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samedi 23 janvier 2010

______Pourquoi les blancs sont blancs et pas "noirs" // Ne prenez pas la vie trop au sérieux. De toute façon,vous n'en ressortirez pas vivant!"

La raison est simple : Les différences corporelles des hommes sont adaptées à leurs environnement respectifs : C’est parce qu’ils habitent dans des régions où le climat et l’environnement sont différents que les hommes vont prendre des aspects différents qui sont toujours les plus adaptés a cet environnement. L’homme noir vit sous la chaleur et l’homme blanc dans le froid. La nature par sélection naturelle va lui donner un aspect propre à cette différence qui sera un plus dans un climat pareil.

La peau noire est utile sous la chaleur étouffante du soleil parce qu’elle renvoie une partie de la chaleur ambiante et permet donc à l’organisme humain de conserver sa température corporelle constante (37degré Celsius). Inversement, la peau blanche est utile dans un environnement froid ou le corps doit conserver au maximum sa chaleur corporelle de 37°C : il doit assimiler le maximum des faibles rayons du soleil (l’Hiver a un soleil pâle, grisâtre)

Un nez « aplati » comme ont les africains est idéal car il permet à l’air de conserver une chaleur identique quand il arrive aux poumons (il fait 35 °C en général en Afrique donc l’air n’a pas besoin de se réchauffer pour arriver aux poumons ou il doit faire 37°C) Inversement, un nez fin permet à l’homme blanc de réchauffer l’air qu’il respire afin qu’il arrive le plus chaud possible dans les poumons (prend un tube fin : souffle dessus : l’air en sort plus chaud mais dans un tube plus gros, il conservera la chaleur identique que celle de ton souffle)

« Une taille grande » produit un corps plus volumineux en terme de surface. Sous la chaleur, on suera plus car il y’a plus de surface de peau. Or suer, c’est perdre de l’eau ! or l’eau est l’élément essentiel de notre organisme ; Du coup, quand il fait trop chaud, la nature va sélectionner un homme petit : c’est pour ça que les peuples « pygmées » sont tout petit car il vivent dans parmi les endroits les plus chaud de la planète…

Ainsi de suite…La nature a donc créer l’homme idéal pour son environnement. Or l’Europe n’a pas le même climat qu’en Afrique ou qu’en Amériques. Il est donc normal que les hommes soient différents physiquement parlant ! Si le climat était le même sur toute la planète, nous serions tous identiques….

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jeudi 14 janvier 2010

________JEUNESSE AFRICAIN REVEILLE TOI, FAIS FACE A TON DESTIN; L'Afrique, le futur de l’humanité. " L'Afrique aux Africains" Africains, n’ayez plus aucun complexe !...retrouvez vos racines et votre culture !

REVEILLE-TOI AFRICAIN (Wake up African)

JEUNESSE AFRICAIN Vous êtes trompés, mais jamais corrompus. Ce sont plutôt les corrompus qui vous trompent après avoir marchandé votre pays. Sachez donc que le peuple, c’est tout simplement le meilleur des citoyens et le plus faible des opprimés, donc incorruptible.

Le peuple c’est toi-même qui lis ce journal électronique pour comprendre la vie des innocents, le train quotidien des sans-abri, c’est toi qui comprends le sens d’une liberté…. Le peuple, c’est toi qui, en un clic, avec un doigt vif et pensif, entends les cris d’en haut et ceux d’en bas.

Venez à bord du « peuple » pour voyager avec nous au cœur des sociétés perdues, car le peuple apolitique et souverain, n’est ni à gauche, ni à droite, ni au centre c’est la justice elle-même. C’est pourquoi ce journal en ligne est né. Il est né pour vous informer dans la plus grande objectivité avec un souci énorme de professionnalisme. Nous serons au cœur de l’actualité.

En « agenciers », nous privilégions les dépêches produites par notre propre rédaction. "Dans les rubriques chics et chocs nous vous proposons de petites informations sous formes de faits divers et d’histoires insolites des nouvelles auxquelles que vous n’aurez jamais cru si le peuple n’en parlait pas. Cela vous semblera incroyable mais tout sera vrai. Ce site sera la chambre de résonance du peule par le biais des reportages, analyses, chroniques et interviews, et le pouls des populations sera senti. La grande enquête sera réservée aux faits de société qui doivent être élucidés aux phénomènes politiques, religieux, économiques entachés de zones d’ombres et qui méritent d’être fouillés, creusés, expliqués… Le peuple est la boussole des lecteurs, et nos informations seront à portée de main. Tout y est et au service du peuple. Bonne lecture et vivement le peuple !

Ibrahima Benjamin DIAGNE

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Portrait : Nelson Mandela (Rolihlahlah"fouteur de troubles") à l'honneur. €tude de droit, prône la désobéissance civile et s'engage dans une action armée. Avocat de profession découvre le nationalisme africain et la non-violence

Nelson Mandela, tu es mon "heros"

De son vrai prénom Rolihlahla, («fauteur de troubles»), Nelson Mandela est né en 1918 dans l’est de la province du Cap. Il fait des études de droit pour devenir avocat et découvre à l’université le nationalisme africain et la non-violence. En 1944, il rejoint l’African National Congress (ANC) pour s’opposer à la ségrégation raciale. Dès le début des années 1950, il prône la désobéissance civile et en 1961 s’engage dans une action armée. L’année suivante, il est arrêté et emprisonné. Il restera derrière les barreaux pendant vingt-sept ans. Libéré en 1990, Nelson Mandela reçoit le prix Nobel de la paix en 1993 pour son action contre l’apartheid (conjointement avec Frederik De Klerk, alors président de l’Afrique du Sud). En 1994, il devient le premier président noir d’Afrique du Sud. Il se retire de la scène politique en 1999.

  • Nelson Mandela a sorti l’Afrique du

Sud par le haut, et sans bain de sang et c’est ça son grand triomphe.La population entière lui en est reconnaissante.» A 91 ans, Nelson Mandela a marqué toute l’histoire d’un pays. Acteur essentiel de la réconciliation des peuples, il a réussi à effacer les inégalités devant la loi. Mais aujourd’hui, les différences entre Blancs et Noirs sont loin d’avoir disparu et la misère, qui touche surtout la population noire, entraîne des records de criminalité. Aux successeurs de Mandela de mener cette lutte.

L’ESTIME DU PEUPLE

Le 27 avril 1994, toute la population, dont 30 millions de Noirs, peut participer aux Nelson Mandela, libéré en 1990 (g.), a signé la même année avec Frederik De Klerk, président de l’époque, l’accord historique mettant fin au régime de l’apartheid. élections, sur le modèle «un vote, une voix», et Nelson Mandela est élu président. «Beaucoup de Blancs, et en particulier les Afrikaners, avaient peur de connaître une vague de violence avant de se faire expulser, comme ce fut le cas en Algérie trente ans plus tôt, explique Jean Guiloineau. Contrairement aux anglophones, ils n’avaient pas de point de chute hors du pays. Ce sont principalement des paysans arrivés au XVIIe siècle et qui n’ont plus rien en commun avec leurs lointaines origines néerlandaises. Même pas la langue.

  • Symbole de toute une nation,

Nelson Mandela a consacré sa vie à la lutte pour la fin du développement séparé (l’apartheid) et pour la réconciliation de l’Afrique du Sud. D’après Jean Guiloineau, auteur d’une biographie intitulée Nelson Mandela (éd. Payot), le rôle réconciliateur de Nelson Mandela commence bien avant sa sortie de prison. «Dès la fin des années 1980, le monde est en mutation, avec la fin annoncée de la Guerre froide. Les Etats-Unis font pression sur le gouvernement sud-africain pour trouver un interlocuteur en vue d’éventuelles négociations. Et c’est Nelson Mandela, avec son influence acquise dans les années 1950 et 1960 qui est pressenti.» Dès lors, plusieurs ministres viennent le rencontrer dans sa cellule de Pollsmoor, près du Cap, et l’ancien dirigeant de l’ANC est enfin libéré, le 11 février 1990. Il organise conjointement avec le président de l’époque, Frederik De Klerk, une réforme institutionnelle consistant à abolir les deux cents lois de l’apartheid.

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mardi 12 janvier 2010

____Profession juge Opter pour un métier noble et évoluer dans le monde de la loi en tant que juge d’instruction

Le juge d’instruction est un magistrat compétent dans les procédures pénales sauf pour les affaires portées au tribunal maritime commercial. Dans la pratique, il n’est habilité à enquêter sur un dossier quelconque, que si le procureur de la République le saisisse. La saisine peut être également demandée par les victimes en tant que partie civile. Généralement, il évolue dans les affaires du tribunal de grande instance et est appelé à ouvrir une enquête en cas de crime, de plainte, d’infraction et de délits complexes ou graves. Il n’est pas en droit de statuer sur un jugement, son enquête doit être une source de manifestation de la vérité afin de pouvoir envoyer le dossier au tribunal compétent en vue d'un procès. Ainsi, les investigations menées par ce travailleur indépendant ont pour but de rassembler les éléments nécessaires, on dit qu’il instruit à décharge et à charge l'affaire judiciaire. Et en cas de besoin, il a le pouvoir de préciser la forme et la nature de détention (sous contrôle judiciaire selon ses obligations et ses règles, ou sous détention provisoire en ayant recours au juge des libertés et de la détention selon la loi en vigueur du 15 juin 2000 numérotée 2000-516), à l'endroit du mis en examen (l’inculpé). Le métier de juge d’instruction exige une énorme compétence et une grande force de caractère en n’émettant dans les dossiers aucun avis personnel ni en ne témoignant d’aucune impartialité. Dans les enquêtes qu’il mène, il ne doit pas outre passer les limites strictes de sa saisine et doit se focaliser uniquement sur cette dernière. Au fait, ce métier, si passionnant soit-il, est formellement régulé et a ses avantages et ses inconvénients.

Les atouts du métier de juge d’instruction et les difficultés probables Le caractère même du métier de juge d’instruction rehausse la classe sociale des personnes qui l’exercent en étant une profession noble. Sa personnalité détient le plein pouvoir sur les enquêtes et sur tout ce qui est sensé apporter les éléments essentiels au dossier traité, un pouvoir qui enrichit l’ambition et est source de développement tant sur le plan professionnel que sur le plan personnel. Pour réunir les élements des charges suffisantes d’un dossier fiable, il a tous les moyens et outils à sa disposition (enquêtes et investigations sur les faits ou les personnes en rapport avec l’affaire, les écoutes, les saisies et les perquisitions, les expertises, les témoins et les personnes ayant rapport aux indices, les forces de l’ordre la gendarmerie ou la police, diverses contributions de commission dérogatoire, de la partie civile, des juges des libertés, du procureur de la République, de la chambre de l’instruction). Si par contre, les preuves ne sont pas tangibles, il ordonne un non-lieu et le dossier sera clos. A noter que l’ordonnance de non-lieu n’est irrévocable que si seulement elle a été déclarée sur une cause légale, dans le cas contraire la voie de recours est possible, devant la Cour de cassation ou de la Cour d’appel pour que leur procureur général rende le verdict en cassant ou en maintenant l’ordonnance du juge d’instruction.

Il lui est des fois demandé de mener certaines investigations par les parties civiles ou publiques qu’il peut accepter ou non, mais dont le refus est souvent passible d’un appel émanant de ces dernières. Le renvoi en ordonnance d’une affaire équivaut à sa clôture au niveau du juge d’instruction et lui confère une énorme satisfaction personnelle d’accomplissement. Généralement, il évolue dans les affaires du tribunal de grande instance et est appelé à ouvrir une enquête en cas de crime, de plainte, d’infraction et de délit complexes ou graves. Il n’est pas en droit de statuer sur un jugement, tout en étant son propre maître dans la diligence et dans la manière d’entreprendre une affaire. Ainsi, il vit pleinement son indépendance et ne subit pas trop de pression sauf les contraintes de délai imparti et d’obligation de résultat vis-à-vis du procureur de la République ou de la partie civile. Par ailleurs, l’un des atouts de ce métier est la sécurité de poste en étant inamovible et sa place dans la catégorie de profession dans la haute société, malgré les niveaux de salaire qui n’en correspondent pas. En dépit de son plein pouvoir, son champ d’action est restreint sur sa saisine. Dans les affaires à grande tendance médiatique, il subit souvent les pressions des journalistes aussi bien que des paperassiers.

Devenir un juge d’instruction La première condition requise pour accéder aux formations aboutissant à une profession de juge d’instruction est la possession d’un master 1 en droit, être âgé de moins de 27 ans et être un ancien étudiant de l’ENS ou Ecole Normale Supérieure. Les diplômés de l’Institut d’Etudes Politiques ou IEP peuvent également se présenter, tout comme les anciens candidats électoraux de moins de 40 ans et les personnes expérimentées de 8 ans. L’accès aux études qui se déroulent à l’Ecole Nationale de la Magistrature de Paris ou de Bordeaux se fait par voie de concours. Dès l’entrée à ces écoles, les futurs juges sont tenus de prêter serment, à la suite duquel la formation rémunérée dure 31 mois. Cette formation peut être continue ou initiale, respectivement destinée aux magistrats déjà en activité ou plutôt aux nouveaux diplômés en master 1. Particulièrement pour cette dernière, les cours académiques prodigués en salle durent à peu près 8 mois et les 23 mois restants sont réservés au stage en milieu professionnel. A la sortie des études à l’ENM, une période de 6 mois de spécialisation est de rigueur avant d’obtenir une affectation. Le nouveau juge d’instruction est tenu d’honorer son engagement décennal en travaillant pour la justice française.

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___Mieux former pour mieux juger "avocats et de magistrats" Ces hommes de loi. l’Etat de droit c'est la protection des valeurs morales et des principes juridiques consacrés à la déclaration universelle des droits de l’homme

Un groupe d'avocats et de magistrats togolais suivent depuis lundi un séminaire consacré au droit du transport aérien et maritime au Togo. Cette initiative s'inscrit dans le cadre des réformes du système judiciaire engagées depuis plusieurs mois par le gouvernement. « L'objectif de cette rencontre est d'aider les spécialistes du droit à garantir la sécurité juridique et judiciaire des citoyens et opérateurs économiques oeuvrant dans notre pays » a déclaré l'un des formateurs.

Au cours des quatre jours de travaux, les magistrats et avocats vont plancher spécifiquement sur les textes régissant le contrat des transports terrestres, aériens et maritimes, des passagers et du fret ainsi que sur les questions relatives au transit.

Le président Faure Gnassingbé a donné vendredi à Lomé le coup d’envoi du 24e congrès de la Conférence internationale des barreaux de tradition juridique commune (CIB) qui rassemble une quarantaine de pays membres d’Afrique, d’Europe et d’Amérique.

Le chef de l’Etat a annoncé, à cette occasion, la création d’un Fonds d’aide juridictionnel destiné à soutenir les personnes démunies face à la justice.

« J’ai le plaisir de vous informer que le gouvernement togolais a décidé de créer ce Fonds d’une dotation provisoire de 250 millions et dont la gestion sera confiée au barreau du Togo. Il appartiendra au barreau togolais de veiller à ce que les justiciables démunis qui s’adresseront à lui, puissent bénéficier sans aucune distinction, de cette aide juridictionnelle » a déclaré Faure Gnassingbé.

Le président a profité de cette conférence pour rappeler les différentes étapes de la modernisation de la justice au Togo, abolition de la peine de mort, adoption de plusieurs lois renforçant l’Etat de droit, création de la Commission « vérité, justice et réconciliation », notamment.

« Je puis vous assurer de l’engagement de l’Etat à poursuivre, sans relâche, ses efforts de promotion et de protection des valeurs morales et des principes juridiques consacrés à la déclaration universelle des droits de l’homme » a encore déclaré M. Gnassingbé.

Crée en 1985 à Paris, la CIB est une structure de coopération entre les Barreaux de pays de tradition juridique commune, essentiellement en zone francophone.

Elle groupe des Barreaux affirmant un idéal d'indépendance et dont les organes directeurs sont démocratiquement désignés par les avocats eux-mêmes.

150 juges, des avocats, des officiers de police et des fonctionnaires de l'administration pénitentiaire des établissements de Lomé et d'Atakpamé sont réunis à l'initiative du Conseil national des Unions chrétiennes de jeunes gens pour examiner et, si possible, améliorer les conditions de détention des jeunes ; ils seraient 2.500 dans les deux prisons concernées.

L'objectif vise à terme à renforcer les capacités des organisations issues de la société civile à soutenir efficacement les jeunes marginalisés, à améliorer leurs conditions de détention et à faciliter leur réinsertion dans la vie active à leur libération.Le projet-pilote est soutenu par l'Union européenne et par l'ONG Care International. Il est prévu de l'étendre à tous les établissements pénitentiaires du Togo.

http://www.republicoftogo.com/Toutes-les-rubriques/Justice/Tous-egaux-devant-la-justice Publié le 11/12/2009

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lundi 11 janvier 2010

Lutte contre la servitude mentale, bureaucratique, économique

  • lutte contre la servitude économique, c’est-à-dire contre les diverses stratégies marchandes visant à transformer l’Internet en gigantesque supermarché progressivement purgé de sa gratuité et vidé de sa substance critique ;
  • lutte contre la servitude bureaucratique, c’est-à-dire contre la mise en place à l’échelle nationale, européenne ou mondiale de procédures de surveillance, de contrôle et d’interception des échanges entre les internautes ;
  • lutte contre la servitude mentale, c’est-à-dire contre la prétention de certains groupes de pression à limiter la liberté d’expression et d’opinion au prétexte qu’il existe de mauvais usage de celle-ci (nazis, pédophiles et autres épouvantails) et contre le monopole de l’information que prétendent s’arroger les médias centraux.

Remarque : L'amour de dieu, c'est une grosse merde pour le reveillon !!!Démontrer que Dieu n'existe pas !L'expérience nous a montré que les religieux, de toute façon, détestent la liberté :De toute façons, je suis un maudit, de la merde, j'interresse pas une seul personne,je resterais seule. Faut que je me rende a l'evidence,.... Vous pouvez croire en Dieu autant que vous le voulez... j'ai jamais reçu d'amour de personne encore pire des cettes races merdiques qui est les noires. Pourquoi, devrais-je donné ma vie pour vous ? Vous qui manqué d'amour pour vos proches, violé vos soeur, vos mères, assassiné vos pères, manqué de respect a vos ancêtres. La bible n'est pour rien, l'islam n'est pour rien, qu'importe la religion... Les noires sont UNE GROSSE MERDE!!! "Ni foi, ni loi" qui s'entre tue pour pour des miettes. L'homme noire doit être héradiqué sur le champs.

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mercredi 6 janvier 2010

_______Aujourd’hui un Président en Afrique, c’est tout simplement un maquereau et s’il s’avise de transformer sa pouliche en pute de luxe ou faire trop de faveurs aux autres; Destutuons-lès et Supprimons-lès tous?

L’Afrique n’a pas besoin d’hommes forts, mais de fortes institutions... "foutèse"...La diplomatie c’est l’art de l’hypocrisie, c’est l’art de dire tout le contraire de ce que l’on pense.L’Afrique n’a besoin ni d’hommes forts, ni d’institutions fortes.

Cette phrase illustre à elle toute seule la “vision” des grandes puissances pour l’Afrique. Vous pouvez l’interpréter au sens propre, c’est-à-dire que c’est une volonté franche et sincère mais…n’oubliez pas qu’en relations internationales, il n’y a pas d’Amitié, de Bonne Volonté,ni de sentimentalisme, il n’y a que des Intérêts. "UN MONDE DE REQUIN et d'INTERET" ou l'en n'hésite pas a tuer "les plus illuminé d'entre nous ( Mr nkrumah, Mr sankara, Mr lumumba.., recemment avec la tentative de push manqué de la part de la "l'élysée" en 2002 avec Mr gbagbo "

Ainsi si l’on applique le “décodeur diplomatique” évoqué précédemment, la phrase voudrait dire en fait : L’Afrique a besoin d’hommes forts et pas de fortes institutions.

  • Je ne prétends pas avoir la science infuse. Pour avoir du développement, la recette est connue depuis des siècles : puissance publique forte, urbanisation, industrialisation, éducation. Aujourd’hui et depuis plusieurs années, la “communauté internationale” nous vend du “développement rural” (sic!), de la société civile en voici en voilà, de l’artisanat de péquenots, des méthodes d’apprentissage expérimentales (approches par con & pétences oé)….et vous pensez vraiment qu’ils veulent développer le pays ? Allons….Allons…!

Regardez-vous, regardez autour de vous, ça nous a amené où tout ça ? Nulle part.

Les malgaches doivent décider de leur destinée, comme dirait Beau Bama “les africains doivent décider de l’avenir de l’Afrique”.

Comme la phrase précédente, il sait que c’est ce qu’il faut faire…mais qu’EUX ne veulent pas faire car cela signifierait la fin du bizness.

Dans les hautes sphères, les gens sont divisés vis à vis du diktat de la C.I :

  • - y a les prêcheurs : ceux qui te ressassent du PNUD, de l’IDH, de la bonne gouvernance et qui y croient vraiment à toute cette vaste escroquerie. Généralement, ils travaillent pour certaines institutions internationales.
  • - y a les “fay” (échaudés) : ceux qui ont voulu à un moment vraiment faire de la souveraineté nationale et ce sont embarqués dans le navire socialiste pour échouer dans les années 90 et comprendre que “bwana c’est plus fort que toi. Ils se sont adaptés au système en sachant pourtant bien le “scénario”.
  • - y a les putes : ceux qui sucent toutes les bites tant qu’elles payent. Libéral, social, humaniste bof…ce qui compte c’est la comm’, le 4×4 et la villa. Ils racontent tous les bobards que tu veux à la populasse tant que t’approvisionne les tickets carburants.
  • - y a les has been : ceux qui continuent de croire que la souveraineté nationale passe par la fermeture du pays et le retour au moyen age (Otrikafo, Andriana Reraka Company)
  • - y a les imbéciles heureux : ceux qui ne comprennent même pas un dixième de ce qui se trame et qui n’en en rien à péter en fait.

y a moi …et peut être vous Je ne me fais pas d’illusions, on ne pourra peut être jamais rien faire contre le “scénario”…mais bon, si on le comprend au moins…on se couchera pas idiots ?

Vu comme ça et eu égard au contexte actuel, cette autre traduction semble beaucoup plus fidèle et compréhensible.

Hé oui, le beau bama nous avait promis la fin des dictatures, le voici qui adoube Foza 1er, laisse faire son équivalent guinéen Camaron…heu pardon Camara. En outre, il n’émet guère de protestation sur le controversé Ali Bongo et on ne parlera même pas de Meli Melo Zelaya…

Vous pensiez que le monde (l'afrique) allait changer avec beau bama ? Que yes, we can ? Hé ben non. C’est comme le fameux “Vitantsika” des malgaches…on dit qu’on peut le faire mais on s’aperçoit au final que non.

Rassurez-vous, je ne suis pas anti-Obama, pas plus qu’anti-Sarkozy ou pro-Merkel… pour moi tout ce monde là c’est des acteurs de série TV, ils interprètent leur rôle.

Non, ce qui m’intéresse, c’est la trame, le scénario car, découvrir l’intrigue de la série “Les Experts : Conakry” c’est découvrir ce qu’on nous réserve pour la série prochainement diffusée sur la TVM : Lasa ve gasy.

...En fait, c’est comme un sitcom ou un policier, c’est toujours le même principe, on change juste les personnages :

Episode 1, on colonise et on se sucre. On importe des colonies les matières premières et on leur revend les biens manufacturés …avec une bonne valeur ajoutée naturellement. On se fait un max de blé et le "blédard" reste pauvre. Episode 2, on décolonise brutalement voire violemment en laissant le pays à lui même sans les moyens de se débrouiller seul. Tant pis pour ces nègres non alignés, ils voulaient gérer seuls hé ben qu’ils gèrent leur merde té ! Episode 3, on arrive au chevet des décolonisés, on leur propose des jolis prêts pour qu’ils s’endettent à mort et vivent au dessus de leurs moyens. Episode 4, on vient réclamer les échéances en sachant très bien qu’en face y a plus de sous. On impose donc des “ajustements structurels” : on prive l’État d’accomplir ses fonctions régaliennes, ses fonctions de souveraineté. On créé ainsi un Etat qui n’est pas un Etat et dont la population s’interroge de l’utilité puisqu’il ne les aide pas. Episode 5, on envoie des missionnaires, des volontaires, un ramassis d’ONG et d’Associations …naturellement qui vont “pallier à la faillite de l’État” (qu’on a provoqué délibérément à l’épisode précédent) et qui seront donc les “sauveurs de la nation”. Parallèlement, les gentils bailleurs arrosent de leur “jus” le pays pour poursuivre la spirale de l’enfer du crédit…hmm oui Bwana tu es trop bon !

Episode 6, on récupère les investissements abandonnés à la décolonisation pour une bouchée de pain à travers les “privatisations” sans manquer de lancer du “dain ! on vous a laissé plein de chose vous en avez rien fait vous les malgaches ! vous êtes des gacheurs c’est vrai lol !” et en plus on accroit l’emprise économique par un bon gros flux d’IDE. On exploite à mort les ressources et on revend les biens manufacturés comme à l’épisode 1. Episode 7, on fait fusionner le pays avec des “blocs régionaux” pour faciliter le gouvernorat heu…l’intégration régionale avec vision officieuse : le new world order ? ...Bon bref, vous l’aurez compris, la réalisation de ce scénario passe par une constante : des institutions faibles, un Etat faible.

Un Etat faible, c’est un Etat qui devra accepter toutes les conditions, c’est un Etat qui ne rechignera jamais à brader les ressources de son pays, prostituer sa population, baisser toutes ses barrières tarifaires. C’est un Etat qui n’aura jamais la vedette auprès de sa population car, on veut que la vedette soit bwana. Et qu’est-ce qu’on a trouvé comme substitut à ces institutions fortes…des pseudo hommes forts. Des brutes en fait, des dictateurs. A travers leur coups d’Etat, leur népotisme, leur corruption, ils s’assurent que jamais ô grand jamais n’émerge dans leur pays une institution forte, honnête…osons le dire “éclairée”.

Ils joueront simplement le rôle d' (intermédiaire) pour l' (investisseurs) qui veulent se taper de la malgachine pas cher.

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