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samedi 27 mars 2010

_____Le bonheur n'est aparament pas fait pour moi : Un tee-shirt, 4 paires de chaussettes, 3 slips...«Un détenu sur dix manifeste les syndromes du choc carcéral: peur, tremblement, inquiétude, crises d'angoisse»,

C’est vrai que j’ai vécu beaucoup de violences dans ma vie, mais la violence qui existe en prison est quelque chose d’inimaginable et d’impensable. Dès ta première sortie en promenade, tu comprends très vite que ce n’est pas la rue, mais c’est la jungle. Si tu n’as pas de « vice », les autres détenus vont s’en apercevoir très vite et là, tu vas connaître la véritable souffrance : le racket, les agressions, le viol, l’humiliation… L’univers carcéral est un monde de grande violence. Tu es mélangé avec les criminels, les violeurs, les lourdes peines. Ces gens-là n’ont plus rien à perdre, alors ils essaient de créer une nouvelle vie en prison. Une vie basée sur la loi du plus fort.

Ceux qui ont besoin de se défouler, trouvent des victimes, des souffre-douleur ; on se prend des coups de lames de rasoirs, des coups de fourchettes pour des embrouilles à la « con ». Et tu es obligé de fermer ta « gueule » sinon tu es considéré comme une « balance ». Motif qui t’en fera baver encore plus. Le viol est une pratique courante en prison. Si le type a de grosses pulsions sexuelles, tu deviendras « sa chose » et il ne se gênera pas pour « te faire les fesses » à chaque fois qu’il en a envie. Alors, si tu n’es pas assez fort et que tu en as marre de ce calvaire, de cet enfer, il te viendra à l’idée de te couper les veines ; j’en ai vu un, ce n’est plus des bras qu’il avait mais des cratères tellement il s’était coupé les veines : au moins une vingtaine de fois.

Souvent, j’entends des jeunes parler du placard comme si c’était des vacances tranquilles : tu regardes la télé, tu manges, tu dors, tu vis bien quoi. Si tu crois à ces conneries et que tu te retrouves un jour au placard, dans ce trou à rats, tu risques d’être déçu. Enfermé entre quatre murs, tu vas comprendre ce que c’est que la souffrance. C’est horrible tout ce qui se passe en prison. Non seulement tu es privé de ta liberté mais il peut t’arriver les pires cauchemars que tu n’aurais jamais pu imaginer. Si tu as du courage et de l’espoir, tu ne penses qu’à une chose : sortir de ce trou pour ne plus y revenir. Si tu crois que la prison c’est le « Club’Med, eh bien tu n’as rien compris. La prison c’est vraiment la misère, c’est l’enfer, tu ne vis plus, tu es obligé de te soumettre à plus fort que toi, et ton seul « droit », c’est de fermer ta gueule. Personne ne lèvera le petit doigt pour toi, personne ne se souciera pour ta souffrance. Et, pour la justice, tu es là pour souffrir. Les plus malins, eux, font les fous pour esquiver les situations entre détenus et avec les matons.

Ta vie dépend de ton juge. À ces moments-là, tu pries pour revenir en arrière et que tout cela se termine. Mais la dure réalité de la prison est là pour te faire perdre ce petit espoir. Les sentiments d’injustice et de haine se mélangent dans ta tête, alors tu craques et tu penses faire des folies et risquer de voir ta peine se prolonger ou tu essayes de mettre fin à ta vie, cette vie à laquelle tu tiens tant. Répondre à la violence par la violence, ou se couper les veines. Pour les matons tu n’es qu’un matricule parmi d’autres. Ils n’ont aucun respect pour ta gueule et ils te traitent comme un chien.

  • Le bonheur n'est aparament pas fait pour moi : ...eeuuh il croit qu'il vent pouvoir humaniser la prison!

Un tee-shirt, 4 paires de chaussettes, 3 slips...



Dans la salle du dépôt, les détenus viennent chercher leur kit de douche. Pour certains, ce sera le premier geste d'hygiène corporel depuis la garde à vue, il y a 48 heures. Un tee-shirt, 4 paires de chaussettes, 3 slips, une serviette, du gel douche, une paire de tongues… «C'est une nette amélioration. Exemple: la serviette que l'on a réussi à agrandir un peu. Mais ce n'est pas suffisant, alors j'en demande deux», commente-t-il. Grande gueule, souvent excessif, l'ex-taulard toujours mis en cause dans une affaire d'escroquerie, veut désormais s'attaquer au problème de la religion en prison. La maison d'arrêt de 900 détenus (pour 500 places) est composée de nombreux musulmans selon une source pénitentiaire. Depuis la mi-janvier, un seul imam, embauché à temps plein, a répondu à 160 entretiens. Payé 805 € par mois, il ne pourra pas exercer longtemps à ce prix-là. «Pourtant, il est prouvé que nous faisons baisser le taux de récidive et donc de la population carcérale», conclut Warrach Yaniss, l'imam de la prison.

900 détenus pour 500 places



«Un détenu sur dix manifeste les syndromes du choc carcéral: peur, tremblement, inquiétude, crises d'angoisse», raconte le gardien de la fouille. Incarcéré pendant vingt mois dans les années 1990 pour abus de biens sociaux, Pierre Botton n'hésite pas à rentrer dans le lard de l'administration pénitentiaire pour se faire entendre. «Regardez, maintenant on peut s'allonger sur les bancs des cellules d'attente. Avant, il n'y avait que deux lattes. Remarquez, la culture ici, c'était de mettre les détenus par terre», balance-t-il. Le sous-directeur de l'état-major de sécurité, Stéphane Scotto, garde son sang-froid. «Vous véhiculez une vision passionnée qui est datée. L'important pour tout le monde, c'est que les bancs sont là», rétorque-t-il. Face aux cellules, deux écrans plats projetteront un film de six minutes, détaillant les droits des détenus. L'inspection se poursuit plus loin, où la fouille intégrale a lieu. Un porte-manteaux en caoutchouc a été posée contre le mur.

http://www.20minutes.fr/article/394362/Paris-Il-est-de-Botton-d-humaniser-la-prison.php

La déclaration des droits de l'homme et du citoyen est écrite à la peinture sur les murs. Et dans les cellules d'attente, des fresques représentent des footballeurs brésiliens. L'homme d'affaires Pierre Botton aura laissé sa griffe au greffe de la maison d'arrêt de Nanterre (Hauts-de-Seine).



Une expérimentation



Depuis mi-janvier, il mène une expérimentation dans cette partie de la prison, où les nouveaux entrants font connaissance avec l'univers carcéral: fouille intégrale, numéro d'écrou, confiscation des biens… Son association, les Prisons du cœur, sous contrôle de la ministre de la Justice, Michèle Alliot-Marie, est chargée d'améliorer les conditions de détention.

  • PRISON - La maison d'arrêt de Nanterre réalise des travaux pour améliorer l'accueil des détenus...

-Pierre Botton, ancien détenu, mène une expérimentation à la maison d'arrêt de Nanterre (92) pour prévenir le choc carcéral./ S. POUZET / 20 MINUTES

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lundi 22 mars 2010

______Capacité en droit : Certificat de Capacité en Droit sorte de « baccalauréat juridique » Ce diplôme existe aussi dans certains pays francophones, notamment en Afrique Algérie, Bénin, Cameroun, Sénégal, .."noir" et la magistrature

Présentation

L'entrée en formation de Capacité en droit est accessible sans conditions de diplôme dès l'âge de 17 ans minimum. Parfois qualifié de diplôme de seconde chance, il est souvent reconnu comme un équivalent du baccalauréat, voire plus, par exemple dans le cadre de la validation des acquis. Néanmoins, elle ne permet que l'accès aux concours de niveau B et n'est pas un équivalent du D.A.E.U.

Il est la « vitrine sociale » des Facultés de droit, où il se prépare généralement, par cours du soir et le samedi, en deux ans, ce qui rend cette formation compatible avec une reprise d'études combinant une activé salariée ou d'autres études. Les enseignants sont généralement :

des professionnels du droit (juristes : avocats, notaires...) des enseignants professionnels (Professeurs d'Universités, maîtres de conférences, chercheurs...) des chargés de cours (doctorants en fin de thèse, attaché temporaire d'enseignement et de recherche...). Programme des deux années modifier La première année de formation est concentrée sur la découverte du droit public (généralement le droit constitutionnel, administratif et finances publiques) et du droit privé (généralement du droit civil et du droit commercial).

En deuxième année, il y a généralement encore des cours de droit administratif et de droit commercial (afin d'approfondir les connaissances). Cependant la seconde année permet une plus grande diversification des branches du droit, et dans certaines universités il y a des choix d'options. Du droit public (administratif spécial, droit fiscal), droit privé notarial, droit social, procédure civile, droit pénal, procédure pénale, droit de l'urbanisme, économie politique, etc. Chaque Université organise le diplôme à sa manière, mais le contenu des cours est souvent le même d'une Université à une autre, puisque le cadre légal de délivrance de ce diplôme est décidé au niveau national.

L'examen qui clôture chaque année comporte un écrit auquel il faut être reçu (épreuve d'admissibilité) avant de passer l'oral (épreuve d'admission). Il y a généralement deux sessions pour passer les examens. Une vers la fin de l'année universitaire (juin), une autre à la rentrée. Tout dépend des universités.

La Capacité en droit peut être préparée par correspondance, par l'intermédiaire du CAVEJ (Centre Audiovisuel d'Études Juridiques) commun aux universités de Paris et au CNED mais aussi à l'école Universelle, chez Educatel ou encore au sein du Réseau Pyramide organisé par l'Université Toulouse 1…

Concernant Toulouse, la Capacité en droit a été réformée, elle se déroule en 3 semestres donnant suite à un 4e semestre (2e semestre de license 1).

Utilité et débouchés Sorte de « baccalauréat juridique » aux vertus propédeutiques, ce diplôme confère automatiquement :

l'accès en première année de Licence en Droit (en seconde année de Licence en Droit sous condition d'avoir la moyenne de 15/20 pour l'ensemble des deux années) ou de DUT Carrières juridiques, ainsi que, sous conditions, à quelques autres formations profilées « droit ».

Il permet aussi de s'inscrire à beaucoup de concours administratifs de catégorie B, pour lesquels la Capacité peut constituer une bonne préparation, compte tenu de la similitude entre la méthodologie et le programme des cours, d'une part, et l'état d'esprit, ainsi que la nature de certaines des épreuves de ces concours, d'autre part.

Carrières dans le privé :

- Collaborateur juridique : même si la Capacité en Droit est fortement concurrencée par des diplômes plus élevés (BTS, Licence, voire Master), elle est encore appréciée, notamment pour des emplois de secrétariat juridique et administratif, dans les services généraux, de contentieux ou de gestion du personnel des entreprises, en particulier dans le domaine des assurances, de l'immobilier et des banques, ou comme collaborateurs des professions juridiques.

Une culture juridique à part entière.

Cette faculté offerte aux non-bacheliers d'intégrer ce qui était considéré comme les voies de l'élite a longtemps alimenté la polémique pendant les deux cents ans écoulées. On fera le parallèle avec la difficulté, de nos jours, à admettre facilement les tierces voies d'accès à quelques grandes écoles (École nationale d'administration, Institut d'études politiques de Paris, etc.). La critique s'étend aujourd'hui à la maquette du diplôme lui-même, qui dépend pour l'essentiel d'un décret du 30 mars 1956, et qui mériterait d'être toilettée, sans dénaturer toutefois ce qui fait l'essence même de ce diplôme : une accessibilité sans réserve et une formation citoyenne de par le choix des matières traitées.

Quelques personnalités connues détentrices de la capacité en droit modifier Gilles de Robien, ancien ministre de l'Éducation nationale, détiendrait une capacité en droit. Il n'aurait pas réussi à décrocher le baccalauréat et se serait alors orienté vers ce diplôme 1.

Jean-Louis Debré est titulaire d'une capacité en Droit. Il est aussi docteur en droit public, titulaire d'un diplôme d’études supérieures de droit public et d'un diplôme d’études supérieures de sciences politiques, licencié en droit, ancien élève de l’Institut d'études politiques de Paris et ancien élève de l’École nationale de la magistrature.

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vendredi 5 mars 2010

_____**Les études de Droit : ce qu'il faut savoir - Etudier Droit-travail - Introduction à l'étude du droit et l'état de droit. L'instabilité politique reste un problème crucial en afrique, l'importance cruciale de l'organisation d'une opposition forte

  • Vide intérieur : qu’est-ce qui me manque ?
  • Alors que nous avons tout au niveau matériel, nous sommes tristes et insatisfaits à l’intérieur : il nous manque quelque chose...
  • Le destin existe-t-il ? Notre destinée est-elle écrite quelque part ? par T.G.
  • Suis-je maître de ma vie ou est-elle prévue d'avance ?
  • ... *Questions aux croyants : Que fait Dieu ?
  • Le bien et le mal absolus existent-ils ?

Les études de Droit : ce qu'il faut savoir



Forum Étude en droit: 1ère année La découverte de l'univers juridique

http://www.reseauetudiant.com/forum/read/f786/i238t238/etude-avocat.htm

Maintenant le code civil est accessible a tous dès l'âge de 17 ans

  • Juridique
  • Greffier
  • Clerc de notaire
  • Assistant de justice
  • Études en droit
  • Avocat
  • Notaire
  • BTS Notariat
  • DUT Carrière juridique
  • ENM
  • CFPN
  • CAVEJ
  • CRFPA
  • Fac de droit
  • Certificat de capacité en droit pour ceux qui n'ont pas le bac "UFR"
  • -Les études de droit vous intéressent ?

Pour faire un bon choix il faut être bien informé, et c’est encore plus vrai pour ce qui est des études juridiques !

  • -Les études de Droit sont réputées difficiles mais attirent de nombreux élèves chaque année. Voici donc ce qui ressort des témoignages d’étudiants en Droit, le programme des cours, les qualités à réunir (de préférence) pour être à l’aise dans le milieu juridique ainsi que les débouchés aux études de Droit.

Le Droit, c’est avant tout une masse monumentale de connaissances juridiques et générales à assimiler, des matières toutes nouvelles pour les étudiants de première année, puisqu’au lycée aucune notion de droit n'est inculquée aux élèves, en sortant du lycée il est donc difficile de faire son choix en toute connaissance de cause.

L’initiation sera faite dès le début de la 1ère année, où il faudra aux élèves apprendre les fondements de notre droit, à savoir l’histoire du droit, la terminologie juridique ou encore l’organisation de la justice. Et si vous ne le savez pas encore, la justice française est loin d’être simple et le souci du détail fait parti de ces études et des professions juridiques, la patience et la motivation sont donc des qualités essentielles d'un étudiant en droit !

Si vous choisissez de faire du droit donc, il ne faut pas avoir peur d’apprendre par cœur, et avoir une bonne capacité d’apprentissage aide fortement, les études de droit sont plus difficiles pour une personne à qui il faut une heure pour apprendre une simple page que pour quelqu’un qui apprend très vite. Il faut savoir s’astreindre à un travail à la maison quotidien et assez important au risque, si ce n’est pas fait, d’être très vite débordé par la somme de choses à apprendre qui s’ajoutent aux préparations pour les Travaux Dirigés. Il faut aller à tous les cours ! On a beau penser que l’on pourra rattraper sur quelqu’un, lorsqu’on a participé au cours il est déjà « enregistré » en quelque sorte, il sera donc bien plus facile à apprendre que si on le découvre pour la 1ère fois.

Pour vous donner un ordre d’idée des nombreuses heures de cours (environ 28 heures par semaine) que vous passerez sur les bancs de la Fac, voici une ébauche du programme de la 1ère année de licence de Droit :

Après une introduction au Droit qui se fait en général dans la plupart des facultés (vu un peu plus haut), commence le programme « normal » avec les matières principales et les options. les cours se partagent entre cours magistraux et TD (Travaux dirigés en plus petits groupes avec dossier à préparer et passages à l'oral). En première année, les matières principales sont le droit civil, avec au programme ces dernières années la filiation, le mariage, le divorce, l’état civil,… Et le Droit constitutionnel ou droit public, où l’on apprend aux élèves les différences entre les systèmes juridiques français et étrangers et l’histoire des différentes constitutions françaises. Au second semestre c’est la constitution française actuelle qui est étudiée en détail. Les options sont ensuite à choisir, avec par exemple l’économie, la gestion, les relations internationales ou encore l’histoire des institutions.

Les 2ème et 3ème années de Licence sont très semblables à la première bien que les matières changent, il n’y a pas de bouleversement majeur. En deuxième année apparaît le Droit Pénal qui plait souvent beaucoup aux étudiants, puis en 3ème années c'est le Droit des affaires qui fait son apparition. Notez que le programme change en fonction des facultés et des années, ainsi il se peut que celui-ci soit un peu différent de ce que vous trouverez dans votre faculté.

Il faut savoir que les 3 premières années de Droit sont très générales et très lourdes, puis plus vous avancez dans ces études plus ce qui est susceptible de vous intéresser se précise et se rapproche pour qu’au final vous en fassiez votre spécialité. Pour ceux qui préfèrent le concret, être rapidement sur le terrain ou dans le monde du travail, mieux vaut préférer un cursus plus court, ou commencer par un BTS Economie-Droit par exemple, et continuer par la suite à la fac si vous vous sentez à l’aise.

Si vous vous engagez dans ces études il faut savoir qu'avec la nouvelle réforme LMD (Licence-Master-Doctorat) le DEUG de droit qui pouvait s’obtenir à la fin de la 2ème année d'étude n'existe plus, a présent il faut trois années de Droit pour obtenir un diplôme : celui de la Licence.

Puis si le licencié le désir il pourra passer sa maîtrise de Droit après deux autres années donc au total après 5 années de Droit. Le doctorat demandant encore 3 années supplémentaires.

L’évaluation pour l’obtention de la Licence se fait par semestre, à l’occasion de partiels à la fin de chaque semestre. Pour les matières faisant aussi l’objet de TD l’évaluation se fait également par un contrôle continu, des examens étant réalisés en séance de TD.

Les débouchés aux études de Droit ?

Le Droit a un gros avantage, c’est qu’il ouvre par la suite de nombreuses voies et pas seulement dans le juridique : vous pourrez accéder au secteurs administratif, de la gestion, du commerce, de la communication, des finances,… Les juristes sont très demandés dans de nombreux domaines, les débouchés ne manquent donc pas. Cela dit, pour avoir une meilleure chance d'obtenir un "bon emploi", une licence de droit ne suffit pas toujours et la maitrise est souvent nécessaire.

Environ 40% des jeunes diplômés en droit s’orienterait vers la fonction publique contre 60% dans le privé.

Pour ce qui est des diplômés en droit public, les impôts, le Trésor, les affaires sociales et la justice sont les principaux recruteurs. Pour les diplômés en doit privé c’est le secteur banque-assurance qui recrute majoritairement. Bien sûr les titulaires d’un Master pourront se voir offrir des emplois très intéressants : avocat, inspecteur des impôts, contrôleur des douanes, il y a également l’école de la magistrature qui admet certes très peu de candidats chaque année mais qui ouvre les portes au métier de magistrat !

A savoir absolument avant de vous inscrire.

Les 3 années de la licence proposent une familiarisation progressive avec l’univers juridique en abordant toutes les catégories du droit. Il y a 2 grandes familles : le droit privé et le droit public. Au fur et à mesure de l’avancement des études, il est possible de se spécialiser dans l’un ou l’autre en fonction de ses goûts et du choix de sa future profession. Mais au fait, savez-vous ce qu'est le "droit privé" et le "droit public" ?

Le droit privé

Son but est la satisfaction des intérêts individuels. Il laisse une certaine liberté aux personnes Il comprend :

  • -le droit civil : les rapports d’une personne (nom, état civil) avec les autres au sein de la famille (mariage, filiation succession, adoption, pacs) ou en dehors de la famille (contrat, propriété)
  • -le droit commercial : l’activité des commerçants (actes de commerce, fonds de commerce, faillite)
  • -le droit du travail : les relations au travail entre employeurs et salariés (contrat de travail, conventions collectives, droits de grève, syndicats
  • -le droit international privé : entre une personne et un élément étranger (mariage avec un étranger, succession d’un français domicilié à l’étranger, acquisition de la nationalité française)

Le droit public

Son but est la satisfaction de l’intérêt général. Il s’impose sans dérogation à toutes les personnes. C’est l’ensemble des règles qui président à l’organisation de l’Etat et gouverne les rapports entre l’Etat et les particuliers. Il comprend :

  • -le droit constitutionnel : la forme de l’Etat, la constitution du gouvernement (Etat unitaire ou fédéral, monarchie ou république, compétences des pouvoirs législatifs ou exécutifs);
  • -le droit administratif : l’organisation des collectivités publiques (Etat, Région, département, commune et des services publics (santé, enseignement);

Ainsi que leur rapport avec les particuliers

Le droit mixte

Il rassemble toutes les infractions et toutes les sanctions :

Les autres matières étudiées

Au programme de la licence, il y a d’autres cours (obligatoires ou optionnels) : sciences politiques, histoire du droit, relations internationales, introduction à l’étude des médias, histoire contemporaine politique et sociale, langues et informatique. L’histoire tient une bonne place dans les études (au moins pour les deux premières années).

Les qualités requises pour réussir en fac de droit Pour réussir en fac de droit, il vous faudra :

  • -un travail régulier et fourni tout au long de l’année
  • -de l’organisation
  • -un esprit de synthèse, rigueur et analyse
  • -un esprit des lois qui facilite la mémorisation
  • -une bonne maîtrise de l’expression écrite ou orale.
  • -une bonne méthodologie nécessaire pour conduire un bon raisonnement (acquise par la pratique).

Quelles difficultés en fac de droit ?

D'abord, la fac de droit est une fac ! Cela veut dire que vous aurez à vous adapter à cet univers un peu impersonnel. Les étudiants sont souvent très nombreux : il faut se faire de nouveaux amis, se familiariser avec les lieux, le vocabulaire. Du point de vue du travail, comme dans d'autres facultés, il n’y a pas d’obligation de présence aux cours à part pour les travaux dirigés (TD), où vous vous retrouvez en groupe d'une vingtaine d'étudiants dans une salle de classe. Le reste du temps, vos cours ont lieu dans de grands amphis . Le professeur qui donne le cours ne connaît en général pas les élèves qu'il a devant lui. Vous pouvez donc ne pas venir, ou dormir, ou ne prendre aucune note sans que personne ne vous dise rien. Vous pouvez être tenté de sécher un cours, puis un deuxième, puis un troisième, et prendre un retard considérable que vous aurez du mal à rattraper. Les évaluations elles, ne sont pas régulières mais ont lieu sous forme d'examens en janvier et en mai. Pour s'en sortir, il est donc nécessaire :

  • -de produire un travail régulier, surtout pour apprendre les cours, qui exigent un gros travail de mémorisation.
  • -de préparer ses TD à l’avance. La préparation d’un TD peut prendre plusieurs heures.

Il faut en effet se familiariser avec le "raisonnement" juridique, les textes et le vocabulaire.

  • -de savoir travailler seul, chez soi ou en bibliothèque en organisant son temps.

Faute d'avoir cette autonomie et cette régularité dans le travail personnel, de nombreux étudiants échouent en 1re année.

Que faire après une licence en droit ?

  • - On peut bien sûr envisager une profession juridique (avocat, notaire, magistrat). Il faut alors continuer ses études en fac de droit après la licence et préparer un master (bac + 5) de son choix, au minimum en 2 ans d’étude supplémentaire. Il faut savoir que pour certains masters les places sont chères et le dossier universitaire demandé. Pour le master Droit des Affaires par exemple, seuls les meilleurs étudiants sont retenus ;
  • - On peut passer le concours d’entrée dans les IEP (Institut d'études politique ou Sciences-Po)
  • - Passer les concours d’entrée en écoles de commerce :

Concours Passerelle 2, Tremplin 2 pour entrer grâce aux admissions parallèle en école de commerce ;

  • - Passer le concours d’entrée en école de journalisme ou de communication.
  • - Passer des concours administratifs, devenir par exemple, commissaire de police…
  • - Se diriger plus spécifiquement vers la fonction RH (Ressources Humaines) en intégrant une école de RH ou un master RH.

Vous avez une question personnelle d'orientation à poser, un témoignage d'étudiant en droit à donner ? Participez à notre forum de discussion "Questions sur les études de droit".

Source : http://www.reussirmavie.net Forum Étude en droit: 1ère année http://www.reseauetudiant.com/forum/read/f786/i238t238/etude-avocat.htm

  • ...Le destin existe-t-il ? Notre destinée est-elle écrite quelque part ?

par T.G. Suis-je maître de ma vie ou est-elle prévue d'avance ? Examen de différents points de vue sur la question...

Destin et liberté

La notion de destin taraude tous les esprits, un jour ou l'autre. Que l'on dise : "venez découvrir votre avenir" et tout le monde se passionne. Mais s'il y a destin, cela signifie que des événements ne manqueront pas d'arriver, quoi que nous fassions. Cela veut dire que notre pouvoir d'action sur notre propre vie est limité, que nous sommes impuissants face à certains événements ! Où donc est notre liberté ? Suis-je maître ou non de mes choix de vie ?

Ces questions importantes ont une infinité de conséquences dans notre vie de tous les jours. Chacun(e) d'entre nous vit selon ce qu'il croit. Notre conception de la vie sous-tend nos choix et nos comportements. C'est pourquoi, de tous temps, les philosophes ont essayé de répondre à la question du destin.

De façon sûre, il y a un événement dont nous ne pouvons empêcher l'arrivée. C'est un événement universel, auquel nous sommes tous destinés : la mort. Personne ne peut y échapper. Dès notre naissance, le destin fatal se met en marche et nous achemine vers l'instant inéluctable. Biologiquement, nous le savons maintenant, nos cellules sont programmées pour mourir. Dès notre conception, le compte à rebours commence !

La mort : événement fondamental de notre vie, qui va orienter tous nos choix et nos croyances. Ce destin funeste pèse sur nous et fait naître en nous la peur. C'est une peur diffuse, pas forcément consciente, mais qui constitue le fond affectif de notre être. Que survienne un danger et c'est elle qui nous gouverne. Un rien et l'on se sent exposé, en péril, insécurisé. Notre liberté est une liberté de "mortel" : quelle vie vais-je choisir, sachant qu'elle est marquée par la finitude ? C'est sur cette problématique de la mort que s'articulent toutes les conceptions du destin.

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jeudi 4 mars 2010

______URF droit économie administration juridiques, et sciences politiques : Capacité - Fac de Droit

  • UFR de sciences juridiques, administratives et politiques 200, avenue de la république (92001) 01 40 97 77 59
  • UFR de droit sciences politiques et sociales Avenue J.-B.-Clément (93430) 01 49 40 32 90
  • UFR de droit sciences politiques 58, avenue didier (94210) 01 49 76 81 45
  • Faculté de Droit, Sciences Politiques et Sociales 04/04/2005 http://www.univ-paris13.fr/dsps/

99 avenue JB. Clément 93430 Villetaneuse Téléphone : +33 (0)1 49 40 32 90 Télécopie : +33 (0)1 49 40 33 47

1 Capacité en Droit L'accès aux études de Capacité

Les aspirants au certificat de Capacité en Droit prennent deux inscriptions annuelles. Ils doivent être âgés de dix-sept ans accomplis au 1er NOVEMBRE de l'année de leur première inscription. Aucune dispense ne permet l'accès direct en seconde année de Capacité.

Admission des capacitaires à la préparation de la Licence en Droit 1°) Admission en 1ère année du DEUG (décret du 24 août 1987).

Les capacitaires en Droit qui ont obtenu une moyenne au moins égale à 10 sur 20 pour l'ensemble des notes des deux examens, sont dispensés du baccalauréat pour s'inscrire dans les Universités en vue du DEUG de DROIT, puis éventuellement du second cycle.

2°) Admission en 2ème année du DEUG Les titulaires du certificat de Capacité en Droit, ayant obtenu une moyenne égale ou supérieure à 15 sur 20 pour l'ensemble des notes des deux examens dudit certificat, peuvent être dispensés, au titre du décret du 24 août 1987 de la première année du DEUG de DROIT : ils peuvent donc être admis directement en 2ème année du DEUG.

L'organisation des études 1. Présentation générale

La durée des études de Capacité est de deux ans, chaque année est sanctionnée par un examen. Les enseignements fondamentaux Les cours ont lieu le soir après 18 heures. Les travaux dirigés Ils sont destinés à compléter la formation de l'étudiant en le confrontant avec les problèmes pratiques de la vie juridique.

En Capacité, les travaux dirigés sont facultatifs. Ils seront organisés, à des horaires prévus pour les étudiants salariés, en fonction des possibilités d'encadrement de la Faculté. Il n'y aura pas de travaux dirigés par correspondance en Capacité.

2. Les enseignements en 1ère année. La 1ère année comporte 5 unités d'enseignement obligatoire :

• Droit Public 2 UE • Droit Civil 2 UE • Droit Commercial 1 UE

3. Les enseignements en 2ème année. La 2ème année comporte 6 unités d'enseignement obligatoire : dont 2 feront l'objet des épreuves écrites d'admissibilité, les 4 autres faisant l'objet des épreuves orales d'admission.

• Droit Pénal et Procédure Pénale 1 UE • Droit Fiscal 1 UE • Droit Social 1 UE • Économie Politique 1 UE • Droit Administratif spécial 1 UE • Procédure Civile et Voies d'Exécution 1 UE

Faculté de Droit, Sciences Politiques et Sociales 04/04/2005 http://www.univ-paris13.fr/dsps/ 99 avenue JB. Clément 93430 Villetaneuse Téléphone : +33 (0)1 49 40 32 90 Télécopie : +33 (0)1 49 40 33 47 2

Programme 1 1ère annéeE DROIT CIVIL

• Introduction à l'étude du Droit Privé : La règle du Droit, les différentes branches du Droit Privé (Droit Civil et Droit Commercial), l'organisation judiciaire, les droits, les biens, la preuve.

• Les personnes : La personnalité juridique, l'état, le nom, le domicile. • La famille : Le mariage, le divorce, la séparation de corps, la filiation. • Les incapacités : (en matière civile et commerciale) la minorité, les majeurs protégés. • Les Droits réels : La propriété, l'usufruit et les servitudes (à l'exclusion de la publicité foncière) • Les obligations contractuelles : Quasi contractuelles, délictuelles, quasi délictuelles (à l'exclusion des obligations alternatives, des obligations divisibles et indivisibles, de la cession des biens et de la novation) la vente civile et commerciale, le louage de chose (y compris les baux commerciaux). • Le cautionnement, le gage civil et commercial : Notions très sommaires sur les privilèges et les hypothèques.

DROIT COMMERCIAL

• Les commerçants : L'acte de commerce • Le registre de commerce, les livres de commerce • Le fonds de commerce • Les sociétés civiles et commerciales.

DROIT PUBLIC – DROIT CONSTITUTIONNEL

• L'évolution des institutions politiques françaises depuis 1789 • La constitution de la République Française 1°) L'organisation des pouvoirs publics 2°) Les principes des libertés publiques

DROIT ADMINISTRATIF

• Principes généraux du droit administratif • L'organisation administrative française : État, département, commune, établissements publics, le problème régional • La justice administrative et les recours contentieux

DROIT FINANCIER

• Le budget et système fiscal de l'État et des collectivités locales.

Faculté de Droit, Sciences Politiques et Sociales 04/04/2005 http://www.univ-paris13.fr/dsps/ 99 avenue JB. Clément 93430 Villetaneuse Téléphone : +33 (0)1 49 40 32 90 Télécopie : +33 (0)1 49 40 33 47 3

1 2ème année--

PROCEDURE CIVILE ET VOIES D'EXECUTION - Organisation judiciaire en matière civile et commerciale et règles de compétence :

• Les actes de procédure et les délais • Procédure devant les Tribunaux de Grande Instance, devant les Tribunaux d'Instance, les Tribunaux de Commerce, les Conseils de Prud'hommes, procédure de référé • Les incidents de l'instance : incidents relatifs à la preuve, enquête, expertise, comparution personnelle • Les jugements : élaboration, prononcé et signification, effets • Les voies de recours : l'appel et le pourvoi en cassation • Les voies d'exécution : les saisies, la procédure pénale et de contribution.

DROIT PENAL ET PROCEDURE PENALE

a) Droit Pénal

• L'infraction, la tentative et la complicité • La classification des infractions : crimes, délits, contraventions • Échelle des peines : • Étude sommaire de chacune des peines : l'imputabilité, les faits justificatifs, les excuses, la minorité pénale, les circonstances atténuantes, la récidive, le casier judiciaire, le sursis, la grâce, l'amnistie, la réhabilitation.

b) Procédure Pénale

• L'action publique et l'action civile • Les preuves en matière pénale • La police judiciaire et l'instruction préparatoire • Les juridictions répressives : organisation, compétence, procédure • Les voies de recours.

DROIT ADMINISTRATIF SPECIAL

• Les actes administratifs (actes unilatéraux et contrats) • La police administrative • La gestion des services publics • Le domaine et les travaux publics • La responsabilité (responsabilité des fonctionnaires et responsabilité de l'administration) • La fonction publique.

DROIT SOCIAL

• Définition et caractères généraux, formation historique, sources du Droit du Travail • Les syndicats et le mouvement syndical, l'entreprise, l'intervention de l'État et les institutions étatiques du travail, les techniques du Droit du travail • L'évolution du principe de la liberté du travail (l'organisation de la profession et du marché du travail) : le contrat de travail, l'application du Droit du travail hors du contrat de travail : Notions sommaires sur la Sécurité Sociale

Faculté de Droit, Sciences Politiques et Sociales 04/04/2005 http://www.univ-paris13.fr/dsps/ 99 avenue JB. Clément 93430 Villetaneuse Téléphone : +33 (0)1 49 40 32 90 Télécopie : +33 (0)1 49 40 33 47

4 Règlementation des épreuves conduisant au diplôme de Capacitaire TITRE I - 1ère année Article 1 :

L'examen de première année comporte 2 épreuves écrites d'admissibilité de 3 heures chacune, notées :

1°) Une épreuve de Droit Public (Administratif et Constitutionnel) sur 20 :

- Deux sujets seront proposés au candidat qui devra obligatoirement traiter un sujet de Droit Constitutionnel et un sujet de Droit Administratif.

2°) Une épreuve de Droit Privé (Droit civil et Commercial) sur 30, soit :

- Droit Civil sur 20 (2 heures) - Droit Commercial sur 10 (1 heure) Deux sujets seront proposés au candidat qui devra obligatoirement traiter un sujet de Droit Commercial et un sujet de Droit Civil.

Article 2 :

Les épreuves orales d'admission portent sur les mêmes matières que celles de l'écrit. Elles comportent :

- une interrogation de Droit Public, notée sur 20 - une interrogation de Droit Civil, notée sur 20 - une interrogation de Droit Commercial, notée sur 10

TITRE II - 2ème année Article 3 :

L'examen de seconde année comporte 2 épreuves écrites de 3 heures chacune. Les étudiants devront choisir avant les vacances de Noël parmi les 6 matières semestrielles enseignées, 2 matières qui feront chacune l'objet d'une épreuve écrite d'admissibilité, les autres faisant chacune l'objet d'une épreuve orale d'admission. A chaque épreuve écrite, le candidat a le choix entre 2 sujets. En 2ème année, toutes les épreuves (écrites et orales) sont notées sur 20. NOTA : Les matières qui font l'objet des épreuves d'admission doivent être différentes des deux matières qui font l'objet des épreuves d'admissibilité.

TITRE III - Dispositions générales Article 4 :

Les épreuves écrites comporteront pour chaque matière deux sujets au choix du candidat. Celui-ci pourra utiliser les codes et les textes législatifs réglementaires.

Article 5 :

Sont déclarés admissibles aux épreuves orales, les étudiants ayant obtenu la moyenne de 10 sur 20 aux épreuves écrites.

Article 6 :

Les épreuves orales d'admission de la première session auront toujours lieu au mois de JUIN et JUILLET. Chaque épreuve orale est notée sur 20, sous réserve des dispositions de l'article 1.

Article 7 :

1) L'étudiant est déclaré reçu lorsqu'il a obtenu une moyenne au moins égale à 10 sur 20, cette moyenne étant calculée sur l'ensemble des notes d'admissibilité et d'admission.

2) Pour être déclaré reçu, il faut avoir obtenu une moyenne égale ou supérieure à 7 sur 20 aux épreuves orales.

3) Une fois proclamée, l'admission est définitive.

Article 8 :

Tout candidat aura le droit de se présenter indifféremment aux deux sessions de l'année universitaire.

Article 9 :

Les candidats qui auront échoué aux épreuves de la première session, auront la possibilité de se présenter à l'examen organisé au mois de SEPTEMBRE.

NOTA : Tous les étudiants ajournés aux épreuves écrites de la session de JUIN, doivent se réinscrire aux examens de la session de SEPTEMBRE. Tous les étudiants ajournés aux épreuves orales de la session de JUIN, sont automatiquement réinscrits aux épreuves orales de la session de SEPTEMBRE.

Article 10 :

Les étudiants conservent pour la session de SEPTEMBRE, les notes globales égales ou supérieures à la moyenne obtenue à la première session. Décret du 30 mars 1956 Après quatre échecs à un même examen, le candidat ne peut plus être admis à se présenter à cet examen. Le quatrième échec ne peut être prononcé qu'en vertu d'une délibération spéciale du jury, après examen du dossier de l'étudiant. Il est fait mention au procèsverbal de cette délibération et de cet examen

http://www.univ-paris13.fr/dsps/pdf/Capacite_en_Droit.pdf http://la.capacite.en.droit.free.fr/adresses_suite.htm http://www.pourseformer.fr/fiche-formation/droit-autres/certificat-de-capacite-en-droit-22582.html

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