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vendredi 9 novembre 6666

______"Candyman" peur des noirs ds les films d'horreur - Angoisse et phobie - traumatisme... Qui peut me dire, Pourquoi je ne porte que du noir?... j'aime le noir mais surtout la peur du noir.

psychoze psychodrame

Salut à toi,



Quoi de plus logique d'avoir peur d'une chose quand on a été traumatisé dans son enfance par cette chose-ci ?

Le fantôme était un homme de race noire qui apparaissait ds l'obscurité après qu'on ait répété 5 fois son nom devant un miroir.

J'ai peur du noir Quand le soir tombe, certains sont envahis par une angoisse inexorable, peuplée de fantômes effrayants. Qu'est-ce qui la motive ?

En pleine nuit, il se réveille, traverse l'appartement. Pas de lumière, il faut faire vite : « Je crains de voir des yeux brillants dans la nuit ou des ombres sur les murs. Je me force à ne pas y penser, mais j'ai peur. » Pourtant, Christian est un grand garçon, il a 53 ans. Enfant, il pouvait appeler au secours, on le rassurait. Aujourd'hui, il n'en parle plus à personne : l'angoisse est restée, et la honte s'y est ajoutée. « Contrairement à la peur, qui avertit d'un danger réel, la phobie se développe sans raison apparente et provoque l'incompréhension de l'entourage », note la psychologue Béatrice Copper-Royer. Du coup, ceux qui en souffrent restent enfermés dans leur angoisse jusqu'au lever du jour. Le ventre noué, ils n'ont d'autre solution que de multiplier les stratégies pour éviter toute situation anxiogène : laisser les lumières allumées, regarder dix fois de suite sous leur lit, refuser de sortir seuls le soir... « Or, l'évitement ne fait que renforcer la peur, souligne le psychothérapeute Luis Véra. Les rituels mis en place pour se protéger finissent par devenir obsessionnels et empêchent de vivre normalement. »

Une absence de repères Mais de quoi ont-ils peur ? D'un agresseur au coin d'une rue, d'un monstre derrière le rideau... « Plus que tout, ils craignent d'être surpris, poursuit Luis Véra, de se retrouver démunis face à un danger imprévu et de perdre la tête. Et si, tout à coup, les monstres existaient réellement ? Et si l'irrationnel faisait irruption dans le réel, bouleversant ses règles et ses lois ? C'est cette perte de contrôle qui suscite l'angoisse. » Aussi, ces phobiques anticipent-ils le danger, croyant pouvoir y échapper. Ils sont vigilants à l'extrême car l'obscurité les prive de tout repère. « Ils se retrouvent face à eux-mêmes, explique le psychanalyste Paul Denis. Les conflits internes prennent alors toute la place. Le monstre ou l'agresseur symbolisent ces démons intérieurs. Qui viennent en outre combler un vide angoissant : avec eux, on n'est plus seul...»

Un grand vide intérieur « Pour l'enfant, la nuit est une rupture dans la relation avec sa mère, affirme Paul Denis. Pour retrouver celle-ci, il utilise ses ressources psychiques : il pense à elle et, même s'il ne la voit pas, il sait qu'elle est toujours là. » Il peut s'endormir tranquille, elle lui tient la main... Sauf quand le lien mère-enfant est trop distendu ou trop fusionnel : ces séparations sont alors source de profonde angoisse. « Une mère fragilisée ne peut pas communiquer à son enfant la sécurité intérieure suffisante pour lui permettre d'affronter la nuit et la solitude, remarque Béatrice Copper-Royer. Dans l'esprit de ce dernier, quand tout disparaît de son champ de vision, tout meurt. » L'angoisse de la mort, séparation ultime, se trouve donc au cœur de cette peur du noir.

Chez certaines personnes, les terreurs nocturnes de l'enfance ne se sont jamais véritablement apaisées. « N'ayant pas reçu les armes nécessaires, l'adulte ne sait pas comment calmer son anxiété, constate Paul Denis. Il n'est, en fait, pas devenu une personne rassurante pour lui-même. » Chez d'autres, ces terreurs vont être brutalement réactivées par un accident de la vie – difficultés professionnelles, séparation, deuil. « Démuni, seul dans le noir, c'est alors l'enfant en eux qui appelle sa mère », conclut Béatrice Copper-Royer.

http://www.psychologies.com/Moi/Problemes-psy/Anxiete-Phobies/Articles-et-Dossiers/J-ai-peur-du-noir

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______Menottée, fouillée et en garde à vue pour une méprise ... De Issue de l immigration... ménoté, gardé a vu d'oeil! et pour ceux qui dénigrent ces jeunes. Attention, ces gens sont dangereux!

«Tous les flics du commissariat ont débarqué. Un premier m’a étranglé, un autre m’a frappé aux côtes. Je me suis retrouvé par terre, ­essuyant des coups. Tous me piétinaient avec leurs rangers. » Au début de cette histoire, Mik Impetto, alors animateur de quartier à Guyancourt, ramenait en voiture deux voisins qu’il avait croisés. L’un avait 16 ans, l’autre 18. Il était 18 heures, il y avait eu du grabuge dans le secteur. Quand les trois jeunes gens sont descendus de l’auto, les policiers les ont interpellés, Flash-Ball à la main, puis embarqués.

« Pourquoi ? – Vous le savez bien », ont répondu les agents. Mik et les deux adolescents ont subi le rituel de la GAV (prononcer « gé à vé » ou « gardave ») : fouille au corps, déshabillage complet. Placés en enfilade dans un couloir, les trois jeunes ont attendu, immobiles, sans pouvoir s’asseoir, boire ou manger, ni même aller aux toilettes. Il était 22 heures quand un officier est ­apparu, brandissant un paquet de bonbons. « Eh ! vous avez faim ? – Oui. – Eh bien, pour le moment, vous attendez ! » L’homme est ­reparti, espérant les faire craquer.

C’est ce qui s’est produit quelques minutes plus tard. « Quand un des jeunes a essayé de sortir, ils lui ont ouvert la porte. Le lieutenant lui a envoyé un violent coup de poing. Le gamin s’est écroulé, se cognant la tête par terre. De rage, j’ai envoyé une grosse ­patate au policier. » Et le tabassage de Mik a commencé... Après l’altercation, les policiers l’ont jeté dans une cellule. Assis sur un banc en bois, les pieds nus sur le sol souillé d’urine. Au petit matin, il s’attendait à être transféré au dépôt pour passer ­devant le procureur. Mais ce dernier n’a pas voulu l’auditionner. Le dossier était vide. L’un des jeunes qui accompagnaient Mik, le mineur, était pensionnaire dans un foyer de la Ddass. « Libérez-les tout de suite ! »

Il aura fallu dix-sept heures pour que la ­justice prenne enfin le dessus. Avec son pull en V, Mik Impetto n’a pas un look de racaille. Pourtant, cet auteur-compositeur, jamais condamné, a vécu une ­dizaine d’histoires de GAV. Récemment, une voiture banalisée l’a suivi jusqu’en bas de chez lui. Il s’est ­excusé de ne pouvoir présenter ses papiers et a proposé aux policiers de monter les chercher. « Non, vous nous suivez au commissariat. » Mik a la poisse avec les forces de l’ordre. Sa mère lui reproche de ne pas venir la voir assez souvent à Saint-Quentin-en-Yvelines. Il est désolé, mais il ne prend plus sa voiture. Trop de galères.

Depuis quelques années, ces mauvaises affaires de GAV ont largement dépassé les limites des cités. Blacks, Blancs, beurs, jeunes et vieux, riches et pauvres, à la campagne ou en ville, tout le monde en a une à raconter. Lorsque mon rédacteur en chef m’a confié ce sujet, je n’ai pas eu besoin de faire 10 mètres pour en trouver une.

L’été dernier, le mari de ma voisine de bureau est descendu se plaindre auprès d’un voisin qui jouait de la batterie en pleine nuit. Un peu plus tard, cet écrivain sexagénaire, les pieds fourrés dans ses charentaises, entendait sonner à sa porte. Sur son palier, trois agents, la main sur leur arme, braquaient leur lampe torche sur lui, l’accusant d’avoir agressé son voisin. Il s’est retrouvé menotté les mains derrière le dos, traversant la cour de son immeuble en pantoufles et en jogging, sa femme courant derrière lui à petits pas. Les policiers ont fait entrer le mari dans leur véhicule, en pressant sur sa nuque, et l’ont conduit au commissariat où il a passé six heures. « Ils se sont comportés comme si l’on était des terroristes en train de mettre au point la prochaine bombe pour faire exploser la tour Eiffel ! »

Avec ou sans alcool, à cause d’un mot de travers ou d’un ­passage pour piétons non respecté, tout ­citoyen peut être placé en garde à vue. Au poste, les traitements de choc ne semblent pas réservés aux vrais délinquants. C’est ce qu’a vécu Dominique Serrell, 60 ans, en mai 2007. A 23 h 45, après un dîner gentiment arrosé (une bouteille de vin à deux), cette consultante roule dans sa Smart quand elle aperçoit, dans son rétroviseur, une voiture de police actionner gyrophare et sirène. Le policier qui l’interpelle l’accuse d’avoir brûlé un feu rouge et lui ­reproche de sentir l’alcool. Elle conteste l’infraction, puis lâche une phrase malheureuse : « J’aime la police qui protège, pas celle qui harcèle. »

«Vous avez dit que vous n'aimez pas la police : on vous garde» Au commissariat, Dominique s’entend dire qu’elle est ivre. Lorsqu’elle souffle dans le ballon, le curseur affiche 0,35 gramme ­d’alcool. Mais elle est ivre quand même ! « Vous avez dit que vous n’aimez pas la police, on vous garde. » On lui ­refuse d’appeler son avocat. Trois policières lui demandent de se déshabiller, vérifient l’intérieur de sa culotte, lui arrachent soutien-gorge et collant. Bien que son taux d’alcoolémie soit inférieur à la limite légale (0,5 gramme), elle doit croupir dans le local de dégrisement. A 2 heures du matin, trois policiers la menottent avant de l’emmener aux urgences de l’hôpital Lariboisière. Le fourgon roule à vive allure, brûlant tous les feux. Après une visite médicale sommaire, elle est transférée au dépôt de la rue de Vaugirard.

« Si vous êtes là, c’est que vous avez quelque chose à vous reprocher », lui lance-t-on en guise d’accueil. Sa cellule de 7 mètres ­carrés comporte des W-C à la turque, un bas-flanc en béton et une couverture maculée de vomi. Incapable de fermer l’œil, Dominique passe la nuit assise, terrorisée, les yeux rivés sur la porte. Au petit matin, on la fait monter dans une fourgonnette qui traverse Paris « à tombeau ouvert », manquant de renverser des piétons sur un passage protégé. Au commissariat, on lui lit ses chefs d’accusation : « Conduite en état d’ivresse et refus d’obtempérer. » Dominique les conteste. On la fait attendre deux heures dans un local, avant de relever ses ­empreintes digitales et de la prendre en photo avec une ardoise où figurent son nom, sa date de naissance et sa taille.

Finalement, un officier la reçoit. Il semble gêné. « Vous n’êtes ni la première ni la dernière, dit-il. On a une équipe coutumière du fait. » Elle apprend que les policiers ont ajouté la mention « refus d’obtempérer » pour lui faire passer la nuit au poste. Après deux heures d’attente et un prélèvement d’ADN, Dominique Serrell récupère enfin ses affaires et peut repartir chez elle. Il est 11 h 30.

L’été dernier, bloqué dans son 4 x 4 derrière un camion de pompiers pendant vingt minutes, Bruno M. le pousse avec son pare-chocs. Une imprudence qui lui vaudra d’être menotté et de passer une nuit semblable à celle de Mme Serrell. Idem pour Sophie, contrôlée à 0,51 gramme d’alcool alors qu’elle roule à vélo sur le Pont-Neuf. Et pour Alice, osant demander des explications aux agents qui avaient placé ses enfants (de jeunes ados) en garde à vue parce qu’ils jouaient devant chez eux à 2 heures du matin.

Depuis que Frédéric Beigbeder a raconté ses deux nuits au poste dans « Un ­roman français », sorti en août 2009, les langues se délient. Autrefois ­jugées honteuses, les GAV se sont banalisées. Lorsque, aujourd’hui, Beigbeder anime des conférences sur le sujet, il demande toujours qui en a subi une. « Une trentaine de mains se ­lèvent. »

Au début du mois, Matthieu Aron a révélé, dans son livre-enquête « Gardés à vue » (éd. Les Arènes), le vrai chiffre : 800 000 en 2009. « A ce rythme-là, 1 homme sur 4 âgé de 15 à 65 ans devrait être placé en garde à vue dans les dix prochaines années », conclut-il.

Le journaliste de France Info révèle aussi l’incroyable histoire de Patricia Lamant et Bernard Copin. Ces Versaillais agressés l’été 2008 par des agents zélés mènent un combat contre les abus d’un système qui donne les pleins pouvoirs à la police pendant vingt-quatre heures de la vie d’un homme. « C’est vrai, il peut y avoir une réflexion sur la garde à vue quand elle s’applique à des délits mineurs, confie un officier de la PJ. Mais on ne peut en aucun cas priver de cette mesure ceux qui enquêtent sur les crimes et délits. Quand on abandonne une affaire de 8 tonnes de haschisch parce que des avocats ont soulevé un texte européen, c’est aberrant. »

La garde à vue à la française est illégale au niveau européen Aberrant, oui, mais le texte en question – un arrêt de la Cour européenne des droits de l’homme – existe bien. En rappelant que tout prévenu doit bénéficier de l’assistance d’un avocat « dès les premiers stades des interrogatoires de police », il rend de fait illégale, au niveau européen, la garde à vue à la française. Dans l’Hexagone, les avocats ne peuvent aujourd’hui ni consulter le dossier ni assister aux interrogatoires pendant toute la durée de la GAV. « L’avocat est un acteur aveugle et infirme de la garde à vue », explique Me Aurélien Hamelle, associé du cabinet Metzner, auteur de l’essai « Faut-il vraiment durcir la justice ? » (éd. JC Lattès). «

Les conventions internationales garantissent à tout citoyen le droit d’être assisté par un avocat à tout moment de sa vie. En France, c’est vrai, sauf pendant les vingt-quatre heures où il en a le plus besoin », résume le pénaliste Jean-Marc Fedida. Résultat, comme le résume Matthieu Aron : « Le problème entre les jeunes et les policiers n’est plus ­cantonné aux cités. Aujourd’hui, il y a un vrai problème entre les policiers et les Français moyens. »

Quels que soient les faits, un seul traitement, sans discernement. Comme cette Asiatique détenue après un vol dans un grand magasin, les gardés à vue, même pour des raisons insignifiantes, ont droit à des cellules très souvent insalubres. La semaine dernière, le tribunal de Charleville-Mézières a dispensé de peine un homme coupable de conduite en état d’ivresse et de violences à agents en raison des conditions « dégradantes » de sa détention en garde à vue.

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commnt : sorti de con texte toute altercation semble illégitime ... Mais sans force de loi ... ce sera le retour à la jungle sensei12richard - Dimanche 21 Mars 2010 - 07:37

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