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mercredi 24 février 2010

_____Afrique originelle, zone quasiment inviolée où des hommes et des femmes d'aujourd'hui perpétuent des modes de vie ancestraux. Le continent africain est un tout, bien plus grand que la somme des éléments qui le composent..rituel et initiées

Les VALEURS FONDEMENTAUX de l'être "noirs" Ancestraux et contemporain

  • zone quasiment inviolée où des hommes et des femmes d'aujourd'hui perpétuent des modes de vie ancestraux, il ramène une galerie de portraits qui sont un plaisir de l'oeil autant qu'une rencontre avec l'inconnu. Batailles, retours de chasse, jeux d'enfants, parades, toutes ces scènes du quotidien sont autant d'instants qui saisissent les hommes dans leurs nombreux rituels. Les lèvres étirées par des grands plateaux d'argile, les lobes allongés, les corps peints, marqués, scarifiés, sont l'expression d'une société traditionnelle et vulnérable qui côtoie aussi la violence des armes.
  • La richesse et l'étonnante diversité des traditions culturelles d'Afrique sont immortalisées, la vie de peuples traditionnels à travers ce continent vaste et nuancé. Sur tous les aspects des cultures africaines, il s'articule autour des valeurs fondamentales que sont le sens du lieu, le profond respect des rythmes de la nature, l'importance des étapes de la vie ou le culte de la sagesse.
  • L'exubérance et la générosité intrinsèque de chaque communauté, qui nourrissent les notions de fierté individuelle et de dignité spirituelle.
  • la présence surnaturelle de Dieu et l'homme noirs ancestraux

Le monde visible tel que nous le percevons ne constitue qu’une petite partie de la réalité. Comme-ci vous voyez un iceberg; un bloc de glace d'eau douce dérivant sur la mer d'un côté et sous la mer l'autre face caché. Plus simplement la face caché de lalune et la face visible. Le monde principal, la véritable réalité, c’est le monde invisible du Créateur; il est bien plus réel, bien plus libre et beaucoup plus influent que nous ne l’imaginons.

  • Les forces invisibles ne sont pas toujours divines "voyage dans le monde astrale"

Spiritisme, Occultisme.. spritualité

Il existe des puissances invisibles qui ne sont pas divines; elles coéxiste avec Dieu et leur inspiration est bénifique pour les être fais de matière physique (fécale). C'est une doctrine fondée sur l'existence et les manifestations des esprits, en particulier des esprits érrants dans l'au délà; Le spiritisme tente d'entrer en communication avec ces esprits par le moyen de supports amtériels inanimés-table tournantes-ou de sujets en état de transe hypnotique-médiums. Ce n'est pas le diable mais une doctrine caché aux publics non-initiées et enseignée aux initiées.

Les esprits ont une existence réelle, vérifiable. C'est sur cette croyance érigée en doctrine que l'africain contemporain trouvera son chemin. II entrevoit tout d'abord le principe de nouvelles lois naturelles : celles qui régissent les rapports du monde visible et du monde invisible; il reconnaît dans l'action de ce dernier une forces de la nature dont la connaissance doit jeter la mumière sur une foule de problèmes réputés insolubles, et il en comprend la portée au point de vue réligieux mais notant que la notion "dieu, l'invisible ne prend pas la conotation réligieuse".

De ce principe découle la solution de toutes les anomalies apparentes de la vie humaine, les preuves matérielles que donnent le spiritisme de l'existence de lêtre (fécale) est faussement qualifiés de surnaturels sont soumis à des lois qui régissent le monde visible et invisible.

  • Le continent africain est un tout, bien plus grand que la somme des éléments qui le composent.

http://livre.fnac.com/a1559120/Carol-Beckwith-Visages-d-Afrique?Fr=20&To=0&Ra=-1&from=201&mid=1857046

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___Il a dit: Je leur cacherai ma face, Je verrai quelle sera leur fin; ne cacherait-il pas un dangereux secret ? L'Afrique vit en étroite communion avec le monde visible de la terre et les forces invisibles.

1 Aux frontières du surnaturel voyage Aux frontières de l'irréel

..mais quel est le cafard hybride qui a crée le temps.. l'amour..et la mort

L'IDIOTIE DU TEMPS

  • Le monde visible qui nous environne est-il le seul qui soit vrai ?
  • Le monde invisible est-il digne de notre espérance ?
  • Ce monde que nous voyons peut-il être celui que Dieu a créé ? Pourquoi est-il si malade ? Pourquoi autant de contradictions, de souffrance ?

l'inter-action entre les deux mondes - le visible et l'invisible, le naturel et le surnaturel - et comment ils peuvent affecter notre vie de tous les jours.

"Rumeurs d'un autre monde" se lit comme une conversation, invitant les sceptiques de la religion comme les déçus de l'Église à considérer la possibilité qu'un monde invisible et surnaturel échappe au regard et coexiste avec le monde visible. La frontière est étroite entre le naturel et le surnaturel. Nous expérimentons les plus grandes réalités au travers des plus petites choses, et nous devons apprendre à faire la différence.

1 Quelques exemples ?

  • « Ceux qui sont au Ciel peuvent-ils voir ce qui se passe sur la terre ?
  • La sexualité existera-t-elle au Ciel ?
  • Y aura-t-il des animaux au Ciel ?
  • Y a-t-il un purgatoire ? »

Car même si c'est un sujet que l'on évite, la mort, elle, n'évite personne.

baal (Dieux noirs)

L'Afrique vit en étroite communion avec le monde visible de la terre et les forces invisibles. Cette interaction entre hommes et dieux détermine, y compris aujourd'hui, les sociétés africaines, en équilibre entre le réel et le surnaturel, le visible et l'invisible, le monde des esprits et des...et des dieux. Sur terre, ceux qui les représentent ont un pouvoir immense. Ils sont gardiens des traditions, piliers de la société. Féticheuses, prêtres, sorciers, magiciens, guérisseurs, prophètes... Ce second livre de Daniel Lainé présente les portraits photographiques de ces hommes et femmes, lors de rituels, exorcismes, danses, pratiques magiques, souvent inaccessibles aux non-initiés, et dont beaucoup ont déjà disparu. Afrique du Sud, Bénin, kameroun, kongo, kôte-d'Ivoire, Gabon, Gambie, Ghana, Mali, Nigeria, Ouganda, Sénégal, Togo...etc

Ainsi l'homme serait en faite un hybride (un demi dieux) un sous-espèces ou une espèces intraspécifique..entre la matière fécale et l'esprit voir le soufle divin qui l'anime

..et de toute manière, le mystishisme de l'afrique n'a pas été révelé a l'homme blanc et l'homme noirs n'en connaitrais qu'une portion

hybride

En génétique, l'hybride est le croisement de deux individus de deux variétés, sous-espèces (croisement intraspécifique), espèces (croisement interspécifique) ou genres (croisement intergénérique) différents. L'hybride présente un mélange des caractéristiques génétiques des deux parents. Lors de croisements interspécifiques, le terme métis est aussi utilisé.

L'hybridation est toutefois différente de la manipulation génétique dans la mesure où l'hybridation, même si elle est peut être provoquée par l'homme, peut aussi se produire naturellement.

intraspécifique..entre la matière fécale et l'esprit divin qui l'anime

http://livre.fnac.com/a2004148/Daniel-Laine-Dieux-noirs?PID=1

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lundi 8 février 2010

____Et si l'Afrique devait malgré tout mourir, si l'Afrique était condamnée, et si notre destin était alors de préparer cette mort, d'apprendre à mourir, de nous préparer pour ainsi dire à cette fatalité ?

  • Avons-nous atteint ce moment fatidique ? De là l'hypothèse : Et si l'Afrique devait malgré tout mourir, si l'Afrique était condamnée, et si notre destin était alors de préparer cette mort, d'apprendre à mourir, de nous préparer pour ainsi dire à cette fatalité ? Comme ces scientifiques qui, nous dit-on, en prévision de la destruction inéluctable de la terre, se préparent à coloniser Mars, ou d'autres confins de l'univers.

-Et si, reprenant la théorie évolutionniste du destin des empires, de leur apogée et leur décadence, l'Afrique était arrivée au terme de sa chute ? Et si, l'Afrique actuelle était bien le rejeton dénaturé de la prestigieuse Egypte pharaonique ? Si dégringolant d'empire en empire, de catastrophe en catastrophe, de l'esclavage à la colonisation, des indépendances aux « démocraties », notre continent approchait de sa néantisation définitive... Cette hypothèse expliquerait en tout cas l'infamie, la déréliction actuelle, la fameuse « malédiction africaine » comme d'un processus de pourrissement à l'échelle d'un continent. La folie serait de vouloir de toutes forces rétablir l'Afrique, la régénérer, alors qu'en elle-même se sont enclenchés les mécanismes de la putréfaction. Il faut peut-être accepter la fin de l'Afrique.

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vendredi 5 février 2010

_____L'existence est insérée dans des conditions auxquelles il ne tient qu'à lui de donner un sens: l'homme n'est donc que l'ensemble de ses actes. ..."l'existence précède l'essence"?

Comment comprendre "l'existence précède l'essence"? (Existence)

  • Thème : Existence

A chaque fois que l'homme existe, il existe à partir de possibilités qu'il se donne à lui-même comme être de conscience et de liberté. Exister, c'est donc ne jamais s'en tenir au-déjà donné, ce qui ne veut pas dire que l'homme n'a pas d'histoire. Mais son histoire n'est pas le devenir d'un animal. Je ne vis pas ce que je suis, je suis ce ...

Si Dieu n'existe pas, cela signifie qu'il n'existe pas de principe supérieur et transcendant auquel on puisse se rattacher pour comprendre et expliquer ce qui arrive à l'homme. Dans une logique religieuse, l'existence de Dieu sert de principe fondateur : si le mal existe, c'est peut être parce que les dieux ont voulu cette situation et dans la ...

Dostoïevski avait écrit : « si Dieu n'existait pas, tout serait permis ». C'est là le point de départ de l'existentialisme. En effet, tout est permis si Dieu n'existe pas, et par conséquent l'homme est délaissé, parce qu'il ne trouve ni en lui, ni hors de lui une possibilité de s'accrocher. Il ne trouve d'abord pas d'excuses. Si, en effet, l'existence précède l'essence, on ne pourra jamais expliquer par référence à une nature humaine donnée et figée ; autrement dit, il n'y a pas de déterminisme, l'homme est libre, l'homme est liberté. Si, d'autre part, Dieu n'existe pas, nous ne trouvons pas en face de nous des valeurs ou des ordres qui légitimeront notre conduite. Ainsi, nous n'avons ni derrière nous ni devant nous, dans le domaine numineux des valeurs, des justifications ou des excuses. Nous sommes seuls, sans excuses. C'est ce que j'exprimerai en disant que l'homme est condamné à être libre. Condamné, parce qu'il ne s'est pas créé lui-même, et par ailleurs cependant libre, parce qu'une fois jeté dans le monde, il est responsable de tout ce qu'il fait. Jean-Paul SARTRE

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____Suffit-il de vivre pour exister ? dont toutes les vérités que nous pouvons connaître ici bas ne sont que des reflets partiels et dégradés. La vérité est comme le soleil alors que la réalité terrestre n'est en fait qu'un jeu d'ombre

Pourtant le dualisme de l'âme et du corps est très présent chez Platon et marque fortement toute la tradition philosophique. L'objet de nos désirs, dit Platon, c'est la vérité, qu'il nomme un peu plus loin « le réel ». Deux points doivent ici être précisés. Tout d'abord, la vérité évoquée ici est l'Idée de la vérité en soi et pour soi, dont toutes les vérités que nous pouvons connaître ici bas ne sont que des reflets partiels et dégradés. La vérité est comme le soleil de l'allégorie de la caverne alors que la réalité terrestre n'est en fait qu'un jeu d'ombres dont il faut savoir s'éloigner par abstractions successives.

Ensuite, Platon dit que « nous » recherchons la vérité. Désigne-t-il par là seulement les philosophes ? Non sans doute : toutes les âmes ont, plus ou moins enfouis en elles, la nostalgie de l'inconditionné, le désir du beau, du bien et du vrai. Mais beaucoup se trompent sur l'objet réel de leur désir. C'est pourquoi nul n'est méchant volontairement : ceux qui font le mal ne savent pas vraiment ce qu'ils veulent.

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____Devons-nous, au nom du maintien de la paix et de la sécurité, craindre la liberté au point d’y renoncer ? Peut-on renoncer à sa liberté pour vivre en sécurité ?

Devons-nous, au nom du maintien de la paix et de la sécurité, craindre la liberté au point d’y renoncer ? Peut-on renoncer à sa liberté pour vivre en sécurité ?

  • Mais si tel est le cas, ce renoncement doit-il, ainsi que le font les régimes totalitaires, aller jusqu’à la suppression de toute forme de liberté individuelle ? De plus, la sécurité est-elle seulement la paix civile ou bien ne peut-elle désigner aussi un état ?
  • Mais surtout, nous dispensant de tout effort, elle fait de nous les proies idéales de toute sortes de tuteurs, bien ou mal intentionnés. Ainsi, les dirigeants ou les détenteurs d'un pouvoir plus ou moins réel, ont besoin de pousser l'homme à renoncer à sa liberté. Finalement, ce qui est à craindre, c'est l'absence de liberté où d'autres décident à notre place de tout ce qu'il faut faire ou penser. b) la servitude volontaire : une stratégie de la domination Pour La Boétie, nous « naissons avec notre liberté et avec la volonté de la défendre ». en effet nous préférons instinctivement vivre libres plutôt qu'asservis. Comment dès lors se peut-il que tant d'hommes acceptent de se laisser tyranniser ? C'est que, selon La Boétie, la servitude est toujours volontaire : toute autorité politique n'a de force que celle que nous lui concédons : il suffirait, pour être de nouveau libres, non pas de prendre les armes, mais de ne plus obéir : pour qu'un tyran ordonne, il faut que quelqu'un lui obéisse (autrement il se trouve « défait » d'emblée). Le pouvoir a donc tout intérêt, s'il veut se maintenir, à rendre naturelle l'absence de liberté. Finalement, seul le pouvoir en place gagne à ce que l'on renonce à sa liberté. La sécurité obtenue ne concerne que la pérennité des rapports de domination.

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____Notre existence a-t-elle un sens si l'histoire n'en a pas ? Le problème du sens de l’existence humaine en tant qu’elle est collective et qu’elle se déroule dans le temps, bien au-delà de la durée d’une vie humaine.

L’expression « notre existence » englobe l’ensemble des vies humaines, considérées du point de vue de leur raison d’être, de leur destination, de leur justification, puisque le soupçon est ici porté sur le « sens », c’est-à-dire à la fois sur la signification et la destination, de ces existences. La question du sens de l’existence humaine est ici posée dans le cadre d’un problème précis, celui de l’existence ou de la non existence d’un sens de l’histoire. L’histoire est à la fois l’ensemble des événements humains qui sont advenus dans le temps et la science que l’on a de ces événements. La question du sens de l’histoire porte plutôt sur la première définition de celle-ci, elle pose le problème du sens de l’existence humaine en tant qu’elle est collective et qu’elle se déroule dans le temps, bien au-delà de la durée d’une vie humaine. Le problème est donc celui des sens respectifs de l’existence individuelle et de l’existence collective, considérées dans leurs relations l’une à l’autre. La question posée englobe une supposition : celle que l’histoire n’a pas de sens. Cette supposition constitue le premier élément problématique. Il ne s’agit pas pour autant de faire de la question du sens de l’histoire l’élément central du sujet, puisque le sujet porte bien plutôt sur les conditions auxquelles notre existence humaine a un sens, le sens ou le non-sens de l’histoire faisant partie de ces conditions. Le second élément problématique, essentiel, est donc celui du sens de l’existence, sur lequel l’on fait porter le soupçon. Ce soupçon provient d’un constat selon lequel le sens de l’existence est difficile, voire impossible à discerner, et participe donc d’un sentiment d’absurdité de la vie. Cette position pessimiste quant au sens de la vie constitue le présupposé essentiel du sujet. Ainsi, le sujet pose une question qui est déjà conditionnée par une certaine position sur le sens de l’existence et sur le sens de l’histoire. Il faudra interroger cette position dans ce qui la fonde comme dans les éléments qui entrent dans sa composition, afin de définir le rapport qu’il faut établir entre l’existence individuelle, l’existence collective, historique, et les sens ou les non-sens à leur assigner. Ce travail prend en charge un enjeu important de l’interrogation philosophique générale sur le sens de l’existence.

On s'aperçoit donc que le sens de l'existence individuelle et celui de l'histoire sont liés. Pour que l'existence d'un individu trouve son sens il faut qu'elle s'inscrive dans l'histoire et inversement c'est parce que l'existence a un sens que l'histoire en a un. La vocation de l'homme n'est pas le bonheur, elle est plus haute, parce que l'homme est un être de liberté et la conquête de la liberté se fait à travers les générations. Kant postule un sens à l'histoire qu'il nomme « progrès ». Cf. Idée d'une histoire universelle d'un point de vue cosmopolitique, neuvième proposition. Il formule l'hypothèse du devenir historique à travers la notion de téléologie. Selon lui, le progrès n'est pas une réalité, il faut séparer le fait de la croyance : il ne s'agit pas de constater maintenant l'existence d'un progrès de l'humanité. Il s'agit de croire en sa possibilité afin de donner un sens à l'histoire.

Il s'agit donc d'une exigence morale, d'une hypothèse qu'il est nécessaire pour le sujet moral de postuler afin de ne pas désespérer de l'homme.

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