a interrompu transitoirement ce mouvement, mais la croissance du revenu par habitant est restée largement positive.

Les réformes économiques et l'envolée des prix des matières premières ont permis au continent de bénéficier de rentrées financières grandissantes. L’accélération de l’élévation des niveaux de vie moyens est quasi générale, que le pays soit exportateur ou non de pétrole, qu’il soit de revenu intermédiaire ou bas. Elle devrait se poursuivre dans les prochaines décennies.

  • Poids relatif de l'Afrique en 2050

En 2010, le PIB par habitant de l’Afrique s’établit à un peu plus du quart de la moyenne mondiale (2600 $ ppa 2005). Selon notre exercice de prévisions, avec 3% de croissance annuelle du PIB par tête de 2010 à 2050, l'Afrique devrait regagner un peu de terrain sur les autres zones émergentes (Chine et Inde exceptées). Etant donné le niveau de départ, l’écart de revenu avec les autres zones du monde resterait substantiel en 2050.

  • Emergence d'un grand marché

La poussée démographique, l'urbanisation et la croissance économique, devraient s'accompagner de nouveaux besoins en alimentation, en énergie, en biens d’équipement durables, en automobile, en technologies de l’information et de la communication, etc. – ce qui ouvre des marchés prometteurs, notamment pour les entreprises françaises.

http://www.coe-rexecode.fr/public/Analyses-et-previsions/Documents-de-travail/L-Afrique-est-elle-un-futur-geant-economique

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Posted by laurent on déc 09, 2011 | 5 Comments

Il est de plus en plus difficile de trouver des zones d’investissements économiques non contaminées par la crise. Il y a bien les BRICs (Brésil, Russie, Inde et Chine), mais les promesses de rendements à deux chiffres sont déjà d’une époque ancienne. L’Europe est à un crépuscule économique et les Etats-Unis connaîtront à terme des difficultés encore plus grandes. Si l’on regarde dans le futur économique mondial, il ressort que seule l’Afrique dispose de tous les atouts nécessaires pour faire afficher un rythme de croissance attractif et répondre aux enjeux des futures crises économiques.

Le continent africain, une économie en pleine forme

Durant la crise économique, faisant suite à la crise des subprimes, alors que le monde entier connaissait une récession économique de 0,6 %, le PIB du continent africain progressait de 1,9 %. L’Afrique n’a pas été touchée par la crise financière mondiale, puisque le continent est très peu financiarisé. C’est seulement la baisse des prix sur les marchés de matières premières qui a engendré le ralentissement économique du continent africain.

Il est nécessaire de combattre les idées reçues sur les perspectives africaines. Si l’on regarde le classement des pays qui ont connu les plus forts taux de croissance sur la dernière décennie, on constate qu’il y a 6 pays africains qui se trouvent dans le top 10. Le continent africain devrait normalement atteindre plus de 6 % de croissance en 2011 et récidiver en 2012, quelle que soit la dégradation du contexte économique international (sauf Chine). L’Afrique est certes un continent pauvre en richesse absolue puisqu’il a un PIB qui n’atteint que 1700 milliards $. Mais si l’on compare la richesse produite par le continent africain, relativement aux économies émergentes, l’Afrique est une économie normale. Par exemple 10 pays du continent africain (Algérie, Namibie, Afrique du Sud, Botswana, Gabon, Guinée équatoriale, Libye … etc) ont un pays par habitant supérieur au PIB chinois.

Un continent plein d’atouts économiques

Le continent africain dispose de tous les atouts pour faire face aux futures crises économiques à venir. D’abord l’Afrique bénéficie d’un avantage démographique non négligeable. A l’échelle de la planète, le continent africain possède une population jeune. Alors que sur le vieux continent européen, au Japon, aux Etats Unis et en Chine, nous sommes déjà sur le déclin démographique, l’Afrique se trouve sur une pente démographique ascendante. En effet le continent a le plus fort taux d’accroissement naturel de sa population. L’Afrique vient de dépasser en 2009 le milliard d’habitants. A l’horizon de 2050, un humain sur cinq devrait être un habitant du continent africain. Même si selon les néo malthusiens la croissance démographique engendre de la pauvreté, elle génère automatiquement du PIB en valeur absolue. Mathématiquement la génération de richesses ne peut être inférieure à la croissance démographique. L’essor de l’Asie du sud est, durant la dernière décennie, s’est notamment appuyé sur l’avantage démographique d’une population jeune et dynamique. Le continent africain peut imiter le continent asiatique en utilisant cette jeunesse et faisant valoir dans la compétitivité internationale, un coût de main d’oeuvre et une force de travail imbattables. L’Afrique est du moins en capacité de développer à moyen terme une économie de services et de productions manufacturières, plus que performante. En plus il se développe dans le monde une diaspora africaine, érudite, inventive, jeune et capable qui pourra peut être demain aider le continent africain à remplir ses belles promesses.

Le continent africain possède, en plus d’une population jeune et dynamique, un gisement de ressources naturelles (minerais et pierres précieuses) et énergétiques (pétrole, gaz et charbon) ainsi que la plus grande réserve de terres cultivables au monde, capables de répondre aux besoins énergétiques et alimentaires mondiaux croissants. Au titre des significations le continent africain détiendrait 10 % des réserves mondiales de pétrole et 60 % de la réserve de terres arables au monde. Le continent africain est en plein essor dans l’exploitation des ressources énergétiques. En 2012 l’Afrique devrait représenter 12 % de la production mondiale de pétrole en extrayant 12 millions de barils jour. Pour l’instant L’Afrique concentre les investissements dans l’exploitation de ses matières premières et dépend uniquement de cette ressource pour ses exportations. Le risque c’est que ce secteur accapare tous les capitaux et toute la main d’oeuvre qualifiée au dépend d’autres secteurs de développement. La première des priorités pour que l’Afrique débute son essor économique, c’est qu’elle investisse et développe son agriculture. Une croissance économique élevée et solide ne pourra être garantie si le continent africain n’augmente pas fortement ses productions agricoles. L’accroissement des productions agricoles doit au moins parvenir à compenser l’accroissement démographique. L’Afrique est même en capacité de faire mieux que d’assurer sa subsistance, elle pourrait facilement rétablir la balance commerciale de ses besoins alimentaires à l’exportation, (en évitant les dangers). L’agriculture africaine reste à construire.

Un continent encore à bâtir

L’Afrique a le gros avantage de pouvoir bâtir le futur de sa croissance économique, en partant d’une page blanche. Par exemple alors que notre société actuelle est entrain de débattre de la nécessité ou non de poursuivre notre développement énergétique sur le nucléaire, le continent africain (hors Afrique du sud) doit simplement s’atteler à construire un modèle pour son développement énergétique. L’Afrique dispose de ressources environnementales favorables ; fleuves, ensoleillement, vent … ex : projet Désertec. Il est donc possible de construire une économie énergétiquement sobre et durable, sans à avoir à prendre en compte le coût du changement de modèle. L’Afrique n’est pas obligée de passer par d’autres modèles de développement économique. Par exemple l’Afrique est le deuxième marché mondial de développement de la téléphonie mobile (GSM), derrière l’Asie. L’Afrique génèrerait 620 millions d’utilisateurs téléphoniques et un taux de couverture de son réseau supérieur à un pays comme l’Inde. L’Afrique possède encore une marge de croissance dans cette activité puisque le taux de pénétration du téléphone mobile ne serait que de 50 %. Si la téléphonie mobile s’est développée à une telle vitesse en Afrique, c’est aussi grâce au fait qu’il n’y avait pas d’étape de développement intermédiaire dans la communication africaine, parce qu’il n’y avait pas de réseau. L’Afrique est un continent fait pour la mobilité, donc fait pour le futur des développements technologiques.

Le continent africain est en progrès global dans toutes ses politiques. Selon les rapports de l’OMS la santé du continent africain se serait améliorée. Même si le VIH continue de faire des ravages, de plus en plus d’adultes bénéficieraient de traitements rétro viraux, le paludisme, la poliomyélite … sont en recul grâce aux traitements médicamenteux, à la vaccination et à l’émergence de nouvelles pratiques. Les guerres ethniques, religieuses, de territoires ou de richesses sont globalement en recul. Désormais l’Union africaine tente d’auto réguler ses conflits. Même si les successions de régime ne se produisent pas encore dans un processus démocratique complètement transparent, il y a de moins en moins de guerres civile pour s’adjuger la réalité du pouvoir.

Bien sûr le continent africain cumule de nombreux problèmes ; La famine, les inégalités, le risque climatique, la mauvaise gouvernance, l’absence générale d’Etat de droit, d’un système administratif, juridique et économique performant … etc. Mais ce continent est capable d’offrir bien plus.

http://www.politoblog.com/?p=6485

Jeudi 7 juillet 2011

Perspectives pour le continent africain, futur géant économique ou non ?

Réunion Perspectives de l’économie organisée par le Coe-Rexecode le 15 juin 2011, Collège des Bernardins à Paris



Verbatim de l’intervention de Thierry Téné



Je vous remercie pour votre invitation. Je travaille sur les questions de croissance verte et de responsabilité sociétale des entreprises en Afrique. Les rapports qui se suivent sur l’Afrique se ressemblent maintenant : l’Afrique est désormais très bien partie. Avant de revenir sur les questions de croissance verte, je souhaite revenir tout d’abord sur un point : nous avons parlé tout à l’heure de dette grecque. Si je vous propose de choisir entre des obligations sur la dette grecque ou la dette rwandaise ou tchadienne, laquelle choisissez-vous ? La réponse tarde à venir. J’imagine que vous prendrez probablement des obligations de la dette tchadienne qui vient d’être lancée, avec 6 % de marge contre 2 % en Europe. Cet exemple a été pris par un intervenant de l’OCDE pour montrer comment la vision que l’Europe a de l’Afrique a évolué.



L’Afrique est en train de devenir une des locomotives de la croissance mondiale. Les pays africains ont déjà connu ce que l’Europe vit aujourd'hui, avec les deux décennies « perdues » de 1980 à 2000 : ces années n’ont pas été perdues mais ont été des années de réforme. Avec les indépendances, les Etats n’ont pas été très sérieux avec les comptes publics et ont commis des erreurs. Des réformes très difficiles ont suivi – ce que les Grecs testent actuellement. Depuis 2000, la croissance décolle mais, surtout, cette croissance est marquée, selon les termes du président de la banque africaine de développement, par les réformes et par les investissements directs intérieurs des entrepreneurs africains. Les rapports ou les conférences n’insistent pas assez sur ce point alors qu’une génération d’Africains investit sur le continent. Aliko Dangote n’est pas connu alors qu’il est l’Africain le plus riche mais surtout un industriel redoutable. Ce Nigérian a bâti sa fortune sur le continent, au Nigéria mais aussi au Cameroun, au Burkina-Faso, au Mali… Il est dans l’industrie (ciment, agroalimentaire, textile…).



Je reviens de Dakar où l’entreprise SPEC fabrique des panneaux photovoltaïques. Cette entreprise est dirigée par Mamadou Sow qui est un banquier et a parié sur l’énergie solaire puisque le continent a un potentiel énorme avec 3 000 heures d’ensoleillement. Il a donc décidé de fabriquer les panneaux photovoltaïques plutôt que les importer. Une filière de Total en Afrique du Sud assemble également les panneaux solaires mais, au Sénégal, des entrepreneurs africains se positionnent sur ce créneau du green business. Ce créneau peut être très lucratif ainsi que de nombreux autres secteurs tels que l’agriculture et l’énergie, qui sont les deux locomotives de la croissance d’un pays. Nous avons évoqué tout à l’heure la question des engrais : 60 % des terres arables non utilisées dans le monde se situent en Afrique et ces terres sont moins polluées qu’ailleurs. Or les terres ont besoin d’engrais lorsque les sols sont pauvres. Dans le cadre de la croissance verte, on peut réduire les coûts des engrais en en mettant moins tout en augmentant le rendement. Une grande entreprise française, SOMDIAA, a déjà recours à certaines techniques au Tchad et au Cameroun, réduisant la quantité d’engrais utilisée à l’hectare mais aussi la quantité d’eau et donc les coûts.



Le développement durable et le développement sont liés : vous ne pouvez pas vous lancer dans un process industriel aujourd'hui sans faire attention à l’efficacité énergétique. Le Groupe africain SIFCA se lance dans un projet de finance carbone lors du changement de chaudière puisque cette finance carbone permet de réduire les coûts de l’investissement. Quand cette entreprise, dans sa stratégie de responsabilité sociétale, décide de construire des logements pour ses salariés en zone rurale en ayant recours à des matériaux innovants ou naturels, c’est pour réduire les coûts, améliorer le cadre de vie des salariés, pour valoriser les ressources naturelles et créer de l’activité au niveau local.



L’Afrique est « condamnée » à opter pour la croissance verte puisque les ressources naturelles doivent être utilisées avec parcimonie. http://www.thierrytene.com/article-perspectives-pour-le-continent-africain-futur-geant-economique-ou-non-78772404.html

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mardi 19 janvier 9999

_____-CONSCIENCE-INCERTITUDE-VÉRITÉ-... Les dieux de la terre et de la mer. Ont fouillé l'univers pour découvrir cet arbre. Mais leurs recherches furent toujours vaines Car il croît dans le cerveau humain (William Blake),

CONSCIENCE-INCERTITUDE-VÉRITÉ-DE GOYA-IMAGINARY

  • ..Shakespeare, To be or not to be, that is the question.Shakespeare

Les dieux de la terre et de la mer Ont fouillé l'univers pour découvrir cet arbre Mais leurs recherches furent toujours vaines Car il croît dans le cerveau humain (William Blake)




1) Descartes, Spinoza, Godel et Levin ont condamné la porte de la connaissance par le stérilisant théorème de l'esprit humain.



2) William Blake, Pascal, Kierkegaard, Van Gogh, Beetoven, Dostoievski, Bohr, Nash et tout récemment Perelman ont fait sauter la porte de la connaissance par le vivifiant théorème de l'intuition (Discours de Nash pour sonPrix Nobel).



3) Einstein (influencé par Godel à Princeton) a été divisé entre les deux groupes (1 et 2), puis pour être récupéré par le génial Friedmann.



LES REPLIS DU CERVEAU EMPÊCHE DE VOIR LA VÉRITÉ (Rostand)



Ces replis sont pour Conne, les espaces topologiques à trous. Pour Gödel, se sont les indécidables. Pour Darwin, c'est le bec du flamant rose. Pour l'école russe de maths, des nombres entiers qui ne peuvent être prouvés par algorithme. Pour Dawkins, God delusion. Pour Shakespeare, To be or not to be, that is the question. Pour Dirac, Dieu n'existe pas et Dirac est son prophète. Pour Cicéron, La vieille est morte, fini la corvée. Pour Freud, le fils veut coucher avec sa mère. Pour Marx, sa mère dit de lui: Il n'a jamais été capable de se bâtir un capital ($).



Le principe de complémentarité



Ce principe a été énoncé par Bohr en 1927; il aggravait par ses implications, les relations d'indétermination de Heisenberg, admettant encore le principe d'objectivité; a démontré qu'un micro-objet, supposé indépendant de l'observateur , ne pouvait être connu avec rigueur.



La relation d'indétermination de Heisenberg est:



.. : position (SHELL) et quantité mouvement (CORE)



Conscience et vérité



Le monde de liaison qui unit une modalité de la conscience à une autre est une synthèse: chaque état de conscience est une synthétique et toute notre vie psychique est unifiée de manière synthétique.



La généralisation des valeurs de vérité, et élaborer des logiques à (n) valeurs: les matrices de vérité deviennent alors (nxn) matrices, les valeurs d'une proposition étant représentés par la série:



0, 1/(n-1), 2/(n-1), 3/(n-1), 4/(n-1)....n/(n-1)....,1



Ref: Vent de Philo. Sur les chemins de la philosophie.(1997).Roger Caratini, ed.Michel Clafon.



La philosophie du fermaton



Un empereur (A), l'empereur le plus puissant de tous les temps, envoie un messager (H) a un pauvre ouvrier (F) tout à fait inconnu, et lui fait savoir qu'il aimerait l'avoir pour gendre (P) et le journalier a le choix entre deux attitudes, croire ou être scandalisé et considérer ce message comme une raillerie à son égard ou une folie.



Kierkegaard



Arches Follow Gravity (NGM.com)



C.Q.F.D



théorème de Goya



Le sommeil de la raison engendre des monstres



Dans pensées nocturnes, les courants épars qui traversent notre âme (Ap)pendant le jour ne permettent à aucune pensée de mûrir. Mais la nuit, elles reviennent et l'une, plus hardie que les autres, mord de l'esprit. Sa dignité est de ne pas s'abandonner au tourbillon (Tz)mais de maîtriser le courant obscur(Co) et le diriger vers ce qui est solide vers une tige de paix (Px). Dans un réacteur nucléaire, lors de la réaction, apparaissent des tiges qui empêchent l'explosion. Ces tiges ce sont quelques pensées claires et sûres qui déroulent les tourbillons, désordres de l'âme, et la purifient. C'est le pouvoir sur soi.



Ref: SOLJÉNITSYNE, UN DESTIN.(2010).Véronique Hallereau, ed: L'oeuvre



C.Q.F.D



THÉORÈME IMAGINAIRE



Selon le FERMATON (la plus petite unité de la conscience humaine) et la loi d'Équilibre d'Einstein, le temps de retour (Tr) d'un numéro gagnant (..) du million ($) à la LOTO, est représenté en trois (3) dimensions par la figure suivante:



l'équation suivante en est la résultante:



...



Exposition Imaginary



C.Q.F.D http://fermaton.over-blog.com/pages/5CONSCIENCEINCERTITUDEVERITEDE_GOYAIMAGINARY-3708659.html

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dimanche 17 janvier 9999

____La diaspora africaine: panafricanisme ou solidarité villageoise? CADRE D'ACTION DE LA DIASPORA:: LAURENT GBAGBO OU LA MORT ANNONCÉE DU TRIBALISME - EN CÔTE D’IVOIRE

Cadre d'action de la diaspora

Le flux de migrations en provenance d'Afrique ne semble pas devoir s'arrêter dans un proche avenir (voir AFFORD 2000). Aussi, les mécanismes par lesquels la diaspora africaine maintient des relations transnationales avec l'Afrique et le reste de la diaspora deviendront plus importants avec le temps. En réfléchissant sur ces relations transnationales, Pires-Hester a proposé le concept de "l'ethnicité bilatérale de la diaspora", qu'il définit comme "l'utilisation stratégique de l'identification ethnique à une patrie d'origine, pour lui faire bénéficier des systèmes et des institutions de la patrie d'accueil" (1999 :486).

Nous avons déjà vu que la diaspora africaine s'identifiait fortement à ses régions d'origine, même si, particulièrement pour les nouvelles générations, cette identification s'opère au niveau micro. Comme cela a été déjà noté, la connexion des niveaux macro et micro - du village africain au continent africain - est une tâche importante mais non insurmontable. Mais qu'en est-il de l'environnement hôte, quel est le cadre régulateur et par quelles institutions la diaspora africaine pourrait-elle opérer au Royaume Uni par exemple ?

A ce sujet, la politique du Gouvernement britannique semble faire de ce pays un cadre favorable dont les initiatives d'appui au développement de l'Afrique peuvent être partagées par la diaspora africaine. Pour commencer, dans son Livre blanc sur le développement international " Eliminating World Poverty : A Challenge for the 21st Century " daté de novembre 1997, le Département pour le développement international (DFID) engage le Gouvernement britannique à " bâtir sur les compétences et les talents des immigrés et des autres membres des minorités ethniques résidant sur son territoire, pour promouvoir le développement de leurs pays d'origine ". Même si le DFID mène encore des consultations pour déterminer ce qu'implique réellement cet engagement, il constitue un point de départ pour une collaboration avec la diaspora africaine en ce qui concerne le développement de l'Afrique.

Deuxièmement, le Premier Ministre britannique, Tony Blair, a déclaré que le développement et la mutation de l'Afrique constitueraient la pierre angulaire de la politique étrangère et du développement de son deuxième mandat. Cela est plutôt exceptionnel, aucun Premier Ministre n'avait accordé la priorité à l'Afrique ces dernières années. S'adressant à l'Assemblée du Millénaire des Nations Unies qui s'est tenue en septembre 2000, le Premier Ministre a déclaré que :

" Il y a en Afrique un constat d'échec lamentable de la part du monde développé qui choque et fait honte à notre civilisation. Nulle part ailleurs, les populations ne meurent inutilement de la faim, des maladies et des conflits. Des décès sont causés non par le destin mais par des actes de l'homme. Par la mauvaise gouvernance et les rivalités entre les groupes, l'Etat a consacré le vol et la corruption. Nulle part ailleurs autant de gens ne sont laissés du mauvais côté du fossé numérique et éducationnel, les enfants se voyant refuser les opportunités qui transformeront les vies de leurs contemporains du reste du monde.

Il nous faut établir un nouveau partenariat, dirigé par l'Afrique, mais que le reste soit déterminé à mener à bien ; où on traite de tous les problèmes, non pas séparément, mais globalement, suivant un plan cohérent et unifié.

En Grande-Bretagne, nous sommes disposés à jouer notre rôle aux côtés du reste du monde et des dirigeants de l'Afrique en vue de formuler ce plan ".

Lors d'une réunion publique qui a eu lieu en janvier 2002 sur la politique africaine du Gouvernement britannique, la Baronne Valérie Amos, Ministre des affaires étrangères et du Commonwealth et porte-parole de la Chambre des Lords sur les questions de développement, a récemment exprimé un solide appui de son Gouvernement en ce qui concerne le NEPAD.

Troisièmement, comme nous l'avons vu, particulièrement en Sierra Leone, la politique étrangère du Royaume-Uni est devenue plus interventionniste, avec des interventions justifiées par un engagement en faveur de l'internationalisme, de la protection des droits de l'homme et des impératifs moraux.

Quatrièmement, au début de son mandat en 1997, le Gouvernement a créé un nouveau département d'Etat, le Département pour le développement international (DFID), dirigé par Clare Short, qui reste Secrétaire d'Etat au développement international, pour s'occuper spécifiquement du développement, retirant la responsabilité de l'information sur le développement au Ministère des affaires étrangères et du Commonwealth (FCO), qui avait le statut d'un département autonome avec son propre ministre. Pendant longtemps, le développement a été utilisé, par les pays plus nantis, comme un outil de réalisation des objectifs de leur politique étrangère et non comme une fin en soi. Le Gouvernement britannique a pris l'initiative, au niveau de ses partenaires de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), d'assouplir les liens entre l'aide et le commerce. (Cependant, l'accroissement de l'aide britannique à l'Afghanistan, à la suite de la campagne de bombardement menée par les Etats-Unis contre le régime Taliban et appuyée par la Grande-Bretagne, montre que l'aide reste liée à des objectifs politiques plus globaux de la Grande-Bretagne, ce qui vaut également pour les autres pays du Nord). Le nouveau Gouvernement avait aussi signalé que sa politique étrangère aurait une dimension éthique, ce qui a suscité beaucoup d'intérêt, mais qui s'est révélé être son talon d'Achille.

Le nouveau Gouvernement travailliste d'alors avait annoncé son intention d'instaurer une " gestion commune " (voir Ero 2000). L'objectif était d'introduire de nouvelles méthodes d'élaboration et de mise en oeuvre d'une politique plus cohérente, plus stratégique et moins fragmentée, compte tenu de la complexité croissante et de l'imbrication des problèmes que les gouvernements doivent actuellement résoudre. En termes pratiques, cette "gestion commune " signifiait une coopération accrue entre le DFID, le Ministère des affaires étrangères et du Commonwealth, le Ministère de la défense et le Ministère des finances. Elle entraînait aussi une coopération accrue avec les partenaires multilatéraux comme les Nations Unies et l'Union européenne. Curieusement, le Royaume-Uni travaille aussi en partenariat avec la France, en ce qui concerne la politique africaine. Ce partenariat, fondé sur les déclarations de Saint-Malo et de Cahors et basé sur un sens des responsabilités et des intérêts communs, a jusque-là pris la forme de deux visites ministérielles conjointes, du co-financement d'activités de maintien de la paix et d'accords de coopération en faveur du retour de la paix en République démocratique du Congo et en Sierra Leone.

Comme le note Ero (2001), l'Afrique est souvent considérée comme une zone non stratégique et non controversée, où des expériences telles que la " gestion commune " ont plus de chances de réussir, étant donné le faible niveau des intérêts en jeu. Mais, même dans ce cas, des tensions, des conflits et des contradictions ont éclaté au sein du Gouvernement, semble-t-il entre le FCO et le DFID, sur divers aspects de l'initiative en Sierra Leone, par exemple. Contrairement à l'esprit d'une " gestion commune ", le Gouvernement s'est engagé en faveur de la prévention des conflits et du maintien de la paix, mais il reste un gros fournisseur d'armes.

De même, l'orientation de la politique africaine du Royaume Uni n'est pas encore très claire pour le moment. Des commentateurs pensent que la réussite ou l'échec (ou tout au moins l'impression qui se dégagera) en Sierra Leone seront déterminants. Même si l'intervention est populaire auprès de nombreux sierra-léonais, d'aucuns y voient une recolonisation de fait. Puisque le Royaume-Uni dirige actuellement la police et l'armée sierra-léonaise et qu'il a une grande influence sur les finances publiques, sur la lutte contre la corruption ainsi que sur les réformes du Gouvernement local et de la magistrature, il semble justifié d'affirmer que le Royaume-Uni s'est complètement empêtré en Sierra Leone. Toutefois, les leçons de cette aventure, dans le cadre de l'élargissement de la politique africaine du Gouvernement britannique, restent encore à déterminer. Pour l'heure, la Sierra Leone symbolise la détermination du Royaume-Uni à redresser la situation en Afrique. Le Gouvernement espère en tirer avantage, notamment une plus grande influence mondiale, pour justifier le maintien de son statut de membre permanent du Conseil de sécurité de l'ONU et probablement un regain de confiance de la part du public dans le système international après les fiascos du Rwanda et de la Somalie.

Du point de vue de la diaspora africaine et de sa vision du développement de l'Afrique, il existe un réel fossé entre, d'une part, la politique intérieure britannique sur l'immigration, les réfugiés et l'octroi d'asile, dirigée par le Ministère de l'intérieur et, d'autre part, les programmes de DFID/FCO. Commentant la politique du précédent Gouvernement conservateur, Styan (1996) avait déjà observé " une fausse dichotomie entre les préoccupations intérieures et la politique étrangère ". Par exemple, on ne sait pas si les lois et règlements restrictifs qui limitent, depuis les années 1980, l'entrée des Africains en Grande-Bretagne, ont été appliquées en tenant compte de leur effet éventuel à long terme sur les relations entre l'Afrique et la Grande-Bretagne.

Face à la pénurie actuelle et future de compétences au Royaume Uni, le Ministère de l'intérieur a assoupli sa position sur l'immigration des personnes qualifiées et non qualifiées (voir Glover et al, 2001 ) et intensifié la campagne de recrutement des enseignants, des infirmiers, et autre personnel qualifié à partir de l'Afrique et d'autres régions en développement. Par contre, dans son deuxième Livre blanc sur les politiques majeures : "Eliminating World Poverty : Making Globalisation work for the Poor" (2000 :43), le DFID s'est inquiété des effets préjudiciables de l'immigration, du Sud vers le Nord, de talents éduqués et formés à un coût très élevé.

On pourrait soutenir que les deux départements n'ont rien compris. DFID doit reconnaître l'importance cruciale des migrations dans l'histoire de l'humanité et les nombreux résultats, réels ou potentiels, des migrations. Étant donné que le flux migratoire a été important, le Ministère de l'intérieur devrait prendre des mesures pour mettre fin aux discriminations, aux souffrances et aux violations des droits de l'homme et légaliser la situation de la multitude d'immigrés, africains ou autres, qui n'ont pas de statut légalement reconnu au Royaume-Uni. Cela permettrait aux Africains instruits et bien formés de prétendre à des emplois correspondant à leurs qualifications. A long terme, cela viendrait enrichir le réservoir de ressources humaines de la diaspora africaine potentiellement disponible pour contribuer au développement de l'Afrique.

La régularisation de la situation de ceux que l'on appelle des immigrés clandestins ne serait qu'une première étape. L'objectif à plus long terme serait la liberté de mouvement de tous les citoyens du monde et l'abolition des contrôles d'immigration face au besoin et au désir croissant des populations, encouragées par la mondialisation, de se déplacer en quête d'emploi, de paix et de sécurité. Comme le note Harris (2001) "ce n'est qu'avec l'imposition des contrôles frontaliers au 20ème siècle que l'on s'est efforcé d'arrêter les travailleurs d'émigrer pour travailler, gagner de l'argent et rentrer chez eux, ce qui a forcé ceux qui voulaient travailler à s'installer définitivement pour éviter d'avoir des problèmes aux frontières. La plupart de gens n'ont aucune envie de s'exiler définitivement, ils veulent travailler pour améliorer leur situation chez eux ". Pour harmoniser les objectifs en matière d'immigration et de développement, il faudra absolument inciter le DFID et le Ministère de l'intérieur à rechercher ensemble un moyen de s'assurer que les migrations fonctionnent en faveur des pays d'origine comme des pays de destination, ainsi que pour les individus concernés et leurs familles.

Après avoir examiné l'environnement général de la politique du Royaume-Uni à l'égard de l'Afrique, prenons maintenant des exemples spécifiques qui peuvent être liés à l'intégration régionale de l'Afrique et à la contribution que peut apporter la diaspora. La présente section analyse spécifiquement les technologies de l'information et de la communication (TIC). La CEA a déjà identifié les politiques et les stratégies des TIC, aux niveaux national, sous-régional et régional, comme étant des éléments importants pour permettre à l'Afrique de répondre aux défis de la mondialisation et de faire son entrée dans l'ère de l'information.

L'encadré no. 2 ci-dessous reprend certains engagements politiques récents tirés du Livre blanc sur le développement, Eliminating World Poverty : Making Globalisation work for the Poor. Les critiques ne partagent pas la conviction du Gouvernement britannique, qui pense possible de mettre la mondialisation au service des pauvres au lieu d'aggraver leur misère et leur marginalisation. De même, beaucoup regrettent qu'au cœur de sa politique, le Royaume-Uni embrasse le paradigme économique néo-libéral. Néanmoins, le Livre blanc démontre la convergence de cette politique avec celle des décideurs africains. Par exemple, en examinant les leçons à tirer de l'échec des négociations commerciales de Seattle, le Gouvernement du Royaume-Uni tire deux enseignements. Premièrement, " les pays développés doivent accorder une plus grande importance aux besoins des pays en développement, de l'accord desquels dépend le lancement d'une nouvelle série de négociations. Deuxièmement, les pays en développement, qui constituent maintenant la majorité des 140 Etats membres de l'OMC, pourraient beaucoup profiter d'une nouvelle série de négociations s'ils pouvaient exercer plus efficacement leur influence ". Le Livre blanc explique en effet plus loin qu'il est urgent, si l'on veut mettre en place un régime commercial multilatéral plus équitable, de renforcer la capacité qu'ont des pays en développement de participer efficacement à l'OMC et au système commercial multilatéral. " Quelques 23 pays en développement membres de l'OMC n'ont pas de représentation à Genève, où il peut y avoir chaque semaine plus de 40 réunions touchant divers sujets ". Le document identifie aussi un besoin similaire de renforcement des capacités de négociation dans les instances environnementales internationales. Le document estime que les organisations régionales doivent plaider la cause des pays en développement, et tout particulièrement les plus petits d'entre eux.

Selon le Gouvernement britannique, la société civile, aussi bien au Sud qu'au Nord, a un rôle important à jouer dans le cadre de la mondialisation et du développement. Pour lui, la société civile ne se limite pas aux seules ONG, mais elle englobe des acteurs plus nombreux, y compris les organisations de défense des droits de l'homme et des femmes, les syndicats et les coopératives, auxquels on peut ajouter les organisations des minorités ethniques, et notamment les organisations de la diaspora africaine. En ce qui concerne les ONG et les organisations de la société civile du Nord, le Gouvernement souhaite améliorer la transparence et l'obligation redditionnelle à l'égard des populations du Sud qu'elles représentent.

Ce dernier point est particulièrement pertinent pour une diaspora africaine qui veut s'impliquer dans les questions de développement international. Un facteur clef de l'échec des mécanismes actuels de coopération pour le développement est la concentration du pouvoir entre les mains de quelques acteurs du Nord au détriment des populations du Sud confrontées à la souffrance. Si la diaspora s'impliquait juste pour reproduire les dysfonctionnements des paradigmes de coopération existants (et en profiter), nous aurions fait pire qu'un retour en arrière. En effet, l'expérience d'AFFORD montre que si la diaspora africaine veut apporter une contribution significative, durable et positive au développement de l'Afrique, elle doit absolument rompre avec les pratiques et les attitudes actuelles face au développement et entrer dans une nouvelle ère de développement dirigée par les Africains et appartenant aux Africains. Les éléments clefs de ce nouveau paradigme sont notamment la foi dans la capacité des Africains à résoudre leurs propres problèmes, le pouvoir réel entre les mains des peuples africains (non seulement des dirigeants installés dans les capitales), auxquels il revient de déterminer la nature des initiatives, leur rythme, les facteurs de succès, etc.; une mobilisation plus efficace des ressources, contrôlées et gérées par les Africains (Aidoo, non daté); et enfin l'appui aux institutions et mécanismes africains pour le développement de tout le continent.

  • Encadré 2: Intégration régionale en Afrique, les mouvement de personnes et les TIC : Engagements politiques du Gouvernement du Royaume-Uni

Le Gouvernement du Royaume-Uni s'engage à :

· S'assurer qu'une perspective de développement est incluse dans les accords internationaux touchant aux télécommunications et aux nouvelles technologies et que les pays pauvres ont voix au chapitre en ce qui concerne l'élaboration de ces règles dans les institutions multilatérales;

· Veiller à ce que les règles et les politiques relatives à l'entrée et à l'octroi de permis de travail dans les pays développés, ne limitent pas injustement la capacité des fournisseurs de services des pays en développement de vendre sur les marchés des pays développés, tout en tenant compte de la nécessité de ne pas aggraver le problème de la pénurie des compétences dans les pays en développement;

· Appuyer l'incorporation d'accords sur l'investissement et la concurrence dans le cadre des futures négociations commerciales multilatérales de l'OMC et parallèlement, aider les pays en développement à renforcer leurs capacités et encourager une coopération plus étroite dans ces questions;

· Coopérer avec d'autres pour renforcer la capacité des pays en développement à participer aux négociations multilatérales et à profiter des nouvelles opportunités commerciales, y compris par l'amélioration des infrastructures et des liaisons de transport;

· Accroître l'assistance aux pays les moins avancés afin de leur permettre de participer plus efficacement à la négociation des accords environnementaux multilatéraux et de bénéficier de leur mise en œuvre;

· Introduire une nouvelle loi sur le développement international pour remplacer l'Overseas Development and Co-operation Act (1980) qui est dépassé, et élargir l'éventail d'activités que le gouvernement peut soutenir ;

· Coopérer avec la société civile pour renforcer la capacité des populations pauvres à exiger que les gouvernements et les institutions internationales rendent compte des progrès réalisés dans les programmes de lutte contre la pauvreté.

Nous devons ensuite considérer la réalisation d'un consensus politique au niveau de l'Afrique elle-même, qui devrait définir ce qui se passe réellement sur le terrain. L'Initiative " Société de l'information en Afrique " (AISI) de la CEA constitue un cadre de mise en application des politiques et des mesures propres à assurer l'utilisation des TIC en vue de la réalisation des objectifs de développement tels que (CEA, non daté, a) :

· L'amélioration de la qualité de la vie de tout africain; · L'intégration économique régionale africaine; · L'amélioration des liaisons commerciales et autres avec le reste du monde. Sur le continent, un consensus s'est déjà dégagé sur la recherche de solutions aux défis suivants, qui sont tous interdépendant (CEA, non daté, b) :

· Élargissement de l'accès; · Application des TIC à la recherche de solutions aux problèmes de développement; · Collaboration en vue d'élargir les marchés et de réaliser des économies d'échelle; · Promotion de la compréhension par le public des questions relatives à la Société de l'information; · Formulation d'une vision africaine pour les négociations internationales sur les questions relatives à la Société de l'information. L'encadré 3 ci-dessous résume un certain nombre de recommandations issues du premier Forum pour le développement de l'Afrique organisé par la CEA en 1999 (ADF 99) (CEA, non daté, b).

Encadré 3: Résumé des recommandations en vue de la réalisation des buts et des objectifs de l'Initiative "Société de l'information en Afrique"

Au niveau national, initier le processus politique dans le cadre de l'Initiative " Société de l'information en Afrique " et mettre en place:

· Une équipe de travail sur l'accès des zones rurales à l'innovation des TIC pour essayer des méthodes expérimentales d'extension des réseaux aux zones rurales mal desservies;

· Un forum national de coopération entre la société civile et le gouvernement dans la gestion globale des TIC pour promouvoir un débat public informé et assurer l'efficacité des négociations;

· Aux niveaux sous-régional et régional, maximiser les avantages des initiatives politiques nationales et renforcer les capacités africaines par :

o Une communauté de régulateurs nationaux en Afrique, en vue de renforcer les capacités et définir les modèles appropriés pour l'Afrique;

o Des recherches sur l'intégration du marché, afin d'identifier les voies et moyens de réaliser l'intégration sous-régionale et régionale;

o Un réseau régional d'échange de la Société de l'information, pour échanger les expériences et les meilleures pratiques nationales;

o Une équipe de travail régionale pour donner des avis politiques, juridiques et sur la réglementation, qui conseillerait les gouvernements africains sur l'exploitation des TIC pour le développement.

· Au niveau mondial, influencer les décisions prises à l'échelle internationale sur les TIC à travers :

o Une communauté africaine de pratiques de gestion mondiale des TIC, pour rendre plus effective la participation africaine dans les instances internationales.

· Au niveau mondial, il faudra surtout:

o Influencer la forme du futur système de taux comptables;

o Faire appliquer les cessions obligatoires de licence et supprimer les droits restrictifs de propriété intellectuelle;

o Elargir les dispositions de l'Accord général de l'OMC sur le commerce de services relatives aux télécommunications et aux services universels ;

o Participation à l'ICANN (the Internet Corporation for Assigned Names and Numbers) et à la gouvernance d'Internet.

On peut envisager que la diaspora africaine -ses nombreuses organisations ou ses réseaux de connaissances professionnelles spécifiques- jouent un rôle dans l'appui et la mise en œuvre de ces recommandations.

Au niveau national :

· Les activités du public devraient aussi cibler la diaspora africaine. Les réseaux de la diaspora qui ont des connaissances spécifiques devraient jouer un rôle dans cette sensibilisation et dans le renforcement des capacités. Il sera important d'aider les groupes de la diaspora à établir la relation entre les préoccupations locales et leurs dimensions nationales, sous-régionales et régionales. De même, il faudra veiller à ce que les groupes de la diaspora intègrent l'utilisation effective des TIC dans leurs programmes d'appui et aident leurs partenaires à bénéficier des TIC au niveau local en Afrique. · A mesure que les pays élaborent et mettent en oeuvre, individuellement, des plans relatifs à leur infrastructure nationale de l'information et de la communication, les membres de la diaspora qui ont les compétences requises devraient combler les lacunes sur le continent, pour exécuter les tâches spécifiques, mais aussi pour former leurs partenaires locaux, afin de réduire leur dépendance vis-à-vis de l'extérieur. Cela se fera probablement tant sur une base volontaire que dans le cadre de contrats de consultation rémunérés.

Au niveau sous-régional :

· Le manque d'expérience peut être comblé par les Africains de la diaspora qui ont les compétences et l'expérience nécessaires; · La réticence des gouvernements à renoncer à leur souveraineté est une question politique, au sujet de laquelle la diaspora, en collaboration avec ses partenaires, dans les régions et les pays concernés, peut exercer des pressions auprès des autorités compétentes.

Au niveau mondial:

· Les membres de la diaspora qui ont l'expertise, les contacts et l'accès nécessaires doivent contribuer à la formulation de positions africaines sur les grands sujets de débat et sensibiliser la diaspora africaine à ces questions; · Les membres de la diaspora africaine ayant l'expertise technique nécessaire doivent appuyer les négociateurs et les participants aux réunions internationales pour qu'ils soient mieux à même de défendre les intérêts de l'Afrique dans les débats et dans la prise de décisions.

7. Le temps d'agir - Panafricanisme pour l'ère de l'information

Pour que des résultats concrets se fassent jour prochainement, il faut que les acteurs principaux œuvrant de concert à la réalisation d'objectifs convenus précis.

Associer tous les Africains

Les initiatives doivent venir de l'Afrique, aux niveaux communautaire, national, sous-régional et régional et être relayées par la diaspora africaine, qui pourra appuyer ses partenaires sur le terrain. Cette méthode a été définie par les dirigeants africains, qui aspirent à une nouvelle forme de panafricanisme pour l'ère de l'information. Il faut maintenant y faire adhérer les Africains de la diaspora. Il sera important de convenir, en termes généraux, des attributions des différents acteurs. Les principales parties prenantes (CEA, gouvernements africains, etc.) doivent collaborer avec les réseaux et les organisations de la diaspora africaine à sensibiliser les esprits à l'intégration régionale, à l'Initiative " Société de l'information en Afrique " et à certaines activités spécifiques visant au développement durable de l'Afrique. Les Africains de la diaspora ont un rôle crucial à jouer et les acteurs basés en Afrique (CEA, gouvernements, etc.) doivent le rappeler sans ambiguïté à leurs partenaires de coopération au développement. Cela permettra de créer un nouveau cadre de coopération pour le développement où les donateurs du Nord, les décideurs et les ONG cesseront de marginaliser la diaspora africaine et se mettront à la considérer comme une ressource stratégique prête à contribuer au développement de l'Afrique.

Définir et affiner les positions africaines

Il est beaucoup plus facile de dégager un consensus sur une vision globale que d'œuvrer patiemment à la réalisation d'objectifs précis. Il est nécessaire de convenir des principes fondamentaux qui sous-tendront les positions de l'Afrique lors des négociations internationales et, à cet égard, il faudra se baser sur la notion d'intérêt public. Il importe que les acteurs clefs soutiennent cette orientation et encouragent le débat à cet égard pour établir la base d'un plaidoyer que la diaspora africaine puisse appuyer. Ce processus devrait susciter un apprentissage et les positions devraient découler de notre profonde compréhension de la manière dont les Africains utilisent véritablement les TIC dans leur vie quotidienne - dans leurs affaires, leurs loisirs, leurs interactions avec les gouvernements, etc. Cela sera un sujet de recherche inépuisable pour les universités et les groupes de réflexion, qui devront chercher à étayer et influencer les politiques à venir.

Création de l'Union de la diaspora africaine

Tout en célébrant la diversité de la diaspora africaine, nous devrions tisser un riche réseau composé d'OSC africaines (sur le continent et dans la diaspora) passionnées par l'intégration régionale et prêtes à la soutenir. Nous devons créer des mécanismes de communication, de collaboration et de coopération au sein de la société civile africaine mondiale, ainsi qu'entre cette dernière et les autorités et les décideurs d'Afrique et d'ailleurs. Nous devons mettre en place des mécanismes d'obligation redditionnelle qui étendent la formulation des visions aux définitions du succès et à l'identification des indicateurs de progrès à court et à moyen termes.

Institutionnalisation de la participation de la diaspora

Il nous faut mettre en place des mécanismes institutionnels pour exploiter le talent, la résolution et les ressources de la diaspora africaine. Pour soutenir le développement national et appuyer les compétences et l'expertise des Nigérians de l'étranger, le Président du Nigéria a créé le bureau de l'Assistant spécial du Président pour la diaspora, qui est chargé des questions relatives aux Nigérians de la diaspora. En 2001, le Gouvernement ghanéen a réuni des Ghanéens de la diaspora qui rentraient au pays pour les encourager à s'impliquer et à soutenir le développement du pays. Ces signes encourageants montrent que les gouvernements africains reconnaissent enfin le rôle important que les diasporas peuvent jouer dans les pays en développement. La CEA a également beaucoup fait ces dernières années pour associer la diaspora au processus de développement de l'Afrique. Etant donné son rôle central dans la promotion d'un développement conduit par l'Afrique et lui appartenant en propre, ainsi que dans l'intégration régionale, la CEA devrait envisager sérieusement de mettre en place des mécanismes institutionnels stratégiques propres à faciliter la participation durable et efficace de la diaspora africaine à tous les aspects de son travail. Du point de vue de la diaspora, il serait utile de pouvoir collaborer avec un partenaire unique ayant des responsabilités intersectorielles, qui serait son principal interlocuteur.

Identification des acteurs de la diaspora

Suite à la Conférence régionale sur l'exode des compétences et le développement des capacités en Afrique tenue à Addis-Abeba en 2000, la CEA et ses partenaires avaient jugé nécessaire de créer une base de données sur les ressources humaines de la diaspora. Cette base est en cours de création par la CEA, en collaboration avec AFFORD et d'autres agences. Elle devra être dynamique, orientée vers la demande et les besoins, ainsi que vers l'utilisateur et les tâches à accomplir. Nous devons d'abord identifier les utilisateurs potentiels de la base de données et préciser minutieusement leurs besoins. Dans un premier temps, les efforts doivent viser les besoins prioritaires, par exemple, le renforcement des capacités des institutions régionales ou des négociateurs dans les instances internationales. Se cantonner à répertorier des noms et des renseignements dans une base de données, sans stratégie d'utilisation précise, risque de produire un dossier statique qui sera vite périmé, et de décevoir les enthousiastes qui auront communiqué leurs coordonnées. L'anéantissement de ces espoirs risque aussi de compromettre la crédibilité de l'initiative et de rendre le suivi très difficile. La sensibilisation à l'intégration régionale et à l'AISI devrait faire partie intégrante du processus d'élaboration de la base de données afin de créer une synergie entre les activités et tirer le maximum de gains de l'investissement. La diaspora étant perpétuellement en construction, nous devrions maintenir en permanence des contact avec les secteurs clés comme par exemple les étudiants africains poursuivant leurs études dans des pays du Nord. AFFORD a déjà commencé à explorer le moyen de dialoguer avec les étudiants africains poursuivant des études de développement au Royaume-Uni pour exploiter leur connaissance de l'Afrique et faciliter leur contribution continue à son développement.

Création d'un observatoire des TIC et de l'intégration régionale

L'existence d'une diaspora africaine dans les pays du Nord représente pour l'Afrique un avantage dont elle doit profiter. Comme nous l'avons vu, les politiques adoptées au Nord peuvent avoir une incidence directe sur l'Afrique. De même, il y a des questions soulevées au niveau des instances internationales qui nécessitent une action positive de la part des Africains pour préserver les intérêts du continent. Les réseaux de la diaspora doivent se montrer vigilants, rassembler l'information, la digérer et la transmettre aux principaux décideurs en Afrique. L'observatoire proposé analyserait aussi les expériences africaines passées, aussi bien de réussite que d'échec, en ce qui concerne les stratégies adoptées au niveau international pour promouvoir les intérêts de l'Afrique. Les enseignements tirés devraient être largement diffusés, discutés et servir de base aux campagnes futures. L'observatoire serait tout d'abord un réseau informel des réseaux de connaissances existants ayant une expertise dans des domaines spécifiques ou s'y intéressant. Il comporterait également d'autres organisations présentant des avantages comparatifs et travaillerait en partenariat avec une institution semblable en Afrique pour s'assurer que les idées sont véritablement pertinentes pour les acteurs ciblés.

Promouvoir l'excellence

Nous devons faire davantage pour accroître la visibilité des activités de la diaspora africaine dans le contexte de l'intégration régionale et de la société de l'information en Afrique. Cela stimulerait le processus dans la mesure où le succès appelle le succès. Il faudrait peut-être envisager un système de remise annuelle de prix, pour faire connaître, célébrer et récompenser les efforts menés au niveau du continent, à l'échelle régionale, nationale et locale, par les divers acteurs de la société civile, les petites et moyennes entreprises, etc. Les critères d'identification des cas d'excellence incluraient la visibilité, la crédibilité, l'innovation, le leadership, l'influence, les avantages en chaîne, la durabilité et l'impact.

Diriger le programme à partir d'Afrique

Nous devons au sein de la diaspora africaine développer un réseau d'avocats qui amèneraient les donateurs à mieux rendre compte, à leurs sièges au Nord, de leurs activités avec les autorités et les agences africaines en ce qui concerne le développement du continent. L'objectif devrait être d'accroître la transparence et l'obligation redditionnelle pour s'assurer que l'Afrique est le véritable propriétaire et le gestionnaire de son développement, avec l'appui de l'étranger. Nous devrions commencer par une ou deux questions sur lesquelles la mobilisation de la diaspora est possible, tirer des leçons et partir de là.

Régler le problème de l'exode des compétences

Face au problème de l'exode des compétences, les autorités africaines doivent adopter la stratégie dite des "3 R ". Elles doivent d'abord chercher à Retenir les Africains qualifiés en appliquant les réformes institutionnelles nécessaires pour les valoriser, les rémunérer, les faire progresser et les stimuler. Deuxièmement, elles doivent chercher à Renverser la situation en encourageant les Africains de la diaspora qui le désirent et en sont capables à retourner dans un court terme, en ayant notamment recours aux programmes de l'Organisation internationale pour les migrations (OIM) etc. La troisième stratégie est la Récupération par laquelle les autorités africaines peuvent puiser dans les connaissances, les ressources, les contacts, les réseaux et les idées des Africains de la diaspora incapables ou non désireux de retourner définitivement en Afrique. Les gouvernements africains doivent continuer à lutter contre l'exode des compétences dans le cadre des négociations avec leurs partenaires de coopération au développement. Ils doivent plaider pour des plans spécifiques susceptibles de permettre à la diaspora africaine de participer plus activement et plus efficacement au développement du continent. L'harmonisation des politiques d'immigration et de développement, par exemple, est un élément essentiel qui devrait tendre vers l'assouplissement plutôt que vers une plus grande restriction du mouvement des personnes. En même temps, les gouvernements africains ne devraient pas être nationalistes à l'excès en ce qui concerne le problème de l'exode des compétences. L'intégration régionale signifie que tout Africain de la diaspora devrait être considéré comme un élément important de l'ensemble des ressources disponibles pour contribuer au développement de l'Afrique. Etant donné l'incapacité continue des ONG du Nord à collaborer stratégiquement et efficacement avec la diaspora africaine, les gouvernements africains devraient aussi poursuivre des négociations avec les ONG et les agences multilatérales pour explorer le meilleur moyen d'utiliser plus efficacement les ressources humaines de la diaspora africaine. Là où les ONG ont des raisons valables d'affecter un personnel expatrié en Afrique - ce qui devrait être très rare de nos jours - elles devraient prendre plus au sérieux leurs responsabilités et aider à renforcer les capacités africaines en cherchant à reconnecter la diaspora africaine vivant dans leurs pays au développement de l'Afrique.

Sensibilisation du gouvernement du Royaume uni

Le Gouvernement britannique, qui accorde une attention inhabituelle à l'Afrique, a déclaré avoir l'intention de présenter au Parlement un nouveau projet de loi sur le développement international. C'est pour les responsables africains une occasion de travailler de concert avec la diaspora africaine basée au Royaume-Uni pour faire avancer les principales préoccupation du continent en termes d'intégration régionale. Ces travaux législatifs semblent imminents et une collaboration entre la diaspora africaine et les responsables compétents basés en Afrique constituerait un bon départ pour la concrétisation des bonnes intentions. En outre, une activité initiale dans un domaine comme celui-ci serait source d'enseignements importants qui pourraient inspirer la collaboration future entre l'Afrique et la diaspora.

Création d'une force de volontaires

Conscientes de leurs responsabilités citoyennes, beaucoup d'entreprises mettent en place des plans qui permettent à leurs employés de travailler auprès des communautés défavorisées pour partager leurs compétences et leur savoir-faire. Beaucoup d'Africains de la diaspora travaillent dans divers domaines des TIC et nous devrions travailler avec les gouvernements du Nord (le Gouvernement britannique, par exemple) à un plan qui inciterait les entreprises à encourager leur personnel africain à se porter volontaire pour les projets et les affectations concernant l'intégration régionale de l'Afrique et la mise en œuvre de l'Initiative " Société de l'information en Afrique ".

Formation de la nouvelle génération des Africains de la diaspora

Comme nous l'ont montré les données sur les tendances démographiques au niveau de la diaspora africaine vivant au Royaume-Uni, les Africains de la diaspora qui ont vécu une expérience directe de l'Afrique disparaîtront progressivement et laisseront place à des générations sans expérience directe de l'Afrique, qui ne seront pas nécessairement aussi attachées à son développement. Il est crucial d'enseigner les questions de développement pour former, au sein des plus jeunes générations d'Africains de la diaspora, des citoyens du monde, à même de comprendre et de relever les défis du développement de l'Afrique. Avec le temps, ces nouvelles générations s'identifieront non pas à telle ou telle ville africaine, tel ou tel village africain ou tel ou tel groupe ethnique, mais avec le continent dans son ensemble, ce qui justifie l'importance cruciale des messages sur l'intégration régionale dans les programmes d'enseignement sur développement.

Puiser dans les ressources humaines des retraités de la diaspora

Les données démographiques du Royaume-Uni révèlent qu'une génération d'Africains de la diaspora ayant une bonne expérience est actuellement disponible ou part bientôt à la retraite et cherche à continuer une vie productive, probablement au service de l'Afrique. On peut dire que beaucoup de ces Africains de l'ancienne génération ont la mémoire et l'expérience des efforts antérieurs de promotion de l'intégration régionale et du panafricanisme. Pleins de sagesse, ils ont d'importantes leçons à transmettre aux générations plus jeunes. Il nous faut des plans qui puisent dans cette base de connaissances et qui mettent au point des programmes auxquels peuvent contribuer les retraités de la diaspora africaine.

Références

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Appendice A : Présentation de AFFORD

AFFORD est une petite association sans but lucratif, fondée en 1994 par un groupe d'Africains basés à Londres. Elle est née du constat que les décideurs clefs du développement, les praticiens et les donateurs négligeaient les efforts considérables et diversifiés fournis par les Africains pour contribuer au développement de l'Afrique et qu'ils ne cherchaient pas à les exploiter ou les maximiser. AFFORD a donc pour mission d'étendre et de renforcer la contribution des Africains de la diaspora au développement de l'Afrique.

L'organisation s'acquitte de sa mission à travers trois programmes de fond. Premièrement, l'appui aux OSC africaines basées au Royaume-Uni qui s'intéressent d'une manière ou d'une autre au développement de l'Afrique. Ensuite, la promotion de la contribution des Africains de la diaspora en vue de l'intégration de la pensée et de la pratique du développement - en Afrique et au Nord. Troisièmement, la promotion et la facilitation des relations entre la diaspora africaine et ses partenaires en Afrique. En ce qui concerne la première Etude sur les organisations africaines de Londres, réalisée par AFFORD, des recherches concrètes se poursuivent pour soutenir le travail et les interventions de l'organisation.

Ces dernières années, AFFORD a appuyé plus de 100 OSC africaines basées à Londres, leur prodiguant des conseils sur la recherche de financements; leur facilitant l'accès aux donateurs; les aidant pour les formalités de création; renforçant la visibilité des efforts de développement déployés par les Africains de la diaspora; mettant ces organisations en contact avec leurs homologues de la diaspora et d'Afrique. Par la recherche, le plaidoyer et la participation aux conférences, AFFORD a contribué à la réflexion de grandes institutions telles que le DFID ( voir le Livre blanc de 2000 sur la mondialisation et le développement, Globalisation and development : A diaspora dimension au site : http://www.afford-uk.org) ou la CEA (stratégies de conversion de l'exode des compétences en acquisition des compétences). Récemment, AFFORD s'est embarquée dans un programme pilote pour faciliter les liaisons et le partenariat entre les Ghanéens, les Nigérians et les Sierra-Léonais de la diaspora et leurs partenaires dans ces trois pays. Pour toutes ces activités, les technologies d'information et de communication (TIC) sont des outils important qui permettent d'améliorer la communication et la collaboration entre l'Afrique et la diaspora. Les TIC sont également d'importants domaines pour les politiques et les activités propres à faciliter le développement global de l'Afrique à l'ère de l'information.



3 - 8 mars 2002, Addis-Abeba, Ethiopie



© 2001 Commission Economique pour l'Afrique (CEA) Pour de plus amples informations, contacter l'administrateur du site Dernière mise à jour: February 11, 2002 10:44 .

  • LAURENT GBAGBO OU LA MORT ANNONCÉE DU TRIBALISME EN CÔTE D’IVOIRE

Laurent Gbagbo, une malédiction ivoirienne!

Laurent Gbagbo illustre à lui-seul l’impasse politique et sociale à laquelle est parvenue l’Afrique. Notre historien de formation préfère y végéter plutôt que d’en sortir. Ce qui s’avère le comble pour un dirigeant qui laisse de côté l’atout que constitue la science historienne. Il préfère s’abonner à la folie de ses caprices comme mode de gestion de l’État. Ce qui fait qu’il est incapable de lire ce grand livre palpitant de vie qu’est la Côte d’Ivoire, ruche active de tant de populations linguistiques qui n’aspirent qu’à vivre et prospérer dans la cohésion, la solidarité et la fierté d’appartenir à un ensemble national appelé à s’affirmer et à guider par des choix déterminants et irréversibles.

Pourtant, un homme exceptionnel a montré la voie: le sage Félix Houphouët Boigny qui trouva dans la paix, le travail et la prospérité partagée, les atouts-maîtres qui conjurent le mal par un dépassement et une projection du monde ivoirien dans un avenir différent du passé colonial. Ce mal, c’est le tribalisme combattu par le président Houphouët Boigny mais que Laurent Gbagbo a toujours chéri et exploité dans sa stratégie de conquête et de conservation du pouvoir. Tribalisme qu’il a su faire passer pour du nationalisme aux yeux des crédules, par l’hypocrisie et le mensonge. Comme si l’habit pouvait faire le moine très longtemps! Nationaliste, il ne l’a jamais été! Le masque tombe aujourd’hui, et le voici nu devant ceux qu’il a trompés depuis longtemps: les Ivoiriens qui se souviennent de leur passé récent sous la houlette du sage de Yamoussoukro dont il s’est ingénié à détricoter les acquis. Tous les Ivoiriens le disent et le crient: Gbagbo n’a rien fait et les seuls acquis en matière d’infrastructures sont ceux du Présidents Houphouët Boigny. Dix ans pour rien donc, uniquement consacrés à perpétrer le crime et la désolation. Tel est le triste bilan d’un menteur qui a fait du tribalisme l’arme d’une stratégie politique fondée par l’ignorance et la haine. Or le tribalisme est un virus colonialiste injecté dans les esprits pour créer les désordres sociaux et retarder l’Afrique. Il ne repose sur rien de tangible cependant que ses ravages sont immenses et caustiques.

Laurent Gbagbo, l’allié objectif du néo-colonialisme!

Sous les coups de boutoir de l’esclavage et de la colonisation, cette forme achevée de la Nation que furent dans la pratique l’Afrique des Empires, périclita et disparut de l’esprit des Africains. C’est cette forme de gouvernement que les Africains tentent de retrouver à travers le combat démocratique d’aujourd’hui, que les envahisseurs d’hier, aujourd’hui néocolonialistes, soutiennent avec modération mais toujours avec une arrière pensée. Car il ne faut pas se voiler la face, l’accès des Africains à une démocratie responsable et prospère risque de compromettre l’ordre des choses. On préfère une Afrique diminuée et mendiante à une Afrique émancipée et rayonnante qui jouisse librement de ses richesses. Pour y parvenir, les puissants cultivèrent scientifiquement l’esprit de division que fonde le principe du diviser pour régner. Et des peuples qui jadis vivaient dans une relative harmonie de bonne intelligence, on fit des monstres en quête de guerres et de sang. Le mythe du «Nègre anarchique» vit le jour avec son horrible corolaire: le tribalisme!

En réalité l’Afrique n’était plus au stade tribal quand les conquérants débarquèrent. Ils ne virent que des peuples à leur arrivée, des peuples formant des empires grands et petits et qui vivaient dans des espaces homogènes. L’Afrique y était parvenue par un englobement permanent qui faisait très peu appel à la guerre. Mais cet englobement pouvait être de deux ordres. Soit un englobement qui ressemblât davantage à un sursaut «national» de la gens devant une situation de grande panique qui ressoudait des sociétés du même ancêtre mais séparées au fur et à mesure d’une trop forte poussée démographique. Soit par instinct de domination, en soumettant les groupes les plus faibles pour former des entités plus grandes et plus fortes. Ce sont ces deux mouvements de peuplement qui expliquent les fortes disparités rencontrées dans la composition des différentes populations linguistiques des pays africains. Il faut préciser que le nombre élevé de telle ou telle composante de la population nationale n’indique pas que ce grand nombre proviendrait d’un don particulier de la nature dans la procréation. Il peut s’agir tout simplement d’un englobement ancien de peuples qui n’avaient rien de commun au départ. Le plus fort a imposé sa loi et converti les autres à sa langue et à sa culture.

Ce bel ordonnancement prit fin avec l’invasion des conquérants. Le découpage sauvage et anarchique de l’Afrique actuelle n’a rien de commun avec celle des empires. Et la répartition des populations de part et d’autre des frontières l’indique clairement. Tout cela est rendu difficile et irrespirable du fait qu’on nous oblige à vivre ainsi au nom de l’intangibilité des frontières. Mais ce principe n’est pas totalement mauvais car sa transgression ne ferait que raviver le problème fondamental: celui de l’incapacité de renouer avec l’harmonie perdue de nos empires d’autrefois.

Or la nouvelle harmonie à laquelle nous aspirons ne peut plus se fonder sur les vieux socles que furent nos peuples antiques et dont il ne reste que des lambeaux que s’ingénient à lacérer davantage les frontières. Que faire?

Les langues ne renvoient pas à une existence de tribus et d’ethnies au sens propre du terme. Car pour qu’il y ait tribus ou ethnies, il faut une terre exclusivement dévolue à la liberté d’existence et d’être. Donnons à cette conjonction de la terre et de la langue, le terme de tribalité. Mais la tribalité n’existe donc plus du fait que sur le même sol national cohabitent des populations linguistiques différentes qui ne sont plus propriétaires de la terre devenue propriété d’une entité nouvelle. Cette nouvelle entité territoriale qui a vu le jour s’appelle l’État postcolonial qu’aucune population linguistique ne peut revendiquer comme sa propriété. Or l’État postcolonial est appelé à devenir une Nation. C’est le nouveau défi que ne comprennent pas les tribalistes de l’acabit de Laurent Gbagbo.

Adieu à Laurent Gbagbo et au tribalisme en Côte d’ivoire!

Monsieur n'a jamais compris que l’esclavage et la colonisation ont mis fin à la tribalité et que son problème demeure son attachement morbide et imbécile, non pas à la tribalité détruite par le surgissement du blanc, mais à des fantasmes abondamment nourris par le tribalisme avide de haine de l’autre et de génocides. Car le tribalisme n'est pas le nationalisme né du désir légitime de liberté face à l’occupation coloniale, mais bien une chimère de mort nostalgique d'un certain passé inconnu ou mal assimilé. C’est souvent une conduite atavique surgie du fond de l’inconscient de quelques intellectuels désaxés ou déséquilibrés profondément par leur contact avec l’Occident. C’est alors le retour à des comportements étonnants ou choquants. Au nom d’une identité qu’ils sont incapables de formuler. C’est une certaine forme de folie. Laurent Gbagbo est un parangon significatif du tribalisme fou.

Le tribaliste est le produit achevé du colonialisme et du néocolonialisme, et un allié objectif des exploiteurs occidentaux qui l’utilisent pour casser et piller le pays. Il ne construit rien, il n’agrandit rien et à sa disparition le pays se retrouve souvent divisé en deux. Ce que Laurent Gbagbo est en train de faire par la violence et l’assassinat gratuit. C’est un désaxé résolument tourné vers un passé révolu qu’il ne connaît même pas!

En effet, autrefois la seule force pouvait suffire à recomposer un nouvel empire. Aujourd’hui ce n’est plus possible, ni moralement ni militairement. La seule issue reste le devoir de créer la nouvelle harmonie à partir des données nouvelles que représentent l’État et les populations linguistiques qui le composent. C’est à cela qu’appelle le nouveau mythe de l’unité nationale ou le nationalisme. C’est seulement après la réalisation harmonieuse de cette entité nouvelle que les États pourront aspirer à une nouvelle entité plus grande appelée États Unis d’Afrique Mais le chemin est long et d’ici là il faut passer par des formes concrètes comme l’UMOA, BECEAO, UA, CEDEAO, etc., des entités politiques et économiques qui ne peuvent être que l’aboutissement d’un élément de base: l’État actuel qui doit être pacifié par le jeu démocratique et ne plus compter que sur la force morale et productive de chaque citoyen-ne. Voilà la vérité que le pauvre Laurent Gbagbo ne perçoit, dépourvu de culture conceptualisée et conceptualiste. Dépourvu surtout de la vision, de la theoria, lui l’ancien séminariste mari officiel de deux femmes. Et ami du cardinal Agré!

C’est pourquoi il déchire et incendie les belles pages de ce beau puzzle que composent les populations linguistiques de la Côte d’Ivoire! Il voudrait y parvenir par la force bété et, comme autrefois en égorgeant et en tuant à tour de bras, procéder à la création d’un nouvel empire gbagbo dans un sens qui n’est pas celui de l’histoire africaine qui, elle, avance toujours vers un plus grand englobement harmonieux par le dialogue et la paix. La voie houphouétiste par excellence!

Sa seule existence est un cauchemar pour des millions d’Ivoiriens. Sa disparition de la scène, au propre comme au figuré, signifie clairement la fin du tribalisme en Côte d’Ivoire qui renouera alors avec l’héritage du vieux Sage de Yamoussoukro. Le Sage ivoirien n’a pas seulement indiqué la direction mais tracé le sillon en nommant son premier ministre en la personne de Alassane Ouattara en qui le Peuple ivoirien a confié sa destiné le 28 novembre 2010: démocratiquement. Il revient au Président Ouattara de renouer avec l’héritage houphouétiste et de hisser très haut le flambeau reçu du Vieux./.

Région parisienne, France Par Agon Picdagou

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dimanche 10 janvier 9999

_____«Chape de plomb» de Bouteflika en Algérie, «refus de toute voix dissidente» dans la Tunisie de Ben Ali... «Ajoutez à l'absence de liberté la hausse des prix et le népotisme, et vous obtenez des émeutes», l'immolation d'un jeune, «Un geste désesperé »

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Le désespoir de la jeunesse enflamme le maghreb il y a 7 heures 34 min

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Alors que les autorités tunisiennes évoquaient quatorze morts dimanche soir, l'opposition en comptait au moins vingt en vingt-quatre heures à la mi-journée. Et les émeutes se poursuivent aussi en Algérie. Depuis mercredi, le pays se soulève contre la coût de la vie et le chômage. Cinq personnes y ont déjà trouvé la mort depuis le début des émeutes, le 5 janvier.

«Les jeunes expriment leur ras-le-bol»

En Tunisie, tout a commencé à Sidi Bouzid avec l'immolation d'un jeune, le 17décembre. «Un geste qui témoigne du désespoir de la jeunesse, explique la Tunisienne Khadija Chérif, secrétaire générale de la Fédération internationale des ligues des droits de l'homme. Exclus du développement, les jeunes expriment leur ras-le-bol.» Un désespoir commun qui a créé une solidarité dans tout le pays. Et même au-delà. Car les jeunes Algériens ont suivi, provoquant les premières émeutes de masse depuis 1988.

«Chape de plomb» de Bouteflika en Algérie, «refus de toute voix dissidente» dans la Tunisie de Ben Ali... «Ajoutez à l'absence de liberté la hausse des prix et le népotisme, et vous obtenez des émeutes», analyse Selma Belaala, chercheuse à l'université de Warwick au Royaume-Uni. Une différence pourtant.

En Tunisie, «malgré la peur, la population exprime le souhait de voir partir Ben Ali», souligne Radhia Nasraoui, avocate et militante des droits de l'homme. D'où la répression du pouvoir tunisien, contre une gestion plus politique en Algérie, avec notamment, dimanche, des annonces de suppression de taxes.

Quant à l'issue possible, Selma Belaala n'en voit pas. «Les régimes sont installés et ont fait le vide. Il n'y a pas d'alternative.» Khadija Chérif, elle, espère encore qu'«un vrai débat» puisse changer les choses en Tunisie, «car l'avenir du pays se joue aujourd'hui».

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_____Le déni de grossesse "Africain" : se définit comme le fait pour une femme enceinte de ne pas avoir conscience de l’être. Faute de cette conscience, le ventre ne grossit pas et la grossesse passe généralement inaperçue.. l'ombre d'Al Qaïda

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L'Afrique, nouvelle terre d'élection d'Al Qaïda?

Challenges.fr — par Mark John et John Irish DAKAR/PARIS (Reuters) - L'enlèvement de deux Français en plein Niamey marque une escalade de la menace que font peser les groupes liés à Al Qaïda en Afrique, lesquels se contentaient jusqu'à présent d'opérer dans les zones...

  • http://lci.tf1.fr/monde/afrique/2011-01/niger-l-ombre-d-al-qaida-6217510.html
  • http://www.wikio.fr/international/terrorisme/al-qaida

Niger : l'ombre d'Al Qaïda Par TF1 News, le 09 janvier 2011 à 11h23, mis à jour le 09 janvier 2011 à 11:25

Dossier : Otages français

Même si l'enlèvement tragique de deux Français au Niger n'a pas été signé, l'opération rappelle beaucoup les rapts de cinq Français à Arlit, revendiqués par l'Aqmi. Mais une telle opération, si loin des zones où Al Qaïda se réfugie, serait une première inquiétante.

(0)Article suivant dans Afrique : Paris recommande "la plus extrême prudence" au Sahel Niamey : le bar "Le Toulousain", où ont été enlevés deux Français, qui devaient ensuite être tués © AFP / B. HamaAprès le dénouement dramatique de la prise d'otages de Niamey, la sécurité des Français au Sahel et d'éventuelles évacuations risquent de se reposer avec encore plus d'acuité, à une échelle plus large. Le Quai d'Orsay se contente pour le moment d'exhorter les Français présents dans la région à "la plus extrême prudence". Et les ravisseurs n'ont toujours pas de nom. Pas de revendication, pas de groupe désigné... pourtant, c'est bien l'ombre de l'Aqmi, Al Qaïda au Maghreb islamique, qui plane sur cet enlèvement.

Otages tués au Niger : deux amis originaires du Nord Alain Juppé, invité du 20 heures

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Les deux jeunes Français tués samedi après avoir été enlevés vendredi soir au Niger, étaient originaires de la même ville du Nord, Linselles, dans l'agglomération lilloise.

Publié le 08/01/2011 Alain Juppé, invité du 20 heures

Le ministre de la Défense Alain Juppé sera l'invité de Claire Chazal en direct dimanche soir sur TF1. Il devrait notamment revenir sur la mort des deux jeunes otages français tués au Niger.

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Selon la chaîne de télévision Al Arabia, Al-Qaïda au Maghreb islamique demanderait l'abolition de la loi interdisant la burqa en Frane, la libération d'activistes et sept millions d'euros en échange de la libération des sept otages enlevés au Niger.

Publié le 11/10/2010

  • Et si Aqmi exigeait le départ d'Areva du Niger ?

<b> Analyse -</b> Que se passerait-il si la branche maghrébine d'Al-Qaïda demandait au groupe français de quitter le Niger, sous peine de nouvelles actions ? Les réponses de Liseron Boudoul, qui revient de Niamey.

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  • Niger: les deux otages français sont morts

Les deux Français enlevés vendredi soir à Niamey, la capitale, ont été tués, ont indiqué samedi des sources nigériennes. Paris confirme et précise que les otages sont morts lors d'une opération de l'armée nigérienne coordonnée par la France.

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Nicolas Sarkozy a qualifié dimanche en Guadeloupe lors des voeux à la France d'Outre-mer "l'assassinat" des deux Français enlevés au Niger d'"acte barbare perpétré par des barbares" et assuré que la France n'accepterait "jamais le diktat des terroristes".

Publié le 09/01/2011

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Deux Français enlevés vendredi soir dans un restaurant de Niamey ont été tués au Niger, ont indiqué samedi des sources sécuritaires nigériennes.

Publié le 08/01/2011 Otages au Niger : que s'est-il passé ? La confusion régnait samedi soir sur les circonstances qui auraient amené à la mort des deux otages français, enlevés vendredi à Niamey, au Niger. Voici les dernières informations.

Publié le 08/01/2011

  • Le Sahel, zone d'influence de l'aqmi

La mort des 2 otages pose la question de la sécurité dans cette région du Sahel. Tout comme pour les 5 autres otages français encore détenus, c'est Al Qaïda au Maghreb islamique qui est suspecté.

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  • Deux Français enlevés au Niger

Les autorités du Niger ont placé la police des frontières en état d'alerte avancée samedi pour tenter de retrouver les deux Occidentaux, probablement français, qui ont été enlevés vendredi soir dans un bar de Niamey.

Publié le 08/01/2011 Plus d'infos

Le soutien de Paris aux pays de la région dans la lutte contre Aqmi a contribué à faire des intérêts français une de ses cibles. Après la participation en juillet de militaires français à une opération de l'armée mauritanienne contre Aqmi, l'organisation avait annoncé l'exécution d'un otage français, l'humanitaire Michel Germaneau. Un message d'Aqmi le 19 novembre avait été particulièrement inquiétant : il demandait à Paris de négocier leur libération directement avec Oussama ben Laden, et exigeait de la France qu'elle retire ses troupes d'Afghanistan. Nicolas Sarkozy avait répliqué que Paris ne se laisserait "dicter sa politique par personne".

Un lien avec l'affaire d'Arlit ?

Selon Pierre Boilley, directeur du Centre d'étude des mondes africains, le rapt de Niamey est inquiétant même si le fait que les ravisseurs parlent arabe et qu'ils aient la peau claire ne prouve pas qu'ils ne soient pas nigériens.

Il juge assez probable une opération classique de revente d'otages par un groupe nigérien à Aqmi, sans exclure complètement qu'un commando d'Aqmi ait parcouru à bord de 4X4 1500 km pour venir jusqu'à Niamey. "Ceux qui soutiennent al-Qaïda, c'est essentiellement pour des raisons économiques", dit-il, remarquant que "ce sont rarement les gens d'Al-Qaïda qui viennent chercher les otages".

Selon lui, l'organisation islamiste n'a pas de soutiens importants parmi les Nigériens, notamment parmi les touaregs, et "le Niger a intérêt à ce qu'Aqmi disparaisse", car sa présence met en danger l'exploitation de l'uranium. Aussi, "que l'opération ait été destinée à Aqmi ou commanditée par elle, ce serait une première", selon Pierre Boilley. "Si la France donne l'impression de faire la sourde oreille aux revendications d'Aqmi dans les tractations sur les otages d'Arlit, il se peut l'Aqmi ait cherché à frapper un grand coup".

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