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mardi 9 novembre 2010

______L’Afrique ou la poubelle à vaccins. Vous êtes industriel pharmaceutique et vous ne savez que faire de vos vaccins contre la grippe A ? Pas d’inquiétude, l’OMS se charge d’écouler vos stocks.

Un haut représentant du ministère de la Santé qui se fait piquer devant une flopée de médias pour lancer une campagne de vaccination contre la grippe A, on connaît. Sauf quand la scène se passe… au Togo, en avril, et se répète, cet été, en République centrafricaine et au Niger.

À la baguette, l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui écoule les « généreux » dons de vaccins contre le virus H1N1 des laboratoires pharmaceutiques et des pays du Nord. Sur place, du côté des personnels de santé et des ONG, c’est l’incompréhension. Pourquoi vacciner dans des pays où aucun cas de H1N1 n’a été enregistré ? L’OMS rétorque qu’il peut encore y avoir un risque, surtout dans les pays africains, où les populations sont fragiles. Étrange puisque la fin de la pandémie mondiale de grippe A a été déclarée le 10 août 2010, par… l’OMS, justement !

« Ce n’est pas parce qu’aucun cas de grippe A n’a été répertorié qu’il n’y en a pas eu », explique doctement Gregory Hartl, le porte-parole de l’OMS chargé des pandémies et épidémies. Selon lui, il suffit de se fier au cas de l’Afrique du Sud, dont le système de détection passe pour être le plus performant d’Afrique : plus de 12 000 cas et 93 décès y ont été enregistrés en décembre 2009. « Le virus ne s’arrête pas aux frontières ! » Certes.

L’Institut français de veille sanitaire, qui n’a produit aucun rapport sur l’évolution du H1N1 en Afrique, estime quant à lui qu’il est « difficile d’évaluer l’épidémie dans ces pays-là ». Précisément parce qu’« on n’a pas de boule de cristal », raille un membre d’une ONG française. Et le même de poursuivre : « Faut-il, face à un ennemi invisible, vacciner sans en évaluer la pertinence et en identifier les risques ? »

Un spécialiste des vaccinations concède que ces campagnes anti- H1N1 en Afrique ne sont « pas pertinentes du tout ». D’abord parce qu’il y a effectivement d’autres priorités, comme le paludisme ou encore la grave épidémie de rougeole qui a frappé un certain nombre de pays africains à la même période. Ensuite parce que le vaccin contre le H1N1 offre une protection de courte durée comparé à d’autres vaccins. Celui contre la rougeole, par exemple, dont une monodose protège le patient pendant dix ans.

Pis, ces campagnes ont mis au pied du mur les professionnels de la santé présents sur place. Rémunération du personnel chargé d’administrer les vaccins, conditionnement et transport des doses : tout cela a un coût. Selon l’OMS, les pays donateurs ont participé à des fonds pour la mise en œuvre de la vaccination. Et puis, « quand on a des dons disponibles, il faut bien les utiliser ». Imparable.

Souvenons-nous : en janvier 2010, la polémique enfle en France autour de la surévaluation des stocks de vaccins contre le H1N1. Roselyne Bachelot se retrouve avec des millions de doses sur les bras. Au même moment, selon la direction générale de la Santé, la France commence discrètement à livrer à l’OMS son surplus de vaccins. Nombreux sont les pays à l’imiter, comme les États-Unis. Dans la foulée, les firmes pharmaceutiques font un « geste ». Le laboratoire britannique GlaxoSmithKline donne 50 millions de doses à la grande prêtresse de l’OMS, Margaret Chan. Sanofi Pasteur, Baxter et Novartis promettent également 10% de leur production. La plupart des vaccins contre le H1N1 étant périmés à la fin 2010, c’est ça ou la poubelle !

© bakchich.info : Chloé Demoulin http://www.camer.be/index1.php?art=12026&rub=13:1

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______Le rapport 2010 sur les pays les plus dangereux de la planète est sorti: Quel touriste voudrait se balader à Brazza pour y admirer des immeubles criblés de balles en plein centre-ville, une dizaine d’années après la fin d’un conflit ?

...Dans quel merde sommes nous encore fouré, et la diaspora noir...

Si on demande à un touriste Suisse ou Japonais de choisir comme lieu de vacances le Congo ou le Sénégal, il n’aura pas d’embarras. Le Sénégal avec ses belles côtes, son infrastructure hôtelière et son sens de l’hospitalité (teranga en Ouolof) sera sa destination. Car chez nous, le ki-muntu (équivalent congolais de téranga) a depuis longtemps foutu le camp.

De la même façon, les auteurs du dangereux rapport se sont demandés : "si on vous donnait le choix, iriez-vous passez vos vacances en Irak ?" La réponse négative coule de source.

"Le rapport 2010 de l’IEP (Institure for Economics and Peace) « Global Peace Index » révèle son classement des pays les plus dangereux au monde. À éviter pour les vacances…"

Le Congo qui n’est pas cité (La RDC, si) ne brille pas particulièrement pour son attraction touristique.

"L’IEP est une organisation internationale à but non lucratif et son rapport annuel « Global Peace Index » est la seule étude à « quantifier » la paix dans le monde. Pour établir ce triste classement, l’organisation s’appuie sur différents critères comme la stabilité politique du pays concerné, les relations qu’il entretient avec la communauté internationale, son niveau de violence interne et externe, mais aussi son budget militaire, sa production et ses achats d’armes… "

Autant de critères pour faire figurer le Congo en bonne place sur la liste des pays qui font peur aux paisibles touristes. La République du Congo a un budget militaire colossal. Les parents des Disparus du Beach peuvent témoigner du "niveau de violence interne" de notre pays. Tout comme les réfugiés Rdécéens installés à Brazzaville qui ne savent plus où mettre la tête depuis que la police du général Jean-François Ndenguet les harcèle nuit et jour. Ne parlons pas de journalistes qui meurent carbonisés à leur domicile (Bruno Ossébi). Parlons encore moins de la politique de la terre brûlée que le pion de Sassou, le secrétaire d’Etat Frédéric Bitsangou dit Ntoumi, pratique dans la région du Pool.

L’implacable rapport précise :

"Sans grande surprise, le pays le plus dangereux au monde en 2010 est l’Irak. Attentats, enlèvements, instabilité politique, le pays réunit malheureusement tous les critères de violence extrême. L’Irak est suivi de près par la Somalie, pays en guerre civil où l’anarchisme n’a d’égal que la terreur permanente qui y règne : attentats, exécutions, piraterie… L’Afghanistan complète ce funeste podium, pour les raisons qu’on connaît : guerre civile, attentats, enlèvements, instabilité politique chronique… Suivent ensuite le Soudan, le Pakistan et Israël. "

En matière de guerre civile, le Congo a de quoi se vanter depuis 1997, sa capitale "à feu et à sang" ne s’est jamais relevée de ses meurtrissures..

Malheureusement, il n’y a pas que le Moyen Orient et l’Afrique pour alimenter ce sinistre classement.

"Premier pays occidental à apparaître dans le « Global Peace Index », la Russie. La violence qui règne en Tchétchénie y est évidemment pour beaucoup comme la menace terroriste (liée à la situation dans le Caucase) permanente. Viennent ensuite la Géorgie (guerre civile, massacres collectifs…), le Tchad (« problème » du Darfour) et la République démocratique du Congo (guerre civile)."

Le Congo-Brazzaville avec son climat de terreur dans la région du Pool n’est pas mieux loti que la RDC qui, comble des paradoxes, abrite encore des réfugiés de chez nous dans les camps de Mbanza-Ngungu (Bas-Congo). Ironie du sort, le Congo donne également asile à des réfugiés Rdécéens dans la Likouala (Haut Congo)

Même la France

L’hexagone, pays où les tyrans noirs possèdent des biens immobiliers estimés à des milliards d’euros, pays qui tire également les ficelles de la nébuleuse françafrique n’est pas en reste.

"Dans ce classement, sachez que la France apparaît en 118ème position avec un indice très faible que (...) notre pays pourrait encore réduire s’il vendait moins d’armes. "

Avec ses parcs nationaux, son barrage d’Imboulou, son aéroport d’Ollombo, son port fluvial d’Oyo, sa Basilique Sainte-Anne, son église plus que centenaire de Linzolo (liste non exhaustive) le Congo pourrait pourtant être une terre d’accueil...

Mais les "saigneurs de guerre" qui y règnent en maître depuis le coup d’état, ne l’entendent pas de cette oreille.

Brazzaville est un cloaque ambulant au sein sein du quel tout congolais ayant une hygiène correcte est épris d’horreur à chaque pas, après une grande pluie le décors est digne de la jungle de la Sangha...

Ajoutez des cobras en guenilles un peu partout et vous avez à peu de choses près un décors digne de l’Iraq ou de l’Afghanistan. Pointe-Noire n’est pas mieux mais c’est la Pattaya du pays, des putes y remplacent les cobras mais la crasse reste la même...un paradis pour de vieux occidentaux et autres libanais bedonnants et moches qui peuvent s’y taper à moindre coût leur jouvencelles exotiques...

  • 31 octobre @ 09:57, par KébaOKoYambaMissato-Ya Libosso-Ya Mibalé #

http://www.congopage.com/?page=reaction&id_article=6649 http://www.congopage.com/Les-pays-les-plus-dangereux-au

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