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lundi 6 décembre 9999

____Sujet psycho: Comment reconnait-t-on une"chieuse".. A quoi reconnait-on la folie? -Lorsque on perd tout sauf la raison d'être!.. & Qu'est ce qu'un fou? Guerit-on de la folie? Comment la reconnaître? Peut-elle revêtir plusieurs formes?

Bonjour à tous et à toutes,



Voila je me demande si ma petite amie n'est pas une "chieuse", nous sommes ensemble depuis 2 mois. C'est la première fois que je sors avec une femme qui est spontanée. J'ai l'impression par moment que c'est une "chieuse" mais je ne suis pas sûr.



Je vous demande votre avis pour savoir comment reconnaître une femme dite "chieuse".



Par avance merci.



Ulysse 31 http://forum.doctissimo.fr/psychologie/couples-relations/comment-reconnait-chieuse-sujet_168186_1.htm

Posté le 26-07-2006 à 12:47:11

Alors... comment reconnaître une chieuse...



et bien si celle ci est d'une hygienne irréprochable, ça va etre difficile, à moi qu'elle court au toilette toutes les heures et y reste un bon quart d'heure tout en te piquand tes mots croisés, oui c'est certainement une chieuse...



si quand tu t'approche d'elle, elle sent le bac à chat, oui s'en est une..



Sinon, tu as affaire a une princesse ps: chronomètre le temps qu'elle passe au toilettes... ;-)



ptitebouil​le pffffffffffffffffffffffff

Profil : Fidèle Posté le 26-07-2006 à 12:51:02

et puis, elle deteste que tu reste affalé sur le canapé et si tu va dehors t'occuper, elle se sent seule. au moindre reproche elle te saute a la figure. non seulement elle deteste ta mere mais en plus elle deteste que tu y aille. elle te demande 859746 fois par jour si tu l'aimeeeeeeee?? te reproche sans arret de ne pas etre present. te reproche d'aller au foot ou je ne sais quoi d'autre. te tire la tronche si tu vas manger au resto avec tes collegues meme si c'est une foi par an.



enfin voila je dois en oublier, je ne me souviens plus de tout se que je fais subir a mon zhom...

  • ptitebouil​le

pffffffffffffffffffffffff Profil : Fidèle

si je faisais subir cela a mon zhom je pense que je serais sous les ponts



mais ça represente bien la chieuse dans toute ça splendeur



j'oublié, le ménage aussi, non seulement tu l'aide jamais mais quand tu le fais c'est jamais bien fais, et puis t'es chaussures quand tu rentre...tu les enleves oui !! vais encore passer la journée a nettoyer,a cause de toi...

alors t'es pas une chieuse ? pis celles là : tu es en retard de 30 secontes .......t'étais ou ? vite voir le compteur ....combien de kilomètres en plus qu'hier tu passes un coup de fil à ton patron dans une autre pièce ? avec qui tu parles ? ta maitresse tu rentres à la maison ? tu as oublié le pain ? tu as été ou ? euh ?je m'arrete là hein ?

  • ptitebouil​le

pffffffffffffffffffffffff Profil : Fidèle

tu t'habille comme ça pour aller bosser mais c'est pas un deffilé de mode !! c'est pour plaire a la secretaire heinelle est mieux que moi ELLE....



mais non mon amour, tu te fais des idées..



n'empeche que tu ne me dis pas qu'elle est moche la secretaire...



mais si elle est moche.



tu me dis ça pour me faire plaisir !!!je sais que tu tourne autour d'elle !!

  • stephie82

Profil : Doctinaute Hors Compétition -Pour les calins c'est jamais le bon moment (remarque c'est pas grave parceque la furie du debut est tellement devenue bobonne que t'y prends plus vraiment de plaisir) -Elle ades problemes d'argent mais ourre s'acheter une nouvelle robe quant tu la depanne -Tu vas encore repeindre le salon -Il y a encore une fête de famille samedi ET dimanche -Quoi tu regarde encore cette connerie a la télé ? -C'est toujours toi qui descend le chien normal toi t'en voulais pas !

  • stephie82

Profil : Doctinaute Hors Compétition

un soir bonhomme a trop chaud dans le lit et t'oublies un peu ?............ tu penses qu'à baiser touaaaaaaaaaa tu m'aimes puuuuuuuuuu tous les jours elle te demande ? loulouu? ça fait combien de jours , heures ,secondes ? quon est marié alors que cela fait 25ans que vous ete mariés chéri ? tu te rappelles la première fois que tu m'as vue ? c'était ou ? vite qq1 m'aide

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___Kiss of Death " Judas, c’est par un baiser que tu livres le Fils de l’homme ? " » — Évangile selon saint Luc 22, 48,

Un baiser de la mort, ou baiser de Judas, est une expression pour désigner un rapprochement d'un individu vers un autre, qui en fait signale l'engagement ou la reprise d'hostilités.

L'expression a pour origine le baiser de Judas à Jésus Christ afin de désigner aux soldats l'homme à arrêter, signant sa trahison.

« Jésus lui dit : " Judas, c’est par un baiser que tu livres le Fils de l’homme ? " » — Évangile selon saint Luc 22, 48, texte sur Wikisource.

Au sein de la mafia, le baiser de la mort est plus concrètement chargé de sens : c'est un baiser qui signifie l'annonce de sa mort violente prochaine pour celui qui le reçoit.

Luc 22

La fête des pains sans levain, appelée la Pâque, approchait. Les principaux sacrificateurs et les scribes cherchaient les moyens de faire mourir Jésus ; car ils craignaient le peuple.

Or, Satan entra dans Judas, surnommé Iscariot, qui était du nombre des douze. Et Judas alla s’entendre avec les principaux sacrificateurs et les chefs des gardes, sur la manière de le leur livrer.

Ils furent dans la joie, et ils convinrent de lui donner de l’argent.

Après s’être engagé, il cherchait une occasion favorable pour leur livrer Jésus à l’insu de la foule. Le jour des pains sans levain, où l’on devait immoler la Pâque, arriva, et Jésus envoya Pierre et Jean, en disant : Allez nous préparer la Pâque, afin que nous la mangions.

Ils lui dirent : Où veux-tu que nous la préparions ?

Il leur répondit : Voici, quand vous serez entrés dans la ville, vous rencontrerez un homme portant une cruche d’eau ; suivez-le dans la maison où il entrera, et vous direz au maître de la maison : Le maître te dit : Où est le lieu où je mangerai la Pâque avec mes disciples ?

Et il vous montrera une grande chambre haute, meublée : c’est là que vous préparerez la Pâque. Ils partirent, et trouvèrent les choses comme il le leur avait dit ; et ils préparèrent la Pâque. L’heure étant venue, il se mit à table, et les apôtres avec lui.

Il leur dit : J’ai désiré vivement manger cette Pâque avec vous, avant de souffrir ; car, je vous le dis, je ne la mangerai plus, jusqu’à ce qu’elle soit accomplie dans le royaume de Dieu.

Et, ayant pris une coupe et rendu grâces, il dit : Prenez cette coupe, et distribuez-la entre vous ; car, je vous le dis, je ne boirai plus désormais du fruit de la vigne, jusqu’à ce que le royaume de Dieu soit venu.

Ensuite il prit du pain ; et, après avoir rendu grâces, il le rompit, et le leur donna, en disant : Ceci est mon corps, qui est donné pour vous ; faites ceci en mémoire de moi.

Il prit de même la coupe, après le souper, et la leur donna, en disant : Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang, qui est répandu pour vous.

Cependant voici, la main de celui qui me livre est avec moi à cette table. Le Fils de l’homme s’en va selon ce qui est déterminé. Mais malheur à l’homme par qui il est livré ! Et ils commencèrent à se demander les uns aux autres qui était celui d’entre eux qui ferait cela. Il s’éleva aussi parmi les apôtres une contestation : lequel d’entre eux devait être estimé le plus grand ?

Jésus leur dit : Les rois des nations les maîtrisent, et ceux qui les dominent sont appelés bienfaiteurs.

Qu’il n’en soit pas de même pour vous. Mais que le plus grand parmi vous soit comme le plus petit, et celui qui gouverne comme celui qui sert.

Car quel est le plus grand, celui qui est à table, ou celui qui sert ? N’est-ce pas celui qui est à table ? Et moi, cependant, je suis au milieu de vous comme celui qui sert.

  • Vous, vous êtes ceux qui avez persévéré avec moi dans mes épreuves ;

c’est pourquoi je dispose du royaume en votre faveur, comme mon Père en a disposé en ma faveur, afin que vous mangiez et buviez à ma table dans mon royaume, et que vous soyez assis sur des trônes, pour juger les douze tribus d’Israël.

  • Le Seigneur dit : Simon, Simon, Satan vous a réclamés, pour vous cribler comme le froment.

Mais j’ai prié pour toi, afin que ta foi ne défaille point ; et toi, quand tu seras converti, affermis tes frères.

  • Seigneur, lui dit Pierre, je suis prêt à aller avec toi et en prison et à la mort.

Et Jésus dit : Pierre, je te le dis, le coq ne chantera pas aujourd’hui que tu n’aies nié trois fois de me connaître.

  • Il leur dit encore : Quand je vous ai envoyés sans bourse, sans sac, et sans souliers, avez-vous manqué de quelque chose ? Ils répondirent : De rien.
  • Et il leur dit : Maintenant, au contraire, que celui qui a une bourse la prenne et que celui qui a un sac le prenne également, que celui qui n’a point d’épée vende son vêtement et achète une épée.
  • Car, je vous le dis, il faut que cette parole qui est écrite s’accomplisse en moi : Il a été mis au nombre des malfaiteurs. Et ce qui me concerne est sur le point d’arriver.

Ils dirent : Seigneur, voici deux épées. Et il leur dit : Cela suffit.

  • Après être sorti, il alla, selon sa coutume, à la montagne des oliviers. Ses disciples le suivirent.

Lorsqu’il fut arrivé dans ce lieu, il leur dit : Priez, afin que vous ne tombiez pas en tentation. Puis il s’éloigna d’eux à la distance d’environ un jet de pierre, et, s’étant mis à genoux, il pria, disant : Père, si tu voulais éloigner de moi cette coupe ! Toutefois, que ma volonté ne se fasse pas, mais la tienne.

Alors un ange lui apparut du ciel, pour le fortifier.

  • Etant en agonie, il priait plus instamment, et sa sueur devint comme des grumeaux de sang, qui tombaient à terre.
  • Après avoir prié, il se leva, et vint vers les disciples, qu’il trouva endormis de tristesse,

et il leur dit : Pourquoi dormez-vous ? Levez-vous et priez, afin que vous ne tombiez pas en tentation.

  • Comme il parlait encore, voici, une foule arriva ; et celui qui s’appelait Judas, l’un des douze, marchait devant elle. Il s’approcha de Jésus, pour le baiser.
  • Et Jésus lui dit : Judas, c’est par un baiser que tu livres le Fils de l’homme !

Ceux qui étaient avec Jésus, voyant ce qui allait arriver, dirent : Seigneur, frapperons-nous de l’épée ?

  • Et l’un d’eux frappa le serviteur du souverain sacrificateur, et lui emporta l’oreille droite.

Mais Jésus, prenant la parole, dit : Laissez, arrêtez ! Et, ayant touché l’oreille de cet homme, il le guérit.

  • Jésus dit ensuite aux principaux sacrificateurs, aux chefs des gardes du temple, et aux anciens, qui étaient venus contre lui : Vous êtes venus, comme après un brigand, avec des épées et des bâtons.
  • J’étais tous les jours avec vous dans le temple, et vous n’avez pas mis la main sur moi. Mais c’est ici votre heure, et la puissance des ténèbres.
  • Après avoir saisi Jésus, ils l’emmenèrent, et le conduisirent dans la maison du souverain sacrificateur. Pierre suivait de loin.
  • Ils allumèrent du feu au milieu de la cour, et ils s’assirent. Pierre s’assit parmi eux.

Une servante, qui le vit assis devant le feu, fixa sur lui les regards, et dit : Cet homme était aussi avec lui.

  • Mais il le nia disant : Femme, je ne le connais pas.

Peu après, un autre, l’ayant vu, dit : Tu es aussi de ces gens-là. Et Pierre dit : Homme, je n’en suis pas.

  • Environ une heure plus tard, un autre insistait, disant : Certainement cet homme était aussi avec lui, car il est Galiléen.
  • Pierre répondit : Homme, je ne sais ce que tu dis. Au même instant, comme il parlait encore, le coq chanta.
  • Le Seigneur, s’étant retourné, regarda Pierre. Et Pierre se souvint de la parole que le Seigneur lui avait dite : Avant que le coq chante aujourd’hui, tu me renieras trois fois.
  • Et étant sorti, il pleura amèrement.
  • Les hommes qui tenaient Jésus se moquaient de lui, et le frappaient.
  • Ils lui voilèrent le visage, et ils l’interrogeaient, en disant : Devine qui t’a frappé.
  • Et ils proféraient contre lui beaucoup d’autres injures.
  • Quand le jour fut venu, le collège des anciens du peuple, les principaux sacrificateurs et les scribes, s’assemblèrent, et firent amener Jésus dans leur sanhédrin.
  • Ils dirent : Si tu es le Christ, dis-le nous. Jésus leur répondit : Si je vous le dis, vous ne le croirez pas ;

et, si je vous interroge, vous ne répondrez pas. Désormais le Fils de l’homme sera assis à la droite de la puissance de Dieu.

  • Tous dirent : Tu es donc le Fils de Dieu ? Et il leur répondit : Vous le dites, je le suis.

Alors ils dirent : Qu’avons-nous encore besoin de témoignage ? Nous l’avons entendu nous-mêmes de sa bouche.

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