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vendredi 24 décembre 9999

_____L’Afrique , notre avenir... "Une situation singulière" et Le Zimbabwe « s'en sortira sans aide occidentale »

L’Afrique , notre avenir le 16 novembre 2009 23H28 | par Jacques Attali

Selon les statisticiens l’Afrique vient de franchir le seuil du milliard d’habitants : elle abrite désormais un humain sur sept, alors qu’elle n’en accueillait qu’un sur dix en 1950, et en accueillera un sur cinq en 2050, soit 2 milliards d’habitants.

Ce n’est qu’un des signes qui fait de l’Afrique, principal lieu de misère, une source de croissance et la matrice de notre avenir.

L’Afrique est d’abord le lieu de toutes les souffrances:

..une durée de vie moyenne inférieure de 15 ans à la moyenne planétaire ; une mortalité infantile vingt fois plus élevée qu’en Europe de l’Ouest ; un taux d’exode rural le plus élevé du monde ; avec la multiplication des bidonvilles et le délabrement des infrastructures ; la moitié de son territoire, qui abrite la moitié de la population, est désertique ; une famine permanent et un manque d’eau, qui s’aggraveront avec le changement climatique, entraineront d’immenses mouvements de populations.

  • L’Afrique est aussi le poumon écologique de la planète :

..De ses forêts, qui couvrent environ 22 % du continent (et même 45 % de l’Afrique centrale, en particulier avec le bassin du Congo, deuxième forêt du monde) dépend la maitrise des gaz à effet de serre, la protection de la diversité, la stabilisation des sols, la qualité et l’écoulement des eaux.

  • L’Afrique est aussi un des moteurs de la croissance mondiale,

..avec une croissance supérieure, depuis des années, à la moyenne mondiale, et encore supérieure à 2% en 2009 contre 5% auparavant, ce qui n’est pas assez pour empêcher des millions d’Africains de retomber dans la pauvreté extrême.

  • L’Afrique est enfin le lieu de toutes les promesses :

..c’est le continent le plus riche en matières premières (pétrole, minerais, produits agricoles) ; c’est le continent le plus jeune (43 % des Africains subsahariens ont moins de 15 ans ; dans le seul Nigéria, il nait chaque année plus d’enfants que dans l’ensemble de l’Union Européenne ; l’Uganda est le pays le plus jeune du monde, avec 56% de moins de 15 ans) ; une scolarisation en pleine explosion ; une natalité de mieux en mieux maitrisée, en particulier au Maroc, en Tunisie, au Sénégal, en Afrique du Sud et au Kenya ; une espérance de vie en hausse de 16 ans depuis 1950 ; des marchés financiers qui s’ouvrent partout ; des universités qui progressent ; des connections internet bouleversées par la mise en service de deux câbles sous-marins ; des changements de mentalités incroyablement rapides; une gouvernance qui s’améliore, malgré le maintien, trop souvent, du népotisme et de la corruption.

Aussi, nous, en Europe et en particulier en France, devrions considérer l’Afrique comme un formidable potentiel de croissance, bien plus proche de nous que tous les autres géants qui nous fascinent. Si l’on sait y organiser des partenariats pour y développer sur place les ressources naturelles, au lieu de les abandonner aux Chinois et aux Américains, une fois de plus ligués contre les Européens. Si l’on sait compléter la zone Franc par d’autres institutions de coopération, stabilisant les cours des matières premières et valorisant le formidable potentiel créatif du continent. Si l’on sait ainsi, au-delà de tout altruisme, dont il ne faut rien attendre, préparer notre avenir, en nous accrochant à cette formidable locomotive.

j@attali.com

http://blogs.lexpress.fr/attali/2009/11/16/lafrique_notre_avenir/

Publié le 09 juillet 2010 à 09h14 | Mis à jour le 09 juillet 2010 à 09h23

  • Le Zimbabwe «s'en sortira sans aide occidentale»

Agence France-Presse Harare




Le président Robert Mugabe a déclaré que le Zimbabwe se redresserait par lui-même, sans aide occidentale, alors que l'Union européenne (UE) a dit attendre des «progrès concrets» concernant le respect des droits de l'homme pour alléger les sanctions qui pèsent sur le pays.

«Le Zimbabwe se redressera par son intelligence et ses ressources», a assuré Robert Mugabe devant le comité central de son parti, le ZANU-PF, a rapporté vendredi le journal d'État Herald.

«Le Zimbabwe ne sera sauvé par aucun pays, aucune organisation, surtout pas occidentale. Laissons cela à nos partenaires au sein du gouvernement d'union, mais nous n'allons pas gaspiller nos efforts en initiatives inutiles», a-t-il dit.

Ces déclarations interviennent une semaine après une rencontre à Bruxelles entre une délégation du Zimbabwe et des représentants de l'Union européenne sur les sanctions imposées depuis 2002 à ce pays d'Afrique australe par l'UE en raison de violations répétées des libertés fondamentales par le régime de Robert Mugabe.

La chef de la diplomatie de l'UE, Catherine Ashton, a souligné le 2 juillet que «l'UE appréciait certains progrès réalisés» depuis la formation d'un gouvernement d'union en février 2009 et répondrait «de manière flexible et positive à tout signal clair de progrès concrets supplémentaires» en matière de réformes politiques.

M. Mugabe a également accusé les pays occidentaux de faire pression sur le processus de Kimberley pour interdire au Zimbabwe d'exporter ses diamants.

Le Processus de Kimberley vise à empêcher la commercialisation des «diamants du sang», provenant de pays où ils servent à l'achat d'armes et où les droits de l'homme sont violés.

La dernière réunion du Processus le 24 juin à Tel Aviv n'a pas réussi à dégager un consensus sur la levée de l'interdiction des ventes de diamants du Zimbabwe.

Le processus de Kimberley «n'est pas une organisation des droits de l'homme. Mais c'est ce que les États-Unis, le Canada et l'Australie voudraient qu'il soit, quand il s'agit du Zimbabwe», a déclaré M. Mugabe.

«Nous avons été mis sur la sellette parce que ces mêmes pays nous ont imposé des sanctions illégales et poussé à la ruine», a-t-il accusé.

http://www.cyberpresse.ca/international/afrique/201007/09/01-4296867-le-zimbabwe-sen-sortira-sans-aide-occidentale.php

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____Pourquoi l'Afrique ne s'en sortira pas cette génération-ci « Ils veulent faire de nous des clones résignés de la pensée unique et nous sommes devenus des clowns agités de la pensée multiple»... «Nos ennemis de demain seront pire que ceux d’aujourd'hui

..." CELUI QUI NE SAIT PAS EST UN IGNORANT, CELUI QUI SAIT ET NE DIT RIEN EST UN CRIMINEL " B.Brecht

« le nombre de jours qu’il me restent à vivre, dieu seul les sait. Mais quel que soit le point de la course où le terme m’atteindra, je partirai avec la certitude chevillée que, quel que soient les obstacles que l’histoire lui apportera, c’est dans le sens de sa libération que mon peuple ira. L’ignorance, les préjugés, l’inculture peuvent un instant entraver ce libre mouvement, mais il est sûr que le jour inévitablement viendra où l’on distinguera la vérité des ses faux-semblants, tout le reste est littérature. » M.Mammeri. dans un entretien accordé à Tahar Djaout.

« J’ai un but à atteindre : Empêcher la culture berbère de périr. Elle est aujourd’hui menacée en Afrique du Nord. Pourtant, elle ne porte ombrage à personne, mais on prétend qu’elle relève du particularisme régional alors que c’est toute l’Afrique blanche qui est Berbère en profondeur. Il s’agit d’un patrimoine cinq fois millénaire, un patrimoine de beauté et de spiritualité qui devrait faire l’orgueil de tous les pays maghrébins et au delà de l’humanité toute entière. » Marguerit- Taos Amrouche.

« …Ils trichent avec eux-mêmes et ils trichent avec l’histoire, les dirigeant des pays maghrébins qui tentent d’éliminer la culture berbère. » Marguerit- Taos Amrouche.

« Nos bijoux sont exposés, nos poèmes, contes et chansons sonr répertoriés partout ailleurs à l'étranger, à quoi serviront alors vos lois et vos discours » Marguerit- Taos Amrouche.

«Je conçois et je raisonne en français, mais je ne peux que pleurer en berbère » Jean Amrouche.

« La France est l'Esprit de mon âme, l'Algérie l'âme de mon esprtit.» Jean Amrouche.

« A vous les jeunes, donnez-moi votre parole d’honneur, je vous ai laissé pour continuer comme si j’existais éternellement. » Slimane Azem.

« La langue Amazigh est un chef-d’oeuvre linguistique qu’il faut à tout prix développer et promouvoir. » Mohamed Haroun.

«..L'humour permet, à travers de petites histoires, de raconter la grande Histoire et de toucher des points que l'on ne peut atteindre par d'autres voies...» Fellag

«... Ils veulent faire de nous des clones résignés de la pensée unique et nous sommes devenus des clowns agités de la pensée multiple».Fellag Mohamed

« Nous avons défriché le terrain, à présent, c’est aux autres de continuer. » M Mammeri

« L'histoire a toujours été écrite par les vainqueurs. C'est une histoire officielle et l'histoire officielle a fait de nous les REBELLES du Maghreb, ses maudits, mais les amants vrais d'une liberté vraie, pas celle que les puissants d'un jour nous tendaient à bout de perche ou bien qu'ils nous tronquaient et nous livraient en lambeaux dérisoires. Oui je disais que le véritable amant de la liberté c'était le rebelle puisqu'il va jusqu'à y miser sa vie. » M Mammeri dans un entretien accordé à Tassadit Yacine " aux origine de la quête".

  • « Pourvu qu'il ne vous arrive point tel le sort de cet arbre lequel, une fois coupé de ses racines, ses feuilles vertes se faneront et dépériront. Un arbre sans racine est condamné à mourir.» M Mammeri
  • « Fait en sorte de ne pas devenir des éternels pauvres de la connaissance la plus large d'esprit et de coeur.» M Mammeri
  • « La CONNAISSANCE est un flambeau. Un flambeau de lumière. Laisse-donc le flambeau illuminer et dissiper l'obscurité. Intemporelle , la connaissance l'est d'autant que la lumière. Elle est lumière même. La connaissance

est un flambeau brûlant. Laisse-donc le flambeau brûler ce qui est pourri, désuet, suranné, ce qui n'a plus de racine. Ouvre-lui la voie, la meilleur; Laisse-la passer vers l'avenir; Fait en sorte qu'elle ne reste pas figée, tournant en rond, errant sans but, sans fin, en vase clos. La CONNAISSANCE est un flambeau: chaque génération se le transmet pour qu'il demeure constamment haut, jamais ne tombe ou ne s'éteigne ou reste immobile, isolant dans un coin.» M Mammeri In " * : Lettre à Mohand Azwaw sur la connaissance".

« La vie d'un écrivain importe peu finalement. C'est son oeuvre qui est importante. L'essentiel, c'est non l'événement, mais l'aventure intérieure.» M Mammeri .

« Il était temps de happer les dernières voix avant que la mort ne les happe. Tant qu’encore s’entendait le verbe qui, depuis plus loin que Syphax, résonnait sur la terre de mes pères, il fallait se hâter de la fixer quelques part où il put survive, même de cette vie demi-morte d’un texte couché sur des feuillets morts d’un livre. » M.Mammeri.

«Je suis né dans un canton écarté de la haute montagne, d'une vieille race qui depuis des millénaire na cessé d'être là, avec les uns, ou la neige, à travers les stables gara mantes ou les vieilles cités du tell, à déroulé saga, ses épreuves et les fastes, qui à contribué dans l'histoire de diverses façons à rendre plus humaine la vie des hommes». M.Mammeri.

«Je ne sais pas si la langue de mes rêves tient à des vocables ou à des flexions. J'imagine que la langue réelle adhère aux images, que je rêve en berbère la haute montagne ou en français le monde extérieur, celui pour lequel il faut plutôt des outils éprouvés que les envoûtements de la musique. Je suis sûr que c'est en berbère que je fabule.» M.Mammeri.

« Le peuple, dirent les magiciens, ne vit pas seulement de pain, il aime les fables, il faut en inventer pour lui » M.Mammeri. ( La Traversée).

« la culture Algérienne, et une fois de plus elle s’en sortira. Elle s’en sortira car Toute tentative d’imposer quelque chose à notre peuple est vaine et relève de l’irresponsabilité » M.Mammeri.

« L'arabe classique est le seul reconnu, le seul officiel mais n'est la langue d'aucun Algérien. Les Langues populaires, l'arabe populaire et l'amazigh sont les langues de tous les Algériens, mais n'ont pas de statut reconnu officiellement. Elle existent réellement sans exister légalement, au sens d'exister constitutionnellement» M.Mammeri.

« Vous me faites le chantre de la culture berbère et c’est vrai. Cette culture est la mienne, elle est aussi la vôtre. Elle est une des composantes de la culture Algérienne, elle contribue à l’enrichir, à la diversifier, et à ce titre je tiens (comme vous devriez le faire avec moi) non seulement à la maintenir mais à la développer. » Réponse de M.Mammeri au journal « El Moudjahid daté de 20 mars 1980 a propos de l’article paru dans ces colonnes intitulé Les Donneurs de Leçons.

« Je suis le déterreur de l'histoire insoumise et de ses squellettes irascibles enfouis sous vos temples dévastateurs. Je ne cautionnerai jamais vos cieux incléments et rétrécis où l'anathème tient lieu de credo. Je ne cautionnerai jamais la peur mitonnée par vos prêtres-bandis des grands chemins qui ont usurpé les auréoles d'anges. Je me tiendrai hors de portée de votre bénédiction qui tue, vous pour qui l'horizon est une porte clouée, vous dont les regards éteignent les foyers d'espoir, transforment chaque arbre en cerueil.» Tahar Djaout.

« Je ne suis ni pour l’Algérie française, ni pour l’Algérie Arabe. Je m’insurge contre les deux. » Kateb Yacine.

  • « l'Arabisation, c'est imposer à un peuple une langue qui n'est pas la sienne et donc combattre la sienne, la tuer. » Kateb Yacine.
  • « ...Il ne suffit pas de naitre en Algérie pour être un Algérien, surtout si on à travaillé contre son histoire, contre ceux qui l'étaient vraiment . » Kateb Yacine. ( *: dans un entretien accordé à Tassadit Yacine en octobre 1987 à BenAknoun au domicile de Kateb)

« Quand un peuple se lève pour défendre sa langue, on peut vraiment parler de révolution culturelle » Kateb Yacine.

« L’Algérie offre le spectacle d’un pays subjugué par la mythologie de la nation arabe, car c’est au nom de l’arabisation qu’on réprime le Tamazight Notre langue national, depuis des millénaire, est à peine tolérée, pour ne pas dire proscrite dans l’Algérie indépendante ! »Kateb Yacine.

« On croirait aujourd'hui, en Algérie et dans le monde, que les Algériens parlent l'arabe. Moi-même, je le croyais, jusqu'au jour où je me suis perdu en Kabylie . Pour retrouver mon chemin, je me suis adressé à un paysan sur la route . Je lui ai parlé en arabe. Il m'a répondu en Tamazight. Impossible de se comprendre. Ce dialogue de sourds m'a donné à réfléchir. Je me suis demandé si le paysan kabyle aurait dû parler arabe, ou si, au contraire, j'aurais dû parler Tamazight ...»Kateb Yacine In ( Les ancêtres redoublent de férocité).

« Une chose est certaine: Fidélité intransigeante à mes idées, je mourrai de façon exemplaire, en irréductible et en éternel rebelle comme je l'ai toujours vécu.» Disait MATOUB Lounes.

« Je crois que si les jeunes m'aimait autant, c'est parce qu'il savent que non seulement je comprends leurs difficultés, mais que je les ai vécues aussi. » L.Matoub.

«On me donne un passeport algérien, mais il me faut une autorisation pour parler ma langue» Idir ( Chanteur kabyle).

«Chanter en kabyle est en soi un acte de militantisme, une façon d’exprimer ma révolte, de dire que j’existe. Si j’avais fait un autre métier, j’aurais trouvé d’autres moyens pour exprimer les mêmes revendications» Idir ( Chanteur kabyle).

« Je termine en disant à l’Algérien qui me taxera de ‘ Berbérisme’ : ‘ Oui je suis Berbère’. Je pourrais alors l’apostropher à mon tour : ‘ Mais tu es Arabe, cet Arabe chassé d’Espagne mais qui néanmoins, réussit à s’incruster chez nous’. Il n’ y a qu’une façon, une seule de ne pas nous jeter ces épithètes avec visage : SOYONS SEULEMENT DES ALGERIENS. » Bessaoud Mohand Aarav.

«Si j'étais jeune, je prendrais le maquis après l'assassinat de MATOUB.C'est dire que cela m'a révolté profondément. Car à travers MATOUB c'est toute la Kabylie qui était visée».Bessaoud Mohand Aarav.

« Nos ennemis de demain seront pire que ceux d’aujourd’hui » Mouloud Feraoun.

«… Il n’y aura pas d’arrangement du tout car ce ne serait rien d’autre qu’une trahison. Personne ne veut trahir les morts et les morts sont tombés pour la liberté. Autant mourir comme eux, que de se dire, plus tard, ils sont morts en vain. » Mouloud Feraoun disait a propos de la guerre de libération.

« Un Peuple sans ARTISTES est un peuple MORT » M 'hamed Issiakhem.

« Un Peuple sans MEMOIRE et TRADITIONS est un peuple MORT » Ibn Khaldoun.

«... les berbères ont toujours été un peuple puissant, redoutable, brave et nombreux; un vrai peuple comme tant d'autre dans ce monde, tel que les grecs, les persans et les romains» Ibn Khaldoun (histoire des berbères).

« Yal Agdud wensâra Ansayen Dusmekti, d Agdud Immuten » Ibn Khaldoun.

« Les berbères racontent un tel nombre d’histoires que, si on prenait la peine de les mettre par écris, on en remplirait des volumes. »Ibn Khaldoun.

«Citons encore les vertus qui font honneur à l’homme et qui sont devenues, pour les berbères, une seconde nature : leur empressement à s’acquérir des qualités louables, la noblesse, les actions pour lesquelles ils méritent les louanges de l’univers : Bravoure et promptitude à défendre leurs hôtes et clients, fidélité aux promesses, aux engagements et aux traités , patience dans l’adversité et les grandes afflictions, douceur de caractère, indulgence pour les défauts d’autrui, bonté pour les malheureux …haine de l’ oppression, valeur déployée contre les empires qui les menaçaient, dévouement à la cause de dieu et de la religion. Voilà pour les berbères une foule de titres qui pourraient servir d’exemples aux nations à venir. » Ibn Khaldoun. In ‘ Histoire des berbères’ .

«Voyez tous les pays conquis par les Arabes: la civilisation en a disparu, ainsi que la population; le sol paraît avoir changé de nature.»Ibn Khaldoun. (Prolégomènes).

« Lemmer Ssneγ taddart n leqbayel zik, γef asmi snekkreγ anadi-w tili aţas ara d-rnuγ n tmussniwin .» Karl Marx.

« Si j’avais connu l’existence des petites républiques kabyles, j’aurais changé un bon volume de mon capital » Karl Marx.

« C'est le génie des berbères, qui le premier, a formulé l'axiome du nationalisme ( Saint Augustin) et revendiqué la liberté de la pensée (Averroès).» Eugène Guernier ( Opuscule cité).

« Les berbères ont donné à Rome des empereurs qui furent parmi les meilleurs, de grands généraux. Ils ont eu des hommes remarquables: Massinissa, Apulée, Juba II, Saint Augustin,...» Général BREMOND ( Berbères et Arabes).

« La meilleure manière d’appartenir à un peuple, c’est d’écrire dans sa langue » Heinrich Böll, écrivain allemand (1917-1985).Traduction : « The best way to belong to a people, is to write in its language.»

«Je peut vous dire que, pour moi, la KABYLIE a été quelque chose d'immense qui est restée profondément dans ma vie. Il n'ya pas de jours que je n'y pense pas. Je pense que je voudrais être un AMUSNAW d'honneur.» Pierre Bourdieu.B.Brecht

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vendredi 17 décembre 9999

_____Les ennemis de l'Afrique? Ce sont les Africains J'insiste, je persiste... L'uranium à ciel ouvert. Mais les cerveaux se sont enfuis à tombeau ouvert. Les imbéciles.. UNE MALÉDICTION "divine" QUI TOMBE DU CIEL et une danse macabre

Les Imbéciles Lyrics



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Les Imbéciles" Ringtone to your Cell

Tout change, tout évolue


  • Seuls les imbéciles, ne changent pas
  • Tout change, tout évolue
  • Seuls les imbéciles, ne changent pas

J'insiste, je persiste, et je signe

  • Les ennemis de l'Afrique
  • Ce sont les Africains
  • J'insiste, je persiste, et je signe
  • Les ennemis de l'Afrique
  • Ce sont les Africains

Les imbéciles ont décidé

  • d'entrer dans l'histoire à reculons
  • Les peuples baillonnés
  • écoutent la "synfolie" des canons

Les Algériens égorgent les Algériens

Les Somaliens fusillent les Somaliens

  • Les Rwandais génocident Rwandais
  • Les Burundais découpent les Burundais
  • Les Congolais massacrent les Congolais
  • Les Angolais brûlent l'Angola

(PAUSE)

On a le diamant à ciel ouvert

  • On a l'or à ciel ouvert
  • La bauxite à ciel ouvert
  • L'uranium à ciel ouvert
  • Mais les cerveaux se sont enfuis
  • à tombeau ouvert

(PAUSE)

Tout change, tout évolue

  • Seuls les imbéciles, ne changent pas
  • Tout change, tout évolue
  • Seuls les imbéciles, ne changent pas
  • On a le fer à gogo
  • Le pétrole à gogo
  • Le cobalt à gogo
  • Le nickel à gogo

J'insiste, je persiste, et je signe

  • Les ennemis de l'Afrique
  • Ce sont les Africains
  • J'insiste, je persiste, et je signe
  • Les ennemis de l'Afrique
  • Ce sont les Africains

Malgré les richesses agricoles, minières et minéralières

  • Nous sommes victimes de l'endettement à croissance
  • Exponentielle et baignons dans l'économie sous perfusion
  • C'est la mondialisation de l'économie à sens unique
  • Avec la pensée unique du Maitre à penser!!

Reveille-toi Afrique!

(Merci à Tomkatsu pour cettes paroles)

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  • Tout change, tout évolue
  • Seuls les imbéciles, ne changent pas
  • Tout change, tout évolue
  • Seuls les imbéciles, ne changent pas
  • J'insiste, je persiste, et je signe
  • Les ennemis de l'Afrique
  • Ce sont les Africains
  • J'insiste, je persiste, et je signe
  • Les ennemis de l'Afrique

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  • Tout change, tout évolue
  • Seuls les imbéciles, ne changent pas
  • Tout change, tout évolue
  • Seuls les imbéciles, ne changent pas

  • J'insiste, je persiste, et je signe
  • Les ennemis de
  • Ce sont les Africains
  • J'insiste, je persiste, et je signe
  • Les ennemis de
  • Ce sont les Africains

  • Les imbéciles ont décidé
  • d'entrer dans l'histoire à reculons
  • Les peuples baillonnés
  • écoutent la "synfolie" des canons

  • Les Algériens égorgent les Algériens
  • Les Somaliens fusillent les Somaliens
  • Les Rwandais génocident Rwandais
  • Les Burundais découpent les Burundais
  • Les Congolais massacrent les Congolais
  • Les Angolais brûlent l'Angola


(PAUSE)


  • On a le diamant à
  • On a l'or à style
  • La bauxite à
  • L'uranium à
  • Mais les cerveaux se sont enfuis

à <b style="color:black;background-color:#a0ffff">tombeau</b> <b style="color:black;background-color:#ff9999">ouvert</b>



(PAUSE)


  • Tout change, tout évolue
  • Seuls les imbéciles, ne changent pas
  • Tout change, tout évolue
  • Seuls les imbéciles, ne changent pas

  • On a le fer à gogo
  • Le pétrole à gogo
  • Le cobalt à gogo
  • Le nickel à gogo

  • J'insiste, je persiste, et je signe
  • Les ennemis de <b style="color:black;background-color:#ffff66">l'Afrique</b>
  • Ce sont les Africains
  • J'insiste, je persiste, et je signe
  • Les ennemis de <b style="color:black;background-color:#ffff66">l'Afrique</b>
  • Ce sont les Africains

  • Malgré les richesses agricoles, minières et minéralières
  • Nous sommes victimes de l'endettement à croissance
  • Exponentielle et baignons dans l'économie sous perfusion
  • C'est la mondialisation de l'économie à sens unique
  • Avec la pensée unique du Maitre à penser!!
  • Reveille-toi Afrique!


(Merci à Tomkatsu pour cettes paroles) Enter the code exactly as it appears:

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mercredi 15 décembre 9999

† __Black Consciousness Movement Traduction "BCMT": Black Rebel Motorcycle Club Conscience Killer lyrics.. ["B.R.M.C.C.K.L"] ..Black Consciousness in literature

Black Rebel Motorcycle Club Conscience Killer lyrics

http://www.paroles-musique.com/traduction-Black_Rebel_Motorcycle_Club-Conscience_Killer-lyrics,t62407

Autres traductions pour Black Rebel Motorcycle Club Beat The Devil's Tattoo

  • -Conscience Killer
  • -Done All Wrong
  • -Shuffle Your Feet
  • -Weapon Of Choice
  • -Long Way Down (Bla)
  • -Red Eyes And Tears
  • -Cool Water (feat Courtney Jaye)
  • -666 Conducer
  • -Shadow's Keeper
  • -In Like The Rose
  • -And With This Comes
  • -Evol
  • -War Machine (Bla)
  • -Sweet Feeling
  • -The Toll (Feat Courtney Jaye)
  • -Mama Taught Me Better
  • -River Styx
  • -Bad Blood (Bla)
  • -Aya (Bla)
  • -Half-State

The Black Consciousness Movement (BCM) was a grassroots anti-Apartheid activist movement that emerged in South Africa in the mid-1960s out of the political vacuum created by the jailing and banning of the African National Congress and Pan Africanist Congress leadership after the Sharpeville Massacre in 1960.1dead link The BCM represented a social movement for political consciousness.

"Black Consciousness origins were deeply rooted in Christianity. In 1966, the Anglican Church under the incumbent, Archbishop Robert Selby Taylor, convened a meeting which later on led to the foundation of the University Christian Movement (UCM).



This was to become the vehicle for Black Consciousness."2

The BCM attacked what they saw as traditional white values, especially the 'condescending' values of white people of liberal opinion. They refused to engage white liberal opinion on the pros and cons of black consciousness, and emphasized the rejection of white monopoly on truth as a central tenet of their movement. While this philosophy at first generated disagreement amongst black anti-Apartheid activists within South Africa, it was soon adopted by most as a positive development. As a result, there emerged a greater cohesiveness and solidarity amongst black groups in general, which in turn pro black consciousness to the forefront of the anti-Apartheid struggle within South Africa.

The BCM's policy of perpetually challenging the dialectic of Apartheid South Africa as a means of conscientizing Black brought it into direct conflict with the full force of the security apparatus of the Apartheid regime. "Black man, you are on your own" became the rallying cry as mushrooming activity committees implemented what was to become a relentless campaign of challenge to what was then referred to by the BCM as 'the System'.

It eventually sparked a confrontation on June 16, 1976 in the Soweto uprising, when at least 200 people were killed by the South African Security Forces, as students marched to protest the use of the Afrikaans language in African schools. Unrest spread like wildfire throughout the country. The Black revolution in South Africa had begun.

However, although it successfully implemented a system of comprehensive local committees to facilitate organized resistance, the BCM itself was decimated by security action taken against its leaders and social programs. By June 19, 1976, 123 key members had been banned and confined to remote rural districts. In 1977 all BCM related organizations were banned, many of its leaders arrested, and their social programs dismantled under provisions of the newly Implemented Internal Security Amendment Act. In September 1977, its banned National Leader, Steve Biko, was murdered while in the custody of the South African Security Police.

http://en.wikipedia.org/wiki/Black_Consciousness_Movement

edit History

edit Early Worldview of Native Africans

The Black Consciousness Movement started to develop during the late 1960s, and was led by Steve Biko, a black medical student, and Barney Pityana. During this period, the ANC had committed to an armed struggle through its military wing Umkhonto we Sizwe, but this small guerrilla army was neither able to seize and hold territory in South Africa nor to win significant concessions through its efforts.

The ANC had been banned by apartheid leaders, and although the famed Freedom Charter remained in circulation in spite of attempts to censor it, for many students the ANC had disappeared.

The term Black Consciousness stems from American educator W. E. B. Du Bois's evaluation of the double consciousness of American black's being taught what they feel inside to be lies about the weakness and cowardice of their race. Du Bois echoed Civil War era black nationalist Martin Delany's insistence that black people take pride in their blackness as an important step in their personal liberation. This line of thought was also reflected in the Pan Africanist, Marcus Garvey, as well as Harlem Renaissance philosopher Alain Locke and in the salons of the Nardal sisters in Paris.

Biko's understanding of these thinkers was further shaped through the lens of postcolonial thinkers such as Frantz Fanon, Léopold Senghor, and Aimé Césaire. Biko reflects the concern for the existential struggle of the black person as a human being, dignified and proud of his blackness, in spite of the oppression of colonialism (see Négritude).

The aim of this global movement of black thinkers was to restore black consciousness and African consciousness, which they felt had been suppressed under colonialism.3dead link

Part of the insight of the Black Consciousness Movement was in understanding that black liberation would not only come from imagining and fighting for structural political changes, as older movements like the ANC did, but also from psychological transformation in the minds of black people themselves. This analysis suggested that to take power, black people had to believe in the value of their blackness. That is, if black people believed in democracy, but did not believe in their own value, they would not truly be committed to gaining power.

citation needed

Along these lines, Biko saw the struggle to restore African consciousness as having two stages, "Psychological liberation" and "Physical liberation". While at times Biko embraced the non-violent tactics of Mahatma Gandhi and Martin Luther King, this was not because Biko fully embraced their spiritually-based philosophies of non-violence. Rather, Biko knew that for his struggle to give rise to physical liberation, it was necessary that it exist within the political and military realities of the apartheid regime, in which the armed power of the white government outmatched that of the black majority. Therefore Biko's non-violence may be seen more as a tactic than a personal conviction.

4 However, along with political action, a major component of the Black Consciousness Movement was its Black Community Programs, which included the organization of community medical clinics, aiding entrepreneurs, and holding "consciousness" classes and adult education literacy classes.

Another important component of psychological liberation was to embrace blackness by insisting that black people lead movements of black liberation.

This meant rejecting the fervent "non-racialism" of the ANC in favor of asking whites to understand and support, but not to take leadership in, the Black Consciousness Movement. A parallel can be seen in the United States, where student leaders of later phases of SNCC, and black nationalists such as Malcolm X, rejected white participation in organizations that intended to build black power. While the ANC viewed white participation in its struggle as part of enacting the non-racial future for which it was fighting, the Black Consciousness view was that even well-intentioned white people often reenacted the paternalism of the society in which they lived.



This view held that in a profoundly racialized society, black people had to first liberate themselves and gain psychological, physical and political power for themselves before "non-racial" organizations could truly be non-racial.

Biko's BCM had much in common with other left-wing African nationalist movements of the time, such as Amilcar Cabral's PAIGC and Huey Newton's Black Panther Party.citation needed

edit Early years: 1960-1976

Although the ANC and others opposed to apartheid had initially focused on non-violent campaigns, the brutality of the Sharpeville Massacre of March 21, 1960 caused many blacks to embrace the idea of violent resistance to apartheid. However, although the ANC's armed wing started its campaign in 1961, no victory was in sight by the time that Steve Biko was a medical student in the late nineteen-sixties. Even as the nation's leading opposition groups like the ANC proclaimed a commitment to armed struggle, their leaders had failed to organize a credible military effort.

If their commitment to revolution had inspired many, the success of the white regime in quashing it had dampened the spirits of many.

It was in this context that black students, Biko most notable among them, began critiquing the liberal whites with whom they worked in anti-apartheid student groups, as well as the official non-racialism of the ANC. They saw progress towards power as requiring the development of black power distinct from supposedly "non-racial groups."

This new Black Consciousness Movement not only called for resistance to the policy of Apartheid, freedom of speech, and more rights for South African blacks who were oppressed by the white Apartheid regime, but also black pride and a readiness to make blackness, rather than simple liberal democracy, the rallying point of unapologetically black organizations. Importantly, the group defined black to include other "people of color" in South Africa, most notably the large number of South Africans of Indian descent.

The movement stirred many blacks to confront not only the legal but also the cultural and psychological realities of Apartheid, seeking "not black visibility but real black participation" in society and in political struggles.5

The gains this movement made were widespread across South Africa. Many black people felt a new sense of pride about being black as the movement helped to expose and critique the inferiority complex felt by many blacks at the time.

The group formed Formation Schools to provide leadership seminars, and placed a great importance on decentralization and autonomy, with no person serving as president for more than one year (although Biko was clearly the primary leader of the movement). Early leaders of the movement such as Bennie Khoapa, Barney Pityana, Mapetla Mohapi, and Mamphela Ramphele joined Biko in establishing the Black Community Programmes (BCP) in 1970 as self-help groups for black communities, forming out of the South African Council of Churches and the Christian Institute. They also published various journals, including the Black Review, Black Voice, Black Perspective, and Creativity in Development.

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On top of building schools and day cares and taking part in other social projects, the BCM through the BCP was involved in the staging of the large scale protests and workers strikes which gripped the nation in 1972 and 1973, especially in Durban. Indeed, in 1973 the government of South Africa began to clamp down on the movement, claiming that their ideas of black development were treasonous, and virtually the entire leadership of SASO and BPC were banned.

In late August and September 1974, after holding rallies in support of the Frelimo government which had taken power in Mozambique, many leaders of the BCM were arrested under the Terrorism Act and the Riotous Assemblies Act.

Arrests under these laws allowed the suspension of the doctrine of habeas corpus, and many of those arrested were not formally charged until the next year, resulting in the arrest of the "Pretoria Twelve" and conviction of the "SASO nine", which included Maitshe Mokoape and Patrick Lekota. These were the most prominent among various public trials which gave a forum for members of the BCM to explain their philosophy and to describe the abuses that had been inflicted upon them. Far from crushing the movement, this led to its wider support among black and white South Africans.6

edit The Soweto riots and after: 1976-present

Main article: Soweto riots

The Black Consciousness Movement heavily supported the protests against the policies of the apartheid regime which led to the Soweto riots in June 1976. The protests began when it was decreed that black students be forced to learn Afrikaans, and that many secondary school classes were to be taught in that language.

This was another encroachment against the black population, which generally spoke indigenous languages like Zulu and Xhosa at home, and saw English as offering more prospects for mobility and economic self-sufficiency than did Afrikaans.

And the notion that Afrikaans was to define the national identity stood directly against the BCM principle of the development of a unique black identity. The protest began as a non-violent demonstration before police opened fire on the crowd, killing hundreds of youths.

The government's efforts to suppress the growing movement led to the imprisonment of Steve Biko, who became a symbol of the struggle. Biko died in police custody on September 12, 1977.



It should be noted that Steve Biko was a non-violent activist, even though the movement he helped start eventually took up violent resistance. White newspaper editor Donald Woods supported the movement and Biko, whom he had befriended, by leaving South Africa and exposing the truth behind Biko's death at the hands of police by publishing the book Biko7.

One month after Biko's death, the South African government declared 17 groups associated with the Black Consciousness Movement to be illegal.

Following this, many members joined more concretely political and tightly-structured parties such as the ANC, which used underground cells to maintain their organizational integrity despite banning by the government. And it seemed to some that the key goals of Black Consciousness had been attained, in that black identity and psychological liberation were growing. Nonetheless, in the months following Biko's death, activists continued to hold meetings to discuss resistance. Along with members of the BCM, a new generation of activists who had been inspired by the Soweto riots and Biko's death were present, including Bishop Desmond Tutu. Among the organizations that formed in these meetings to carry the torch of Black Consciousness was the Azanian People's Organization (AZAPO) which persists to this day.8

Almost immediately after the formation of AZAPO in 1978, its chairman, Ishmael Mkhabela, and secretary, Lybon Mabasa were detained under the Terrorism Act. In the following years, other groups sharing Black Consciousness principles formed, including the Congress of South African Students (COSAS), Azanian Student Organization (AZASO) and the Port Elizabeth Black Civic Organization (PEBCO).

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While many of these organizations still exist in some form, some evolved and could no longer be called parts of the Black Consciousness Movement. And as the influence of the Black Consciousness Movement itself waned, the ANC was returning to its role as the clearly leading force in the resistance to white rule. Still more former members of the Black Consciousness Movement continued to join the ANC, including Thozamile Botha from PEBCO.

Others formed new groups. For instance, in 1980, Pityana formed the Black Consciousness Movement of Azania (BCMA), an avowedly Marxist group which used AZAPO as its political voice. Curtis Nkondo from AZAPO and many members of AZASO and the Black Consciousness Media Workers Association joined the United Democratic Front (UDF).9 Many groups published important newsletters and journals, such as the Kwasala of the Black Consciousness Media Workers and the London based BCMA journal, Solidarity.

And beyond these groups and media outlets, the Black Consciousness Movement had an extremely broad legacy, even as the movement itself was no longer represented by a single organization.

citation needed

Indeed, while the Black Consciousness Movement itself spawned an array of smaller groups, many people who came of age as activists in the Black Consciousness Movement did not join them. Instead, they joined a plethora of other organizations, including the ANC, the Unity Movement, the Pan Africanist Congress, the United Democratic Front and trade and civic unions.

The Black Consciousness Movement's most-lasting legacy is as an intellectual movement. The weakness of theory in and of itself to mobilize constituencies can be seen in AZAPO's inability to win significant electoral support in modern-day South Africa. But the strength of the ideas can be seen in the diffusion of Black Consciousness language and strategy into nearly every corner of black South African politics.

In fact, these ideas helped make the complexity of the South African black political world, which can be so daunting to the newcomer or the casual observer, into a strength. As the government tried to act against this organization or that one, people in many organizations shared the general ideas of the Black Consciousness Movement, and these ideas helped to organize action beyond any specific organizational agenda.

If the leader of this group or that one was thrown into prison, nonetheless, more and more black South Africans agreed on the importance of black leadership and active resistance. Partly as a result, the difficult goal of unity in struggle became more and more realized through the late nineteen-seventies and nineteen-eighties.

citation needed

Biko and the legacy of the Black Consciousness movement helped give the resistance a culture of fearlessness.

And its emphasis on individual psychological pride helped ordinary people realize they could not wait for distant leaders (who were often exiled or in prison) to liberate them. As the ANC's formal armed wing Umkhonto weSizwe struggled to make gains, this new fearlessness became the basis of a new battle in the streets, in which larger and larger groups of ordinary and often unarmed people confronted the police and the army more and more aggressively.

If the ANC could not defeat the white government's massive army with small bands of professional guerrilla fighters, it was able to eventually win power through ordinary black peoples' determination to make South Africa ungovernable by a white government. What could not be achieved by men with guns was accomplished by teenagers throwing stones.

While much of this later phase of the struggle was not undertaken under the formal direction of Black Consciousness groups per se, it was certainly fueled by the spirit of Black Consciousness. Kashy Singh(2005) had said that black people are equal to all other human beings

Even after the end of apartheid, Black Consciousness politics live on in community development projects and "acts of dissent" staged both to bring about change and to further develop a distinct black identity.10

edit Controversies and criticism

A balanced analysis of the results and legacy of the Black Consciousness Movement would no doubt find a variety of perspectives. A list of research resources is listed at the end of this section including Columbia University's Project on Black Consciousness and Biko's Legacy.

Criticisms of the Movement sometimes mirror similar observations of the Black Consciousness Movement in the United States. (See reference to Fredrickson's comparative work below). On one side, it was argued that the Movement would stagnate into black racialism, aggravate racial tensions and attract repression by the apartheid regime. Other detractors thought the Movement based heavily on student idealism, but with little grassroots support among the masses, and few consistent links to the mass trade-union movement. (See Columbia reference below)

Assessments of the movement (See Gerhard references below) note that it failed to achieve several of its key objectives. It did not bring down the apartheid regime, nor did its appeal to other non-white groups as "people of color" gain much traction.

Its focus on blackness as the major organizing principle was very much downplayed by Nelson Mandela and his successors who to the contrary emphasized the multi-racial balance needed for the post-apartheid nation. The community programs fostered by the movement were very small in scope and were subordinated to the demands of protest and indoctrination. It's leadership and structure was essentially liquidated, and it failed to bridge the tribal gap in any *large-scale* way, although certainly small groups and individuals collaborated across tribes.

After much blood shed and property destroyed, critics charged that the Movement did nothing more than raise 'awareness' of some issues, while accomplishing little in the way of sustained mass organization, or of practical benefit for the masses. Some detractors also assert that Black consciousness ideas are out-dated, hindering the new multi-racial South Africa. (See Gerhard reference 1997 below).

edit Defenses of the Black Consciousness Movement

Black Consciousness in literature

In comparison with the Black Power movement in the United States, the Black Consciousness movement felt little need to reconstruct any sort of golden cultural heritage.

African linguistic and cultural traditions were alive and well in the country. Short stories published predominantly in Drum magazine had led to the 1950s being called the Drum decade, and future Nobel Prize winner Nadine Gordimer was beginning to become active. The fallout from the Sharpeville massacre led to many of those artists entering exile, but the political oppression of the resistance itself led to a new growth of black South African Literature.

In the 1970s, Staffrider magazine became the dominant forum for the publication of BC literature, mostly in the form of poetry and short stories. Book clubs, youth associations, and clandestine street-to-street exchange became popular. Various authors explored the Soweto riots in novels, including Miriam Tlali, Mothobi Mutloatse and Mbulelo Mzamane. But the most compelling force in Black Consciousness prose was the short story, now adapted to teach political morals.

Mtutuzeli Matshoba famously wrote, "Do not say to me that I am a man." An important theme of Black Consciousness literature was the rediscovery of the ordinary, which can be used to describe the work of Njabulo Ndebele.11

However, it was in poetry that the Black Consciousness Movement first found its voice. In a sense, this was a modern update of an old tradition, since several of South Africa's African languages had long traditions of performed poetry. Sipho Sempala, Mongane Serote, and Mafika Gwala led the way, although Sempala turned to prose after Soweto. Serote wrote from exile of his internalization of the struggles, while Gwala's work was informed and inspired by the difficulty of life in his home township of Mpumalanga near Durban. These forerunners inspired a myriad of followers, most notably poet-performance artist Ingoapele Madingoane.

James Mathews was a part of the Drum decade who was especially influential to the Black Consciousness Movement. This poem gives an idea of the frustrations that blacks felt under apartheid:

Freedom's child You have been denied too long Fill your lungs and cry rage Step forward and take your rightful place You are not going to grow up knocking at the back door.... This poem by an unknown author has a rather confrontational look:

Kaffer man, Kaffer nation Arise, arise from the kaffer Prepare yourself for war! We are about to start steve biko the hero Mandlenkosi Langa's poem: "Banned for Blackness" also calls for black resistance :

Look up, black man, quit stuttering and shuffling Look up, black man, quit whining and stooping

...raise up your black fist in anger and vengeance. A main tenet of the Black Consciousness Movement itself was the development of black culture, and thus black literature.

The cleavages in South African society were real, and the poets and writers of the BCM saw themselves as spokespersons for blacks in the country.

They refused to be beholden to proper grammar and style, searching for black aesthetics and black literary values.11 The attempt to awaken a black cultural identity was thus inextricably tied up with the development of black literature.

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mercredi 8 décembre 9999

_____Que "meurt la vie, VIVE LA MORT? "Viva la muerte !"".. Le silence est le poids des larmes.. EcRiRe C’eSt HuRlEr En SiLeNcE… = …La vraie pollution, c’est la connerie humaine… = Les vanités contemporaine dans l'art; C'est la vie !

  • VIVE LA MORT?

Pour aller au ciel il faut mourir donc vive la mort ...L afrique est mort. Vive le nouveau Afrique ! L'été est mort, vive l'été prochain !!

A la vie à la mort, dans la joie comme dans la douleur vive l ... certes la peine de mort n'arrête pas les criminels,mais si on applique la peine de mort ,au moins cela ne recommenceront pas ,découper un homme en deux comme le souligne badinter dans sa plaidoirie,ok,mais ces criminels eux ont le droit d'ôter la vie, sachant qu'ils seront condamnés ,mais tôt ou tard ils recommenceront,l car la liberté ils l'obtiendrons,les victimes eux ne sortiront jamais de leurs tombeaux.Qui est à plaindre la victime ou l'assasin??

"Viva la muerte !", "Vive la mort !" Alors, croire qu'on l'arrêtera avec la mort, c'est illusion...L'abolition de la peine de mort !

  • Meilleure réponse

Ben oui ! Normalement, un vrai croyant attends la mort avec délectation. Jésus a dit à ses apotres : "Vous, soyez passants"

  • Évaluation du demandeur : Bizzard non?

hummm.. réflexion fait; La vie est-elle d'être surveiller en permanence par des caméras, d'être suivi electroniquement partout ou l'on va ? De devenir un robot ?

Le résultat ne vous satisfait pas ? Essayez le suicide..! ...http://fr.answers.yahoo.com/question/index?qid=20100417083522AAE5yjJ

La personne qui se suicide, **

  • Ce n’est pas la vie qu’elle veut s’enlever, *


** Mais la douleur qu’elle veut tuer !

-Etre trahie par une « amie » …

-Ne pas savoir ou est sa famille…

-Ne pas savoir pourquoi on est ici…

-Se sentir seule…

-Etre perdue…

-Perdre ses amis les uns après les autres pour se rendre compte qu’enfait tout le monde s’en fou et qu’ils sont presque tous hypocrites…

-Garder en soi tellmen de chose ki nous détruisent petit à petit…

-Ne plus savoir qui croire et en qui avoir confiance…

-Avoir mal mentalement et fisikmen…

Ne pas se sentir aimée

-Et encore tant d’autres…

''J'ai plus rien à dire. J'en ai plus la force''...

''Tellmen de questions qu'on se pose sans jamais avoir de réponse... La vie ne sert à rien, il n'y a aucun but.'' J'en peux plus d'essayer d'arranger les choses, de faire semblant que sa va bien alors ke rien ne va! RIEN NE VA et rien n'ira jms.

''Y a juste plus rien qui me retient ici. chui dégoutée de ce kon peu appelé une vie.''

Y a plus RIEN ki peu me "sauver"... mai enfait pk sauver? ya RIEN de bien ici... pffff.... chui juste trop décue de tout. plu gout à rien. g plus rien d'autre à dire.

On pourrait dire que depuis la nuit des temps les hommes ont réalisé des « vanités », c'est-à-dire représenté les éphémères éléments de l'existence pour en souligner la fragilité. Pourtant, depuis le XVIIe siècle, on n'a jamais vu autant de représentations de crânes dans l'art qu'aujourd'hui... Signe d'un temps qui s'accélère, d'un rapport étroit à la mort, de l'acceptation d'une éventuelle « fin » qui menace la planète, ou d'une intimité forcée avec la question spirituelle, qui obsède encore une époque pourtant des plus matérialistes.

"Marmotte" ; l'a bien souligné(e) que : "... Les victimes / Qui, quant à / elles ne sortiront jamais de leurs tombeaux ..."

Quant à savoir de ce qui est à plaindre, soit : c'est la triste victime, soit : c'est l'assassin / Que de questions ...

'Assassin', qui je pense, ne semble pas avoir eut d'autre solution ; que de donner 'la mort !' / Mais bon, hors de question de l'excuser, ou bien de le pardonner / Surtout ... En être arriver à dire : "Vive la mort" / Pour certains : OUI (Par : exemple 'Human Bomb(E) 99 ; né le 30.10.1969...) / Pour d'autres "Ma-Ma-Mia !!!"

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_____L'homme dans toute sa splendeur : Pourquoi l'être humain est-il un éternel insatisfait ?. Parce que l'homme est un organisme vivant, il naît, croît et meurt, comme tout ce qui vit. Il n'a qu'une vie, mais elle est essentiellement vouée à la mort.

La condition humaine

Comme on a pu s'en rendre compte au cours de cette navigation dans le passé, l'expérience de l'existence humaine, nous fait prendre conscience d'un certain nombre de tensions profondes, que les grands philosophes ont scrutées depuis toujours, et d'une façon plus convaincante pourrait-on dire, depuis le XIX è siècle :

  • Vie/mort
  • Individu/société
  • Liberté/destin
  • Finitude/perfectibilité

Pourquoi l'être humain est-il un éternel insatisfait ?

Ces quatre couples constituent sans doute les paramètres de la condition humaine

1. Parce que l'homme est un organisme vivant, il naît, croît et meurt, comme tout ce qui vit. Il n'a qu'une vie, mais elle est essentiellement vouée à la mort.

Cependant, au fond de lui-même, quelque chose lui fait désirer échapper au temps, à l'espace. 2. Parce que l'homme est un organisme vivant, il est seul à pouvoir exercer les activités nécessaires au maintien de sa vie : manger, boire, digérer, apprendre, connaître, se situer dans son milieu et dans l'univers, donner à sa propre existence un sens. Personne ne peut penser à sa place.

Par contre, il a besoin sur le plan physique des éléments contenus dans la nature qui assurent sa vie comme organisme ; il a aussi besoin des autres sans qui il ne peut se réaliser ; il est un être fondamentalement culturel et solidaire. 3. Parce qu'il est un être capable de choix, parce qu'il est libre, il est responsable de ses actes. Il est maître de sa destinée dans la mesure où un acte humain est essentiellement un acte voulu librement. Au fond l'homme est ce qu'il veut devenir.

Par contre, parce que beaucoup d'éléments dans la vie ne dépendent pas de lui il doit subir son destin. L'homme ne choisit pas de naître, ne choisit pas ses gènes, ne choisit pas son temps ni son espace. Beaucoup de contraintes à la fois physiques et culturelles lui sont imposées par le fait qu'il est un être physique, vivant, intelligent et responsable. Il est dépendant sur bien des plans. 4. Parce qu'il est un organisme vivant, il est un être limité, dans le temps et l'espace tant physiques que culturels. Il est faible, fragile : l'erreur est humaine dit-on.

Par contre, éternel insatisfait, il désire toujours davantage; et, perfectible, il apprend de ses erreurs. Au fond de lui brûle un désir d'infini et de perfection.

Quand on réfléchit un tant soit peu aux différents aspects de la condition humaine on peut mieux mesurer l'ampleur des défis que l'homme doit relever pour simplement se réaliser, donner un sens à sa vie, et faire son bonheur à travers ces contradictions.

Les penseurs de tous les temps ont cherché à résoudre ces énigmes.

-http://peuimportelaquestion.clubdiscussion.net/philosophie-f10/l-homme-dans-toute-sa-splendeur-t66.htm -http://www.cvm.qc.ca/ccollin/conception/cond_hum.htm

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lundi 6 décembre 9999

___Kiss of Death " Judas, c’est par un baiser que tu livres le Fils de l’homme ? " » — Évangile selon saint Luc 22, 48,

Un baiser de la mort, ou baiser de Judas, est une expression pour désigner un rapprochement d'un individu vers un autre, qui en fait signale l'engagement ou la reprise d'hostilités.

L'expression a pour origine le baiser de Judas à Jésus Christ afin de désigner aux soldats l'homme à arrêter, signant sa trahison.

« Jésus lui dit : " Judas, c’est par un baiser que tu livres le Fils de l’homme ? " » — Évangile selon saint Luc 22, 48, texte sur Wikisource.

Au sein de la mafia, le baiser de la mort est plus concrètement chargé de sens : c'est un baiser qui signifie l'annonce de sa mort violente prochaine pour celui qui le reçoit.

Luc 22

La fête des pains sans levain, appelée la Pâque, approchait. Les principaux sacrificateurs et les scribes cherchaient les moyens de faire mourir Jésus ; car ils craignaient le peuple.

Or, Satan entra dans Judas, surnommé Iscariot, qui était du nombre des douze. Et Judas alla s’entendre avec les principaux sacrificateurs et les chefs des gardes, sur la manière de le leur livrer.

Ils furent dans la joie, et ils convinrent de lui donner de l’argent.

Après s’être engagé, il cherchait une occasion favorable pour leur livrer Jésus à l’insu de la foule. Le jour des pains sans levain, où l’on devait immoler la Pâque, arriva, et Jésus envoya Pierre et Jean, en disant : Allez nous préparer la Pâque, afin que nous la mangions.

Ils lui dirent : Où veux-tu que nous la préparions ?

Il leur répondit : Voici, quand vous serez entrés dans la ville, vous rencontrerez un homme portant une cruche d’eau ; suivez-le dans la maison où il entrera, et vous direz au maître de la maison : Le maître te dit : Où est le lieu où je mangerai la Pâque avec mes disciples ?

Et il vous montrera une grande chambre haute, meublée : c’est là que vous préparerez la Pâque. Ils partirent, et trouvèrent les choses comme il le leur avait dit ; et ils préparèrent la Pâque. L’heure étant venue, il se mit à table, et les apôtres avec lui.

Il leur dit : J’ai désiré vivement manger cette Pâque avec vous, avant de souffrir ; car, je vous le dis, je ne la mangerai plus, jusqu’à ce qu’elle soit accomplie dans le royaume de Dieu.

Et, ayant pris une coupe et rendu grâces, il dit : Prenez cette coupe, et distribuez-la entre vous ; car, je vous le dis, je ne boirai plus désormais du fruit de la vigne, jusqu’à ce que le royaume de Dieu soit venu.

Ensuite il prit du pain ; et, après avoir rendu grâces, il le rompit, et le leur donna, en disant : Ceci est mon corps, qui est donné pour vous ; faites ceci en mémoire de moi.

Il prit de même la coupe, après le souper, et la leur donna, en disant : Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang, qui est répandu pour vous.

Cependant voici, la main de celui qui me livre est avec moi à cette table. Le Fils de l’homme s’en va selon ce qui est déterminé. Mais malheur à l’homme par qui il est livré ! Et ils commencèrent à se demander les uns aux autres qui était celui d’entre eux qui ferait cela. Il s’éleva aussi parmi les apôtres une contestation : lequel d’entre eux devait être estimé le plus grand ?

Jésus leur dit : Les rois des nations les maîtrisent, et ceux qui les dominent sont appelés bienfaiteurs.

Qu’il n’en soit pas de même pour vous. Mais que le plus grand parmi vous soit comme le plus petit, et celui qui gouverne comme celui qui sert.

Car quel est le plus grand, celui qui est à table, ou celui qui sert ? N’est-ce pas celui qui est à table ? Et moi, cependant, je suis au milieu de vous comme celui qui sert.

  • Vous, vous êtes ceux qui avez persévéré avec moi dans mes épreuves ;

c’est pourquoi je dispose du royaume en votre faveur, comme mon Père en a disposé en ma faveur, afin que vous mangiez et buviez à ma table dans mon royaume, et que vous soyez assis sur des trônes, pour juger les douze tribus d’Israël.

  • Le Seigneur dit : Simon, Simon, Satan vous a réclamés, pour vous cribler comme le froment.

Mais j’ai prié pour toi, afin que ta foi ne défaille point ; et toi, quand tu seras converti, affermis tes frères.

  • Seigneur, lui dit Pierre, je suis prêt à aller avec toi et en prison et à la mort.

Et Jésus dit : Pierre, je te le dis, le coq ne chantera pas aujourd’hui que tu n’aies nié trois fois de me connaître.

  • Il leur dit encore : Quand je vous ai envoyés sans bourse, sans sac, et sans souliers, avez-vous manqué de quelque chose ? Ils répondirent : De rien.
  • Et il leur dit : Maintenant, au contraire, que celui qui a une bourse la prenne et que celui qui a un sac le prenne également, que celui qui n’a point d’épée vende son vêtement et achète une épée.
  • Car, je vous le dis, il faut que cette parole qui est écrite s’accomplisse en moi : Il a été mis au nombre des malfaiteurs. Et ce qui me concerne est sur le point d’arriver.

Ils dirent : Seigneur, voici deux épées. Et il leur dit : Cela suffit.

  • Après être sorti, il alla, selon sa coutume, à la montagne des oliviers. Ses disciples le suivirent.

Lorsqu’il fut arrivé dans ce lieu, il leur dit : Priez, afin que vous ne tombiez pas en tentation. Puis il s’éloigna d’eux à la distance d’environ un jet de pierre, et, s’étant mis à genoux, il pria, disant : Père, si tu voulais éloigner de moi cette coupe ! Toutefois, que ma volonté ne se fasse pas, mais la tienne.

Alors un ange lui apparut du ciel, pour le fortifier.

  • Etant en agonie, il priait plus instamment, et sa sueur devint comme des grumeaux de sang, qui tombaient à terre.
  • Après avoir prié, il se leva, et vint vers les disciples, qu’il trouva endormis de tristesse,

et il leur dit : Pourquoi dormez-vous ? Levez-vous et priez, afin que vous ne tombiez pas en tentation.

  • Comme il parlait encore, voici, une foule arriva ; et celui qui s’appelait Judas, l’un des douze, marchait devant elle. Il s’approcha de Jésus, pour le baiser.
  • Et Jésus lui dit : Judas, c’est par un baiser que tu livres le Fils de l’homme !

Ceux qui étaient avec Jésus, voyant ce qui allait arriver, dirent : Seigneur, frapperons-nous de l’épée ?

  • Et l’un d’eux frappa le serviteur du souverain sacrificateur, et lui emporta l’oreille droite.

Mais Jésus, prenant la parole, dit : Laissez, arrêtez ! Et, ayant touché l’oreille de cet homme, il le guérit.

  • Jésus dit ensuite aux principaux sacrificateurs, aux chefs des gardes du temple, et aux anciens, qui étaient venus contre lui : Vous êtes venus, comme après un brigand, avec des épées et des bâtons.
  • J’étais tous les jours avec vous dans le temple, et vous n’avez pas mis la main sur moi. Mais c’est ici votre heure, et la puissance des ténèbres.
  • Après avoir saisi Jésus, ils l’emmenèrent, et le conduisirent dans la maison du souverain sacrificateur. Pierre suivait de loin.
  • Ils allumèrent du feu au milieu de la cour, et ils s’assirent. Pierre s’assit parmi eux.

Une servante, qui le vit assis devant le feu, fixa sur lui les regards, et dit : Cet homme était aussi avec lui.

  • Mais il le nia disant : Femme, je ne le connais pas.

Peu après, un autre, l’ayant vu, dit : Tu es aussi de ces gens-là. Et Pierre dit : Homme, je n’en suis pas.

  • Environ une heure plus tard, un autre insistait, disant : Certainement cet homme était aussi avec lui, car il est Galiléen.
  • Pierre répondit : Homme, je ne sais ce que tu dis. Au même instant, comme il parlait encore, le coq chanta.
  • Le Seigneur, s’étant retourné, regarda Pierre. Et Pierre se souvint de la parole que le Seigneur lui avait dite : Avant que le coq chante aujourd’hui, tu me renieras trois fois.
  • Et étant sorti, il pleura amèrement.
  • Les hommes qui tenaient Jésus se moquaient de lui, et le frappaient.
  • Ils lui voilèrent le visage, et ils l’interrogeaient, en disant : Devine qui t’a frappé.
  • Et ils proféraient contre lui beaucoup d’autres injures.
  • Quand le jour fut venu, le collège des anciens du peuple, les principaux sacrificateurs et les scribes, s’assemblèrent, et firent amener Jésus dans leur sanhédrin.
  • Ils dirent : Si tu es le Christ, dis-le nous. Jésus leur répondit : Si je vous le dis, vous ne le croirez pas ;

et, si je vous interroge, vous ne répondrez pas. Désormais le Fils de l’homme sera assis à la droite de la puissance de Dieu.

  • Tous dirent : Tu es donc le Fils de Dieu ? Et il leur répondit : Vous le dites, je le suis.

Alors ils dirent : Qu’avons-nous encore besoin de témoignage ? Nous l’avons entendu nous-mêmes de sa bouche.

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