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mercredi 3 février 9999

___NEGRIER : CAPITAINE - Métiers d'autrefois avec Genealogie.com 1. Dormira Dans Des Motels Miteux Ou, dormira dans des motels miteux ou dehors on dormira… lésion auto-infligée par saut dans le vide | zone de commerce et des services...

NEGRIER : CAPITAINE :

Le capitaine-négrier est celui qui vit la traite au quotidien : aménagement du navire au départ si besoin, chargement des esclaves, surveillance continuelle des révoltes toujours possibles et des maladies qui peuvent surgir, puis vente de cette "marchandise humaine"…

http://sante-guerir.notrefamille.com/v2/genealogie-en-ligne/ancien-metier.asp?id_metier=88

Le chargement des esclaves

On charge progressivement le navire en progressant le long des côtes de Guinée, de site malsain en site malsain. Une fois la "cargaison" chargée, le capitaine négrier appareille. Lui et ses matelots reviendront un jour en Guinée. Mais aucun des hommes de sa cargaison... pour lesquels le billet est un aller sans espoir de retour. Marin expérimenté, commerçant habile, le capitaine négrier dispose généralement d'une réputation bien établie laquelle a inspiré confiance à son armateur. Formé "sur le tas", par un père, un oncle, un frère aîné ou un parent capitaine-négrier, ce capitaine se doit d'être officier de renom. Sinon, il voue l'expédition à un échec. En revanche, s'il est capable, son enrichissement l'introduit au coeur des élites négociantes. La cargaison à bord, il faut s'éloigner de la côte rapidement pour éviter évasions et suicides.

La traversée de l’Atlantique et retour

Vient alors la longue traversée de l'Atlantique. Tout capitaine doit alors être prêt à affronter la révolte toujours possible des captifs, les dangers de la mer, les hurricanes caraïbes...Une bonne connaissance des points de relâche îliens s'avère indispensable, pour faire de l'eau, des vivres, des réparations. Connaître la mer des Caraïbes est capital. Enfin, il lui faut vendre la cargaison, mettre les noirs en valeur (corps huilés), et les présenter au public une fois réparées les fatigues de la mer avec des vivres frais, du riz surtout, pour interrompre dysenteries et coliques. Les beaux Noirs vendus (les pièces d'Inde), reste à écouler les queues de cargaisons (Noirs en mauvais état physique ou psychique, "soldés" auprès des chirurgiens de la colonie). Les officiers en second du navire-négrier doivent ensuite collecter les fonds, visiter les colons mauvais payeurs, essuyer les démêlés avec les représentants de la Ferme.

Extrait du chapitre concerné, dans l’ouvrage Mers et Marins en France d’Autrefois, Archives et Culture.

1. Dormira Dans Des Motels Miteux Ou, dormira dans des motels miteux ou dehors on dormira… lésion auto-infligée par saut dans le vide | zone de commerce et des services...

Dormira Dans Des Motels Miteux Ou, dormira dans des motels miteux ou dehors on dormira… lésion auto-infligée par saut dans le vide | zone de commerce et des services...

Le mercredi 22 juillet 2009 à 11:43, par p

La république fédérale et la formation de l'Union AFRICAINE POUR OU CONTRE!

L’union fait la force !

Ce n’est pas un mythe, c’est ce qui donne l’élan à des citoyens qui œuvrent pour une meilleure répartition des richesses, c’est ce qui aide des personnes à lutter pour faire respecter leurs droits fondamentaux, c’est ce qui transforme la vie de populations ravagées par la guerre en lendemains de réconciliation. Le contexte de la mondialisation nous engage tous à devenir de réels citoyens du monde. Alternatives en est un et vous aussi, parce que je sais que vous voulez agir pour la paix dans le monde. C’est pourquoi l’union des Etats Unis fédérale Africaine. Plus on est solidaires, plus on peut changer les choses. En cette fin d’année 2009, tandis qu’on nous bombarde de mots comme "crise alimentaire" et "récession", j’ai envie de vous dire : « Ne baissons pas les bras ! » Ensemble, nous avons la capacité d’avoir un impact positif sur le monde de « demain », pour en faire un monde de paix et juste. Voyez comment ! Partout, nous soutenons des initiatives novatrices de mouvements populaires luttant pour éradiquer la pauvreté, l’injustice, l’exploitation et la violence, des conditions qui nuisent à un monde de paix. Nous réussissons à renforcer ces actions citoyennes parce que des gens comme vous partagent notre sens de la justice et de la solidarité. En tendant la main à ces jeunes ainsi qu’à des travailleurs, des femmes, des communautés entières, vous contribuez à bâtir un monde plus juste, plus démocratique, plus pacifique. Vous conviendrez avec moi que ce qui se passe au Sud a une incidence sur ce qui se passe au Nord. Et vice-versa ! La crise alimentaire et les perturbations économiques se répercutent sur les politiques sociales d’ici et d’ailleurs. Cette réalité renforce la nécessité de nos actions dans le monde et notre travail de sensibilisation et de promotion d’une citoyenneté mondiale active en France et partout ailleurs. En unissant nos forces, nous pouvons œuvrer pour construire un monde de paix. l'Union AFRICAINE pour les libertés civiles dont la mission est de « défendre et préserver les droits et libertés individuelles garanties à chaque personne dans ce Pays par la Constitution et les lois des États-Unis d’Afrique »1. Ses moyens d'actions pourront-être en exemple les poursuites judiciaires, le lobbying législatif et l'éducation civile communautaire.

1. Le jeudi 9 juillet 2009 à 14:04, par Minsili

Pauvre Farakan, s’est-il seulement qu’il est entrain de soutenir la volonté d'un dictateur dont le seul but est se présenter en chef et guide unique de l'Afrique.

2. Le samedi 11 juillet 2009 à 05:54, par Leomensa Minsili

Je regrette que vous ayez cette vision. Ce n´est pas parce que Kadhafi est un dictateur que tout ce qu´il fera sera mauvais. L´union africaine qu´il soutient est effectivement très importante pour l´Afrique. C est vraiment de l´idiotie de penser qu´il s´érigera en président dictateur de l Afrique. C est des gens comme vous qui ne veulent pas le bien de l´Afrique et que le continent doit continuer dans sa misère. Que direz-vous des timoniers comme Nkrumah et allier que prônaient les mêmes idées aux lendemains des indépendances et les occidentaux les ont étouffés! Révisez vos idées mon confrère Minsili car ne pas reconnaître la loi de nature qui stipule que " l ´union fait la force " est pure ignorance. Nkrumah est en train de naître en Kadhafi. Qui soutient l´UA ne soutient pas en réalité Kadhafi mais immortalisent Kwuamé Nkrumah et ses prédécesseurs afro-américains comme Marcus Garvey et les fait ressuscités. Le nouveau départ de l´Afrique doit oublier les rancœurs sur le continent et travailler exclusivement les idées progressistes indépendamment de leurs auteurs. Plus on pense aux malaises du passé moins on progresse dans le futur À nous revoir Que Dieu bénisse la vraie Union Africaine comme une fédération sans frontière et que tout africain partout où il se trouvera sur le continent se sente effectivement comme chez lui sans distinction aucune pour qu’il puisse mettre en valeur ses potentialités et que le mot "étranger" entre noirs africains sur le continent disparaisse dans notre vocabulaire. C est la seule et unique voie pour le développement de l´Afrique. Les voies isolées par pays ne seront que des paliatifs. Salut l´UA!!!!

article: Louis Farrakhan : les Noirs américains soutiennent Kadhafi

Le leader de la Nation of Islam était présent au sommet de Syrte Le leader de la "Nation de l'Islam" a également mis en exergue la vision du guide Kadhafi selon laquelle "le continent souffre encore des séquelles de la colonisation occidentale, de l'injustice et de l'oppression exercées par les Blancs, qui ont laissé des traces négatives dans l'esprit et l'âme des Africains à l'intérieur du continent et chez les Africains de la diaspora".

M. Farrakhan a réitéré, dans une déclaration à la presse à Syrte (centre de la Libye), où il a assisté au 13ème sommet de l'Union africaine (UA), la fierté des Noirs-Américains et leur considération à l'égard des efforts du guide Mouammar Kadhafi, président en exercice de l'UA, en vue de la réalisation de l'unité du continent. Le leader de l'association "Nation de l'Islam", aux Etats-Unis, Louis Farrakhan, a annoncé l'engagement des Noirs- Américains à œuvrer avec le guide libyen Mouammar Kadhafi à la mise en œuvre de la volonté des masses africaines de l'édification des Etats unis d'Afrique. M. Farrakhan a réitéré, dans une déclaration à la presse à Syrte (centre de la Libye), où il a assisté au 13ème sommet de l'Union africaine (UA), la fierté des Noirs-Américains et leur considération à l'égard des efforts du guide Mouammar Kadhafi, président en exercice de l'UA, en vue de la réalisation de l'unité du continent. "Le guide Kadhafi a remis sur la voie la vision de Kwame Nkrumah relative à l'édification des Etats unis d'Afrique pour son exécution et a amené tous les chefs d'Etat africains à œuvrer pour faire de la réalisation des Etats unis d'Afrique une nécessité qu'il est temps de concrétiser", a-t-il déclaré. Le leader de la "Nation de l'Islam" a également mis en exergue la vision du guide Kadhafi selon laquelle "le continent souffre encore des séquelles de la colonisation occidentale, de l'injustice et de l'oppression exercées par les Blancs, qui ont laissé des traces négatives dans l'esprit et l'âme des Africains à l'intérieur du continent et chez les Africains de la diaspora". M. Farrakhan a salué, par ailleurs, l'appel du guide Kadhafi lors de son discours à la séance d'ouverture du sommet de l'UA, relatif à la nécessité pour l'Afrique d'amorcer la conquête de l'espace, l'utilisation pacifique du nucléaire, de la chimie et de la biologie, "pour compenser la grande perte historique face aux autres continents et nations du monde". Commentaires 1. Le jeudi 9 juillet 2009 à 14:04, par Minsili Pauvre Farakan, s’est-il seulement qu’il est entrain de soutenir la volonté d'un dictateur dont le seul but est se présenter en chef et guide unique de l'Afrique.

2. Le samedi 11 juillet 2009 à 05:54, par Leomensa Minsili

Je regrette que vous ayez cette vision. Ce n´est pas parce que Kadhafi est un dictateur que tout ce qu´il fera sera mauvais. L´union africaine qu´il soutient est effectivement très importante pour l´Afrique. C est vraiment de l´idiotie de penser qu´il s´érigera en président dictateur de l Afrique. C est des gens comme vous qui ne veulent pas le bien de l´Afrique et que le continent doit continuer dans sa misère. Que direz-vous des timoniers comme Nkrumah et allier que prônaient les mêmes idées aux lendemains des indépendances et les occidentaux les ont étouffés! Révisez vos idées mon confrère Minsili car ne pas reconnaître la loi de nature qui stipule que " l ´union fait la force " est pure ignorance. Nkrumah est en train de naître en Kadhafi. Qui soutient l´UA ne soutient pas en réalité Kadhafi mais immortalisent Kwuamé Nkrumah et ses prédécesseurs afro-américains comme Marcus Garvey et les fait ressuscités. Le nouveau départ de l´Afrique doit oublier les rancœurs sur le continent et travailler exclusivement les idées progressistes indépendamment de leurs auteurs. Plus on pense aux malaises du passé moins on progresse dans le futur À nous revoir Que Dieu bénisse la vraie Union Africaine comme une fédération sans frontière et que tout africain partout où il se trouvera sur le continent se sente effectivement comme chez lui sans distinction aucune pour qu’il puisse mettre en valeur ses potentialités et que le mot "étranger" entre noirs africains sur le continent disparaisse dans notre vocabulaire. C est la seule et unique voie pour le développement de l´Afrique. Les voies isolées par pays ne seront que des paliatifs. Salut l´UA!!!!

www.grioo.com/blogs/malon/ 4. Le samedi 13 février 2010 à 18:38, par laparque :: site Concernant Khadafi...bon, je suis pour l'unité africaine! L'afrique n'en serait que grandie et prête à mieux affronter les néo colons...Ceci dit, imputer cette idée à ce félon est très mauvais..Déjà parce que c'est un dictateur sanguinaire mais qui plus est sa vision de l'unité africaine est quelque peu étrange. Unité africaine certes, mais sous sa coupe. L'Afrique n'a pas besoin d'être bestial à sa tête surtout pas..Non non et non..il lui faut des hommes sachant se concerter, des hommes comme le regretté Thomas Sankara... http://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:6PlexucQMDcJ:www.grioo.com/blogs/mbalax/index.php/2006/08/26/1297-historique-du-mbalax+psychisme+n%C3%A9grier&cd=5&hl=fr&ct=clnk&gl=fr&source=www.google.fr http://www.grioo.com/blogs/amak/index.php/2006/04/30/987-manifeste-amak-bordeaux

1. NEGRIER : CAPITAINE - Métiers d'autrefois avec Genealogie.com

..children of the street that children soldier per psychisme negrier 20 mars 2010 15:43:47

La cupidité est le moteur de la finance »… Le triomphe de la cupidité un moteur pour l’économie … Ne pas comprendre la vraie nature sociale de la finance, c’est se condamner ..La monnaie est à l’économie ce que la langue est à la communication

Par Children of the Street ( children soldiers), samedi 20 mars 2010 à 11:45 :: IMPOT; « argent » investissement immobilier :: #3225 :: rss

BIBLE of the FINANCE

Joseph Stiglitz agace. Ceux qui, il y a quelques années, en ont fait une icône de leur mouvement, les altermondialistes, trouvent qu’il sert désormais avec trop de zèle les gouvernements (Stiglitz a travaillé pour l’équipe d’Obama et conduit aussi une mission de réflexion pour Nicolas Sarkozy). Même agacement chez beaucoup de ses confrères économistes pour qui, depuis qu’il est une star, Stiglitz « brade » sa parole en prenant position sur l’air du temps. Qu’importe… Avec son allure de gros chat gourmand installé dans un fauteuil confortable devant le feu de cheminée d’un hôtel du coeur de Paris, Stiglitz assume : « Ma célébrité me permet d’être pédagogue et de faire passer le message auquel je crois. » Farouchement opposé au capitalisme sauvage, il croit aux bienfaits que celui-ci peut engendrer à condition d’être encadré et régulé. Nous l’avons rencontré à l’occasion de la sortie du « Triomphe de la cupidité ».

Les marchés monétaires et financiers sont nés de l’éthique. Il faut donc commencer par là ! L’éthique n’est pas une bénédiction de fin de journée pour se mettre en règle avec Dieu ou sa conscience : toute l’organisation financière procède d’un projet de société, d’un désir de communion qui s’étend aujourd’hui à toute la planète du fait de la dynamique de mondialisation. La monnaie n’a pas été inventée pour enrichir les banquiers. Elle a été créée pour faciliter les échanges en les multilatéralisant.

•La monnaie est à l’économie ce que la langue est à la communication. Elle accélère les échanges jadis bridés par le troc. •La monnaie offre donc une liberté dans l’espace mais aussi dans le temps : ceux qui ont trop d’argent peuvent prêter à ceux qui n’en n’ont pas assez. Là aussi, on voit que la finance est au service d’une communion entre les hommes. La monnaie est donc le signe et l’instrument d’un pacte social qui n’a rien à voir avec un individualisme forcené et égoïste. Ne pas comprendre la vraie nature sociale de la finance, c’est se condamner tôt ou tard à la déroute, car elle ne peut pas fonctionner sans ce but collectif. La finance est au service de l’économie, et l’économie est au service de l’homme. L’éthique n’est donc pas un idéal qui viendrait contester le cynisme de la cupidité. L’éthique est le fondement absolument nécessaire de l’organisation financière si l’on veut que la technique ne devienne pas folle. La révolution communiste qui a voulu en finir avec l’économie sociale de marché n’a pas sauvé la Russie. Elle procédait d’un idéalisme inopérant et finalement destructeur. Mais la cupidité érigée en vertu n’a pas davantage sauvé l’Amérique. Ce cynisme anthropologique n’était pas plus réaliste. Car la cupidité est une pathologie aux conséquences dévastatrices elle aussi.

Oui, ce que le moine Evagre le Pontique (346-399) appelait les huit mauvais esprits qui sont devenus les sept péchés capitaux n’a rien de suranné. L’un de ces sept péchés a été traduit par le mot « avarice ». Mais il s’agit en fait de la cupidité, c’est-à-dire d’un rapport maladif à la richesse.

•La richesse est un bien dangereux Dans la tradition biblique, la richesse n’est pas un mal. à condition de ne pas en faire un dieu.

L’argent est un bon serviteur, mais un mauvais maître.

•Il n’est pas rationnel d’organiser sa vie personnelle et la vie sociale autour du seul objectif d’enrichissement, car la richesse suprême, dans la tradition biblique, est : l’amour fraternel, expression du divin, car « Dieu est amour » (1 Jn, 4,16). La motivation vraie, durable et constructive de l’homme n’est donc pas la cupidité mais l’amour fraternel. Elle se construit par l’éducation dès le plus jeune âge. Elle est le substrat éthique qui permet le fonctionnement efficient des marchés : « Que votre oui soit un oui et que votre non soit un non » (Mt 5,37). Toute crise financière possède donc une dimension technique mais aussi une dimension éthique, car le fonctionnement des marchés est lié à la culture, comme l’a noté très tôt Max Weber dans L’éthique protestante et l’esprit du capitalisme. Une économie sociale de marché ne pourra fonctionner durablement que si les agents économiques usent avec sagesse des choses qui passent pour s’attacher à celle qui ne passe pas, c’est-à-dire l’amour fraternel. Mépriser cette réalité spirituelle, c’est s’exposer à des bulles spéculatives qui peuvent nuire au développement économique réel.

•La richesse et la finance sont donc des biens. Mais ce sont des biens dangereux. Ce paradoxe a pour source le cœur de l’homme qui est « compliqué et malade » (Jr 17,9). Il revient à la famille, à l’école, aux associations et aux communautés religieuses d’éduquer à un juste rapport à l’argent, qui se traduit par les vertus de détachement, de travail et de partage.

Refuser cette dimension éthique à l’homme et ne pas la faire grandir dans le monde, c’est détruire les bases sociales d’une meilleure allocation des ressources. C’est donc contribuer au malheur immédiat des pauvres, au déséquilibre écologique de la planète et à la misère spirituelle des riches.


***

bye

sur Quel est mon avenir connaître mon avenir professionnel

http://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:d56UC9X1CG8J:www.tarot-numerologie.fr/blog/2010/03/07/quel-est-mon-avenir-connaitre-mon-avenir-professionnel/+psychisme+n%C3%A9grier&cd=9&hl=fr&ct=clnk&gl=fr&source=www.google.fr

http://www.congopage.com/?page=reaction&id_article=6418

16 février 2010 @ 15:07, par Children of the Street ( children soldiers) psychisme negrier (children soldiers grioo.com)

Dans un tel contexte,il y a des raisons d’ordre pratique : Autant que ses moyens FINANCIER le lui permettent, à tous les problèmes du continent africain. L’Afrique pendant la décolonisation et quelques années après a connu beaucoup de problèmes. Je ne vais pas m’apesantir sur ce passé. Malgré la pauvreté qui persiste, malgré la résurgence de certains conflits, l’accentuation de la pauvreté et du fossé entre pauvres et richesses, le continent a fait d’énormes progrès ... Aujourd’hui en revanche, de nombreux Africains cultive encore au plus profond d’eux la rage, la haine, la colère, la jalousie, l’envie et le manque d’amour pour vos semblables qui ne font que reculé l’homme noire dans sa médiocrité ancestrale... Je dis ceci a mes nombreux (frère noire) compatriote africain et surtout congolais de brazzaville, si vous pensez pouvoir mieux faire... commencer par étudié l’économie, le droit, la philosophie voir la psychiatrie...etc ?

SACHEZ QUE NOUS AVONS BESOIN DE MAINS D’HOMMES DE TOUTE SORTE POUR PETRIRE Les MONTAGNE

..a celà j’ajouterais J’AIME L’AFRIQUE et que dieu bénisse et protège les enfants africain orphelin de guerre, orphelin civil, orphelin de la rue qui balaye les marchés, qui balaye les rues, qui font la menche car nous ne sommes pour rien dans la situation actuel du pays et du continent en general.

bien à vous

http://www.congopage.com/?page=reaction&id_article=6418

...

  • J'ai "Guéri" mes Dents Jaunes.. fr

http://dictionnaire.sensagent.com/l%C3%A9sion+auto-inflig%C3%A9e+par+saut+dans+le+vide+%7C+zone+de+commerce+et+de+services/fr-fr/

http://www.google.fr/search?hl=fr&rls=com.microsoft:*:IE-SearchBox&rlz=1I7GGLL_fr&&sa=X&ei=09NKTayRJJyShAeG5cCWDw&ved=0CBcQBSgA&q=psychisme+n%C3%A9grier&spell=1

  • La Delinquance Assistee Par Ordinateur La Saga Des Hackers Nouv ...

http://www.hispatecno.net/75206/la-delinquance-assistee-par-ordinateur-la-saga-des-hackers-nouv-eaux-flibustiers-high-trch/2/

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__ Politiquement diarrhé.. La souveraineté par l’emmurement. Dans un contexte de globalisation généralisée, les murs de fortification gagnent du terrain un peu partout dans le monde. Désirs de murs! Fantasmes de Démocratie et Illusion

Désirs de murs, fantasmes de démocratie et illusion

Dans un contexte de globalisation généralisée, les murs de fortification gagnent du terrain un peu partout dans le monde. Pour le philosophe Wendy Brown, ce phénomène traduit un besoin de restauration des États-nations.

maroua953 MP

comment soigner une diarrhé?

''je fais une fois de plus fais apel au YABIMAMANS, jai un souci.. ma fille de 5 mois a une gastro depuis 1 semaines je l ai emennée 2 fois chez le pediatre et ca ne s arrange pas elle na pas de fievre et a priorie elle napas perdu de poid donc pas de koi s alarmer mais je voudrais kan meme savoir si ya un moyens de stopper cette fichue diarrhé qui la rend tres fatigué meskina... j essaye de lui faire boire de l eau chak jours mais impossible elle ne boit pas d habitude je lui fai boire un peu de louiza mais depuis kel est malade aucuns likid ne passe apart son lait et ja i peur kel se desydrate. d apres le pediatre c est pas grav mais moi je m inquiéte kan meme. aurriez vous svp kelkes conseils a me donner je c plus koi faire''

merci a vous

http://www.yabiladi.com/forum/comment-soigner-diarrhe-67-2291966-2292622.html

Recensé : Wendy Brown, Murs. Les murs de séparation et le déclin de la souveraineté étatique,

Les Prairies Ordinaires, 2009. 206 p., 15 €.

Les lecteurs de Wendy Brown, professeur de philosophie à Berkeley, retrouveront dans cet ouvrage ses réflexions développées précédemment sur les rapports entre néo-libéralisme et démocratie 1. L’auteur se penche ici sur les murs de sécurité construits à différentes frontières et forge une analyse du déclin de l’État-nation dans le contexte actuel de la globalisation. Pourquoi assiste-t-on à la « contagion » de la fortification à une époque où les moyens de contrôle technologiques, informatiques des flux et le système de surveillance mondialisé sont des plus sophistiqués ? Brown voit dans l’émergence des murs une manifestation du besoin de restauration des États-nations, de leur pouvoir de délimitation et de protection. Sans préjugés ou rattachement doctrinaire, cette étude se signale donc par son caractère lucide sur les rapports entre État ou souveraineté politique et globalisation. L’ouvrage trouve son centre de gravité dans une réflexion critique sur la souveraineté libérale tout en ouvrant de nouvelles pistes qui empruntent notamment à la psychanalyse pour cerner la question des murs.

  • Crise de la souveraineté politique dans la globalisation

L’auteur prend comme toile de fond les murs construits pour des raisons de sécurité nationale et qui strient la planète. C’est le cas en Israël ou à la frontière égyptienne avec la bande de Gaza, à la frontière mexico-américaine, en Inde, ou encore le long de la frontière avec le Cachemire, en en Thaïlande avec la Malaisie. Les barrières sont destinées également à retenir les flux migrants (en Afrique du Nord, en Chine le long de la frontière avec la Corée du nord). Mais l’auteur ne prétend pas produire un essai documenté et factuel sur ces dispositifs de contrôle. La remarque a son importance dans la mesure où les rapports entre souveraineté et territoire sont largement au coeur du courant critique radical américain (comme chez Mike Davis ou David Harvey), qui met en avant les tensions propres au capitalisme ou au néo-libéralisme, avec les nouvelles formes de partition voire de sécession territoriale (des enclaves du libéralisme aux gated-communities) 2.

Pour Brown, les murs seraient d’abord les signes de la fin de la fin de l’ordre international consacré par la paix de Westphalie. La référence constante à Schmitt soutient l’armature de l’ouvrage et son analyse de la souveraineté politique dans la modernité tardive : suprématie des États comme forme politique et faisant acte d’autorité sur le peuple, territorialité et nomos marquant l’ordre politique (avec une délimitation spatiale d’un territoire le séparant d’un autre). Cette souveraineté politique de l’État-nation serait-elle en train de disparaître ?

La construction actuelle des murs et autres barrières de sécurité, même si elle s’effectue dans des situations distinctes (le cas israélien ne pouvant être mis sur le même plan que le cas mexicain), est une hyperbole de l’impuissance des États à gouverner par le droit et la norme. Comparés au pouvoir microphysique, déterritorialisé et mobile (en raison de la généralisation des flux transnationaux financiers et humains, de la violence liée aux réseaux religieux, politiques), les murs apparaissent comme des forteresses archaïques dans la mesure où l’exercice du pouvoir ou de la violence, est dissocié territorialement des États. Les murs n’exprimeraient alors qu’une mise en scène du déclin des États ou de leurs tentatives de restaurer leur autorité, notamment en face d’acteurs non identifiés (comme les groupes criminels ou mafieux).

Cependant, l’analyse ne suit pas celle de la théorie critique tendue vers l’explication d’une généralisation de l’état d’exception permanent, autrement dit de la suspension générale de l’état de droit. On sait que cette thèse d’Arendt, remise au goût du jour par Agamben 3, est largement utilisée dans les essais critiques portant notamment sur les politiques israéliennes ou américaines (en Irak, en Afghanistan et à Guantanamo), ces analyses ayant pour particularité d’examiner les modes de gouvernementalité ou la façon dont le pouvoir d’État s’exerce, en particulier sur les minorités. L’auteur revient plutôt sur l’articulation entre souveraineté individuelle et étatique, qu’elle examine à partir d’une relecture de Rousseau, Locke et Hobbes. Les démocraties libérales tendent à dissocier pouvoir du peuple et action de l’État et se donnent, au nom du peuple, le pouvoir de suspendre le droit, d’intervenir militairement, de gouverner en dehors de leur juridiction ou encore de construire des fortifications. Ce décisionnisme marque une certaine « souveraineté du politique » (p. 83) en dehors de toute normativité, l’État procédant d’une forme de domination politique sur les autres pouvoirs ou sur toute forme d’opposition démocratique.

Ici, l’auteur soutient l’idée d’un nouvel homo munitus, d’un sujet défensif ou passif à l’intérieur des murs construits pour sa sécurité. Brown se demande si la construction généralisée des murs ne correspond pas à une stratégie des États : dépouiller les citoyens nationaux de leur subjectivité politique, fabriquer des prisonniers volontaires à l’intérieur de murs, la « bunkerisation » devenant un mode de vie, une forme d’imaginaire collectif pour se protéger de l’extérieur. L’auteur prend le cas du mur israélien qui permettrait, selon elle, de transférer la domination d’Israël sur la figure d’un subordonné menaçant et violent, d’engendrer de nouvelles formes de xénophobie à l’intérieur ou à l’extérieur, qui elles-mêmes encourageraient la violence palestinienne (voir notamment pages 37 à 43). L’exercice d’une souveraineté politique agirait alors comme une protection du peuple et produirait un éthos de type défensif, une démocratie emmurée.

D’autre part, les États constructeurs de murs assurent une médiation entre le global et la vie politique nationale et font apparaître une souveraineté « brouillée ». En se protégeant contre les menaces extérieures – de la main d’œuvre illégale aux terroristes, aux différentes économies parallèles et trafics en tout genre (comme à Gaza ou le long de la frontière mexicaine) – ils font apparaître des formes d’association politique contraires aux intérêts nationaux. L’auteur mentionne le cas des milices armées exerçant en Arizona (les Minutemen) s’appropriant des prérogatives étatiques comme celui du contrôle des frontières et la régulation du commerce. La référence à Foucault sur la rationalité libérale 4 telle qu’elle se diffuse à l’échelle du sujet (entreprenariat, utilitarisme et intérêt individuel) permet d’expliquer l’intériorisation de la notion de crime dans le modèle marchand dès lorsque celui-ci fait valoir le principe de la rationalité économique. En un mot, il serait difficile de considérer les murs comme des îlots de sécurité, le néolibéralisme libérant toutes les forces individuelles, transposées dans des activités politiques ou commerciales ingouvernables par le droit.

Cette thèse n’est pas sans évoquer celle de Hardt et Negri dans Empire 5 considérant la souveraineté économique comme imposant ses modes de pouvoir et sa gouvernance et dégradant l’État à un rôle de manager du capitalisme international. Brown s’en défend : les murs inventent les sociétés qu’ils délimitent. L’émergence des murs ne doit pas s’analyser strictement sous l’angle de la dissolution de la souveraineté juridique et étatique mais au contraire du retour d’une souveraineté du politique (avec le retour d’une appropriation, comme registre défensif, voire d’une dimension théologique de la souveraineté comme imitation du pouvoir de Dieu).

  • Une mise en scène de la souveraineté ou de son déclin ?

En réalité, écrit Brown, il y a bien lieu de prendre en compte une forme de théâtralité de la souveraineté étatique et de son déclin. Alors que les résultats en matière de sécurité nationale, de filtrage des trafics ou de l’immigration clandestine sont faibles (comme à la frontière mexicaine), les murs sont en réalité destinés à mettre en scène une image rassurante des États, dans la gestion des flux de biens et de personnes ou de la sécurité intérieure. Citant un riverain de l’Arizona vivant à proximité du mur construit sur la frontière avec le Mexique, Brown écrit : « le gouvernement ne contrôle pas la frontière. Il contrôle ce que les Américains pensent de la frontière » (p. 143). Les murs produisent l’image de nations intactes, autonomes politiquement et restaurées dans leurs capacités protectrices. La souveraineté de type néo-libérale peut se draper d’une aura religieuse, pour se donner l’illusion d’une puissance. Ainsi les États-Unis affirment une souveraineté théologico-politique au fur et à mesure que s’amenuise le pouvoir de ce pays. L’État d’Israël affirme au fil du temps son caractère religieux pour justifier son existence et la défense de son identité nationale afin « d’apparaître moins aberrant qu’il ne l’aurait été voici cinquante ou cent ans » (p. 96). Dépassant la thèse de Saskia Sassen 6 sur la dénationalisation de la vie locale et de la renationalisation de la vie politique (par l’appel à la préférence nationale, le nationalisme étatique ou le protectionnisme), Brown avance même l’idée d’une « théologie de l’emmurement « (p. 106).

  • Désirs de murs, fantasmes de démocratie et illusion

L’auteur analyse alors toute une phénoménalité des murs et revient sur leurs dimensions psychiques et symboliques. C’est ici que l’approche est la plus originale et risquée. Les murs dans leur matérialité ramènent à la vulnérabilité humaine et au désir de protection : celui des États et ceux des sujets eux-mêmes. Les forteresses et barrières de sécurité remettent alors en circuit le lien qui unit souveraineté du sujet et souveraineté politique. Elles construisent un affect, plus ou moins mouvant selon les discours de peur et de menace, les États amalgamant le désir de protection par la communauté et la production d’une souveraineté au moyen de l’édification. Les murs sont alors chargés de redéfinir un nomos symbolique et spatial avec le monde extérieur, bien qu’il soit en réalité impossible pour la communauté de délimiter cet extérieur.

Mais selon l’auteur, le besoin de protection des sujets reste tangible dans la mondialisation. Celle-ci exacerbe le fantasme de pureté de la nation confrontée à des figures extérieures à la communauté politique (le migrant et le terroriste, et autres trafiquants qui prennent les traits d’un étranger hostile). La globalisation ou le néo-libéralisme économique ou politique n’atténuent en rien le lien qui unit identité individuelle et identité nationale dès lors que l’extérieur concentre la menace. D’où la parfaite rhétorique discursive nationale, construite, selon l’auteur, par des États comme Israël ou les États-Unis : la nation véhicule l’image d’une démocratie humaniste ou d’une nation juste, capable de se défendre et de protéger, rejetant hors les murs l’envahisseur. Ainsi, les barrières mettent à jour le caractère ontologique des identités en créant sur le plan optique et politique une séparation entre le bon et l’impur. Les murs et autres dispositifs de sécurité peuvent être vus comme des fétiches ou même des icônes visant à transformer la nation en foyer familial et à fixer un horizon psychique sécurisant, conforme à l’imaginaire collectif d’une souveraineté politique et étatique restaurée dans ses murs, loin du monde trop global. À ce stade de sa réflexion, Brown se risque à une interprétation freudienne de la fortification comme lutte entre intime et extime, entre le moi et l’autre, l’identité et l’étrange, mais également de la nation (« genrée » car « femelle pénétrable ») protégée par l’État souverain masculin (p. 203). De même, la référence freudienne à l’hystérie de défense individuelle liée à une peur ou à une phobie s’appliquerait à l’État-souverain, celui-ci convertissant son angoisse en défense psychique et favorisant la résurgence d’un moi national au prix de son raidissement.

Là où la critique radicale, notamment dans le cas israélien, a extrapolé le paradigme du pouvoir disciplinaire ou du biopouvoir, Brown libère la question de la souveraineté de son enfermement sur la question du droit (Agamben), de l’espace (Davis) ou du capitalisme (Hardt et Negri), en donnant plus d’importance à la question de la représentation collective ou de la subjectivité. À l’issue de cet essai, les murs apparaissent comme autant de manifestations du désir collectif de défense, offrant des pouvoirs immenses et destructeurs que l’homme est incapable de comprendre et de contrôler.

par Sylvaine Bulle 02-06-2010

Pour citer cet article :

Sylvaine Bulle, « La souveraineté par l’emmurement », La Vie des idées, 2 juin 2010. ISSN : 2105-3030. URL : http://www.laviedesidees.fr/La-souverainete-par-l-emmurement.html

Notes

1 Cf. Wendy Brown, Les habits neufs de la politique mondiale, Paris, Les Prairies ordinaires, 2007.

2 Voir par exemple Mike Davis, Dead Cities, Paris, Les Prairies ordinaires, 2009 ; David Harvey, Géographie de la domination, Paris, Les Prairies ordinaires, 2008.

3 Voir en particulier Georgio Agamben, Homo Sacer II. État-d’exception, Paris, Seuil, 2003.

4 Voir en particulier Michel Foucault, Naissance de la biopolitique, Paris, Seuil, 2004.

5 Michael Hardt et Antonio Negri, Empire, Paris, Exils, 2000.

6 Voir notamment Saskia Sassen, Critique de l’État, Paris, Demopolis, 2009.

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__A ceux qui pensent que l'Africain n'a pas la notion de temps.. Ce n’est pas parce que l’on ne connaît pas l’histoire de l’Afrique et de ses populations, que cette histoire n’existe pas !

A ceux qui pensent que l'Africain n'a pas la notion de temps, je vous répond que...

C'est juste que l'Européen et l'Africain ont une conception du temps différente, ils le perçoivent autrement, ont un rapport particulier avec lui. Pour les Européen, le temps vit en dehors de l'homme, il existe objectivement, comme s'il était extérieur à lui, il a des propriétés mésurables et linéaires. C'est dailleurs qu'a affirmé Newton, pour qui le temps est absolu:" Le temps mathématique, absolu, véritable s'écoule de par lui même, par sa propre nature, uniformément, et non en fonction d'un objet extérieur." L'Européen se sent au service du temps, il dépend de lui, il en est le sujet. pour exister et fonctionner, il doit observer ses lois immuables et inaltérables, ses principes et ses règles rigides. il doit observer des délais, des dates, des jours et des heures; il se déplace dans les lois du temps en dehors desquelles il ne peut exister. Elles lui imposent ses rigueurs, ses exigences et ses normes. Entre l'homme Européen et le temps exist un conflit insoluble qui se termine toujours par la défaite de l'homme: le temps détruit l'homme.

Les Africains eux perçoivent le temps autrement. Pour eux le temps est une catégorie beaucoup plus lâche, ouverte, élastique, subjective. c'est l'homme qui influe sur la formation du temps, sur son cours et son rythme. le temps est même une chose que l'homme peut crée, car l'existence du temps s'exprime entre autres à travers un évènement. or c'est l'homme qui décide si l'évènement aura lieu ou non. Si deux armées ne s'affrontent pas; la bataille n'aura pas lieu et donc le temps ne manifestera pas sa présence, n'existera pas. Le temps est le résulta de notre action, et il disparaît quand nous n'entreprenons pas ou abandonnons une action. c'est une manière qui, sous notre influence, peut toujours s'animer, mais qui entre en hibernation et sombre même dans le néant si nous ne lui transmettons pas notre énergie. Le temps est un être passif, et surtout dépendant de l'homme. C'est tout à fait l'inverse de la pensée occidentale. Pour le traduire en termes pratiques, cela veut dire que si nous allons à la place du marché de Siou où doit se tenir une réunion, et qu'il n'y a personne sur les lieux de cette réunion, la question "Quand aura lieu la réunion?" est complètement insensée. car la réponse est connue d'avance:" La réunion n'aura lieu que quand les gens seront réunis."

C'est pourquoi Mr. Kpatcha Télou qui prend place dans l'autocar pour se rendre à Tchitchao ne pose aucune question sur l'heure du départ: il sait que l'autocar ne partira que quand toutes les places seront occupées. L'européen, qui essaie de se faire gentil dira: "Ces gens ont une capacité d'attendre absolument fantastique!" Capcité, endurance, ou bien s'agit-il d'autre chose? peut-être la prudence, le refus de se faire détruire par le temps dans un conflit où il sort inévitablement défaillant! Il refuse tout cout de se faire esclave du temps, il essaie d'en être le maître!

http://narcissedourma.over-blog.com/pages/a-ceux-qui-pensent-que-l-africain-n-a-pas-la-notion-de-temps-je-vous-repond-que--2243905.html

ps: beaucoup de français se fichent de savoir si l'africain est entré dans l'histoire, la plupart du temps, dans le quotidien dans la rue et les transports en commun on veut juste que l'africain rentre dans son pays d'origine... mais ça c'est une autre "histoire" :o) juste une boutade ne vous emballez pas...

Ecrit par : aurélien | 30.10.2010 | Avertir le modérateur

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