Articles sur la mort http://deathrow.20minutes-blogs.fr/

..Nous croyons que notre monde n'est pas perdu.. Afin d’éviter un bain de sang, et de respecter la volonté du peuple.

Une fois de plus l’année touche à sa fin. Qu'avez vous fait au cours des 11 dernières mois dont vous pouvez être fiers ? A moins que vous ayez gâché une année à rien faire ? A travers ce blog et différentes expériences, j’ai constaté que souvent les gens exprimaient leurs opinions, mais ne proposaient jamais de mesures pour faire quoi que ce soit de productif.

Lorsque vous évaluez votre vie, qu’est ce qui vous differencie de votre voisin ? Si vous ne pouvez pas répondre à cette question, votre vie n'a pas d’autre sens que celui d’exister, vous n’avez pas trouver le sens, vous vous laisser vivre au gré des marées. Envisagez cette nouvelle année avec un credo, le changement : Choisissez un sens, une direction, une destinée… Le libre arbitre

Every Year

Once again another year is coming to an end. What have you done in the last 11 months you can be proud of, or did you waste another year starring into a lifeless void. Often times people willinglee voice their opinions but never take action to do anything productive. When you evaluate your life, what diferentiates yours from the person next to you ? If you can’t answer this question, your life has no meaning except existence, no direction just going where the tide takes you. Look at the new year with my new eyes set on change productive change. Have a direction, a meaning and destiny about you.

Mes résolutions distinguées,

Comment ça marche

  • Utiliser mon temps de façon plus judicieuse,
  • Gardez les femmes de ma vie heureuses et souriantes,
  • En savoir plus sur la responsabilité,
  • Obtenir une visite de Maman,
  • Rencontrer plus de gens de partout dans le monde,

& M’entourer de personnes honnêtes et volontaires !

Y a t-il un au-delà : vie éternelle, paradis, enfer ? Comment vaincre la peur de la mort ?... Dieu est-il indifférent à la mort ? Croire donne-t-il des forces par rapport à la mort ?

Où ne vont pas les morts ?



La Bible ne laisse pas de doute à ce sujet, les morts ne vont pas :

Dans le néant

La conception athée de la mort est une cessation d’existence. Cette conception est opposée à la révélation biblique. En effet, la foi en Jésus est entièrement basée sur la résurrection (1). Jésus, de son vivant, a annoncé qu’il reviendrait à la vie. C’était une annonce vraiment peu crédible. Cependant, nous avons à notre disposition plusieurs témoignages racontant comment ceux qui ont été ses proches de son vivant, ont dû se rendre à l’évidence. Il a vécu avec eux pendant 40 jours après sa mort. Et si Jésus est revenu à la vie, cela prouve bien qu’un mort ne cesse pas d’exister.

Se réincarner

La réincarnation des morts est une conception dont l’origine se perd dans la nuit des temps (religion grecque, religions mésopotamiennes). La Bible, quant à elle, affirme : « il est réservé à l’homme de mourir une fois, et ensuite vient le Jugement » (2). On ne trouve nulle part dans les textes bibliques rien qui vienne appuyer la thèse de la réincarnation.

Au purgatoire

Il s’agit là d’une croyance qui s’est installée au Moyen Age dans les esprits et les liturgies chrétiennes, mais qui ne repose sur aucun texte biblique. Le purgatoire est le règne de la « seconde chance pour les morts», où les gens pas si mauvais que ça peuvent passer par une peine de souffrance pour mériter le Paradis. La Bible montre au contraire que c’est de notre vivant que nous avons un choix à faire “pour ou contre Dieu” et que le sacrifice de Jésus pour nos péchés est pleinement suffisant pour nous procurer l’assurance de la vie éternelle (3). Le salut ne se rachète pas ou ne se mérite pas. Il se reçoit par grâce, comme cadeau immérité de la part de Dieu.

Le monde des morts

La Bible révèle que la mort est temporaire. Les morts ne resteront pas morts pour toujours (4). Ils reviendront à la vie sous une forme immortelle. Incidemment, ce n’est pas une spéculation gratuite : Jésus est mort et il est revenu à la vie. Ce qui lui est arrivé, c’est ce qui arrivera un jour à tous les êtres humains.

Dans ce contexte, il serait malsain de nous focaliser sur la mort, comme si elle était la fin de tout. Le message biblique nous donne un autre sujet d’occupation qui revêt une importance beaucoup plus cruciale : ce que nous deviendrons après la mort.

En effet, les morts attendent tous dans un lieu de séjour provisoire (mais qui n’est pas le purgatoire), que vienne le temps du jugement dernier. A un moment donné, nous serons tous jugés par Dieu, selon le bien et le mal que nous aurons fait (5). Il y aura à ce moment deux possibilités et seulement deux, pour chacun de nous. Soit nous serons accueillis par Dieu dans un lieu où le mal ne sévira plus, le “paradis”(6) ; soit, ayant persévéré toute notre vie dans le reniement de Dieu, nous serons séparés de Lui pour l’éternité, en conformité avec notre choix.

Ce que nous appelons souvent « le ciel » en y plaçant à tort tous les morts, n’est qu’une croyance sans fondement biblique. Seul Dieu sait qui ira avec Lui dans le paradis. Toutefois, celui qui, de son vivant, a invité Jésus dans sa vie, reçoit de la part de Dieu l’assurance que son salut est d'ores et déjà acquis. Il ira donc avec Dieu après sa mort. Au contraire, pour celui qui ne veut pas de Dieu, il en résultera beaucoup de souffrance, dans un lieu privé d’amour, que l’on appelle l’enfer (7).

Le seul moyen d’aller auprès de Dieu, dans un monde où le mal ne régnera plus, c’est de voir ses fautes pardonnées. Et le seul moyen d’obtenir un tel pardon, c’est Jésus qui nous l’offre. Il nous faut reconnaître nos fautes devant Dieu, accepter le pardon que Jésus a obtenu pour nous par sa mort, et changer de vie.

Jésus nous montre la nécessité de choisir, durant notre vie sur terre, notre éternité : soit l’on accueille son pardon pour être sauvé (8), soit l’on agit en insouciant et la conséquence sera que l’on ne réglera jamais à temps notre réconciliation avec Dieu (9).

Jésus dit : « Moi, je suis le premier et le dernier, le vivant. J'ai été mort, et voici: je suis vivant pour l'éternité ! Je détiens les clés de la mort et du séjour des morts »(10). Il est le seul homme à avoir expérimenté la mort et à en être revenu vainqueur. Sa victoire peut être la nôtre. Dieu contrôle la mort et nous donne au travers de Jésus la possibilité de la traverser vers une vie éternelle meilleure ! C’est un grand réconfort pour tous ceux qui accueillent Jésus dans leur vie. Si la mort reste un passage difficile, et si la séparation qu’elle crée reste une grande douleur, ils peuvent malgré tout vivre ces moments dans la joie et l’espérance : « Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, même s’il meurt »(11).

Notes: 1) 1ère épître aux Corinthiens ch.15 v.12-20 / 2) Epître aux Hébreux ch.9 v.27 / 3) Evangile de Jean ch.3 v.36 ; 2ème épître aux Corinthiens ch.6 v.2 / 4) 1ère épître aux Corinthiens ch.15 v. 51-53 / 5) 2ème épître aux Corinthiens ch.5 v.10 / 6) Apocalypse ch.21 v.1-7 / 7) Apocalypse ch.20 v.11-15 et ch.21 v.8 / 8) Epître aux Romains ch.10 v.9 / 9) Evangile de Luc ch.13 v.5 / 10) Apocalypse ch.1 v.18 / 11) Evangile de Jean ch.11 v.25



Y a-t-il une vie après la mort ? par Florent Varak

  • La mort : on en rigole souvent, quand on n'est pas en train d'en avoir peur ou de l'ignorer. Qu'est-ce qui se passe après la mort ? Comment savoir ? Si on examinait ensemble différents points de vue actuels...?



La mort, on en rigole le plus souvent. Un proverbe français dit : « il n'y a que deux choses certaines dans la vie... La mort et les impôts ». Marcel Aymé a écrit : « La vie, ça finit toujours mal ! » ; Pierre Dac : « il est mort d'un manque de savoir vivre ». Woody Allen n'est pas en reste : « ce n'est pas que j'ai peur de la mort, mais je ne voudrais pas être là quand ça m'arrivera ».

Qu'est-ce qui se passe après la mort ? Comment savoir ? En Occident nous vivons dans des sociétés qui ont banni la mort. On meurt dans des hôpitaux, loin des siens, et les cimetières ne sont plus là, juste à côté des maisons. Du coup, la force de la mort n'est plus trop présente. Pourtant, ce sujet est important ! Il y a dans le monde 1,59 morts par seconde !! Nous avons 100 % de chance d'y passer ! Non seulement la mort existe, mais en plus elle est définitive dans ses conséquences.

Quand elle ne nous fait pas rire ou quand nous ne l'ignorons pas, la mort fait peur : « Le seul problème qui non seulement me préoccupe mais qui m'effraie, c'est l'idée de la mort. »(Salvador Dali). César Borgia, habile homme politique italien du XVe siècle, a dit peu avant de mourir : « Dans toutes les circonstances de ma vie, j'ai été prévoyant et j'ai toujours pris toutes les dispositions nécessaires. Et voilà que maintenant je dois mourir sans y être préparé. ». « Je vois le marbre des tombeaux tomber en poussière et je ne veux pas mourir. » (Denis DIDEROT). J'ai personnellement connu la femme de chambre d'un académicien, un homme respecté, avec son savoir, son parcours professionnel exemplaire. Vous savez quoi ? Il pleurait tous les soirs. Parce qu'il avait peur de mourir.



Il est important de se questionner sur la mort. Elle éclaire la vie. Parce qu'elle est poignante quand un bien aimé nous est retiré, par exemple. Si on pouvait avoir une seconde chance, vivrions-nous exactement comme maintenant ? Comment nous comporterions-nous si nous savions que nous allons mourir bientôt ? Quelqu'un a dit, « si on n'est pas prêt à mourir, on n'est pas prêt à vivre ». L'historien Georges Duby, lors d'une interview publiée dans l'Express (Avril 94), a affirmé que les hommes d'aujourd'hui ont plus peur de la mort que ceux du Moyen Âge. Pour appuyer son hypothèse, il cite le succès extraordinaire des "charlatans qui vendent toutes sortes de talismans pour essayer de vaincre l'adversité, de prévoir l'avenir, de se défendre contre les forces mauvaises" et les "maladies de l'âme" dont "beaucoup viennent certainement de ce sens d'impuissance des hommes face à leur destin". Il termine l'interview en disant "ce que je vois surtout, c'est que le matérialisme ne satisfait pas l'immense majorité des gens. Ils sont en quête de quelque chose de plus".

Je ne sais pas si vous êtes en quête de quelque chose de plus, s'il y a une angoisse ou une inquiétude à ce sujet, ou simplement des questions... Examinons ensemble les différents points de vue actuels :

La perspective des athées




Jacques Monod disait : « L'homme sait enfin qu'il est seul dans l'immensité indifférente de l'univers d'où il a émergé par hasard ». L'athéisme est une croyance, la croyance que la vie n'a pas de sens ni de but. Elle est, c'est tout, sans cause, sans raison, sans bien ni mal. N'existent que des subjectivités. Il nous faut vivre comme bon nous semble sur terre, parce qu'après c'est fini. Nous ne sommes-là que pour propager et conserver l'espèce.

Mon avis sur la question est que ce système exige plus de foi que la croyance en un dieu quelconque. L'absence de preuve de l'existence de Dieu n'est pas la preuve de son absence. En fait, très peu de gens sont véritablement athées. Qui veut d'une vie absurde ? La situation du bloc soviétique après 70 ans d'athéisme montre bien que cette idéologie n'a pas de bonnes conséquences. L'engouement pour la recherche d'une vie extra-terrestre manifeste que nous avons besoin de ne pas être seuls, que nous avons besoin d'espoir, pour vivre une vie qui a du sens. Un auteur américain écrit : « Le meilleur espoir d'un athée est une mort qui anéantisse tout - un espoir, nous rappelle Shakespeare, qui s'inscrit en faux contre la conscience et l'instinct de l'univers ».

Les morts vivants et les expériences de mort imminente (Near Death Experience)

Beaucoup de films prennent comme hypothèse de départ pour leur scénario, que les morts peuvent rester encore sur terre après leur décès, avant de partir vers un ailleurs inconnu. C'est l'occasion pour ces morts de régler des comptes, de s'améliorer en vue d'un jugement, de prévenir leurs proches d'un danger... Certains croient en ces choses et pour eux, certaines manifestations physiques dans leurs maisons sont dues à la présence de parents décédés. Certaines personnes hospitalisées disent aussi avoir vécu des expériences de mort incomplète, avant de revenir à la vie. Elles voyaient de la lumière au bout d'un tunnel ou disaient avoir quitté leur corps et vu distinctement les lieux et les gens autour d'elles. Est-ce que cela peut nous indiquer un début de réalité ?

Avoir l'impression de quitter son corps n'est pas le propre d'une « mort incomplète ». Sous LSD, ou encore dans certaines expériences de yoga, ou tout bonnement lors d'opérations médicales normales, plusieurs ont témoigné vivre la même expérience. Les médecins expliquent très bien ces phénomènes : pour une raison ou une autre, le cerveau, en manque d'oxygène ou sous l'effet de substances, a des hallucinations de ce type. Nous ne pouvons donc pas nous baser là-dessus pour essayer de savoir ce qui se passe une fois qu'on est mort.

Souvent, les personnes qui ont l'impression qu'un de leur proche est encore là, bien que disparu, n'ont pas encore fait le deuil de cet être cher. Une fois qu'elles ont accepté son départ, les « manifestations » s'arrêtent. Des phénomènes de nature surnaturelle peuvent aussi parfois être à l'origine de « manifestations », mais il est très douteux que les disparus soient vraiment à leur origine. Et ce n'est pas ici le propos de savoir si on peut ou non communiquer avec les morts. Disons qu'au mieux cela pourrait aller dans le sens que l'existence continue après la mort...

La perspective de la spiritualité orientale

Je ne vais pas rentrer ici dans le détail de la réincarnation, croyance venue de l'Asie du Sud-Est. Pour plus de renseignements à son sujet, je vous invite à consulter mon livre, dans lequel j'étudie la question (« la réincarnation » aux éditions Clé) Que l'on sache seulement que si beaucoup d'Orientaux croient en la réincarnation, ils cherchent aussi à l'éviter à tout prix. Ce n'est pas quelque chose de « bien » comme nous avons tendance à le penser en occident. Se réincarner, c'est ne pas avoir réussi à devenir meilleur. De plus, l'ultime but est l'anéantissement personnel final, la dissociation dans le Grand Tout. C'est donc la croyance en plusieurs existences terrestres après la mort dans un premier temps, pour être ensuite une non-existence absolue.

Pour ma part, je trouve que cette hypothèse ne cadre pas avec la réalité, pour des raisons simples : 1) si nous nous réincarnons, comment se fait-il que la population ne cesse de croître au lieu d'être stable ? 2) Nous sommes sensés nous réincarner pour devenir meilleurs et disparaître ensuite. D'où vient alors que l'humanité est loin de s'améliorer. À part le progrès technique, on ne peut pas dire que le mal ait régressé sur terre... 3) Les occidentaux qui affirment être la réincarnation de quelqu'un le sont curieusement de gens célèbres. Nulle mention de réincarnation d'un mécréant ! Serait-ce trop bas pour leur ego ? 4) Enfin, surtout, il n'y a vraiment aucune preuve cohérente qu'un tel système soit une réalité.

La perspective des religions monothéistes

Les grandes religions monothéistes, c'est bien connu, annoncent la perspective d'une vie après la mort. C'est même le but ou l'espérance des croyants, que leur vie ici sur terre sera jugée assez « bonne » pour qu'ils aillent au paradis. Dans le cas contraire, leur existence continuera également, mais c'est l'enfer qui les attendra : un lieu de tourment, diversement décrit selon les livres saints (le paradis est dépeint lui aussi de manière différente)

Toutefois, ni le judaïsme ni l'islam n'apportent de preuves quant à leur foi. « Il est écrit » est la réponse. Elle renvoie donc le fidèle à sa confiance au dieu auquel il croit. Plus, aucun croyant, même s'il est chef religieux d'une de ces institutions, n'a la certitude d'aller au paradis. Cela dépendra du bon vouloir de dieu, quelque bonne conduite que la personne ait essayé d'avoir.

L'originalité du christianisme biblique




Le christianisme fondé sur la Bible diffère des deux autres religions monothéistes en ce qu'il répond explicitement à la question de la vie après la mort. Hardey, un scientifique canadien a dit : « En examinant les religions, je me suis posé deux questions : quelqu'un a-t-il jamais conquis la mort ? Et si oui, m'a-t-il donné le moyen de la vaincre également ? Or je sais que Bouddha, Confucius, Mahomet sont morts. Mais la tombe du Christ est vide. Il n'y en a qu'un qui a vaincu la mort et qui nous offre une existence éternelle semblable à la sienne ».

Il y a donc quelque chose de radical et d'unique dans la vie du Christ : il est mort et est ressuscité après. Il est ensuite monté au ciel, auprès de Dieu, où il est toujours vivant. C'est en tout cas ce qui est relaté dans les Évangiles. Aucune religion dans le monde n'a encore osé aller aussi loin dans ses affirmations et s'attaquer au problème de la vie après la mort de cette façon. Voilà pour la première fois dans toute l'Histoire de l'humanité quelqu'un en chair et en os qui revient de derrière la mort pour nous en parler !

Mais si cet événement est unique dans l'Histoire et spectaculaire en soit, peut-on s'y fier ?

On pourrait dire qu'il n'y a en aucune « preuve » au sens scientifique du mot, car les faits sont trop éloignés de nous pour ça. Cependant bon nombre d'éléments sont de sérieux arguments. En voici quelques-uns : 1) La tombe de Jésus-Christ est effectivement vide et cela fait 2000 ans. Il était impossible aux Juifs de l'époque d'en ravir le corps du défunt car les soldats romains avaient ordre de la garder pour empêcher justement que cela arrive. 2) Jésus-Christ est apparu à plusieurs personnes après sa mort, parfois à quelques individus seulement, parfois à plusieurs centaines à la fois. Il a vécu et mangé avec les gens de son entourage pendant 40 jours après sa crucifixion, avant d'être enlevé au ciel sous les regards de plusieurs. Difficile de tenir secrets de tels événements, encore plus de les inventer. 3) Des chrétiens de toutes les époques n'ont pas eu peur de la mort et ont affronté des supplices inhumains, sûrs de leur devenir.

L'histoire qui est arrivée à Francis Gajowniczek en est un bel exemple. Il était prisonnier à Auschwitz quand un compagnon de détention réussit à s'évader. La discipline standard quand quelqu'un s'évadait consistait à choisir 10 hommes au hasard et à les placer dans une cellule où on les laissait mourir de faim. Quand Gajowniczek entendit prononcer son nom, il soupira : «Ma femme et mes enfants !». À ce moment, un prêtre franciscain et compagnon de détention, du nom de Koble, s'avança et dit : «Je vais mourir à sa place. Je n'ai ni femme ni enfants». Le commandant lui accorda sa requête. Depuis, Gajowniczek est retourné chaque année à Auschwitz le 14 août pour se souvenir de l'homme qui est mort pour lui ce jour-là en 1941. Et dans son jardin, il a érigé une plaque en l'honneur de ce prêtre et pour rappeler aux autres son grand sacrifice.

Ce prêtre savait où il allait et la mort n'était pour lui qu'un passage. Les chrétiens qui expérimentent concrètement l'amour et la présence de Dieu dans leur vie ont eux aussi cette espérance qui d'ailleurs n'en est plus une. C'est en effet une conviction certaine, que Dieu lui-même leur a donnée en leur parlant, qui rend si confiants ces chrétiens.

Christ a dit : « celui qui boira de l'eau que je lui donnerai n'aura jamais soif, et l'eau que je lui donnerai deviendra en lui une source d'eau qui jaillira jusque dans la vie éternelle » (Évangile de Jean ch. 4 v.14). « Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, même s'il meurt et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais » (Évangile de Jean ch.11 v. 25-26).

Les propos, la vie, la mort et la résurrection de Jésus-Christ méritent qu'on s'arrête dessus pour s'interroger. Si c'était vrai ? Il n'y a nulle part aucune autre réponse quant à la vie après la mort. Cela vaut le coup d'y réfléchir sérieusement et surtout d'ouvrir son coeur à Dieu. Que risquons-nous ? Absolument rien, quand on y songe. Nous avons au contraire tout à y gagner !


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