Lettre à Dieu?

« Dieu..!?

Que vous êtes bon, que vous êtes gentil et s'il fallait compter le nombre de bontés et de gentillesses que vous nous avez faites il ne finirait jamais... Dieu ? C'est vous qui commandez. C'est vous qui êtes la justice, c'est vous qui récompensez les bons et punissez les méchants. Dieu ? Après cela je pourrai dire que je ne vous oublierai jamais. Je penserai toujours à vous, même aux derniers moments de ma vie. Vous pouvez être sûr et certain. Vous êtes pour moi quelque chose que je ne peux pas dire, tellement que vous êtes bon. Vous pouvez me croire. Dieu ? C'est grâce à vous que j'ai eu une belle vie avant, que j'ai été gâtée, que j'ai eu de belles choses, que les autres n'ont pas. Dieu ? Après cela, je vous demande qu'une seule chose : FAITES REVENIR MES PARENTS, MES PAUVRES PARENTS, PROTÉGEZ-LES (encore plus que moi-même) QUE JE LES REVOIS LE PLUS TÔT POSSIBLE, FAITES LES REVENIR ENCORE UNE FOIS. Ah ! Je pouvais dire que j'avais une si bonne maman et un si bon papa ! J'ai tellement confiance en vous que je vous dis un merci à l'avance. »

...come bad in my dark sanctuary, inclined to the solitude and to the suffering, where the horror gets involved in the beauty and the fantasy is next(goes alongside) to the aestheticism. The taciturn life of an angel in the broken wings living in this world.

Black angel, say, me that you suffer how those who suffer in the Middle East or in Africa! No, and indeed know that nobody living in these places, subjected to an inequitable suffering bigger than the one that " you know ", shout in the day " Thanks to God " and ask God constantly!!

The real project of satan on earth(ground) (the real project of Satan one Earth)

  • De mal en pis dans mon sanctuaire sombre , enclin à la solitude et à la souffrance , où l’horreur se mêle à la beauté et le fantastique côtoie l’esthétisme . La vie taciturne d’un ange aux ailes brisées vivant dans ce monde .

Ange noir, dit, moi que tu souffres comme ceux qui souffrent au proche Orient ou en Afrique ! Non, et bien sache que les personne vivant dans ces lieux, soumis à une souffrance injuste plus grande que celle que "tu connais", crient au jour "Grâce à Dieu" et prient Dieu constamment !!

  • Le vrai projet de satan sur terre (the real project of Satan on Earth)

Pouvoirs occultes, oppression politique et paupérisation économique:

La déshumanisation de la vie politique, économique et culturelle à l’échelle mondiale allant de pair avec la multiplication des sectes fondamentalistes et fanatiques en provenance de l’Occident a souvent amené certains observateurs de divers bords à considérer que des forces occultes négatives sont constamment déployées dans certains cercles très fermés décidés à avoir la mainmise totale sur toute l’Humanité par tous les moyens, et disposer ainsi du droit de vie et de mort sur les Peuples et Nations. S’il est vrai qu’une telle affirmation frôle la théorie fantastique et sans doute imaginaire de la «conspiration mondiale», il est pourtant judicieux de constater que la dureté de coeur légendaire des dictateurs africains et de leurs parrains occidentaux, leur insensibilité notoire envers la misère révoltante de leur propre Peuple, leur goût morbide pour le crime de sang crapuleux et leur cleptomanie quasicongénitale sont autant d’arguments solides qui permettent d’affirmer qu’une catégorie de concitoyens est sous l’influence des Forces occultes destructrices qui entravent la cohésion sociale et nationale, le progrès intellectuel et économique, l’épanouissement culturel et spirituel.

Une telle confiance en Dieu ne peut pas faire de Dieu une invention de l'homme !! Poussez votre réfléxion et votre ouverture d'esprit !...

La croyance dans la possibilité de relations sexuelles entre un esprit infernal et un mortel, homme ou femme, est très ancienne et présente sur la Terre entière. Dans la mythologie grecque, le fruit d’une telle union étrange était un demi-dieu. Avec l’arrivée du christianisme, ces choses ont pris un aspect plus sombre. Les incubes et les succubes ont été considérées comme démoniaques.

  • L’incube est regardé comme le démon qui débauche les femmes
  • la succube débauche les hommes.
  • Possession et damnation de l'ame

Damné, damnation, condamnation

SELON L'EVANGILE DE JUDAS: *Ensemble de la vie n'est que souffrance matériel

La démarche de Judas et son péché final 2.32 : La démarche de Judas et son péché final 2.32. Un penntâcle a cinq branche, cinq bougie, Un homme, Une allumette,

  • La vie, ensuite, n'a plus de fin, car l'âme ne meurt pas, c'est à dire ne s'anéantit pas. Elle meurt à son destin qui est céleste mais survit à son châtiment. Elle meurt à ce bienheureux destin quand elle meurt à la Grâce... Cette vie, atteinte par une gangrène qui est la mort à son destin, se prolonge le long des siècles dans la damnation et le tourment. 2.85
  • Il n'est permis qu'aux damnés de se séparer de Dieu. 2.86
  • Leur mort c'est la damnation qui est encore existence, oui, mais une existence dépourvue de ce qui est la Vie vraie et la joie éternelle, c'est-à-dire de la vision béatifique de Dieu et de son éternelle possession dans la lumière éternelle. 4.152

Mais pour l'un de vous, le Sang ne sera rien et le Feu ne sera rien, car le Sang aura eu pour lui le pouvoir de le damner et il connaîtra éternellement un autre feu dans lequel il brûlera vomissant du sang et avalant du sang, parce qu'il verra du sang partout où il posera son regard mortel ou son regard spirituel du moment qu'il aura trahi le Sang d'un Dieu. 5.51

Oui, je vous le dis. Bien souvent Dieu, le Tout Puissant, le Tout, attend qu'une créature, un rien, fasse ou ne fasse pas un sacrifice, une prière, pour signer ou ne pas signer la condamnation d'un esprit. Il n'est jamais tard, jamais trop tard pour essayer et espérer de sauver une âme. 7.216

Il est dit aussi qu'à celui qui invoquera un succube ou incube pourra lui donnée un nom..

  • Dans les autres ouvrages de Maria Valtorta

Cahiers de 1943

Catéchèse du 7 juin : En vérité, je te dis que plus des deux tiers de la race humaine appartiennent à cette catégorie qui vit sous le signe de la Bête. Pour elle, je suis mort en vain. La loi de ceux qui portent le signe de la Bête est en opposition à ma Loi. Dans l’une domine la chair qui engendre les œuvres de la chair. Dans l’autre domine l’esprit qui engendre les œuvres de l’esprit. Là où l’esprit domine est le règne de Dieu; là où domine la chair est le règne de Satan.

Cahiers de 1944

Catéchèse du 15 janvier : Celui qui est destiné à l’enfer l’endure pour l’éternité car aucune nouvelle résurrection ne provient de cette mort-là. J’ai dit que ce feu est éternel et que tous les artisans de scandales et d’iniquités s’y retrouveront...

http://www.grioo.com/blogs/malon/index.php/2010/02/17/3114

Psychiatrie

  • La psychiatrie est une spécialité médicale traitant de la maladie mentale ou des maladies mentales. L'étymologie du mot psychiatrie provient du grec psyche. D'où le "psyché (âme ou esprit) négrier (du nègre, noir)"

Qui signifie : âme ou esprit, et iatros qui signifie médecin (littéralement médecine de l'âme). Le terme psychiatrie a été introduit par Johann Christian Reil en 1808 qui, d'emblée, a situé cette spécialité sous le signe de traitements qui comprenaient le traitement psychologique (aujourd'hui on dirait psychothérapie).

Le champ de la psychiatrie s'étend du diagnostic au traitement, en passant par la prévention des troubles mentaux. Pratiquée ordinairement par un psychiatre, la discipline est connexe à la pédopsychiatrie, qui concerne les enfants, à la psychogériatrie, destinée aux personnes âgées ou encore à la neuropsychiatrie.

  • Histoire

Les origines de la psychiatrie



Emil Kraepelin a étudié et proposé des idées de classification des maladies mentales.L'histoire de la psychiatrie est relativement brève. C'est une discipline jeune. En 1656, Louis XIV décréta l'ouverture des hôpitaux de France, dans le but d'enfermer toute personne qui n'est pas en ligne avec la société de l’époque : des "débauchés", des pères dépensiers, des fils prodigues, des blasphémateurs, etc... Ceci marqua le début de "l'emprisonnement à grande échelle des fous".

Ces hôpitaux n'étaient enclins à aucune thérapie. Les conditions qui y régnaient faisaient leur réputation. Les détenus sont enchaînés, mal traités, et y sont flagellés. Ces détenus vivaient dans des conditions insalubres. C'est dans ces conditions que les gardiens de ces hôpitaux développaient leur "expertise en psychiatrie". Les détenus sont souvent jetés dans une fosse grouillante de serpents afin de les ramener à la raison.

Bien que travailler dans les asiles ne soit pas le plus valorisant, ces gardiens se positionnaient comme porteurs exclusifs et légitimes d’une discipline médicale nouvellement créée. D'après eux, c'est un art et une science aussi complexes que la chimie...

Le mot "psychiatrie", inventé en 1803 par Johann Christian Reil, signifie "étude de l'âme". Il fut le premier à affirmer que les méthodes de traitement psychique relevaient des méthodes médicales et chirurgicales les mieux étudiées. Ces traitements consistaient en massages, corrections, flagellation et opium. D'autres méthodes consistaient à faire tourner les "fous jusqu'à ce que du sang coulait de leurs bouche, oreilles et nez.

Emil Kraepelin en 1918 a défini le psychiatre comme un chef qui pourrait intervenir sans pitié dans les conditions de vie des gens et obtiendra sûrement la diminution de la folie.

Le mot psychiatrie date de 1808 (Johann Christian Reil 1759-1813) et est enregistré en 1842 ; il reste cependant peu usité jusqu'au XIXe siècle.

C'est après la Révolution française que la psychiatrie s'est érigée en discipline médicale et que le statut de malade a remplacé celui de « fou ». Dans l'esprit de rupture de la Révolution, ce n'est plus l'Etat qui décide de l'internement mais le préfet (dans l'intérêt général) et le médecin (dans l'intérêt du malade). La folie ne pouvant être un crime, un statut médical est créé ainsi que des hôpitaux correspondants qui sont en fait souvent des établissement privés. Cette nouvelle perception de la folie et les lois qui en découlent sont imputables au mouvement dit des "aliénistes" dont on peut notamment citer Pinel ou Esquirol. La loi du 30 juin 1838 peut se résumer à une législation qui doit veiller a ce que les maux d'un homme souffrant et malheureux soient adoucis, et sa guérison obtenue si possible, et en même temps prendre des mesures qui ôtent à un être dangereux pour les autres ou pour lui-même les moyens de faire le mal".1 A cette époque, les malades mentaux étaient considérés comme aliénés, c'est-à-dire non soumis à la raison et en quelque sorte esclaves de leur déraison.

L'évolution de la discipline s'est particulièrement faite en Europe avec l'Ecole française, animée de figures comme Philippe Pinel, Esquirol, Henri Ey ou encore Charles Lasègue et avec l'Ecole allemande, de Wilhelm Griesinger à Emil Kraepelin. De ces auteurs, on retiendra surtout les premiers grands systèmes de classification des maladies mentales, mais aussi leur prise en compte du traitement psychique (on disait aussi moral) des troubles.

Aux Etats-Unis, les pionniers dans le traitement des patients sont Eli Todd et Dorothea Dix. En particulier, Todd fonde en 1823 un hôpital d'aliénés dans le Connecticut, avec une forte participation financière de la part du gouvernement américain.

Loi du 30 juin 1838

Les résultats thérapeutiques étaient relativement isolés, la pharmacopée était peu développée et les cures morales nécessitaient un grand investissement souvent réservé aux privilégiés. En pastichant Michel Foucault, on pourrait dire que le rôle des psychiatres, des asiles puis des hôpitaux psychiatriques (HP) était de surveiller, isoler, classifier et ramener à la raison les malades. Leur condition de vie était souvent déplorable, les progrès dans l'hébergement ou dans la prise en charge se sont faits par paliers. Les grands ensembles hospitaliers, éloignés des villes, vivant en autarcie étaient souvent la règle. Ce n'est que dans la deuxième partie du XXe siècle que certains hôpitaux seront construits en ville dans le but affirmé de désenclaver la folie.

On retiendra notamment qu'en France, durant la Seconde Guerre mondiale, dans les hôpitaux psychiatriques, 40 000 patients sont morts parce qu'ils avaient été négligés, oubliés et parfois tout bonnement privés de nourriture.

  • Avènement de la pharmacopée et de la psychanalyse

L'apparition de traitements psychotropes efficaces date des années 1950, et leur diffusion s'étend jusqu'aux années 1960 voire 1970. Certains psychiatres comme Henri Baruk et, dans une moindre mesure, Henri Ey s'opposaient à leur utilisation, les considérant comme une camisole chimique et disant que l'on ne peut se limiter a la prescription sans traiter les symptômes. L'introduction des premiers neuroleptiques, le largactil puis l'halopéridol, fut une véritable révolution dans les services de psychiatrie et dans la prise en charge des malades psychotiques2. Ces nouveaux médicaments permettaient de calmer les malades agités, délirants, hallucinés et ainsi permettre d'envisager et de généraliser des traitements psychiques dans des conditions plus réalistes ou encore, lorsque c'était possible, d'envisager un retour au domicile ou dans des structures intermédiaires.

En France, le scandale de l'abandon des malades pendant la guerre, le renouveau démocratique et l'engouement pour les idéaux humanitaires d'égalité, de solidarité a donné naissance à des expériences de structures thérapeutiques très originales, dans et hors des murs de l'hôpital. La question du « malade mental » est complètement repensée. Alors que jusque-là prévalaient surtout les dogmes d'internement ou d'enfermement des malades, un processus d'externalisation et de désinstitutionnalisation a été entrepris. Ce processus aboutira en France notamment à la création du système dit de psychiatrie de secteur avec l'adoption d'une circulaire en 1960. On peut définir le secteur comme une zone géodémographique, la continuité de la prise en charge globale de la santé mentale d’une population par la même équipe dans un esprit de rupture avec la pratique ségrégative et hospitalocentriste d'avant la deuxième guerre mondiale. Avec des services dotés de beaucoup moins de lits, mais de davantage de structures alternatives, intermédiaires (hôpitaux de jour, etc.) à l'hospitalisation. Le rôle des patients est aussi devenu plus actif par le biais d'associations ou encore de clubs de sociothérapie.

Le mouvement se poursuit dans les années 1970, en partie du fait de l'avènement des psychothérapies notamment psychanalytiques et des courants de l'antipsychiatrie3et du mouvement désaliéniste.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Psychiatrie

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